Fiction: Shikamaru In The Middle

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Shikamaru in the middle


Chapitre 10 : Mais qu'est-ce que tu fous là ?!




– Maman...

Les trois frères avaient une tête atterrée.

Leur mère s'approcha du combiné du téléphone et souffla d'une voix qui se voulait doucereuse :

– Bonjour... Itachi.
– … S-Salut, M'man.

Kurenai fit un sourire.

– Alors, comme ça, tu dois rester à Hokkaidô la semaine prochaine...?

À l'autre bout du fil, la voix déglutit. L'ainé de la fratrie déclara tant bien que mal :

– Euh ouais... Mais c'est rien de grave, t'inquiète !
– T'inquiète ?!

La mère de famille semblait légèrement perdre son calme.

– Oui, oui.
– Qu'est-ce que t'as encore foutu ?!
– Maman... Trois fois rien, tu sais...
– Tu préfères peut-être que j'ouvre moi-même cette fichue enveloppe pour savoir ce que tu as encore fait ?!!
– Ben, en fait, euh...

N'y tenant plus, Kurenai prit la lettre que Naruto tenait encore entre ses mains. La décachetant, elle se figea en lisant le contenu de la missive.

– Euh, M'man ?
– ...

Puis, prenant le téléphone dans sa main, elle éclata :

– ITACHI HATAKE !! Qu'est-ce que je lis ?! Destruction d'une piscine avec un tracteur !! Non mais ça va pas ?!

Les trois frères tentèrent de s'éclipser discrètement. Et s'arrêtèrent brusquement quand leur mère se retourna, les fusillant du regard :

– Et vous, je ne vous oublie pas !! Qu'est-ce que vous croyez ?! Vous alliez aider votre frère, donc vous serez tous punis pour la Golden Week !

Et elle s'en alla dans le salon avec le téléphone, laissant ses trois fils hébétés.

– Ben...
– … Merde.
– Galère...


**


– Bienvenue, mademoiselle Yamanaka.

Ino tendit son manteau au domestique et s'avança dans la grande entrée de l'hôtel particulier de la famille Hyûga. Il fallait bien avouer que le patriarche avait mis les petits plats dans les grands.
En effet, tout n'était que luxe et la pièce resplendissait de mille feux. À tel point que l'adolescente ne se sentait pas à l'aise devant tant de faste et d'opulence.

Elle entendit des bruits de pas, claquants sur le sol brillant. Le chef de famille venait d'apparaître, avec à ses côtés Neji.
Ne sachant que faire, Ino s'inclina respectueusement devant eux.

– Bienvenue, mademoiselle. Je vous remercie d'être présente ici, ce soir.
– Tout le plaisir est pour moi, Monsieur.

Neji haussa les sourcils. Il n'avait qu'une envie : que cette petite réunion débile finisse au plus vite.

Il ne savait cependant pas que c'était aussi le souhait le plus cher de sa future femme.



**


Hinata était assise à la coiffeuse de l'une des nombreuses chambres de l'hôtel particulier de sa famille. Tout en se brossant consciencieusement les cheveux, elle renifla avec une grâce qui lui était propre.

Il fallait dire qu'elle avait été malade comme un chien pendant toute la semaine et qu'elle n'avait pas pu sortir de sa chambre, sous peine de subir le courroux de son père.

Alors qu'elle reposait délicatement sa brosse à cheveux, son portable vibra. Voyant un appel de Kiba, son regard s'éclaira. Elle décrocha :

– Allo ?
– Salut, c'est moi. Ça va mieux ?

Hinata sourit. Elle se sentait si importante à ses yeux.

– Oui, beaucoup mieux. Dis-moi... Ce soir, je vais assister à un diner interminable où je vais particulièrement m'ennuyer... Tu ne voudrais pas venir après ?
– J'aimerai bien, mais je ne crois pas que ton père acceptera...
– Ça restera entre nous. Passe par la cuisine de la salle de réception, y a jamais personne normalement. Vers 21 heures 30, ça te va ?
– Hum... Ok, je viendrai.

La brune regarda sa montre : 20 heures. Plus qu'une heure et demie de souffrance et elle pourrait enfin respirer.

– Super, on se voit tout à l'heure. Je dois raccrocher, mon père est très à cheval sur les horaires.
– Je te laisse alors, bye.
– Bye.

L'adolescente se leva alors, époussetant sa robe et quitta sa chambre.

Elle ne s'était pas rendu compte que les murs avaient des oreilles.


**


La blonde était assise à la grande table, coincée à sa gauche par le paternel, en face par le fiancé, et à sa droite par une brune qui avait deux ans de moins qu'elle et dont la tête lui disait vaguement quelque chose.

Un grincement de porte se fit entendre. L'adolescente écarquilla les yeux lorsqu'elle vit une jeune fille quasi identique à sa voisine de table. La nouvelle arrivante prit place à côté de Neji.

– Hanabi, qu'as-tu à dire pour ton retard...?

Cette dernière feint un sourire contrit à son père situé en bout de table.

– Je suis désolée, Père.

Et elle envoya un regard noir à sa sœur, qui tressaillit.

Rappelle-toi Ino, tu fais ça pour tes parents, pour leur entreprise. Subis, et après ça ira mieux. Respire, respire...

Le diner se déroula dans un silence pesant, comme si chacun voyait sous un angle différent l'enjeu de cette soirée.

Les différents plats furent servis. Un repas typiquement européen, pour faire référence aux origines anciennes de l'invitée d'honneur qu'était Ino. Les couverts s'entrechoquaient, teintant dans la grande salle à manger, jusqu'à ce que le son ne soit plus qu'un lointain écho.
Mis à part cela, personne ne parlait.

Les yeux bleus de la Yamanaka se fixaient sur son assiette, à tel point que son regard aurait pu la transpercer.

Cependant, un écho retentit dans la salle d’à côté.
Plissant les yeux, Hiashi Hyûga posa sa serviette sur la table et se leva.

– Excusez-moi, je vais aller voir ce qu’il se passe.

Il quitta la pièce d’un pas décidé.

Ino soupira intérieurement. Si c’était ça, l’ambiance des repas de famille chez les Hyûga, elle n’osait même pas imaginer ce que ça allait donner les prochaines années, lorsqu’elle serait elle aussi de la partie…


**


– 21 heures… Bon, j’y vais.

Kiba enfila son sweat des grands jours et sortit de sa chambre lorsqu’une boule de poil se jeta sur lui.

– E-Eh !! Akamaru, attention !

Le petit animal le regarda, remuant la queue. Le brun s’assit à ses côtés.

– Tu veux jouer ? Je ne peux pas ce soir, je dois sortir… Et pas la peine de faire cette tête ! Je ne peux pas t’emmener avec moi, et à moins que tu ne sois un poisson rouge, les animaux sont interdits là-bas... Non, tu n’as que « Aka », « rouge » dans ton nom, pas « poisson rouge » !! A-ah, arrête de me lécher le visage, je vais être tout sale après !
– A-ouarf !

L’adolescent ébouriffa les poils courts de la tête d’Akamaru.

– Je sais que tu veux venir, mais tu dois rester ici pour garder la maison, ok ? Allez, je m’en vais.

Sa mère et sa sœur étant scotchées devant la télévision, l’Inuzuka put sans problème se glisser hors du domicile familial, sans même qu’un courant d’air ne fasse bouger les rideaux du salon.


**


La porte s’ouvrit à nouveau et Hiashi Hyûga reprit place parmi le nombre peu important de convives.

– Excusez-moi, un détail de dernière minute à régler.

Hinata soupira intérieurement. Lorsque son père faisait cette tête-là, c’était qu’il y avait anguille sous roche. Le paternel demanda néanmoins :

– Est-ce que le repas est à votre convenance, mademoiselle Yamanaka ?
– Oui, en effet.

L'adolescente semblait tendue. Hinata regarda sa voisine de table et compatit. Elle aussi savait ce que c’était de devoir assister à des repas interminables, dans le seul but de satisfaire ses parents.

Le dessert arriva finalement assez vite et la brune savait qu’il lui suffisait de feindre un mal de tête pour s’échapper discrètement et ainsi rejoindre Kiba qui ne devait plus tarder.
Elle termina la dernière bouchée de son gâteau et Hiashi prit la parole.

– Êtes-vous satisfaite de cette soirée ?

Inutile de se demander à qui il s’adressait.

– En tout point, monsieur.
– Vous m’en voyez comblé. Dans ce cas, j’aimerais vous faire part d’une demande, que, j’en suis sûr, vous saurez satisfaire…
– Certes, monsieur…

Hinata remarqua qu’Ino pianotait frénétiquement sur sa cuisse, signe d’une certaine impatience, sûrement du fait qu’elle voulait s’enfuir à toute jambe.

Le chef de famille se leva, obligeant les autres convives à faire de même. Il prit Ino par le bras et fit signe à Neji de se rapprocher d’elle. Ils marchèrent tous en direction d’épaisses doubles portes en chênes, finement sculptées.

Le brouhaha de la pièce adjacente, qui n’était alors qu’un bruit de fond, se fit de plus en plus présent.

– Eh bien, très chère…

Un pas après l’autre, les portes s’approchaient. Et le bruit s’accentuait d’autant plus.

Hinata le sentait mal.

– Vous feriez-nous…

Vraiment mal.

– … le plaisir d’officialiser vos fiançailles avec mon neveu ici présent ?

Et les portes s’ouvrirent.


**


Tenten remit rapidement ses macarons en place et s’essuya le front du revers de la manche.

Elle avait obtenu un job à la dernière minute et ne comptait pas passer à côté de la jolie somme qu’on lui promettait à la fin de son travail.
Travail ingrat soit dit en passant, étant donné qu’elle faisait des allers retours entre la salle de réception et la cuisine, ramenant les divers plateaux presque vides que le nombre faramineux d’invités s’évertuait à engloutir, encore et encore.

Le maître de maison n’était pas encore là mais les commérages fusaient déjà de toutes parts, à tel point que la jeune fille avait la tête qui tournait.
Apparemment la soirée était imprévue mais l’organisateur au nom célèbre, que Tenten n’avait d’ailleurs pas retenu, avait fait venir en masse personnes connues et autres notables fortunés.

Comme elle se le disait, ça puait le fric et les magouilles en tout genre, mais tant qu’elle avait sa paie, elle pouvait bien supporter un tant soit peu d’être dans la même pièce qu’eux.

En revenant dans la cuisine, les bras chargés de plats argentés, elle remarqua qu’une ombre passait sous la fenêtre.
Posant sans aucune délicatesse ce qu’elle tenait, elle ouvrit la fenêtre en grand et s’apprêta à crier, quand une tête parut juste devant elle, si rapidement qu’elle sursauta.

C’était un adolescent, de plus ou moins son âge, qui lui demanda du tac au tac :

– Je peux passer par là ?
– Q-quoi ? Attends, tu te crois chez mémé ? Tu serais un voleur que ça m’étonnerait même pas !
– Tu crois vraiment qu’étant sapé comme ça, j’ai l’air d’un voleur ?

Il était vrai que l’imprimé rouge flash de son sweat noir ne passait pas vraiment inaperçu.

– Ok, c’est vrai que t’as pas l’air d’être assez intelligent pour voler un truc discrètement, surtout avec la tonne de monde qu’il y a… Hé, qu’est-ce que tu fais ?!

L’adolescent était déjà à moitié passé par la fenêtre quand il se figea.

– Attends… T’as dit quoi là ?
– Que t’allais avoir de gros ennuis si tu partais pas vite fait.
– Non sérieusement… Y a des gens ici ?
– Bah une soixantaine de personnes, à tout casser. Sans le personnel, je pense. Mais là n’est pas le problème…
– Si justement…

Il pénétra entièrement dans la maison et, une fois son second pied sur le sol, sortit son portable de sa poche et tapa à toute vitesse un message.

« Attends… Pourquoi y a une réception chez toi ?!! »


**


– J’y comprends rien du tout…

Devant elle, un parterre d’invités, tous plus prestigieux les uns que les autres, s’étalait devant elle.

– Alors, mademoiselle Yamanaka, surprise ?

C’était le cas de le dire, bouffon !

Ino écarquillait les yeux. Dans quelle merde s’était-elle fourrée ?! Elle aurait pourtant pu, pourtant dû le prévoir. Mais non, elle s’était laissée guider par Hiashi Hyûga qui, il fallait l’avouer, savait très bien noyer le poisson.

– E-en effet.

Ses parents l’avaient protégée au maximum de ce milieu et ne l’auraient pas laissée y entrer complètement avant sa majorité. Mais là, elle était obligée d’y plonger la tête la première, et sans bouée de sauvetage pour l’aider. Elle chercha ses parents dans l’assistance, mais elle n’aperçut aucune tête blonde. Au lieu de cela, des hommes aux cheveux grisonnants, bedonnants, accompagnés de leurs femmes qui semblaient crouler sous les bijoux et autres parures.

Elle se tourna vers la fille du patriarche, celle qui lui avait paru si familière et gentille…
Mais elle avait disparu.


**


– Hinata ! C’est quoi tout ça ?!

Kiba attrapa sa petite amie par le bras, la cachant ainsi dans le couloir menant à la cuisine.

– J’en sais rien, c’était pas du tout prévu ! Père a tout organisé en secret…

– Alors même vous, vous ne le saviez pas ? Il me semblait bien que c’était étrange de ne pas voir l’organisateur participer aux festivités…

Hinata remarqua alors une adolescente à la peau mate et coiffée de deux macarons. Elle l’avait déjà vue de loin, dans la classe de son cousin.
Celle-ci la détailla et s’arrêta sur ses yeux, les mêmes que…

Kiba demanda alors :

– Alors, c’est quoi l’évènement ?
– Et ben… Les fiançailles de mon cousin et de…

Tenten la coupa :

– Attends, ton cousin, ce serait pas…

Le bruit du micro vrilla leur tympan. Le silence emplit la grande salle. Les trois adolescents s’approchèrent un peu pour voir le centre de toutes les attentions. La voix d’Hiashi Hyûga s’éleva alors :

– Merci à toutes et tous d’être présents ici, ce soir. En effet, je ne vais pas vous faire attendre plus. J’ai le plaisir d’annoncer le rapprochement prochain de deux grandes familles de notre cher pays. En effet, nous aurons prochainement le plaisir de voir s’unir mademoiselle Yamanaka Ino et monsieur Hyûga Neji.

Des applaudissements retentirent.

Kiba et Tenten étaient bouche-bée.

Alors que de leurs côtés, Ino et Neji étaient blancs comme des linges.


**


– Alors là, si je m’y attendais… Et ben, il perd pas de temps, ton cousin !

Revenus dans la pénombre de leur couloir, tous digéraient l’annonce, plus ou moins bien selon le cas.
Hinata était déjà au courant depuis un moment. Cela ne lui avait pas posé de problème.

Tenten, elle, était surtout surprise que le Hyûga ait pu trouver quelqu’un qui lui convienne, et qu’il finisse par se marier, car c’était la suite prévue, avec elle. La brune avait déjà eu l’occasion de les voir ensemble, et le couple était certes bien assorti physiquement, mais pas très harmonieux. Tenten avait cependant sur ses lèvres le souvenir encore présent du bref contact qu’ils avaient eu, Neji et elle, et eut un petit pincement au cœur. Qu’elle chassa bien vite en secouant la tête et en se traitant de tous les noms.

Kiba, quant à lui, était dans un état second. Il ne savait plus quoi penser. D’un côté, il était bien avec Hinata, elle l’avait réconforté, douce et forte à la fois. Cependant… Ino était toujours là, dans un coin de sa tête, bien cachée. S’il n’y avait pas eu Hinata à ses côtés, il aurait été tenté d’aller chercher Ino et de l’arracher à la vue de tous. Or, ce n’était pas possible. Pour être dans cette situation, il fallait qu’Ino l’ait voulu.

Et à en croire son expression, elle aurait voulu être partout, sauf ici.


**


Neji bouillonnait intérieurement. Comment avait-il pu leur faire ça ? Comment avait-il pu lui faire ça ?!

Pourquoi l’annoncer comme cela, sans les prévenir ?! Son oncle venait de les propulser sur le devant de la scène, chose dont il se serait bien passé. Il aurait pu faire face seul, mais Ino, telle qu’elle était à présent, allait les entrainer vers le fond s’il ne faisait rien. Neji s’était rendu compte, trop tard, qu’elle n’avait jamais fait face au monde auquel il était à présent si familier. Maintenant que leurs deux noms étaient liés, ne serait-ce que dans une même phrase, chaque acte qu’effectuerait l’un aurait des répercussions sur l’autre. Et cela ne l’arrangeait pas du tout, loin de là.

Maintenant une expression neutre de façade, il se tourna progressivement vers Ino.
Elle avait peur. Elle qui se montrait toujours joyeuse, parfois colérique, même carrément lourde, il ne l’avait jamais vu avoir peur.
Certes, ils ne s’aimaient pas, étaient presque des étrangers l’un pour l’autre, mais même à une étrangère, il ne lui aurait jamais fait subir cela.

Il vit la bouche de la blonde bouger. Elle le regarda droit dans les yeux et il fut déstabilisé.

– Neji… S’il te plait…

Il n’avait jamais tenu tête à son oncle. Celui-ci se trouvait d’ailleurs bien loin d’eux, parlant avec des hommes qui, il le savait, lui donneraient de quoi devenir encore plus riche, simplement à l’annonce du futur mariage.

Le regard pâle du jeune homme alla de son oncle à Ino. D’Ino au micro resté sur place. Du micro à sa cousine, qu’il avait aperçu un bref instant. Il regarda à nouveau son oncle, qui semblait comprendre que tout n’allait pas se passer comme prévu.

Il fallait que cela cesse.

Il attrapa le micro.

– Je romps ces fiançailles !!

Et il entraîna Ino à sa suite, quittant la salle pour, espérait-il, ne plus jamais y remettre les pieds.




Ça faisait longtemps, hein ? Résultat : Bac S en poche (mention Assez Bien à deux centièmes près XD) et année de MANAA finie (ou presque).

Sinon, c'est la fin de la Première Partie de Shikamaru In The Middle (genre la grosse excuse pour avoir du temps libre) ! En gros, pour moi Première Partie = les couples du début, Deuxième Partie = on casse tout et on recommence mais autrement !!

Enjoy !!

P.S : Merci à ceux qui m'ont laissé des coms, ceux qui me suivent régulièrement, ceux grâce à qui j'ai plus de 10 500 vues sur cette fanfic que j'ai commencé il y a près de deux ans et demi et ceux que j'oublie... Merci à tous ^o^ !!

P.S bis : Vous pouvez remercier Yumi.N (sur fanfic-fr.net). C’est son commentaire qui m’a donné la foi pour terminer ce chapitre dans la soirée qui suivait son com !! Et en plus, c’est le plus long chapitre de Shikamaru In The Middle que j’ai fait jusqu’à ce jour. Donc en fait, si vous voulez des longs chapitres rapidement, faut me laisser tous pleins de coms !! lol

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