Fiction: Le nouveau venu

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Le soleil commençait à peine de se lever… Les oiseaux commençaient à chanter et le doux feuillage des arbres respiraient la fraîcheur. Les lourdes portes de Konoha n’avait pas été fermées. Cela faisait quelques années que Konoha ne fermait plus ses portes tellement le pays était en paix malgré quelques escarmouches et la mort du troisième Hokage. C’est par ces lourdes portes qu’il passa…
Il n’était pas du village, mais personne ne pensa à l’arrêter. Il était plus grand que Jiraya-sama, ce qui intimidait quelque peu les gardes. Il portait accroché dans son dos un long sabre fin sur lequel était gravée l’image d’un démon loup. Il ne portait pas de haut, il était simplement habillé d’un court pantalon. Ses longs cheveux blonds tombant dans son dos étaient accrochés par un bout de cuir, il portait de longs favoris malgré son age. Il ne devait pas avoir plus de quinze ans. Il marchait d’un pas sûr et ferme vers le manoir du cinquième… C’est à ce moment-là qu’un garde un peu plus téméraire que les autres arriva sur lui et lui demanda de décliner son identité…

Il eut l’air surpris et c’est sans joie qu’il dit son nom : « Raiso du village caché de la barbarie ». Il sortit d’une de ses poches un bandeau frontal sur lequel était gravé la silhouette d’un combattant. Le garde fit un bond en arrière et avant même d’avoir touché le sol lui envoya cinq shuriken de sa main gauche.

Raiso en esquiva deux en se jetant sur le coté et le reste en faisant un salto arrière. Son adversaire pendant ce temps avait invoqué à partir d’un rouleau un shuriken fuma qu’il jeta sans attendre sur Raiso.

Ce dernier rattrapa entre ses dents le shuriken fuma. Il se mit à sourire. Il concentra son chakra dans ses dents et brisa le shuriken sous les yeux effrayés du garde. Ce dernier terrifié fut paralysé il ne réussit qu’à crier deux mots :

: « AU SECOURS ! ».

Ce cri se propagea dans la rue intriguant notre chère équipe sept passant ici par hasard. Le sang de l’épouvantail de Konoha ne fit qu’un tour, il se jeta sur Raiso armant sa main d’un chidori. Raiso le vit arriver tranquillement.
Ses yeux se mirent à rougir, quelqu’un passant par là aurait pu croire qu’un soleil se cachait sous ses yeux. Kakashi sentit soudain que la vue de son œil gauche baissait. Il ne vit pas Raiso se préparer à passer sous sa garde… Kakashi eut l’impression d’avoir d’un seul coup rajeuni jusqu’à l’âge où Obito lui avait donné son sharingan…
Raiso attrapa Kakashi à la gorge le souleva en l’air et lui dit d’une voie douce et calme : « Ton sharingan ne peut rien contre moi ».

À peine avait-il dit ses mots qu’il sauta en l’air laissant passer notre jeune blondinet sous ses jambes. Naruto rattrapa Kakashi que Raiso avait lâché avant que son senseï ne touche le sol…Raiso sans se soucier de ce qui se passait reprit son chemin vers le manoir lorsqu’il remarqua qu’il ne pouvait pas bouger…

Son ombre s’étirait finement vers vous l’avez deviné notre grand stratège ayant le titre de plus grand paresseux du monde : SHIKAMARU. Il venait juste d’ailleurs de se réveiller. Il s’était endormi comme à son habitude en regardant les nuages.
Il avait été réveillé par le crissement des mille oiseaux et en avait déduit qu’il se passait quelque chose d’inhabituel, il s’était levé non sans grommeler et avait pris part au combat. Raiso regarda fixement ce jeune ninja qui l’avait immobilisé quand soudain un poignard surgit de son pantalon… Le poignard flotta dans l’espace comme s'il avait été tenu par une main invisible et se dirigea rapidement vers Shikamaru. Raiso lui dit d’une voie très grave. « Arrête sinon… ».

Le poignard était lourd de conséquences… Il commença à s’enfoncer dans les doigts de Shikamaru quand Naruto l’attrapa. Naruto avait déposé son maître et après être passé en mode senin s’était jeté dans la bataille. Raiso ne fut pas étonné par les cernes noires sous les yeux de notre héros qui se jeta sur lui. Shikamaru entama une nouvelle technique : L’étreinte de l’ombre. Une longue ombre en forme de main se jeta à l’assaut du corps de Raiso qui ne s’en soucia pas, il fit juste la même chose qu’avec son poignard. Il fit flotter le sabre et le plaça entre lui et Naruto à la verticale, la pointe de l’arme dirigée vers le bas… Naruto se jeta sur lui et frappa. Raiso para avec le plat de son sabre. Le coup de Naruto bien que en mode senin n’eut aucun effet, alors qu’il aurait du envoyer Raiso valdinguer dans les rues de Konoha.

Naruto n’eut pas le temps de réagir Sakura et la cinquième qui venait juste d’arriver pour chercher Naruto chez Ichiraku se jetèrent sur Raiso brandissant leur poings de titan. Les habitants reculèrent connaissant la force de la cinquième et de sa disciple ne voulaient pas se prendre une pierre d’une ou deux tonnes. Raiso libéré de l’étreinte de l’ombre para de la même manière qu’il avait paré le coup de poing de Naruto. Elles furent stupéfaites de voir que leurs coups de poing n’avaient même pas ébranlé le jeune homme.

Raiso dès que Sakura sama et Tsunade s’éloignèrent de lui jeta ses armes au sol… Il regarda tous les ninjas qui l’entouraient qui étaient venus en entendant le combat et dit d’une voie forte et sans peur :

-Je ne suis pas venu pour me battre mais pour parler à votre Hokage au sujet d’akatsuki ! Je suis le vingt sixième Hokage du village caché de la barbarie.

Tsunade s’avança vers le jeune homme lui pria de les excuser de accueil depuis l’attaque des pains nous avons peur qu’une autre attaque se reproduise.
Raiso se mit à rire aux éclats détendant l’atmosphère tendue :

-Ce n’est pas grave et j’avoue y être un peu allé trop fort… Je suis un peu trop impulsif….dit il en se grattant l’arrière du crâne d’un air désolé.

À ces mots Sakura ne put s’en empêcher.
-Ne vous inquiétez pas on a l’habitude dit elle en clignant de l’œil vers Naruto.
Notre jeune héros orangé ouvrit tout grand la bouche, il cherchait les mots mais ne les trouvait pas et tout le monde éclata de rire.

RAISO s’approcha de Naruto, lui posa sa main sur l’épaule et l’attira à l’écart…

-Naruto. Tu es un réceptacle, Naruto commença à ouvrir la bouche pour parler mais Raiso continua sa phrase, oui je sais que tu n’aimes pas ce nom, ce n’est pas grave, je suis comme toi Naruto Akatsuki cherche aussi à m’attraper. En fait héberge un démon loup, à démon à neuf queues comme le tien. On l’appelle donc aussi kyubi mais le tien c’est un renard, moi c’est un loup…
_ Je ne savais pas qu’il existait un autre démon à neuf queues !
- On en parle aussi rarement que le village caché de la barbarie. Je suis le seul réceptacle à m’être hissé au poste de Hokage.
_ Moi aussi je serai Hokage pour protéger les autres…
_ J’ai entendu parler de l’attaque de pain. Tu as fait du bon boulot !
_ Tout ninja en aurait fait autant…

Raiso regarda Naruto profondément dans les yeux.

_ Mais personne n'aurait gagné ce combat seul.
_Merci…
_Naruto je ne l’ai pas dit aux autres mais tout mon village s’est allié à Akatsuki. Ils sont à notre recherche et leur prochaine cible c’est toi…

Naruto regarda Raiso anxieux.

_ Sont ils forts… Sont-ils aussi fort que toi ?
_ Non ils sont surtout bourrins et réfléchissent rarement élaboré. Ton village n’a rien à craindre d’eux, mais ils pourraient t’avoir par surprise…
_ Oui tu as raison… Si tu n’as pas d’autres endroits pour dormir viens chez moi je te trouverais de la place.

Le soleil commençait à se coucher… Cette journée pleine de surprises s’achevait...

La nuit se passa sans incident… Raiso ne se présenta pas chez Naruto… Il préféra passer la nuit sur un des visages des Hokages là où sans le savoir Naruto faisait encore des graffitis, il y a peine treize ans aurait pensé le vieux Jiraya… Qu’est ce que le temps passe vite, il aurait cru encore voir le jeune Naruto débouler de n’importe quelle rue et fuir le plus rapidement possible son ancien maître Iruka. Mais l’heure n’était plus à la nostalgie, les temps calmes de cette époque s’étaient effacés, l’Akatsuki était apparue, le village avait été attaqué et en grande partie détruit… Aujourd’hui contrairement à autrefois c’était la guerre…




Voilà les personnages sont en place, les présentation sont faites l'histoire peut commencer.

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