Fiction: Pensées secrètes

Personne ne sait exactement ce qui se passe dans la tête de Sabaku no Gaara. Est-il toujours un monstre ? On pense que non mais a-t-il autant changé qu'on le dit ?
Humour / Romance | Mots: 45638 | Comments: 114 | Favs: 72
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Ichigano (Masculin), le 10/12/2008
Ah que dire, que dire ! C'est un chapitre spécial, trèèès spécial.
Shikamaru : Ah bon ?
Et oui ! D'abord car il signe mon retour à la fanfic, j'en rêvait depuis un moment sans parvenir à me remettre au boulot. J'ai donc réécrit le début du chapitre qui avait mystérieusement disparu. Et pour rendre à cette fic sa raison d'être j'ai écrit un chapitre spécial... Gaara !
Shikamaru : Quelle surprise...
Euh... Vraiment ?
Shikamaru : Non ! Espèce d'auteur à la noix pas capable d'être objectif avec tes persos, je te signale que si j'ai perdu c'est QUAND MÊME à cause de ça.
Mais ça t'a pas embêté, vu que Temari est venue te voir après, hein ?
Shikamaru : Mais...
Et voilà c'est parti !




Chapitre 16: Dans une sombre ruelle



D'un pas lent et épuisée Tenten se traine dans les rues pour rentrer chez elle. Sa fin de journée a été exténuante. Elle a du s'occuper de Lee qui, plus survolté que jamais, menaçait de provoquer une esclandre avec tous les ninjas qu'il pouvait croiser, en partant de son rival en Amour Sasuke, en continuant par son rival en combat Gaara et bien entendu en finissant par son rival en tout Neji. Une fois Lee remis aux mains de son senseï adoré (ce qui n'était, à bien y réfléchir, pas forcément une bonne idée), la soirée est bien entamée et la kunoichi n'aspire qu'à prendre une douche et s'enterrer sous la couette jusqu'au lendemain.

Ses pas la mènent dans un dédale de ruelles qu'elle connait. Malgré l'atmosphère oppressante, son bandeau ninja la prévient contre la plupart des agressions nocturnes, et bien que fatiguée elle reste en alerte.

Soudain, un bruit la met en garde. Elle tourne la tête de tout côté, cherchant à déterminer si c'est la fatigue ou la réalité qui guide ses sens. Mais le bruit reprend, comme un doux gémissement, . Il provient d'une ruelle sombre sur sa gauche. Après un moment d'hésitation, la jeune femme dégaine deux kunaïs et s'aventure dans l'obscurité. Une petite dizaine de mètres plus loin elle but sur un objet à la fois mou et ferme. Elle se baisse avec moult précautions et distingue un jeune homme blessé. De sa bouche entr'ouverte se s'échappent des bribes incohérentes, ponctuées de geignements.

« Des dents, un cauchemar... Des dents ensanglantées, un démon-loup aux yeux rouug... »

Elle écarte sa chemise déchirée, laissant apparaître de larges blessures et griffures, ce qui leur arrache à tous deux une grimace. Tenten décèle deux autres corps dans le même piteux étalés tout près. Une bagarre de rue qui a très mal tourné dirait-on. La kunoichi, rengaine ses armes et sort d'une minuscule sacoche à sa ceinture plusieurs patchs de sédatifs cicatrisants – merci Sakura – . Elle en colle un sur le bras de chaque victime. Le flot de geignements se tarit, remplacé par des respirations difficiles. Tenten improvise un bandage par ci, nettoie une blessures par là, mais ses connaissances restreintes ne suffisent pas. Il faut conduire ces pauvres garçons à l'hôpital dans des mains compétentes.

La kunoichi se redresse en réfléchissant. Le plus simple est de retourner dans la rue trouver des âmes vaillantes et généreuses qui transbahuteront les blessés à l'endroit adéquat. Mais un nouveau son la perturbe et la mets aux abois. Cette fois c'est un bruissement, frottement de l'étoffe contre l'étoffe. Quelqu'un s'approche, et dans l'obscurité impossible de savoir par où il arrive. Délicatement, Tenten fait réapparaître ses armes dans ses mains, rassurée par le métal froid contre ses doigts. L'adrénaline fuse dans ses veines et sa concentration atteint un seuil critique.

Crissement du tissu contre un matériau rêche.

« Là ! »

Tenten pivote, et instinctivement ses bras éjectent les kunaïs dans la direction supposée de l'intrus. Elle se fige instantanément, l'éclat de deux yeux verts la paralyse, vite couverts par un pan de sable. Dans un tintement sonore, les deux armes tombent au sol. La maîtresse d'armes se sent infime, minuscule.

Devant elle, le regard perçant, Gaara se tient immobile. Et vu le tourbillon de sable qui l'entoure il n'est pas de bonne humeur.

Les secondes passent comme autant d'heures, puis le sable se calme et se range docilement dans l'éternelle calebasse de son propriétaire. Tenten se sent rassurée par cette attitude moins belliqueuse et bredouille un « Désolée » accompagné d'un sourire contrit. Le Kazekage avance de quelque pas, et rend à Tenten ses deux lames qu'elle range en grimaçant.

« Pourquoi tant de rage ?
-Ça n'a rien à voir avec toi, s'écrie Tenten. Disons que l'état de ces trois gars et l'obscurité m'ont mise mal à l'aise et dans ces moments-là j'ai tendance à réagir de façon un peu... brusque. 
-Il n'y a aucune menace dans les parages. »

Tenten ne retient pas un petit soupir de soulagement, non sans penser qu'avec la présence de l'étrange roux à ses côtés, malgré tout ce qu'on peut dire de lui, la fait se sentir en totale sécurité. L'adrénaline reflue tranquillement, la tension de ses muscles s'estompe et la brunette s'étire sans gène. Elle hésite à demander au nouvel arrivant ce qu'il fait ici, mais rejette l'idée, car ça ne la concerne pas. Le silence se prolonge, moins gênant que reposant. Bien qu'elle apprécie ce moment de calme Tenten revient à ses priorités, c'est à dire secourir les trois malheureux toujours allongés sur les pavés glacés. Elle cherchait une aide, et la voilà qui tombe du ciel. Pas tout à fait un ange, mais peut-être encore mieux que ça.

« Gaara ? »

Il la regarde, Tenten interprète ça comme un signe d'écoute.

« Je ne peux pas laisser ces trois civils agoniser dans cette ruelle sans rien faire il faut les emmener à l'hôpital. 
-Est-ce vraiment indispensable ? dit simplement Gaara en considérant les corps.
-Je crains que oui, sourit Tenten. Si quelqu'un apprenait que j'ai laissé trois personnes dans le besoin comme ça, mon mentor me passerait un savon et me ferait subir un sermon interminable sur les grandes valeurs ninjas... - elle marque une pause... tu veux bien m'aider ? »

Avant même qu'elle ait finit sa phrase un ruisseau de sable s'écoule sur le sol, entourant les blessés inconscients, formant trois cocons apparemment hermétiques. Ils s'élèvent dans les airs à hauteur de leur mains. Tenten a un petit rire joyeux.

« Fais-leur un peu d'air, conseille-t-elle en souriant à pleines dents, s'ils mourraient en chemin on serait bien embêtés à l'arrivée. »

Le sable se module en civières en lévitation. D'un signe de tête, Gaara fait signe à Tenten d'ouvrir la marche. Elle s'exécute, et trouve sans trop de difficulté le chemin le plus court pour se rendre à l'hôpital. Les deux ninjas cheminent en silence. Tenten s'étonne d'apprécier la présence du shinobi du sable. Il n'est pas bavard, mais au moins il est serviable, voir même « gentil »...
En tout cas, pour un démon sanguinaire, Gaara est d'une agréable compagnie. Et puis il a ces yeux. Tenten a du mal à les fixer plus de quelques secondes. C'est certainement la partie du corps la plus expressive chez lui, ressortant sur son visage comme deux braises incandescentes.

Le trajet s'achève brusquement lorsque les lumières de l'hôpital apparaissent. Il semble soudain à Tenten que le trajet a été bien trop court. Elle fait signe à Gaara de la suivre et tous deux entrent par la porte des urgences, escortant les trois endormis lévitant à un mètre du sol. Deux ou trois médecins s'affairent autour de nombreux blessés en attente.
A l'approche du singulier quintet, ils se figent, pleins d'appréhension. Puis l'un deux détale vers un escalier. Gaara et Tenten restent debout, sous les yeux médusés de toute l'assistance. Le fuyard revient très vite, suivi de l'Hokage en personne.

« C'est pas vrai ! Kazekage-sama, vous avez encore fait des vôtres ? Qui me ramenez-vous cette fois ? »

Tenten s'interpose entre les deux chefs de village qui s'affrontent du regard.

« Non, Tsunade-sama ! Ce n'est pas ça du tout. J'ai trouvé ces trois blessés dans une ruelle, sûrement une bagarre qui a mal tourné. Et... le Kazekage m'a aidé à vous les amener, c'est tout. Il n'est pas plus impliqué. »

La grande blonde en blouse blanche fronce les sourcils et émet un grognement sceptique, l'air moyennement convaincue. Gaara demeure impassible.

« Bon d'accord. Veuillez excuser mes accusations non fondées. Maintenant si vous le voulez bien, fait-elle en se détournant, j'ai des malades à soigner. »

En clair, c'est une façon plus ou moins déguisée de leur signaler qu'ils gênent tout le monde en restant plantés au milieu du passage. Tenten se dirige vers la sortie, adressant un regard éloquent à Gaara qui récupère son sable, laissant les trois lascars en plan sur le sol.
Deux secondes plus tard, les deux ninjas se retrouvent dans l'air frais et venteux de la rue. Tenten ne ressent plus le besoin de rentrer chez elle. Elle se sent bien, à presque dix heures du soir, en compagnie d'un drôle de garçon qui ne parle pas. Le silence revient, décidément bien présent ce soir, et la jeune fille examine discrètement la tignasse rousse malmenée par le vent.

« C'est joli, roux, comme couleur, songe-t-elle. En tout cas, ça s'harmonise bien avec le vert de ses yeux. »

Les yeux... En baissant un peu les siens, Tenten prend conscience que Gaara la regarde. Elle doit avoir l'air gourde à le fixer de cette manière. Elle rive ses yeux sur le mur le plus proche, arborant une affiche décrépite invitant ninjas et civils au bal de clôture du tournoi. Son « gage » lui revient en mémoire et elle cherche désespérément un autre endroit à fixer du regard. Ce n'est pas le moment de parler de ça. La voix de Gaara s'élève :

« Où habites-tu ? »

Tenten fait un geste vague, se refusant toujours à regarder dans sa direction. Un bruit de pas s'éloigne. La kunoichi risque un œil. Gaara s'est éloigné de quelques pas et semble l'attendre.

« Euh... Gaara ? Tu fais quoi ?
-Tu habites par là. Je t'y emmène. »

Tenten se fend d'un grand sourire. Elle ne lui dit pas que la formule normale c'est « je te raccompagne ? ». Après tout, il n'est pas normal. Mais elle s'en fiche. Et quitte à essuyer un refus, autant que ce soit après avoir passé un bon moment avec lui. Elle rejoint le ninja roux à petits pas pressés, réprimant un rire niais.
Tout en guidant son hôte à travers Konoha, Tenten ne peut s'empêcher de poser de questions, des tonnes de question, comme pour se préparer à poser THE question difficile.

« Tu penses quoi de Konoha ?
-C'est trop humide pour moi. Cela manque de sable, et puis il fait parfois froid dans la journée.
-Tu n'as jamais froid chez toi ?
-Je n'ai pas dit ça. Les nuits dans le désert sont glaciales, car le sable ne retient pas la chaleur du soleil.
-Donc tu n'aimes rien ici.
-Si. J'aime la neige. »

Tenten écarquille les yeux et presse son compagnon de continuer.

« La neige est froide, piquant, mais très délicate, explique-t-il. Alors que mon sable est dur, chaud et rugueux. On ne connait pas la neige à Suna.
-Et quoi d'autre ?
-Certains ninjas de Konoha.
-Vraiment ?
-Oui. Chez moi, tout le monde, même mes ainés, me donne du Kazekage-sama. Ici je peux être juste Gaara. C'est reposant. Et je n'ai pas de montagne de papiers à lire.
-C'est marrant ça ! J'ai toujours pensé que Tsunade exagérait en disant qu'elle était surchargée de travail. C'est si dur que ça ?
-Tu n'as pas idée. Entre les demandes d'alliance, les menaces de rupture d'alliance, les demandes de soutien militaire économique ou financier, les rapports des ninjas, l'attribution des missions, le jugement des criminels et les injonctions du Conseil que je suis sensé suivre à la lettre, je n'ai souvent pas une minute à moi de la journée. Mais vu que je ne dors pas, j'ai toute mes nuits de libres pour me changer les idées. »

Ils marchent dix minutes en silence, Tenten réfléchissant aux paroles de celui qui chemine à ses côtés.

« Et, dit-elle finalement, ça te plait de faire ça ?
-Je ne laisserais ma place à personne au monde. »

Tenten approuve en silence. Le rôle de Kazekage lui va comme un gant. Elle imagine mal ses subordonnés discuter un de ses ordres. Ça doit plutôt être : « Gaara dit, l'Univers obéit. » ou un truc du genre. Rien qu'à voir l'attitude du chûnin, Yasura, qui est passé dans l'arène l'avant veille.
Il semblait au début incapable de tenter quoi que ce soit à l'encontre de son chef. Si le village entier pense de même, la discipline à Suna doit être irréprochable.

Sur un coup de tête, Tenten bifurque dans une rue. Ce n'est pas vraiment le chemin le plus direct, c'est même carrément un détour.

« On va faire un jeu, Gaara !
-... Un jeu.
-Oui tu vas voir. Parce que je ne fais que poser des questions, alors on va rééquilibrer la balance. Le principe est simple. On se pose une question, à tour de rôle. Interdiction de se défiler, et on peut poser toutes les questions que l'on souhaite. Ça te va ?
-... Soit.
-Parfait. Qui commence ?
-Je prends ça pour ta première question, et je te réponds que c'est toi. »

Le Kazekage qui fait de l'humour ? Impossible.

« Bon bien joué. A toi.
-Alors... Pourquoi les armes de jet ?
-Euh... Je n'y ai jamais vraiment réfléchi à vrai dire. Peut-être pour être indépendante de la distance avec l'adversaire, et parce que ça occupe, entre les missions, d'aiguiser toutes mes lames. A moi. Que penses-tu de notre Hokage ?
-Ah, dit Gaara avec une légère contraction. Elle est compétente et très puissante.
-Mais ? Insiste Tenten.
-Une question à la fois.
-Tu n'as pas fini ! Alors ?
-... Mais elle me prend pour un gamin et ne me voit pas comme un vrai chef de village.
-Tu vois quand tu veux, sourit Tenten. A toi.
-As-tu peur de moi ? »

Tenten se crispe et fixe le sol qui défile. C'est le genre de question qu'elle redoutait. Elle choisit ses mots avec soin.

« En fait, non. Peut-être parce que je ne t'ai jamais eu comme adversaire. »

Gaara ne dit rien, et Tenten se sent incapable de discerner s'il est content ou pas de sa réponse.

« Bon, euh... marmonne-t-elle. Qu'est-ce que tu aimes faire ? Je veux dire, quand tu n'as pas de paperasse administrative, tu fais quoi ?
-Je combats, je médite. J'apprécie de rester dans le désert, dans mon élément. C'est apaisant.
-... D'accord. Vas-y.
-Même question, sans la partie sur la paperasse.
-Si tu veux. Je m'entraîne, j'entretiens mes armes, je passe du temps avec mes amis, je joue au gô avec Shikamaru, je discute philosophie avec Hinata. Des trucs du genre. Réponse satisfaisante ?
-Oui.
-Alors c'est ton tour.
-Où as-tu eu tes aiguilles si fines ?
-Ah, murmure Tenten. Tu as deviné.
-Oui.
-Je les ai achetées chez un petit armurier, pas très loin d'ici. C'est le seul de la région à produire ce genre d'armes. Désolée.
-Il n'y a pas de quoi. »

Malgré le détour, ils sont presque devant sa maison. Plus qu'une dizaine de pas et ce sera fini. Mais Tenten veut encore tirer quelque chose au clair.

« On est arrivés. Dernière question? Est-ce que tu acceptes mes excuses ? »

Les deux ninjas s'arrêtent sur le seuil de la maison.

« Oui, si tu réponds par l'affirmative à ma dernière question.
-Vas-y. »

Il hésite semblant rassembler son courage ou chercher ses mots. Tenten attend patiemment, très curieuse de découvrir ce qu'il tient à lui dire. Finalement Gaara ferme les yeux et énonce lentement :

« Que dirais-tu si Sabaku no Gaara te demandait de l'accompagner au bal ? »

Tenten, tétanisée, regarde Gaara rouvrir les yeux et la fixer, interrogateur... Elle reste muette, incapable de prononcer un mot.

« C'est une histoire de tradition, et comme tu m'a l'air plus « normale » que les autres... »

La kunoichi ne dit toujours rien, abasourdie. Elle essaie de réaliser ce qui vient d'être dit. Son hésitation apparaît comme un refus, elle le sent. Comme pour lui donner raison, Gaara se détourne et s'éloigne, les épaules un peu basses. Tenten se sent idiote, stupide, voir pire que ça.
Elle sait ce qu'elle a à faire. Alors pour changer son image de soi, elle lui court après. Ses chaussures claquent sur le sol mais Gaara ne se retourne pas et continue de s'éloigner. Tenten pique un sprint et attrape son ample manche rouge. Il daigne s'arrêter et tourne vers elle des yeux tristes. Tenten souffle :

« Oui. »

Elle le contourne et se campe devant lui, levant le menton.

« Si un certain garçon portant ce nom me le demandait, dit-elle fermement, je dirais oui, avec grand plaisir. »

Et là, il se passe quelque chose d'étrange et de très inattendu. La tristesse quitte le vert des yeux de Gaara et un sourire nait sur ses lèvres.

« Merci. »

Tenten sourit en réponse, lui adresse un signe de la main et va en sifflotant vers sa maison. Elle sautille presque sur place, répond aux remarques de sa mère à propos de l'heure tardive par un sourire béat et se glisse sous ses draps avec un soupire d'aise. Cette journée n'aurait pas pu mieux finir.



Voili voilou, j'en suis content de celui-là ! La suite est tapée et maintenant je vais écrire sans découper les chapitres d'avance, pour vous donner moins de chapitres, mais des plus gros. Contents ?
Bien joué galere pour le truc, même si l'identité de Kiba n'est pas révélée. Suspense, mes chers !
C'est donc la fin du chapitre 16. Le 17 est prêt, le 18 pratiquement, je ne comprend pas comment j'ai pu tenir si longtemps sans écrire ça fait un bien fou T_T
Merci à ceux qui vont accrocher en cours de route malgré le style moins soigné du début =)
Et merci à ceux qui reprendront le fil, ceux du départ ;) Ben ouais, 16 chapitre, ça me classe dans les fics longues...

Question du jour : une enquête va-t-elle être ouverte sur le fameux démon-loup aux yeux rouges ?




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