Fiction: J'en suis tombée accidentellement amoureuse (terminée)

Temari No Sabaku, jeune femme et professeur de secondaires, devra faire équipe avec Shikamaru Nara, un spécialiste de l'éducation, et ce, pendant une semaine. Mais comment peut-on supporter un homme aussi flemmard, macho et charmeur quand on a de très mauvaises relations avec le sexe opposé?
Classé: -12D | Humour / Romance | Mots: 36941 | Comments: 99 | Favs: 81
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Chine-chan (Féminin), le 26/02/2011
J'espère que vous trouverez cette histoire drôle et originale, car c'est mon but premier !



Chapitre 14: Son regard a changé ce soir



L'adolescent faisait des yeux ronds, la bouche entrouverte. Ce n'était pas quelque chose que l'on pouvait lancer comme ça, en toute légèreté. Et puis, il ne les connaissait pas encore très bien, tout ça était trop rapide. Cependant, ce qui gênait le plus Kabuto, c'était d'avoir de nouveau une famille, une vraie, sur laquelle il pouvait compter. Il n'était pas encore prêt à rappeler quelqu'un "maman" ou "papa", et peut-être même qu'il ne le serait jamais. Il y avait des souvenirs qui bloquent toujours, que ce soit au niveau de la gorge ou de la poitrine.
Devant le silence de l'adolescent, Shikamaru décida d'aborder le sujet d'une manière un peu moins directe. On aurait pu penser qu'il avait balancé cette idée sans y avoir longuement réfléchi, mais c'était pourtant tout l'inverse. Oui, c'était rapide. Il n'aimait pas ce qui était rapide, en général. Mais pourtant, au fond de lui, il le savait : c'était la meilleure solution, il devait le faire.

_ Oui...euh, ça dépend de toi, bien-sûr, je ne peux pas décider ça tout seul...

Kabuto hocha la tête, le regard presque dans le vague. Il leva la tête, et ses yeux fixèrent le plafond avec attention. Non, décidément, toute cette histoire était bizarre. Il repassa dans son esprit tous les événements, avec chaque détail, sans erreur. Ses parents, morts, à son retour de l'école. Retour plus tôt que prévu, ce qui lui avait permis d'arriver avant le départ des assassins. Il se souvenait très bien ce à quoi il avait pensé. Aucune larme n'avait roulé sur ses joues, elles n'en avaient pas eu le temps. Cette manière dont il avait sauté sur un des deux agresseurs, lui plantant un couteau de cuisine, première arme potentielle qui lui était passée sous la main, dans l'épaule, jamais il ne l'oublierait. La rage qui l'avait envahi lorsqu'il avait subtilisé l'arme du blessé et avait tiré sur son collègue. Ca n'avait pas fait "PAN" comme dans les dessins animés, non, ça avait produit un énorme "BOUM", qu'aujourd'hui encore, il entendait résonner dans sa tête. Mais le souvenir qui restait gravé au plus profond de lui, c'était certainement la violence avec laquelle il avait transpercé une vingtaine de fois le corps du premier homme. Vingt fois, et ça ne l'avait pas calmé. Vingt fois, et il ne se sentait pas mieux. Vingt fois, et ses parents resteraient morts. A quoi ça avait servi ? Cette vengeance dévastatrice n'était pas partie, elle demeurait fixée dans sa poitrine, toujours maintenant. Oui, aujourd'hui, Kabuto ne se sentait toujours pas mieux jusqu'à ce que cette petite fille arrive. Un minuscule rayon de soleil qui avait éclairé son cœur.
L'adolescent sourit. Il ferma les yeux. Il sentit en lui comme une libération, un vent qui le traversait, emportant avec lui tous ses soucis. Le passé est derrière, on ne l'oublie jamais. Mais un jour, on se réveille et on se rend compte que son cœur est un peu moins lourd, qu'on peut vivre avec, que c'est supportable. Le temps faisait son travail, mais il n'y avait pas que lui.

_ Il faut juste essayer...murmura Kabuto pour lui-même.
_ Hein ? Demanda le Nara, inquiet de son silence.
_ On ne saura pas tant qu'on aura pas essayé, affirma-t-il alors.
_ Ma foi...je suis d'accord, mais tu parles de l'adoption là ? Continua Shikamaru, qui ne suivait plus trop.
_ Mmh... Je ne t'appellerai sûrement pas "papa" et je ne dirai certainement jamais qu'Aiko est ma petite sœur, mais... je peux vivre avec, le trou dans ma poitrine s'est refermé. Shikamaru, je veux essayer.
_ AHA !

Le spécialiste le prit dans ses bras, passant sa main derrière la tête du garçon.

_ Kabuto, je vais t'enseigner quelque chose : "on ne doit jamais dire jamais !"


La mère de Sasuke était arrivée peu après, rentrant de son travail. Ayant appris la détermination de Shikamaru par son fils, elle fit de même face à son mari. Temari et Shikamaru se mirent d'accord pour laisser la famille seule. Il était de toute façon temps de partir, Aiko était seule à la maison.
Fugaku ne leur dit pas au revoir. Pourtant, son regard noir -seulement à cause de ses prunelles- croisa celui du Nara. Celui-ci hocha la tête et lui fit un bref signe de main. Tout allait s'arranger.
Kabuto s'assit à l'arrière de la voiture, heureux pour son ami, mais également pour lui-même. Une nouvelle famille...mouais, manquait une mère quand même. Il sourit en voyant les iris émeraude fixer avec insistance son père adoptif. La plupart des problèmes étaient résolus, il n'en restait plus qu'un seul à résoudre. Mais si Kabuto lisait dans l'avenir, il aurait su qu'il en restait deux, et ils n'étaient pas négligeables.
Il est vrai que la blonde avait du mal à détacher son regard de Shikamaru. Elle s'acharnait pourtant à regarder devant elle, mais rien n'y faisait. Cet homme la surprendrait toujours. D'abord, il s'était pointé comme un abruti dragueur, mais en fait, il était bien plus que ça. Malgré cet air ennuyé qu'il avait un tiers du temps -sachant que le premier tiers c'est son regard charmeur et le deuxième, celui d'un gosse de dix ans émerveillé- c'était quelqu'un de vraiment déterminé.
Et de gentil.
Oui, parce que gentil c'était le mot. C'était simple et banal, mais dans la tête de la blonde, l'adjectif sonnait tellement bien.
Et puis, il était courageux aussi et bien plus fort qu'il n'y paraissait. A vrai dire, et maintenant Temari en était sûre, Shikamaru aurait très bien pu tenir tête à Kiba.
Lui mettre un poing sur le nez par exemple.
Elle sentit un sourire béat se dessiner sur ses lèvres. Tant pis si elle se faisait des films, elle en était presque sûre ! Cet œil coloré et ce nez gonflé avaient un rapport !
Un vrai gamin.
Oui, c'était le cas. Lorsqu'on a la trentaine, on ne se bat plus pour la fille qu'on aime -à moins d'être complètement ivre- normalement, on discute.
Temari savait que c'était d'un "gamin" qu'elle avait besoin. Quelqu'un pour la détendre, l'amuser, l'éloigner du stress habituel. Quelqu'un qui ne lui remettrait pas les pieds sur terre, mais dans le ciel.
Shikamaru se sentit observé et tourna la tête. Leurs regards se croisèrent et il lui sourit. Elle ne put que lui répondre. Il se dit alors qu'il devait lui avouer ce qu'il s'était passé entre lui et Kiba. Il avait frappé son copain quand même.

_ Euh...No Sabaku ? Vous savez, ce matin, Kiba et moi...

Alors qu'elle allait lui répondre un "je sais", le Nara se figea. Son expression avait changé du tout au tout. Ses mains se crispèrent tellement sur son volant qu'il crut qu'il allait l'arracher.
Devant sa maison, une voiture était garée et il la connaissait. Une silhouette en sortit. Fine et grande, de longs cheveux roux dans le dos, Shikamaru l'aurait reconnue entre mille.
La jeune femme s'avançait et semblait vouloir aller sonner chez lui. Shikamaru grogna et se gara à toute vitesse.

_ Nara ?!
_ Restez tous les deux dans la voiture ! Cria-t-il en sortant.

Il fit deux pas vers la personne à toute allure et ils se retrouvèrent tous les deux sur le seuil. La jeune femme se retourna et lui offrit un sourire moqueur.
Temari interrogea Kabuto du regard, mais aucun des deux ne la connaissaient. Ils étaient pourtant suffisamment proches pour les entendre discuter, ou plutôt, se disputer.

_ Oh, t'as pas changé, Shikamaru, toujours aussi beau et charmeur.
_ Que fais-tu ici ?! Tonna-t-il.
_ Du calme, mon chou, je...
_ NE M'APPELLE PLUS COMME CA ! Tu vas retourner d'où tu viens, TOUT DE SUITE !

Une petite étincelle s'éclaira au-dessus de la tête de Temari, et presque instinctivement, elle sut de qui il s'agissait.
La jeune femme s'approcha de lui et lui caressa la joue.

_ Tu vis dans le passé, mon pauvre. Ne me dis pas que t'es resté seul pendant ces cinq dernières années ?
_ Dégage. Je ne me répéterai pas, Shiho.
_ Et si je te disais que j'ai envie de rester...dit-elle en tournant autour de lui, avec toi...souffla-t-elle au creux de son oreille.

Voyant le regard coléreux de son ex-petit-ami, Shiho changea de tactique.

_ C'est pas toi qui dis qu'il faut donner une deuxième chance ?
_ Si...
_ Alors... donne-la moi... nous trois...
_ Nous TROIS ?! Tu n'as jamais voulu d'Aiko, j'ai dû te supplier pour que tu la gardes !
_ Oui, et si je l'ai fait, c'était parce que je t'aimais !
_ Tu es ridicule ! Sans moi, tu n'avais pas d'argent, et l'avortement, c'est pas donné. Maintenant, soit tu pars, soit...
_ Soit quoi ? Tu n'oserais pas me frapper, quand même ?
_ Lui non, mais moi, si.

Temari était sortie de la voiture sans bruit. Elle s'approcha tellement de Shikamaru que Shiho dut reculer. La blonde glissa sa main dans celle du Nara et fit face à Shiho.

_ Non, Shikamaru n'est pas resté seul pendant ces cinq années, ça fait deux ans que je suis là.

Shikamaru était abasourdi par la réaction de la blonde et de son jeu. Elle était tellement convaincante, que s'il n'était pas au centre de la discussion, il y aurait cru.

_ Et sachez que je ne suis pas du genre à discuter tranquillement avec ses ex, alors comme il vous l'a dit, dégagez !

Shiho poussa un cri d'exaspération.

_ Tu me le paieras, Shikamaru.
_ Tu te trompes, tu te perdras, Shiho. Tu sais très bien que tu n'as pas le droit d'approcher Aiko, et donc, cette maison. Tu sais aussi que je te suis supérieur par toutes mes relations, tu veux en reparler devant un juge ? Ah, non, il te faudrait un bon avocat et ça coûte, mais suis-je bête ? Si t'es revenue, c'est sûrement que tes défilés de trottoir ne fonctionnent plus !
_ Comment oses-tu...!
_ Oui, j'ose, tu ne me fais plus peur. Va-t-en !

Shiho recula, les regardant tous les deux, main dans la main. Elle avait fait une terrible erreur en le quittant, oui elle s'en était voulu. Même si ça ne sautait pas aux yeux, il lui avait fallu beaucoup de courage pour revenir. Le regard émeraude déterminé en face d'elle la fit presque trembler. Cette femme devait aimer beaucoup le Nara, il avait de la chance. Shiho se disait à présent que si elle n'était pas partie par caprice, peut-être que ces deux-la ne se seraient jamais rencontrés, et tous les deux seraient passés à côté de cet amour qui les unissait. Et même si ça avait été le cas, elle se doutait que Shikamaru et elle auraient cassé. Dans les prunelles noires du Nara, elle y lisait bien plus de tendresse envers la No Sabaku qu'elle n'en avait jamais vue. Et pourtant, Dieu sait que Shikamaru avait été dingue d'elle ! Mais elle n'était pas la bonne personne. C'était mieux qu'elle parte, pour toujours, cette fois. Aussi, elle leur tourna le dos et partit, pour ne plus jamais revenir.
Kabuto sortit de la voiture et rejoignit les deux adultes, sur le seuil. Il ne posa pas de questions, ce n'était pas le moment. Shikamaru ouvrit la porte et, avant qu'il n'ait eu le temps de lui proposer, Temari entra. Aiko arriva vers eux en courant et sauta dans les bras de Kabuto. Celui-ci, comprenant qu'il valait mieux laisser sa prof de Japonais et son père adoptif seuls, l'invita à monter à l'étage.

_ J'ai une grande nouvelle, viens !

Shikamaru les regarda monter, la petite main de sa fille étreignant celle de l'adolescent. Cette scène le fit sourire.

_ C'est vraiment un gentil garçon.

Le Nara s'assit dans son divan et passa sa main sur son front, mort de fatigue.

_ Ca va ? S’enquit la blonde.
_ J'suis lessivé !

Elle s'assit près de lui, à une distance respectable. Oui, il avait vraiment l'air fatigué, et après tout, c'était normal. Cette journée avait dû être fatigante pour lui. D'ailleurs, il y avait encore quelques jours, Temari lui aurait dit, sur le ton de la remarque" Oh, c'est juste que vous êtes un fainéant !" mais aujourd'hui, elle n'avait plus envie de jouer. Ca lui manquait pourtant. Oui, depuis qu'il était revenu, plus de blagues, plus de sous-entendus...Sans ça, pour elle, "Nara" n'était plus "Nara".
Pas depuis qu'il est revenu, depuis que je suis avec Kiba...

_ Merci, souffla-t-il. Je suis désolé que vous ayez assisté à ça.
_ Oh...y'a pas de quoi. Disons qu'on est quitte.

Cette histoire qu'elle avait voulu savoir, dans la grotte, maintenant, elle la connaissait.
Devant le lourd silence qui s'installait, elle décida de changer de sujet.

_ En tout cas, vous êtes vraiment fort ! J'ai cru que vous alliez massacrer ce pauvre Uchiwa !
_ Ah, moi aussi. Vous avez bien fait d'intervenir, No Sabaku.

Elle sursauta.
No Sabaku.
Ca ne sonnait pas bien. Ca ne sonnait plus bien. Comment pouvait-on être avec quelqu'un qu'on vouvoyait, c'était n'importe quoi.
Tout doit rester professionnel.
A y repenser, Temari se disait que c'était vraiment stupide. Elle se voilait la face, essayait de se convaincre elle-même. Oui, elle aurait pu vouloir tester avec Kiba, si seulement il n'avait pas été là. Mais il était là, à une quarantaine de centimètres, repassant de mauvais souvenirs dans sa tête. Elle ne voulait pas le voir cogiter.

_ Enfin, vous cachez bien votre force derrière vos chemises ! Vous êtes réputé pour être fainéant, alors, c'était surprenant.
_ Je sais, je sais, dit-il, en reprenant sa bonne humeur, sous mes manches, je ne cache que mes muscles saillants ! Aha ! Sachez que je suis réputé pour avoir un vrai corps d'Apollon !

Temari leva les yeux au ciel. Sa modestie légendaire l'aurait agacé. Mais plus maintenant.

_ Vous voulez le voir ? Lui demanda-t-il, un sourire ravageur sur les lèvres.

Bah en fait...
Mais avant qu'elle n'ait eu le temps de répondre, il enchainait déjà.

_ Mais je crois savoir qu'avec Kiba, ça doit pas être trop mal...

Elle sourit. Shikamaru était vraiment jaloux, à vrai dire, ce sentiment lui donnait un air très mignon.

_ Ah oui ? Je ne sais pas, dit-elle, quelqu'un doit l'égaler puisqu'il s'est pris un énorme coup sur le nez.

Le temps s'arrêta une demi-seconde pour le Nara. D'abord parce que, elle venait de lui révéler que, entre elle et Kiba, c'était juste "Bisou, je te tiens la main" ce qui le fit sourire jusqu'aux oreilles et de deux, parce qu'elle savait. D'une manière ou d'une autre, elle savait. Mais le mieux, c'est qu'elle n'était pas du tout en colère.

_ Oh, à mon avis, il doit carrément le surpasser ! Lui fit-il en rigolant.
_ Oui, mais pas suffisamment pour esquiver tous les coups, répliqua-t-elle en lui désignant son coquart.
_ PAPA ! PAPA ! C'est vrai que Kabuto va rester avec nous ?!!

Aiko déboula dans le salon et sauta sur le divan, entre Temari et son père. Elle le fixa intensément de ses grands yeux, attendant manifestement une réponse rapidement.
Kabuto entra à son tour, mains en poches, beaucoup plus calmement. Il remarqua que son père adoptif se portait beaucoup mieux et esquissa un sourire.
Shikamaru posa une main sur la tête de sa fille et lui ébouriffa les cheveux.

_ Oui, ça va même être ton grand frère.
_ C'est vrai ?! Waouh !

Elle descendit et alla se jeter sur un des bras de l'adolescent. Celui-ci ne savait pas trop comment réagir face à cet élan d'affection. Il se souvint de la manière dont Shikamaru l'avait pris dans ses bras et décida de faire pareil, ce qui fit rire la petite fille.
Temari se leva du divan.

_ Bon, et bien, je vais vous laisser !
_ Oh, je ne vous ai rien servi à boire !
_ Ne vous en faites pas !
_ Je vous raccompagne quand même, fit-il en avançant vers la porte d'entrée.

Il lui ouvrit et elle sortit. Une fois sur le seuil, au lieu de rejoindre sa voiture, elle se retourna vers lui.

_ Merci, lui souffla-t-il encore une fois, de sa voix naturellement rauque.

Elle se pencha vers lui, s'appuya sur son épaule gauche et l'embrassa sur la joue.

_ Merci à vous, lui glissa-t-elle au creux de son oreille, comme il l'avait déjà fait avec elle, quelques jours plus tôt.

Elle se retira un peu, son front collant presque le sien. Un seul message se transmit entre les prunelles émeraude et les prunelles ébène. Un seul. Mais Shikamaru l'attendait depuis tellement longtemps. Et Temari l'attendait depuis tellement longtemps.
Soudain, le portable de la blonde sonna dans un hard rock qui les fit tous les deux sursauter. Elle recula et porta la main à sa poche, fixant l'écran.
Kiba.
Elle releva les yeux vers le Nara, qui lui fit signe, ce qui signifiait : "Oh, allez-y, on se voit demain !".
Elle hocha la tête et répondit, tout en s'éloignant de la maison du Nara.
Il la regarda partir et n'entendit qu'une seule phrase que la blonde venait de prononcer :

_ Je sais, Kiba.

Shikamaru soupira. Il rentra chez lui et ferma la porte derrière lui. C'était le choix de la blonde et il avait promis de le respecter.
Mais c'est tellement difficile.
Il sentit ses yeux s'humidifier et il décida de préparer le souper. Non, ça ne lui changerait pas les idées, mais il pouvait au moins faire "comme si".




Voilà voilà..bouh, c'est triste cette fin...Le prochain chapitre, c'est le dernier, mais y'aura encore un épilogue après ! Bon, j'ai pas grand chose à dire, j'attends vos impressions ! A plus pour le prochain chapitre !

PS: désolée pour les fautes de frappe du chapitre 13...Ne vous en faites plus, je me suis dégotée une créature...euh, une amie formidable qui corrige toutes mes petites fautes que je ne vois pas ^^




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