Fiction: Shikamaru In The Middle

Ne s'est-on jamais dit qu'à la naissance la sage-femme nous a donnée à une famille complètement timbrée ? Que nos frères et/ou sœurs ont été adoptés par excès de gentillesse de nos parents ? Shikamaru, oui. Entre une fratrie de cinglés et des parents déjantés, il y a de quoi s'inquiéter ! Mais cette nouvelle rentrée scolaire, chargée en chamboulements, apporte au moins une certitude : elle vaudra la peine d'être vécue...
Classé: -12I | Humour / Romance | Mots: 21863 | Comments: 29 | Favs: 28
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lolie13 (Féminin), le 28/06/2011
On continue ^^ Le BAC est passé, je suis contente ! Après, j'espère ne pas passer au rattrapage, mais bon, c'est probable vu ma quasi-nullité en matières scientifiques...

Enjoy !




Chapitre 6: Chapitre 5 : Rencontre en Enfer... Il fait chaud, vous ne trouvez pas ?



Shikamaru in the middle




Chapitre 5: Rencontre en Enfer... Il fait chaud, vous ne trouvez pas ?






L'air sifflait à ses oreilles. Le crissement de ses chaussures sur le sol retentit brusquement.


– Neji-sama. Vos cours de la matinée vont bientôt commencer.


Il laissa le ballon de basket rebondir et apprécia le son produit. L'écho se propagea dans la salle du gymnase de Konoha. L'adolescent attrapa la serviette que lui tendait le domestique.


– Merci.


Faire des paniers. Ça l'aidait à se détendre. Comme le piano ou le dessin pour d'autres. Lui, c'était le basket.


Il en avait marre. Marre de sa vie, en ce moment. Des filles qui lui tournaient autour depuis qu'il était entré dans cette école, et qui l'attendaient sûrement à la fin de son entraînement matinal. Des profs et de son oncle qui lui mettaient la pression. De ce mariage arrangé où il devait faire comme si ça lui était égal. Et surtout de cette fille, qui le mettait en rogne chaque fois qu'elle entrait malencontreusement dans son champ de vision.


Le jeune homme se changea, et entra dans la limousine qui l'attendait à l'extérieur du bâtiment, faisant abstraction des adolescentes présentes qui poussaient des petits cris de joie à la vue du jeune homme.


Si seulement il pouvait revenir dans le passé, effacer ses erreurs...

Mais c'était désormais impossible.



**




Elle était fatiguée. Les légers cernes bleutés sous la fine peau de ses yeux pouvaient l'attester. Sa nuit, agitée, avait été peuplée de rêves étranges qui donnaient une mauvaise impression de déjà-vu...


Le bruissement de tulle, le brillant des rubans de satin, une arabesque, une danseuse qui s'effondre au sol.

Un cri déchirant. Une petite fille qui pleure.


Une larme coula sur sa joue.


– Ça va, Hinata ?


La tête collée contre la vitre froide du bus, la jeune fille peinait à sortir de l'état second dans lequel la remémoration de ces événements tragiques l'avait plongé.


– Oui, je vais bien, Kiba.

– Tu es sûre ?

– J'ai mal dormi, c'est tout. Merci de t'inquiéter pour moi.

L'adolescent n'insista pas, même s'il avait du mal à la croire.


Elle baissa les yeux. Ce passé qui revenait fréquemment la hanter montrait que la jeune fille parfaite qu'elle s'efforçait de paraître ne semblait pas aussi lisse qu'elle aurait dû l'être.



**




Le rassemblement du matin l'ennuyait au plus haut point. Cependant, ses récentes mésaventures ne faisaient que confirmer le mauvais pressentiment qui l'avait assailli dès son réveil.


Il repassa dans sa tête l'épisode du pantalon transformé en jupe, de la tentative de trahison de son frère, du séchage de cours manqué et du sourire mystérieusement machiavélique de sa mère. De tous ces événements, le dernier était de loin le plus inquiétant.


L'adolescent remarqua soudain que l'ensemble des élèves s'était tu. La principale et le président du conseil des élèves venaient de laisser le micro à une femme qui lui semblait étrangement familière.


S'il l'avait su, il aurait donné tous les paquets de clopes du monde pour empêcher le désastre imminent.


– Bonjour à tous. Comme vous l'a informé votre principale, je me nomme Hatake Kurenai et je serai votre nouveau professeur de mathématiques. Si mon nom vous paraît familier, il y a une raison : en effet, trois de mes enfants sont scolarisés dans cet établissement. Je ne tolèrerai aucun écart de conduite de votre part, cela vaut pour tous les élèves.


Et c'est dans un sourire faussement amical qu'elle le regarda, comme pour signaler à son deuxième fils qu'au moindre faux pas, sa vie deviendrait un enfer, au moins pour le siècle à venir.



**




– À gauche, à gauche-euh ! Mais non, l'autre gauche, crétin !!

– Tu vas arrêter de beugler, oui ?! C'est une épreuve de survie en milieu hostile, pas le concours de « Qui sera la meilleure poissonnière du marché » !

– 'Fait chier ! Pourquoi a-t-il fallu que je me mette en équipe avec toi ?!

– Peut-être parce que mon meilleur ami, et accessoirement ton mec, s'est fait renvoyé un mois pour les bourdes qu'il a commis...

– T'aurais pu le défendre !

– … Tout seul ! Tu voulais que je fasse quoi ? Battre des cils devant Morino en minaudant « M'sieur, c'est pas sa faute, il est skyzo' ». Ça serait passé avec Juugo, mais le cas de Sasori est désespéré !


Un bruit de craquement se fit entendre.


– Mais quand même, c'est sim...

– Chut ! Tu vas nous faire repérer !


Itachi appuya sur la tête de la rousse et se baissa afin d'être camouflé par le buisson devant lequel ils s'étaient arrêtés.

La jeune femme retint sa respiration, tout en récitant intérieurement des prières à Bouddha, auquelle elle n'avait jamais cru, mais que ses parents l'avaient forcée à apprendre.


La menace écartée, le brun soupira. Il sentit Karin trembler. Alors, d'un geste chevaleresque, il posa sa veste sur les épaules de sa partenaire.


– Mais qu'est-ce que...

– Déjà que t'es pas silencieuse, si tu te mets à éternuer à tout bout de champ, on est grillé...


Il tourna la tête vers elle et lui fit un sourire sarcastique. Elle répliqua par une moue dédaigneuse.


– Merci...


Le dernier mot, presque inaudible, de la jeune femme, fut emporté au loin par les méandres du vent.


– Atchoum !!!

– C'est pas vrai...!



**




Le silence qui régnait dans la salle devenait peu à peu pesant. Tous les élèves, penchés sur leur feuille, grattaient le papier de leur stylo. « Contrôle de connaissance », avait clamé le professeur. Super, pour un début d'année.


Une tête blonde, relevée, ne semblait même pas se donner la peine de chercher les réponses aux questions. À quoi bon ? De toute façon, cela se terminait toujours de la même manière : un zéro pointé. Alors, pourquoi se fatiguer ?


« La bataille de Sekigahara » ? Qu'est-ce qu'il en avait à faire ?! De ces hommes qui se charcutaient il y a plusieurs siècles et qui venaient l'emmerder des centaines d'années plus tard !


– Plus qu'un quart d'heure !


L'adolescent n'avait pas pour habitude de rendre une copie blanche, même s'il n'avait aucune idée de ce qu'il fallait répondre. Quitte à rendre quelque chose, autant que ce soit compréhensible.


Une vingtaine de minute après, un tas de copies désordonnées était posé sur le bureau du professeur Sarutobi Asuma. Parmi celles-ci, celle de « Hatake Naruto, Seconde 4 ». Avec, à la ligne « Bataille de Sekigahara », deux samouraïs se tranchant la jugulaire, un sourire aux lèvres.



**




Lorsque la pause fut enfin arrivée, Tenten se dirigea, non sans avoir jeté un regard mauvais à une certaine personne, vers l'intendance, qu'elle avait repérée dès son arrivée dans l'établissement, en personne consciencieuse qu'elle était.


Une fois à destination, elle observa la pièce. Propre et bien éclairé, le lieu montrait par son mobilier design et épuré les subventions énormes que devait recevoir l'établissement. L'intendante, quant à elle, mâchait bruyamment son chewing-gum et ne semblait pas être âgée de plus de 25 ans. Les yeux plongés dans un magazine de mode féminin, elle ne posa son regard sur la jeune fille que lorsque celle-ci émit un toussotement.


– Vous désirez ?


L'air ennuyé de la jeune femme fit hérisser les poils du cou de l'adolescente. Cela faisait à peine quelques minutes qu'elle était en présence de cette femme et cette dernière avait déjà le don de l'exaspérer au plus haut point.


– Je viens pour échanger mon uniforme. En effet, j'ai reçu celui destiné aux garçons, alors que je suis...

– … Une fille ?

– Évidemment ( Pouffiasse...).

– Dans ce cas, je ne peux rien faire.

– Pardon ?

– L'établissement ne garantit en aucun cas les erreurs de livraison ou de fabrication. Vous devez par contre vous en procurer un nouveau.


La brune serra les dents.


– Et comment puis-je en avoir un autre ?

– Eh bien, en commandant un uniforme ! 250000 ¥, payable de votre poche bien-sûr.


(Nda : 250000 yens correspond à environ 2200 euros)


Le sourire que lui servait l'intendante l'énerva un peu plus encore. Il était hors de question qu'elle paye un uniforme hors de prix, alors que ce n'était pas elle qui était en tort.


– Mais, je n'ai pas les moyens de...

– Voyons... Cet établissement n'accepte que les meilleurs ! Si vous êtes ici, c'est que vous en avez les moyens. À moins que...


Tenten cogna son poing contre le bureau d'un blanc immaculé. Cette conasse la mettait hors d'elle.


– Qu'insinuez-vous ?!


– Euh... Je dérange ?


Les deux têtes se tournèrent d'un même mouvement vers le nouveau venu.



**




Il avait l'impression d'être au mauvais endroit au mauvais moment.


Le regard de la jeune femme s'illumina.


– Que puis-je faire pour vous, monsieur Hatake ?


Shikamaru soupira. Dès qu'un garçon était dans les parages, l'intendante se transformait aussitôt en animal en rut.


– Il semblerait qu'il y ait eu une erreur dans la livraison des uniformes. Mon frère en a reçu un de fille.


Ce fut au tour des yeux de l'adolescente de s'éclairer. La femme déclara :


– Attendez, je vais vérifier...


Elle pianota sur le clavier d'ordinateur présent sur le bureau. Tenten n'en revenait pas : elle l'avait traitée comme une merde alors qu'elle s'occupait de l'autre comme s'il était l'empereur en personne !


– Ah oui, en effet, il semble y avoir eu un échange entre l'élève Hatake Sasuke et l'élève Hitora Tenten, tous deux de la Terminale 4.


Elle fixa le paquet présent dans les mains de la brune.


– Je suppose que c'est vous, Hitora Tenten.

– Bien-sûr que c'est moi !

– Bien ! Vous avez retrouvé l'uniforme vous appartenant. Tout est bien qui finit bien !


Tenten sortit rageusement de la pièce, avec Shikamaru sur les talons, ce dernier bien décidé à ne pas rester un instant de plus dans la même pièce que cette connerie ambulante d'intendante.



**




– Mais quelle pétasse !!

– Ino !

– J'te jure ! T'as vu comment elle l'a regardé ?! Elle bavait presque !! Qu'elle essaie de l'approcher, celle là ! Tu vas voir comment elle va finir !


La blonde aux yeux bleus aimait avoir l'exclusivité, qui plus est lorsque son petit ami se trouvait être celui avec lequel ses parents avaient arrangé un mariage.


L'adolescente avait rejoint Temari et Sakura dans leur salle de classe, afin d'échapper à l'angoissante présence de Kiba. Cependant, elle savait que la sonnerie allait retentir d'un moment à l'autre et signerait alors un retour en Enfer pour elle.


Elle chercha du regard Shikamaru, son plus vieil ami, sans parvenir à le trouver. Aussi incroyable que cela puisse paraître, c'était à lui qu'elle confiait tout. Non pas qu'elle avait moins confiance en Sakura ou en Temari, mais elle préférait souvent avoir l'avis d'un garçon, si différent de celui du sexe opposé.

Elle avait besoin de lui confier le chamboulement qui s'était produit dans sa vie, depuis le retour de Kiba. Alors qu'elle s'était juré de l'oublier. Elle devait savoir. Pour enfin tirer un trait. Pourquoi, alors que tout marchait si bien, la machine s'était enrayée, au point de cesser de fonctionner ? Pourquoi l'avait-il plantée, alors qu'elle traversait une période difficile ?


Shikamaru savait toujours tout sur tout le monde. Elle se devait de lui poser la question qui lui brûlait les lèvres depuis trois ans : pourquoi l'avait-il plaqué, du jour au lendemain, sans raison apparente ?



**




La journée se déroula paisiblement, tel le léger ronflement de Shikamaru en cours, alors que Temari lui lançait des bouts de gomme. Tels les coups de crayons d'Ino, sur son carnet de croquis, lorsqu'elle imaginait déjà les prochains modèles du club de stylisme. Telle les ronds de fumée blanchâtre que soufflait Sasuke lorsqu'il avait pu s'extraire à l'autorité maternelle.


Telle la pluie qui, en cette journée d'Avril, prit par surprise les habitants de Konoha et des alentours, qui se retrouvèrent comme des cons car ils n'avaient pas de parapluie à portée de main.



**




Le clapotis de l'eau dans les flaques apaisa momentanément Hinata. Elle avait toujours eu peur du noir, et les rues sombres de la ville semblaient regorger de monstres à chaque recoin.


Serrant son parapluie dans ses petites mains blanches, elle accéléra la cadence. Il lui semblait qu'à chacun de ses pas, un écho étrange se produisait. Et si elle était suivie ? Elle chassa rapidement cette idée absurde de sa tête. Ce qu'elle pouvait se faire des films !! Elle se risqua néanmoins à regarder derrière elle.


La rue était déserte. Elle distingua cependant une ombre bouger. Plissant les yeux avec concentration, à cause de la pluie, elle vit avec peine que cette ombre était en réalité un homme, portant un sweat noir, la capuche rabattue sur sa tête.


L'adolescente sourit de sa bêtise. Comment avait-elle pu croire un seul instant qu'on la suivait ? Elle se retourna et marcha plus vite. L'homme accéléra lui aussi.


La peur lui tenaillait le ventre. Plus vite. L'homme continua.

La crainte se lisait sur son visage. Encore plus vite. L'homme continua de plus belle.

Elle émit un gémissement plaintif. Toujours plus vite. L'homme continua d'accélérer.


Presque terrorisée, la jeune fille se mit à courir, tout en regardant derrière elle.


Trop tard.



**




L'impact fut si puissant que le bruit se répercuta sur tous les murs environnants.


S'approchant rapidement, le jeune homme s'empara du parapluie tombé par terre. Il protégea l'adolescente étendue au sol des grosses gouttes qui tombaient à présent du ciel. Approchant furtivement la main de la joue de la jeune fille, il la tapota plusieurs fois afin de la réveiller.


Elle entrebâilla les paupières, la lumière du lampadaire contre lequel elle s'était cognée lui éclatant en plein visage.

Il passa doucement son bras sous sa tête pour la relever.


– Ça va ?!

– Hn...

– Je suis vraiment désolé, je ne voulais pas te faire peur. Mais je ne me souvenais plus de ton nom, donc j'ai pensé qu'il suffirait de te suivre pour trouver le chemin. Je pensais vraiment pas que tu allais avoir peur et...


Hinata tenta de se relever et tituba. L'adolescent la rattrapa et l'aida à se remettre sur pied, tout en la tenant fermement dans ses bras.


– Doucement ! Tu as eu un sacré choc. J'ai même vu le lampadaire bouger !


En effet, le luminaire penchait de quelques centimètres vers la droite.

Encore dans un état second, Hinata avait du mal à se tenir droite. Elle agrippa malencontreusement la capuche du jeune homme et put enfin voir son visage.



**




Kakashi Hatake était tout sauf un père banal. Constamment dans la lune, on se demandait souvent d'où il puisait les formidables idées qu'il exploitait dans chacun de ses romans. Car, comme tout le monde le savait, Kakashi Hatake était un écrivain de romans à succès. Romans qui, soit dit en passant, n'étaient pas vraiment indiqués pour un jeune public. Dans la lignée des « Icha Icha Paradise », écrit par son mentor Jiraya, l'homme avait peu à peu acquis une grande notoriété dans le milieu.


Alors qu'il se levait pour chercher un verre d'eau, il vit Shikamaru s'asseoir avec la grâce d'un hippopotame dans la banquette défoncée qui leur servait encore de canapé. Sasuke entra à son tour dans le salon, Kurenai sur ses talons.


– Tiens, Sasu'.

– C'est quoi ?

– Ton uniforme. T'aurais quand même pu y aller toi même !

– Pour voir l'intendante ? Non merci !


Kakashi s'étonna de ne voir que deux de ses fils.


– Où est Naruto ?

– Il est à son cours de danse. Il commence aujourd'hui, tu ne t'en souvenais pas ? Je suis sûr qu'il a oublié le chemin pour s'y rendre !



**




– Hatake-kun !?

– Eh oui ! Mais tu peux m'appeler Naruto, euh...

– Hyûga. Hinata Hyûga.

– Désolé. Je ne suis pas doué pour retenir les noms.


L'adolescente, qui avait repris ses esprits, se détacha des bras de Naruto. Être trop près d'un garçon pendant autant de temps... Rien que d'y penser, le sang lui montait aux joues.


– Tu es toute rouge, Hinata-chan !


En attendant son prénom dit avec une telle familiarité dans la bouche du jeune homme, la brune se sentit défaillir.


– Oh ! Tu es sûre que ça va ? On devrait se mettre à l'abri. Tu pourrais m'indiquer le chemin du conservatoire ?

– Ou... Oui. B... Bien-sûr.


Et c'est bras dessus, bras dessous que les deux danseurs se rendirent à leur cours de danse, sans se douter une seconde qu'ils allaient recevoir des réprimandes de la part de leur professeur.



**




– C'est moi...


Sasori ne s'attendait certes pas à un accueil chaleureux, mais celui-ci était glacial. Il reçut néanmoins un « salut » blasé de la part de sa petite sœur et un regard assassin de la part de sa mère.


– Je te préviens, Sasori. Ici, ce sera à la dure. Il est hors de question que tu aies un autre renvoi, temporaire ou non. Il y a d'autres très bonnes écoles... à l'étranger.


Pendant que Sasori suppliait pour la énième fois sa mère de le laisser au Japon, Sakura posa le livre qu'elle avait refermé sur la table basse du salon, se leva et se dirigea vers la fenêtre, d'où elle pouvait contempler le ciel sombre et très nuageux.


Elle eut un pincement au cœur. Surprise, elle sut immédiatement ce que cela signifiait.


Les choses allaient changer. Irrémédiablement.







Bon, maintenant, vous devez y être habitués, à mes parutions irrégulières, hein ? En même temps, avec le bac français et les vacances, je n'ai pas eu beaucoup le temps d'écrire (mais ça, je pense que vous l'aviez déjà compris * je suis feignasse-woman ! *) !!


Je pense avoir fait un chapitre plus long que d'habitude. De plus, j'ai eu quelques soucis : en effet, mon ordi ayant planté, je gardais tous mes docs, etc. sur une clé USB. Malheureusement, celle-ci a décidé du jour au lendemain de ne plus fonctionner. Du coup j'ai perdu tous mes chapitres de fanfic, ainsi que tous mes dessins (et c'est ça le plus embêtant).


Mais heureusement pour vous (petits veinards !!), je n'ai pas perdu ce chapitre (c'est'i pas bien, ça ??). En espérant que vous soyez toujours là au prochain chapitre, je vous dit @+. Enjoy !!




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