Fiction: Pensées secrètes

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“Aie. J’ai mal.”

Le ninja a l’impression d’avoir été découpé en morceaux, en morceaux très fins, qui ont ensuite été recollés. Il ouvre les yeux, il ne voit que du blanc. Puis sa vision se précise et il se rend compte qu’il est dans un chambre d’hôpital immaculée. L’hôpital… Il se souvient juste de son combat, et de la vague de sable. Puis un cri, et tout était devenu noir. Sasuke tourne la tête se rend compte qu’il n’est pas seul dans la chambre. Une kunoichi est endormie au bout de son lit, assise sur une chaise, mais la tête posée sur ses bras croisés. Une voix faible sort de la poitrine du shinobi :

“Sakura…”

Mais Sakura ne se réveille pas. Au final, c’est peut-être mieux ainsi. Sasuke regarde le visage endormi à ses pieds. Sakura s’est vraiment embellie avec les années.

“Oui, se dit-il. Mais maintenant je ne représente plus rien pour elle…”

Il s’était vraiment senti bête lorsqu’il avait commencé à la regarder différemment. A ce moment, elle avait deja fini de lui courir après, et le traitait en ami, un peu comme elle traitait Naruto. Mais elle était plus distante, et passait plus de temps avec ses amies qu’avec lui. Normal après tout. Il était Iceberg-man et n’avait aucun besoin de compagnie.

Puis il s’était rendu compte que cela lui manquait. La présence de Sakura, ses sourires, sa bonne humeur…. Mais il est trop tard maintenant.

“Ne rêve pas mon gars ! Elle a tourné la page et tu devrais en faire autant ! Je suis persuadé que c’est Neji qui l’interesse, et puis il y a ce Gaara qui la matait du haut des toits j’en suis sur ! Si seulement t’avais pas fait l’imbecile en allant prendre des cours particuliers avec Orochimaru, tu n’en serais pas la ! Mais quel idiot !”

Il frappe de son poing contre le matelas. Ca ne fait pas beaucoup de bruit mais ça réveille quand même Sakura qui cligne des yeux et se redresse.

“Ah, Sasuke… Tu es réveillé ?

-Je crois bien…

-Je suis soulagée, je n’avais plus de chakra pour te soigner ni assez de force pour te porter donc c’est Gaara qui s’en est chargé !”

“Tu vois ? Oublie ! Tu as laissé passer ta chance il y a de cela des années !”

“J'ai dormi longtemps ?

-Non, je ne crois pas, on est en plein après-midi. Tu devrais te reposer, je vais prévenir les autres que tu vas bien.

-Non ! Ne pars pas !"

Sasuke essaie de se relever, mais retombe sur ses oreillers en grimaçant.

"Ne bouge pas, tu n'est pas encore remis !"

"Elle ne s'est pas précipitée pour voir si j'allais bien..."

“-C’est juste que…. Non rien… laisse tomber c’est pas très important…

-Tu es sûr, Sasuke ?

-Oui c’est bon. J’ai juste besoin de dormir.

-D’accord, je repasserai, au revoir !”

Elle sort en fermant délicatement la porte.

“Imbécile ! Tu ne l’a même pas remerciée de t’avoir soigné et amené jusqu’ici. Pas étonnant que…”

Sasuke se renfrogne et commence à ruminer dans son lit.

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"Vivement que le tournoi commence ! Je vais tous les écraser !

-Ouais, ouais, c'est ça..."

Apres trois bonnes heures d'entraînement intensif, Temari retourne vers le village de Konha en compagnie de Naruto qui se voit déjà grand vainqueur du tournoi approchant. La cérémonie d'ouverture a lieu dans deux jours et les esprits commencent à s'échauffer au Pays du Feu. Les shinobis s'activent et il ne se passe pas une demi-heure sans que les terrains d'entraînement ne soient occupés. Blessé grièvement par Gaara quelques jours auparavant, il a fallu que Godaime en personne se déplace pour forcer Uchiwa Sasuke à rester au moins trois jours à l'hôpital. Résultat : personne ne se propose comme partenaire d'entraînement du Kazekage. Gaara est parti dans son coin.

“La plupart du temps, on a l’impression qu’il se fiche complètement des autres, mais finalement , c’est juste qu’il est pas très sociable.”

Temari sourie en pensant à son petit frère écroulé par terre dans ce bar. Elle ne l’avait jamais vu comme ça. Ca lui fait extrèmement plaisir de voir que Gaara commence à regarder les autres et à se faire des amis. Il s’entend assez bien avec Naruto, surtout pour ce que leur combat a représenté pour lui. Bien sûr il est resté encore asocial un bout de temps, il ne m’a pas sauté au cou, avec Kankurô, en me faisant plein de bisous, mais il s’est lentement amélioré, d’abord en répondant par un grognement le matin quand on lui dit bonjour, puis en nous regardant, et récemment il m’a même gromelé un “’Jour...” Grand progrès !

Ca lui fait du bien de venir ici, à Konoha, car comme les gens ne le connaissent pas très bien, ils n’ont pas trop d’à-priori (même si on s’est rendu célèbres pour avoir essayé de détruire Konoha en utilisant le Shukaku, mais bon, on leur a fait comprendre que c’était un ordre et que ça n’avait rien de personnel, donc les ninjas au moins sont aimables). A Suna, ca fait près de 17 ans que tous les habitants, ninjas y compris, ont appris à le craindre comme l’arme secrète ultime du village du sable. Même si, depuis qu’il a été nommé Kazekage, (le plus jeune de l’histoire de notre village !) les choses ont commencées à changer.

En fait, Gaara s’en fiche un peu d’être Kazekage, ce qui compte pour lui c’est de gagner de la valeur aux yeux des habitants de Suna, non en temps qu’arme, mais en temps que Kazekage du Pays du Vent. Maintenant, les ninjas commencent à le respecter plus qu’à le craindre, mais c’est sûr qu’il n’y a jamais de problèmes de discipline quand Gaara est dans le coin ! Il n’est pas aimé comme l’était Sandaime, ou comme le sera peut-être Godaime, car le respect qu’on lui porte découle de la crainte, mais il se débrouille bien comme chef, même s’il a régulièrement besoin de se “défouler” pendant une mission de rang A ou S.

“Teeemaaariii ? Tu me réponds alors ?

-Hein ? Quoi ?

-Je t’invite au resto pour fêter ma victoire proche !”

Temari regarde Naruto d’un air un peu étonné, même si elle commence à s’attendre à tout avec lui...

“Réfléchissons un peu... Qui cuisine ce soir ? C’est Gaara qui s’y colle et j’aime pas le sable qui me grince entre le dents en ce moment donc je vais en profiter pour me faire un bon dîner !”

“Oui c’est bon si tu veux.

-Super ! Tiens salut Shika !”

La tête d’ananas endormie et raleuse arrive par une rue transvesale.

“Ce qu’il peut m’énerver ce type, à s’intéresser à rien.”

“M’appelle pas comme ça Naruto !

- T’es prêt pour le tournoi ! Je vais t’écraser !

-Je te rapelle que j’y participe pas. C’est chiant...

-Roo pourquoi ?

-Parce que je vais devoir me battre contre des filles, et que ça va me fâtiguer...”

“Ils commencent sérieusement à m’échauffer les oreilles avec leur conversation macho en faisant comme si je n’étais pas là. Je m’en vais te les...”

“Hé le malpoli ! Arrête d’être sexiste !

-Hein ? Malpoli moi ?

-Ca te dit quelque chose de dire bonjour à quelqu’un quand tu le vois pour la première fois de la journée ?

-Non, rien du tout.”

“Il m’énerve, il m’énerve...”

“Bon, tu me saoule, Nara. On se retrouve à quelle heure, Naruto ?

-Je passe te prendre chez toi à 8 heures ça te va ?

-Pas de problème ! Salut Naruto !

-Vous allez où ?

-Ca t’intéresse, Nara ?

-Au resto !

-Mon pauvre Naruto, tu va devoir te la coltiner toute la soirée. Galère...

-Ok, c’est bon mon gars, si t’as rien d’autre à dire que des trucs désagréables, ça sert à rien de rester !

-Je fais ce que je veux, la rue est à tout le monde.

-Si tu y es, je préfère la quitter, cette rue. A ce soir, Naruto !”

Temari tourne les talons et s’éloigne d’un pas un peu théâtral. Non mais quand même !

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“Quelle journée ! Epuisante et bien remplie ! Comme je les aime...”

Ino se laisse tomber sur son lit de tout son long. Elle sort de la douche après un long entraînement en compagnie de Shikamaru et Chôji, on ne change pas une bonne équipe... Elle travaille comme d’habitude à sa technique héréditaire, ils en tous une dans leur équipe et y consacrent au moins la moitié de leur entraînement. Enfin... surtout Ino et Chôji car Shikamaru est plus souvent allongé dans l’herbe à regarder les nuages. Il dit qu’il s’en fiche, qu’il a déjà la technique de manipulation et d’étranglement de l’ombre et que ça lui suffit. La chose qu’il a à améliorer, c’est son endurance et ”Galère, ça me fatigue...” En ce moment, Ino le trouve un peu plus motivé, c’est infime, mais il est de bonne humeur, moins râleur et plus aimable. Et ça, ce n’est pas peu dire !

“A table, Ino !”

La jeune fille soupire car elle se sent vraiment bien dans son lit et n’a vraiment, mais alors vraiment pas envie d’en sortir. Mais son père ne va pas être content donc elle se résigne, se relève, s’étire et descend dans la salle à manger. Elle s’attable avec ses parents et commence à manger. Ses parents discutent de choses et d’autres, à propos du village, puis son père lui pose des questions sur ses dernières missions. Estimant que son mari à déjà assez parlé, la mère d’Ino se rapproche d’elle :

“Alors ma grande, quand vas-tu te décider à nous ramener un copain à la maison ?

-Oh maman, tu m’embête avec ça, laisse moi tranquille, ce sont mes affaires que je sache !

-Oh je sais ce que c’est ! J’ai eu ton âge, tu sais !

-Maman !

-Oui je suis d’accord avec toi ! Inoichi, tu veux bien débarasser la table ?”

Sous-entendu : Va dans la cuisine et restes-y, s’il-te-plait.

“Bon, ma chérie, raconte moi tout.

-Mais maman il n’y a rien !”

Ce qui est absolument exact. Depuis qu’elle a arrêté de courir après Sasuke, rien, et elle ne s’en plaint pas. Pas le temps, pas l’envie, c’est trop compliqué... Sasuke, c’était différent, un amour de jeunesse, mais peut-on aimer vraiment à 8 ans ? C’était aussi de l’esprit de compétition face à Sakura. Ce même esprit de compétition qui lui a fait perdre sa meilleur amie pendant des années. Quel gâchis, pour un garçon...

Maintenant, c’est plus simple. Ino s’est rapprochée de Sakura, elles sont toutes les deux célibataires et clament toutes les deux avoir tiré la page sur le descendant Uchiwa. Encore que pour Sakura, ce soit moins sûr. Ino ne le dira pas à ses autres amies, par respect pour Sakura, mais la blessure de son amie est encore assez récente et peine à se refermer. Elle se refuse à l’avouer, mais Sasuke est beaucoup plus dur à oublier pour elle que pour Ino. Elle n’a jamais cessé de tenir à lui, de l’attendre après son départ et d‘espérer son retour.

“Peut-être mais pas pour certains garçons de Kooha qui te tournent autour !

-Ce n’est pas réciproque !

-Ca je te crois bien ! Ca me rappelle le jour où j’ai rencontrer ton père ! J’étais à l’hôpital, en visite à mon petit ami de l’époque, quand on a amené un ninja en sale état, plein de sang, qui beuglait qu’il allait très bien et qu’il n’avait pas fini sa mission. Un vrai désastre ! C’était ton père, entouré de Chôze et Shikaku. Sur le moment , je l’ai trouvé absolument sans savoir-vivre, sans aucun bon sens, bref inintéressent !

-Tu l’a crus un bon bout de temps !”

Inoichi vient de rentrer silencieusement dans la salle, apparemment amusé par le tour que prend la conversation entre filles.

“J’ai du la courtiser pendant des mois avant qu’elle ne daigne me regarder. En parallèle, je cassais la figure à ses petits copains, ça me défoulais.

-Et puis finalement, je n’ai pu QUE faire attention à lui. Il me plaisait beaucoup, dès le début mais je ne l’admettais pas. Pour mes amis, c’était juste un gars collant mais moi, j’aimais son humour...

-Tu ne me l’avais jamais dit !

-Mon chéri, une femme sait garder des secrets, elle ne raconte pas tout. Tu vois Ino, ton père était persuadé que je ne faisais pas attention à lui, alors que je le cherchais du regard en arrivant dans un bar, que j’allais aux endroits qu’il fréquentait... En amour, on ne voit jamais les sentiments que la personne qu’on aime éprouve pour nous. Aveuglé par les nôtres, on ne remarque pas ces petits détails qui nous combleraient de bonheur si on en avait conscience.

-...

-Tu comprendra le jour où ça t’arrivera, ou plutôt où ça te tombera dessus, sans prévenir...

-On verra bien, bonne nuit maman, bonne nuit p’pa.

-Bonne nuit Ino, dors bien.”

Elle se dirige vers la porte mais au dernier moment se retourne.

“Maman ?

-Mmm?

-Quand est-ce que tu as su que Papa c’était le bon ?

-Je ne sais pas... on le sent... Je crois que c’est le jour où le l’ai regardé en me disant : ‘Mince, cet homme, je l’aime...’ A ce moment, il m’a regardée, et j’ai vu la même chose dans ses yeux.”

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“Merci, Naruto, j’ai passé une excellente soirée.

-Moi aussi, Temari !”

Naruto lui adresse un sourire lumineux auquel elle répond. Tous les deux, ils se ressemblent, de la motivation, de l’optimisme et de la bonne humeur. Temari a passé une soirée très relaxante, à plaisanter avec Naruto sur tout et rien.

“Je te raccompagne ?

-Si tu veux.”

Ils marchent quelques minutes côte à côte sans rien dire. Arrivés chez la délégation de Suna, ils s’arrêtent sur le seuil, un peu génés, sans savoir quoi dire. Puis Temari se lance :

“Bon, ben, bonne nuit Naruto !”

Elle se détourne pour ouvrir la porte, mais Naruto la retient par le bras.

“Attends, moi je t’ai pas dis bonsoir.”

Il l’enlace, rapproche son visage du sien. Mais Temari le repousse.

“Qu’est-ce qui te prend ? T’as trop bu ?

-Non ! Pourquoi tu me dis ça, je te plais pas ?

-Non.”

Réponse nette et claire. Mais peut-être un peu sèche, donc elle nuance.

“Je t’aime bien, tu es un bon copain, mais c’est tout, tu comprends ?

-Ouais, ouais, t’en fais pas... Oublie ça !

-Sûr ?

-Oui”

A ce moment, la porte s’ouvre et une kunoichi apparait derrière le battant.

-Oh, désolée, Temari-san, je ne voulais pas vous importuner.

-Ce n’est rien Siam, ce jeune homme allait partir. Et laisse tomber le -san, ça me vieillit.

-J’essaierai, Temari-san.

-Où vas-tu ?

-Me balader au clair de lune, elle est magnifique ce soir, c’est très romantique.

-Ce le serait encore plus avec quelqu’un pour l’admirer. Je te laisse alors, je vais me coucher. A demain, Naruto. Naruto ?”

Raide comme une statue, l’aspirant Hokage ne respire plus, ne bouge plus.

Siam s’éloigne d’un pas leste. Temari secoue un peu Naruto.

“Dis, Temari, c’était qui, ça ?

-Ca, c’était Siam, une des ninjas parmis les trois venus représenter Suna. Pourquoi ?

-Elle est... très jolie.

-Je sais et tu n’es pas le seul à l’avoir remarqué. Mais ne te fais pas trop d’illusions, elles ne lâche son épée que pour sa dague ou son poignard.

-Ah... ouais... Mais, revenons au premier sujet de discussion, si ce n’est pas moi, alors qui ?

-Comment ça ? Mais personne ! Et d’ailleurs, ça ne te regarde pas !

-Ha ha ! Si ça ne me regarde pas, c’est qu’il y a bien quelqu’un !

-Non, je te dis !

-Tu mens très mal Temari, tu es toute rouge.

-Mais, mais ! Bon... d’accord... Je vais te le dire, approche. En fait c’est..."

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La lune est totalement pleine ce soir, elle trône dans le ciel étoilé, ronde et blanche, éclairant d’un éclat presque aveuglant les toits de Konoha. La ville est endormie, excepté les quelques sentinelles des postes de garde surveillant les abords du village. Ce soir, je me sens bien, Ichibi est endormi. Mais ce soir, je me pose des questions, simples, mais si importantes.

Je change... Je le sens... Lentement, doucement, je commence à prendre en compte ceux qui m’entourent, ce qu’ils pensent et ressentent. Et cela me change. En bien ou en mal, je ne saurais le dire. Ca me semble une faiblesse. Il est plus facile de se protéger seul sans avoir besoin de surveiller les autres. Mais, en même temps... Je sais que je n’accepterais pas qu’un ennemi fasse du mal à Temari ou Kankurô. Ils ont beau être casse-pieds tous les deux, je ne peux pas les laisser tuer sans rien dire. J’ai une responsabilité vis-à-vis d’eux, en tant que Kazekage de Suna. Mais maintenant, c’est aussi en tant que membre de leur famille, et de leur équipe pendant plusieurs années.

Cet attachement, je ne sais le définir, le décrire... Certes, je ne suis plus le démon au coeur de sable de Suna, qui ne me bats que pour moi et n’aime que moi. Maintenant, je me bats pour mon village, pour Suna. Mais pour ce qui est d’aimer, peut-on parler d’amour pour Temari et Kankurô ? Le mot me semble trop fort pour le définir. Je ne sais pas... je ne sais plus... Les choses immuables qui ont fait ma vie pendant 12 ans ont brutalement été brisées et commencées à être reconstruites depuis. Cela fait cinq ans que la guerre contre Konoha a eu lieu, mais cela me semble si court. Le temps passe de plus en plus vite, comme le vent dans le désert, lors des tempêtes de sable. Les années ont passé, j’ai été nommé Kazekage, évité de nouveaux assassins... A voir Temari, cela semble si facile de changer : elle s’est fait plein d’amis à Konoha, et y habiterait à temps plein si elle pouvait le décider. Kankurô aussi s’est rapproché de Naruto et Inuzuka Kiba. Je moi, je ne peux pas...




Naruto : Alors ? Alors ? C'est qui ?
Tu le sauras au prochain chap !
Temari : Moi aussi j'aimerai savoir !
Naruto : C'est pas sympa le coup de la fin foireuse où rien ne se passe !
On appelle ça du suspense !
Shikamaru : Ouais ! Dis plutôt que ça t'amuse de faire souffrir les martyrs aux persos et aux lecteurs !
Gaara : Quand est-ce que je me bats ?
CA SUFFIT !!!
......
C'est mieux. Vous saurez tout bientôt, si je trouve l'inspiration pour le prochain chap. Il est déjà commencé, vous n'aurez sans doute pas à attendre longtemps.

Je suis tout triste car je reçois de moins en moins de comm donc je sais pas si vous aimez l'histoire, ou si vous la trouvez trop calme, ou si vous voulez plus de combats, d'intrigues, je ne sais pas moi !
Enfin sur ce, Ciao et rendez-vous au prochain chapitre !!!!!

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