Fiction: Pour un livre de medecine

le lycee, les cours, les amours, les joies, les peines... et oui, la vie est un enchainement devenements attendus ou innatendus, mais auxquels on s´habitue. La vie n´est pas un fiction banale et stupide, ou la vie est rose et sans "emmerdes". Retrouvez nos heros dans LA VRAIE VIE!
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GaaraXX (Féminin), le 29/10/2010
je suis lente... lente et flemmarde... je suis lente, flemmarde, mais neanmoins passionee^^
Un coup de boost de votre part, et je taperais la suite si ca vous plait =)
Vive temashika ;P




Chapitre 1: mes debuts difficiles, ou au boulot les jeunes !



"Bonjour" dit joyeusement une blonde en entrant dans une vieille librairie.
Puis elle interrogea le vendeur.
-Monsieur, je suis nouvelle et il me faudrait un livre de médecine et on m'a dit qu'il vous en restait.
-Celle de deuxième année c'est ça?
Elle hocha la tête.
Le libraire disparut sous des piles de vieux livres qui sentaient la poussière.
La jeune fille en profita pour visiter le lieu où elle se trouvait.
(je m'aplique pour la description) La librairie devait être très ancienne et datait surement de quelques centaines d'années. La salle n'était pas tout à fait perpendiculaire, les pierres qui constituaient les murs étaient taillées très grossièrement, et elle crut pendant un instant, apercevoir un lézard se faufiler entre elles. Le parquet était très abimé, rayé par les années et les gens qui avaient marché dessus. Les étagères, également en bois craquaient dangereusement à cause de la charge trop importante de livres et rouleaux qu'elles portaient. La seule source de lumière parvenait d'une petite "fenêtre" et jaunissait les quelques dixaines de rouleaux antiques qui se trouvaient sur le bureau...(verdict? de la merde!)
C'est là qu'elle l'aperçut. Elle ne le reconnut pas tout de suite puisqu'il se tenait de dos et que les rayons qui lui parvenaient fesaient plus d'ombre que de lumière. (impossible... on s'en fous!) Il était de dos, mais en voyant ses cheveux bruns attachés en queue de cheval, la jeune fille comprit que c'était ce Nara, génie dans toutes les matières à ce qu'il paraissait. Elle ne lui avait jamais parlé bien qu'il vienne souvent chez elle pour voir son frère Kankuro. L'étudiante avait essayé bien des fois d'engager la conversation quand elle le rencontrait au parc ou la bibliothèque mais il l'avait ignoré, trop occupé à dormir.
Brun, les cheveux attachés en queue de cheval, les yeux noirs profonds, un air fatigué et exaspéré sur le visage.
Le jeune homme avait la côte auprès des filles, et elle le trouvait mignon, sans plus.
L'arrivée du libraire la fit sortir de ses pensées:
-Désolé mademoiselle. Il n'en reste plus.
Le "demoiselle" sentit la colère monter. C'était la seule librairie de la ville et il ne restait plus de livres. Sans ce manuel, elle ne pouvait bosser pour ses examens...
Notre pauvre héroïne lui adressa un merci sec et sortit de la librairie.

_____________________________________________je ne sens plus mes doigts...aïe


Elle se dirigea vers le parc pour se défouler sur les pauvres fleurs.
-J'en ai un.
Elle s'arrêta et se retourna, curieuse de savoir à qui appartenait cette voix. Quelle ne fut sa surprise quand elle reconnut le Nara.
-Comment?
Il soupira, mais répéta quand même.
-J'ai le livre que tu cherches.
Temari frissonna à l'entente de sa voix. Elle n'avait jamais pensé que ce jeune homme avait la voix si rauque et posée. Mais elle se reprit bien vite.
-C'est vrai? C'est super! Est-ce que tu pourrais me le prêter vu que tu ne fais pas d'étude de medecine. J'en ai vraiment besoin!!!! Je te revaudrais ça.

Shikamaru ignora ses paroles.
-Comment tu t'appelles?
Elle fronça les sourcils et répondit indignée.
-Comment? Tu ne sais pas mon prénom? C'est Temari. Je suis la soeur de Kankuro.
Alors, il lui présenta sa main en souriant.
-Enchanté. Moi c'est Shikamaru Nara

_________________________________________________reste plus que.....1 page, 2 pages, 3...


Temari redemanda, lassée.
-Alors, tu veux bien me le prêter ou pas?
-Euh... je ne sais pas. Je comprends qu'une femme a toujours besoin d'un homme mais...
A ces mots, Temari arrêta de serrer sa main et s'écria:
-Je vois que tu es un macho!!! Et bien sache que c'est l'homme qui a besoin de la femme et non le contraire. Je trouverai un autre moyen, je n'ai pas besoin de ton aide, merci bien.
Elle se retourna et s'apprêta à partir lorsqu'elle sentit un main attraper son avant-bras.
Shikamaru soupira.
-T'es galère comme fille. Ecoute, on va faire un marché.
-Je ne fais pas de marché avec les misogynes, cracha-t-elle.
Le jeune homme sourit et continua:
-Tu as besoin de moi et j'ai besoin de toi.
Elle le regarda d'un oeil sceptique.
-Je t'écoute...
Il relacha son bras et lui en fit part:
-Je te prête ce livre jusqu'aux examens et en contre partie, tu viens chez moi 3 fois par semaine pour m'aider à faire le ménage.
Temari sentit le rouge lui monter aux joues et cria:
-CREVE!!!!

Shikamaru remit ses mains dans ses poches et s'éloigna en marmonnant:
-Comme tu voudras... Galère...Bonne chance
La jeune étudiante réfléchit quelques secondes, mais se disant que c'était pour ses études, elle se décida vite.
Elle rattrapa le brun en hurlant:
-Ca marche, J'accepte!

Elle ne vit bien sur pas le sourire qui s'était dessiné sur les lèvres de son futur employeur en entendant sa réponse.
____________________________________________________________

Dans un village paisible, fleuri et portant le nom de Konoha, à l'intérieur d'une belle maison en bois, située dans le nord du village de la feuille, alors qu'il n'était que 10 h du matin, s'éveillait un jeune homme flemmard et pleurnichard. Ce pauvre garçon s'était fait réveillé par la douce mélodie d'un réveil contemporain, que tout le monde, j'espère, a déjà eu la chance d'entendre au moins une fois dans sa courte ou longue vie.



Shikamaru bailla une bonne dizaine de fois avant qu'il ne se décide à sortir de son lit. Mais à peine avait-il mis un pied hors de la couverture, qu'il entendait une personne toquer à sa porte. Il ne prit pas la peine de se vêtir et descendit ouvrir, se disant qu'il s'agissait sûrement de son meilleur ami Choji. Quelle ne fut sa surprise de voir apparaître devant lui Temari, les rois croisés, tapant le sol d'un pied rageur, visiblement énervée pas cette interminable attente. Le pauvre garçon en sous-vêtement demanda :
-Mais qu'est-ce que tu fais là ?!
Elle fronça les sourcils et lui rafraîchit le mémoire
-J'étais censée venir faire le ménage ce samedi, tu t'en souviens espéce de flemmard ?? Il est déjà 10 heures et tu es encore en caleçon !
Shikamaru marmonna un Galère avant de la détailler sans gêne de haut en bas. Temari portait un jean bleu clair un peu trop long pour elle, un beau haut blanc à bretelles qui laissait entrevoir son nombril et un fin gilet bleu la protéger de la bise, qui s'accordait très bien avec la couleur de son pantalon. Elle portait également un petit pendentif en forme de goutte d'eau, qui mettait en valeur le teint de sa peau légèrement bronzée.
-Tu me laisses entrer ou tu vas le faire poiroter jusqu'à ce que je fasse un meurtre ?
Il disparut de l'embrasure de la porte et la laissa passer, la conduisant dans son antre.
La jeune fille fut surprise de voir une maison si bien rangée et meublée. L'espace sentait le propre, le soleil baignant chacune des pièces dont les fenêtres étaient tournées verse le sud, la lumière vive du matin se reflétant sur les innombrables armoiries datant à première vue de plusieurs siècles. Les couleur de rouge pastel et d'orange contrastant avec les tons de noir utilisés pour la cuisine, donnant ainsi un charme à la fois familiale et moderne à cette demeure. Elle déchanta très vite en apercevant la chambre de son « employeur ».



Nda : je ne me trouve pas la force de faire la description de cette chambre, pour la seule raison que je n'en vois pas l'utilité. C'est une chambre comme la mienne ou la votre, où l'on peut trouver toutes sortes de choses, partant d'épluchures de bananes ou de pommes, puis de livres entassés, d'habits dépliés et mis en tas et de bouteilles de coca-cola ou d'oasis et allant jusqu'à un lit défait noyé dans tout ce tas de déchets. Et puis d'abord, ce qui vous intéresse c'est le temashika non ?

La suite !
Autant vous dire que Temari n'était pas sortie d'affaire et elle le comprit bien vite. Cependant, elle ne se déclara pas vaincue pour autant et au contraire, en signe de bataille, retroussa ses manches.
-Bon je te laisse. Bon courage. Que tu enlèves la poussière me suffit pour l'instant.
-Galère fut la seule chose qui lui vint naturellement de dire, ta manie est contagieuse !
Il sourit de son sourire charmeur et la laissa seule, non sans répéter encore une fois « bonne chance fille galère »
Temari saisit la manche du balai et commenca son ménage. Elle était habituée puisque c'est elle qui s'en occupait la plupart du temps, Gaara l'aidant autant qu'il le pouvait (c'est-à-dire très peu) et Kankuro étant très souvent absent, allant et venant sans jamais dire la but de ses déplacements. Elle commença par le fond de la chambre, en poussant avec le pied les affaires sans grand ménagement. Elle devait enlever la poussière ? Soit ! Elle ne ferait qu'enlever la poussière et rien de plus. En bousculant une énième fois les déchets du sol, la jeune fille entendit un bruit de verre et s'arrêta net pour voir l'objet qui jonchait au sol. C'était un cadre photo en bois dans lequel se trouvait une photographie datant déjà de plusieurs années. Elle représentait un petit garçon de 5 ans environ ou moins, les yeux à demi clos et les cheveux noirs attachés en une haute queue de cheval. Elle n'avait rarement vu un petit garçon aussi mignon et cela la dégoûta encore plus lorsqu'elle comprit que le jeune enfant n'était autre que Shikamaru. Il se situait au milieu de l'image, à droite se trouvait une très belle femme que Temari identifia comme étant sa mère, et à gauche, le portrait craché de Shikamaru, plus agé et plus balafré : sûrement le père de ce dernier. Un sourire mélancolique aux lèvres, elle posa délicatement la précieuse photo sur le table de chevet et continua son ménage.
-Pfiou, j'ai fini !!
Shikamaru choisit cet instant pour débarquer et se prendre le manche à balai dans les pieds.
-Galère...
Temari gloussa et éclata franchement de rire : un rire cristallin, pur et joyeux. Shikamaru en oublia presque sa douleur dans son pied. Le jeune fille l'aida à se relever puis dit d'un ton ferme.
-J'ai fini ! Le livre maintenant.
Son interlocuteur sortit alors de sa poche une quinzaine de feuilles et les lui transmit. Elle leva un sourcil et s'exclama indignée.
-Ce n'est pas tout le livre !! ce n'est qu'une partie !
Il sourit et expliqua.
-J'ai peut être l'air idiot mais je ne suis pas si bête que ça. Je ne vais pas prendre le risque de te donner tout le livre. Tu ne reviendrais pas et ma chambre resterait éternellement dans le désordre.
Elle grinça des dents et explosa :
-Ta chambre est toujours dans cet état et tes parents ne disent rien ?!
-Mes parents sont morts quand j'avais 3 ans dans un accident de voiture. Je suis resté chez mon meilleur ami jusqu'à ma majorité, j'ai hérité et je me suis acheté cette baraque.
Le regard de Temari s'adoucit tout à coup et elle baissa les yeux, honteuse et gênée :
-Excuse-moi, je ne savais pas. Ma mère est morte à la naissance de Gaara, elle aussi et je n'ai pas de père.
Afin de détendre l'atmosphère alourdissant qui s'installait, Shikamaru déclara, suivi d'un clin d'œil
-Mon pied me fait mal, t'es vraiment une fille galère. Je suis sur que j'ai un orteil cassé, triple galère !
Temari sourit et les pensées noires disparurent bien vite.
-Tu es un pleurnichard à ce qu'on dirait.
Puis elle se dirigea vers la porte d'entrée, en entendant Shikamaru.
-A la semaine prochaine, je te donnerai les 15 prochaines pages !



-Kankuro ? Tu es rentré ?
Temari posa ses affaires devant l'entrée et se dirigea vers son frère
Le dit Kankuro jouait à un jeu vidéo et donc, n'écoutait que partiellement sa sœur aînée. Il crut néanmoins entendre une question qui revenait sans cesse depuis près de 5 mois « où est-ce que tu étais passé ? »
-Hurmph...
Elle éteignit alors l'écran de la télévision et se plaça devant lui. Elle réitéra sa question, en détachant cette fois-ci tous les mots de façon à ce que son abruti de frère comprenne (abruti ? je l'ai rajouté pendant que je retapais le texte...déso Kanki)
-Où – est – ce – que – tu – étais – passé ?
Il répondit, ennuyé.
-Parti faire un tour...
-A 8 heures du mat' un Samedi ?! Tu crois quand même pas me faire gober ça ?!
Kankuro abandonna alors sa sœur pour se diriger vers la cuisine, non sans ajouter « on a tous nos petits secrets ». La tête fourrée dans le réfrigérateur, il demanda à son tour.
-Et toi ? Où t'étais ?
Un silence pesa (je sais ! Ca ne se dit pas, mais essayez de trouver à chaque fois une nouvelle formule pour ne pas faire de répétitions ^^), le temps que Temari décide de répondre.
-J'avais quelque chose à faire.
Son ''malin'' de frère ne rata bien sur pas l'occasion de répliquer.
-Tu n'aurais pas des petits secrets par hasard ?! Oh my god ! Je suis extrêmement surpris et indigné ! Je pensais que tu détestais ça : c'est vrai quoi, tu répètes tout le temps que je dois tout te dire mais pourtant là...
Ne voulant pas en écouter d'avantage, la blonde à quatre couettes claqua la porte de sa chambre et s'installa à son bureau. C'est vrai, pourquoi ne lui avait-elle pas dit tout de suite où elle était allée ? Ce n'était qu'un petit job, rien de plus...
Souhaitant arrêter de se casser la tête, elle sortit les photocopies du livre et commença à étudier.


Ino était une jeune femme de 21 ans, avec un visage d'ange et un caractère de diablesse. Blonde, elle portait bien son nom de « gaffeuse professionnelle entremetteuse » (tout ça à la fois ?!). Quiconque l'aurait vu pour la première fois, l'aurait prise pour une pouffe écervelée. Ce n'était pas le cas. Bien sur, la jeune fille faisait chavirer des cœurs avec sa beauté, ses yeux bleus envoûtants et son magnifique sourire. Son corps non plus ne lui faisait pas défaut :une silhouette svelte et élancée, la taille d'une guêpe ayant à l'origine une alimentation équilibrée et un régime quotidien depuis le jour où elle avait pu lire le nombre de calories contenues dans le nutella (nutella !!<3). Néanmoins, elle n'était pas de caractère fragile : l'inconscient qui s'approchait trop près de ses amis et leur faisait du mal, se voyait foudroyé par la terrible vengeance d'Ino Yamanaka.
De nature quelque peu sensible, elle se réjouissait beaucoup du bonheur des autres et en était de nombreuses fois responsable. Rien ne la rendait plus heureuse que d'aller faire du shopping avec ses amies qui se laissaient bien vite transformer en manequins pour le plus grand plaisir de la future styliste.
N'exagérons rien, même si elle avait une grande beauté intérieure (comment tu sais ? t'es pas dans son corps à ce que je sache ?!), l'apparence l'importait énormément et sa plus grande peine était que son ami, Choji, accepte enfin de faire du sien (hm...je parle de l'apparence hein !) une priorité.
D'ailleurs, la voila qui se dirigeait vers lui ce Lundi là au coin de la rue de Shikamaru.



bon.. c"est qu"un debut hein?! Me jugez pas severement =)
ALORS???




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