Fiction: J'en suis tombée accidentellement amoureuse (terminée)

Temari No Sabaku, jeune femme et professeur de secondaires, devra faire équipe avec Shikamaru Nara, un spécialiste de l'éducation, et ce, pendant une semaine. Mais comment peut-on supporter un homme aussi flemmard, macho et charmeur quand on a de très mauvaises relations avec le sexe opposé?
Classé: -12D | Humour / Romance | Mots: 36941 | Comments: 99 | Favs: 81
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Chine-chan (Féminin), le 12/12/2010
J'espère que vous trouverez cette histoire drôle et originale, car c'est mon but premier !



Chapitre 8: Il cache aussi de la tristesse



Temari avait bon. Pas trop chaud, mais pas trop froid non plus. Elle se décida à ouvrir les yeux et se rendit compte qu'il faisait complètement noir. Elle passa une main sur son front et se rappela les événements. Elle sentit ses vêtements trempés et comprit qu'elle n'était pas morte. Pourtant, impossible de se souvenir de quoi que ce soit après qu'elle ait lâché les jambes de Sasuke. Elle ferma alors les yeux, et entreprit d'essayer de se rappeler. Malheureusement, dans son esprit, il n'y avait rien. Pas la moindre image, le noir complet.

Temari !

Quelle était bête ! Il n'y avait pas que les images dans les souvenirs. On y trouvait aussi les goûts, les sentiments, les odeurs...et les bruits. Et le bruit qui retentissait dans son esprit, c'était son prénom crié par une voix rauque.
C'est à ce moment qu'elle prit conscience que sa tête était installée confortablement, par rapport au reste de son corps qui reposait à même le sol. Et puis, il y avait ce quelque chose qui entourait sa taille, un bras réconfortant.

Un soupir serein.

Un soupir serein, régulier, comme la fois où il avait dormi dans sa classe.
Temari se dégagea de son emprise sans pour autant le réveiller. Dans le noir complet, elle ne le voyait pas, mais devinait son corps installé paisiblement, contre lequel elle avait dormi. Sans le faire exprès, elle effleura sa main, et comprit que son bras était étendu.
Ses pommettes changèrent de couleur quand elle se rendit compte qu'elle avait dormi dans le creux de son épaule.
Une fois bien droite, elle tourna la tête de droite à gauche. Elle aperçut une lueur au loin et suivit cette direction. Après avoir fait quelques pas, elle se retrouva à l'entrée de la grotte. La Lune éclairait la nuit, rendant la neige argentée, mettant en valeur les étoiles dans le ciel qui scintillaient, transformant celui-ci en un drap bleu gris lumineux.
Temari mit un pied dehors, et sentit le vent glacial lui fouetter le visage. Elle ne baissa pourtant pas les bras et attrapa quelques branches qu'elle voyait grâce à l'éclairage précaire de l'astre.
Elle revint dans la grotte, guidée par le souffle de Shikamaru. La blonde déposa les branches sur le sol, puis fouilla une de ses poches. Elle en sortit une boîte d'allumettes complètement trempée. Elle en prit une, et la fit glisser contre la boîte. Une légère étincelle illumina la grotte pendant un quart de seconde, puis, plus rien. Temari grogna, et prit une autre allumette. Elle dut répéter l'opération sept fois, jusqu'à ce qu'une étincelle légèrement plus grosse réussisse à produire une flamme dans les branches. Elle souffla dessus, et, malgré l'humidité du bois, la flamme grandit.
Exténuée, Temari se rassit près du Nara et sourit.

Ca doit être la grotte dont Sakura m'a parlé.

A la lueur du feu, elle regardait le Nara qui dormait toujours paisiblement. Une question lui vint alors à l'esprit : pourquoi l'avait-il sauvée ? Trop fatiguée pour trouver une éventuelle réponse, elle se recoucha-cette fois à une distance respectable entre elle et lui, et se rendormit presque aussitôt.



Ce n'est que le lendemain matin, vers onze heures, que Temari se réveilla. Son corps tremblait encore à cause de ses vêtements trempés, même si le feu la réchauffait beaucoup. Elle se leva et sortit de la grotte pour la deuxième fois. Il fallait du bois, car le feu ne tiendrait plus longtemps. Cette fois, elle vit le paysage clairement. La grotte n'était pas si loin de la rivière, cinq cents mètres peut-être ? Cependant, le courant était vraiment rapide, et elle se demandait comme le Nara l'avait amenée jusqu'ici.
Il dormait toujours lorsqu'elle revint avec de bonnes branches, qui, près de la grotte, avaient presque échappé à la neige. D'ailleurs, la blonde fut soulagée de savoir qu'il n'avait pas neigé la nuit. Au moins, ses élèves n'avaient pas dû avoir trop froid.
Temari remarqua que Shikamaru tremblait par moment. Elle s'approcha de lui et passa sa main sur son front. Il était brûlant. Shikamaru avait de la fièvre. Ce n'était pas vraiment étonnant, après ce qu'il avait fait. Elle ne pouvait pas le laisser seul là, même si elle pensait pouvoir retrouver le chemin du camp. C'est pourquoi, elle prit un mouchoir propre dans sa poche, alla bien l'imbiber d'eau de la rivière, le tint au-dessus du feu pendant quelques minutes, puis le posa sur le front du Nara. Elle s'assit ensuite à côté de lui, et attendit qu'il se réveille, inconsciente que celui-ci passait des moments plus que désagréables dans son esprit. Shikamaru ne rêvait pas, il revivait seulement le passé. Un des pires moments de sa vie, les jours où elle avait basculé, même s'il avait réussi à se rattraper. C'était il y a cinq ans, dans son ancien appartement.

_ Non ! Shikamaru c'est hors de question !
_ Shiho ! On s'aime, non ?
_ Là n'est pas la question ! Je ne suis pas prête pour ça !
_ Je t'en prie ! Ca fait deux ans qu'on est ensemble !
_ Oui, et justement, je comptais rompre, figure-toi !
_ QUOI ? Et pourquoi ça ?
_ Notre relation était...trop sérieuse !
_ Sérieuse ?! Bien-sûr qu'elle l'était ! Ce n'était donc pas ce qu'on voulait ?
_ Toi, mais pas moi ! D'accord, j'ai eu un moment de doute, mais...j'ai rencontré quelqu'un il y a un mois.
_ Un mois ?! Mais nous, c'est deux ans ! Pas un vulgaire mois !
_ Désolée, Shikamaru, mais je ne compte pas garder cet enfant !

Même dans son espèce de rêve, Shikamaru entendait très clairement le "VLAM!" qu'avait fait la porte en se refermant. Il avait sursauté, puis avait ouvert les yeux d'un coup. Un mal de crâne lui laissa échapper un grognement.
Temari se releva vers lui et lui lança :

_ Oh, la belle au bois dormant se réveille ?

Shikamaru la fixa. Il se remémora les épisodes précédents. Après que tout soit bien clair dans son esprit, il sourit à la blonde.

_ Belle au bois dormant, hein ? Dois-je comprendre que vous m'avez embrassé ?

Il avait dit ça avec une voix bien plus rauque que d'habitude, et la blonde comprit que si elle ne le soignait pas très vite, il chopperait une grippe carabinée. Concernant la remarque, elle ne releva pas, contente que même malade, il était redevenu lui-même.

_ Mouais, je me disais aussi. Si vous m'aviez embrassé, je m'en souviendrai.

Le Nara s'assit et regarda le feu crépiter juste devant lui. Il sentit alors tomber le mouchoir de son front qui atterrit sur ses genoux.

_ Oh, vous avez pris soin de moi, merci.

La blonde rougit, mais ne laissa rien paraître. Elle savait que c'était plutôt à elle de le remercier, mais ne savait pas vraiment comment s'y prendre.

_ Bravo pour le saut, lui fit-il remarquer, c'était très courageux de votre part. Je pense que Sas'ke est sain et sauf. Vous auriez pu y rester.
_ C'est plutôt VOUS qui auriez pu y rester ! Vous avez été inconscient de sauter ! Vous vous imaginez si vous vous étiez fait tuer, vous aussi ? Et les élèves ? Ils auraient été tous seuls !

Un grand silence s'installa alors entre eux deux. Temari se mordit la lèvre. Non, ce n'était pas comme ça qu'elle arriverait à lui dire "merci".

_ Je voulais vous sauver, je me suis pas posé de questions, lâcha-t-il simplement.
_ Euh...merci, mais...regardez-vous ! Vous êtes malade, c'est clair que vous avez attrapé la crève !

Il s'avança vers elle, même s'il dut fermer les yeux un court instant, à cause des lancements dans sa tête qui se faisaient de plus en plus forts.

_ Vous pensez que j'ai mal agi ? Souffla-t-il.

Il était près. Aussi près que lorsqu'ils avaient dansé la veille. La blonde ne bougea pas, elle se contenta de tourner la tête de droite à gauche.

_ Non...c'est juste que...je ne m'y attendais pas.
_ Que je vous sauve ? Mais c'est normal ! C'est notre boulot !
_ Votre boulot ?
_ Ouais ! Les mecs ça protègent les femmes !

La blonde sentit la colère l'envahir.

Un macho, juste un macho. Bon macho, mais tout de même courageux, intelligent, doué...et attirant.
Temari se donna une claque mentalement et lui lança :
_ J’aurais très bien pu me débrouiller ! J'avais pas besoin de vous ! Les femmes savent se débrouiller toutes seules !
_ Oh, désolé. Je voulais juste...vous aider. Vous savez, j'ai perdu quelqu'un dans ma vie sans m'en rendre compte. Je ne veux plus jamais que ça se produise, jamais.

Temari sentit une note de nostalgie en lui et fut soudainement touchée. Lui ? Shikamaru Nara avait vécu des tristesses dans sa vie ? Ca paraissait impossible ! Tout ce qu'il avait l'air d'entreprendre fonctionnait !

_ Merde...mon Iphone est foutu...fit-il en le sortant de sa poche. Je ne pourrais pas avoir de contact avec ma fille.

Il avait l'air sincèrement triste et fixait avec espoir son écran tactile noir, parsemés de fissures.

_ Je lui avais promis de lui envoyer un message de temps en temps. Elle va croire que je l'ai oubliée.
_ Vous...vous avez une très forte liaison avec elle, je me trompe ?
_ Non, Aiko...Aiko c'est ma fille. Sa mère n'en voulait pas, mais moi, je savais que je voulais m'en occuper.

Shikamaru sentit ses yeux s'humidifier, mais résista pour ne pas pleurer. Temari le remarqua cependant et décida de changer de sujet. Chose qu'elle fit difficilement, car elle mourrait d'envie de savoir ce qu'il s'était passé. Elle était également très touchée du fait qu'il lui dévoilait son passé.

_ Moi, je n'ai pas encore eu cette chance, sourit-elle.
_ Ah, mais vous êtes plus jeunes que moi, vous avez le temps.

Elle hocha la tête. De toutes façons avec les hommes qu'il y'avait sur terre, avoir un enfant ne semblait pas vraiment possible.

_ Quand vous trouverez la bonne personne, acheva le Nara, la bonne personne, c'est le plus important.
_ Je croyais que c'était arrivé, deux fois même, mais j'ai dû me tromper, dit-elle sur le même ton.

Elle se surprit à en parler. Depuis que Yûra était parti et qu'elle avait pleuré toutes les larmes de son corps, elle n'en avait jamais plus parlé.
Shikamaru sourit. Il avait compris. Ses méninges n'avaient pas eu besoin de trop tourner, chose dont il était de toute façon incapable avec son mal de tête.
Temari, depuis le départ de son ancien compagnon, s'était faite une armure. Une armure qui la protégeait de toutes sortes de sentiments excessifs qu'elle ne voulait plus ressentir. Mais elle se rendait compte que lorsqu'elle était avec "Nara" comme elle le disait si bien, son armure disparaissait. Ou plutôt, le spécialiste arrivait sans difficultés à passer l'armure. Ca dérangeait un peu la blonde, mais en même temps, c'était rassurant. Elle n'était plus seule dans cette coquille insensible.

_ Yagura, j'avais dix-huit ans. On est resté un an ensemble. Paraît qu'il m'aimait. Ca l'a pas empêché de partir sans donner de raisons particulières. Mais je me suis dit "A dix-huit ans, c'est normal, c'est peut-être trop jeune."

Elle marqua une pause. Shikamaru sentit qu'elle n'avait pas facile d'en parler, mais si elle le faisait, c'était peut-être qu'elle en éprouvait le besoin. Aussi, il ne parla pas, il attendit qu'elle reprenne.

_ Yûra est arrivé. Je pensais vraiment que c'était le bon. Vous savez, conte de fée tout ça...

Elle se mit à trembler, et même s'il savait que ses mains étaient froides, il lui prit les siennes.
Au contraire, pour Temari c'était des mains chaudes qui la prenaient, des mains rassurantes.
Elle releva la tête vers lui, ne cherchant plus à s'en éloigner. Elle se sentait très bien là où elle était, ses mains dans les siennes.

_ Hey ! Y'a des mecs stupides, ça, c'est sûr. Mais y'en a des biens aussi ! Regardez Inuzuka, par exemple, il est dingue de vous ! Il ne vous fera jamais de mal !

Temari ne s'attendait pas vraiment à ce qu'il lui parle de Kiba. Elle réfléchit un instant puis lui dit :

_ Je pensais que Yûra ne me ferais jamais de mal. Je me suis trompée.
_ Alors vous ne voulez plus rien tenter pour être sûre de ne rien regretter, c'est ça ? Je veux pas vous vexer, mais c'est lâche quand même.

La blonde baissa les yeux. Il n'avait pas tout à fait tort. Mais c'est qu'elle avait peur, si peur...
Shikamaru lui lâcha les mains et se releva.

_ Désolé, fit-il, je devrais pas vous parler comme ça, j'vous connais pas assez.
_ Non...merci...merci d'être franc.
_ Aha ! C'est la deuxième chose que je fais le mieux, ma deuxième qualité, la franchise !

Temari se releva à son tour tout en demandant :

_ Et c'est quoi la première ?

Shikamaru lui sourit. Ah non, cette fois ce n'était plus le sourire du gosse de dix ans, c'était l'autre, le charmeur, celui qu'il faisait quand il allait lui dire un truc pour la taquiner.
Il se rapprocha d'elle et l'embrassa sur la joue.

_ Devinez, lui souffla-t-il au creux de son oreille.

Pour la troisième fois sur un rien de temps, ses joues prirent une teinte cramoisie. Temari se retourna et le vit éteindre le feu.

_ Mais qu'est-ce...?
_ On va y aller, les élèves doivent nous attendre et puis je meurs de faim.
_ Dans votre état ?
_ Aha, c'est ça ma première qualité, le courage ! Rigola-t-il.

Il lut dans les yeux verts de l'incompréhension et tout en dépassant Temari, il lui lança :

_ Pourquoi, vous pensiez à autre chose ?

La blonde se mordit la lèvre. Elle se faisait toujours avoir ! Elle l'entendit ricaner et le rattrapa vite fait.

_ Vous faîtes pas de fausses idées.
_ J'ai pas l'impression qu'elles étaient fausses, répondit-il du tac au tac, hilare.


Pendant que Shikamaru et Temari sortaient de la grotte, Yahiko, Madara, Nagato, Konan et Juugo les cherchaient depuis la veille. Ils n'avaient presque pas dormi, mais motivés par leur recherche, ils ne sentaient pas du tout la fatigue. Juugo les guidait à travers la forêt, la carte entière de la région en tête.

_ Juugo, tu m'épates vraiment ! S'exclama une nouvelle fois Yahiko.
_ Le sens de l'orientation et la nature, c'est mon truc.

Seuls eux deux parlaient de temps en temps, sauf quand Madara ou Nagato appelaient un de leurs professeurs. Le fait que Sasuke avait levé une arme sur Temari avait plongé tout le monde dans une intense réflexion. De plus, ils n'étaient pas totalement sûrs qu'ils soient toujours en vie. Mais on n'en parlait pas, ils étaient vivants, point.
Konan les suivait en silence, mais se montrait toujours très agile, lorsqu'il s'agissait de passer un ruisseau ou de traverser une partie de forêt plus dense.
Ils réussirent à redescendre toute la forêt et arrivèrent au bord de la rivière.

_ Ils sont peut-être de l'autre côté, fit remarquer Konan.
_ Bien vu, Konan ! Fit Yahiko, faudrait qu'on traverse...
_ T'as vu le courant ?! S’exclama Madara.

Konan se rapprocha du bord et plissa les yeux.

_ Konan, fais attention ! Cria Yahiko en la rattrapant.
_ Mais...je crois...oui ! S'exclama-t-elle, je les vois !
_ HEIN ?!

Ils vinrent tous près du bord et fixèrent droit devant eux. En effet, on pouvait apercevoir deux silhouettes, assises.

_ Ils nous entendront pas, dit Nagato.
_ Faut les rejoindre ! Juugo, t'as une idée ?

Le roux réfléchit quelques secondes, puis hocha la tête.

_ Le courant doit être moins fort par là, fit-il en montrant l'amont de la rivière. J'y ai vu pas mal de rochers, l'eau doit donc descendre moins vite.

Ils s'y dirigèrent en vitesse et constatèrent que leur ami avait en effet raison.

_ Le mieux ce serait que deux d'entre-nous traversent.
_ Yahiko ! L'eau est forcément glacée !
_ Je sais ! Et quoi ? T'as un thermo sur toi peut-être ?! Moi, je vais les chercher.
_ Je t'accompagne ! Fit Konan, à la grande surprise générale.
_ Quoi ? Non, c'est bien trop dangereux !
_ Pourquoi ? Parce que je suis une fille ?! Ecoutez ! J'ai suivi pendant dix ans des cours de natation et je n'ai pas peur du courant. De plus...euh...je suis originaire d'ici, à Hokkaido et le froid, j'y suis habituée.

Un lourd silence s'installa alors entre eux, suivi d'un QUOI ? qui signifiait que la pièce était tombée : Konan était originaire d'Hokkaido et elle traverserait cette rivière.

_ Je viens avec toi, fit Nagato. Yahiko, Madara et toi Juugo, mieux vaut que vous restiez ici. On risque d'être assez fatigués quand on reviendra, on aura besoin de votre force.

Ils hochèrent simplement la tête. Ce n'était pas tous les jours que Nagato prenait les choses en main. Généralement, il laissait ça à Yahiko, se contentant de l'approuver d'un signe de tête.
Yahiko posa alors sa main sur l'épaule de Konan.

_ Sois prudente, OK ?
_ Euh...oui, bredouilla-t-elle, retrouvant sa timidité habituelle à l'égard du garçon.

Il se tourna ensuite vers Nagato et lui donna une tape dans le dos.

_ Fais gaffe, mec !
_ Aha ! Pas de soucis.

Ils laissèrent alors leurs sacs à leurs amis et mirent les pieds dans l'eau.




Bah, finalement, il est long aussi, ce chapitre ! J'ai quand même essayer de le rendre un peu plus drôle, mais ça n'a pas été simple. Bon, voilà, la question de Yûra est élucidée. Un peu du passé de Shikamaru aussi, ça je l'avais pas du tout prévu pour maintenant, mais Shikamaru en a décidé autrement. (Oui, je suis esclave de mes personnages U_U) Sinon, comme d'habitude, j'espère que vous avez aimé ! Dites-moi tout ! A plus pour le prochain chapitre !



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