Fiction: J'en suis tombée accidentellement amoureuse (terminée)

Temari No Sabaku, jeune femme et professeur de secondaires, devra faire équipe avec Shikamaru Nara, un spécialiste de l'éducation, et ce, pendant une semaine. Mais comment peut-on supporter un homme aussi flemmard, macho et charmeur quand on a de très mauvaises relations avec le sexe opposé?
Classé: -12D | Humour / Romance | Mots: 36941 | Comments: 99 | Favs: 81
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Chine-chan (Féminin), le 11/02/2011
J'espère que vous trouverez cette histoire drôle et originale, car c'est mon but premier !



Chapitre 12: Je veux la récupérer



Temari sentait son cœur battre beaucoup trop vite pour pouvoir s'endormir. Elle s'était déjà retournée une vingtaine de fois, avait regardé l'heure dix fois et avait tenté de lire cinq pages de son bouquin. Sans succès. De un, il était impossible qu'elle lise avec cette image en tête, de deux elle n'avait pas du tout sommeil et de trois elle voulait coller une bonne claque à son "amie". Elle revoyait encore la scène, la manière dont Sakura lui avait sauté au coup et l'avait embrassé. Elle l'avait appelé "Shika" avec la voix d'une...d'une...

_ D'une garce ! s'exclama la blonde dans son lit en levant les poings.

Elle se relaissa tombée sur son matelas en jurant.
Elle voulut alors téléphoner à Hinata, mais puisque son réveil affichait deux heures du matin, elle se résigna.
Sakura, tu sais très bien que je te le laisse volontiers !
Vraiment ? Faudra pas pleurer après !
Mais oui, Temari n'en avait absolument rien à faire ! Ce n'était pas le fait que Sakura et Shikamaru étaient désormais ensemble qui l'ennuyait. C'était juste la façon d'agir de la Haruno. Elle aurait juste pu se contenter d'aller lui parler en privé ! Mais non, il avait fallu qu’elle l'embrasse, comme ça, devant tout le monde ! Temari souffla et croisa ses bras derrière sa nuque. Elle devait arrêter de penser à eux.
A lui.
Il avait beau être revenu, qu'est-ce que ça changeait ? Elle sortait avec Kiba et elle était heureuse.
Vraiment ? C'est ça le bonheur ?
C'était bizarre et en même temps très confus pour la blonde. Elle s'était sentie bien plus libre et détendue pendant la semaine de camping. Quand, en toute logique, elle était seule.
Elle se retourna sur son côté droit et ferma les yeux. Non, elle ne devait plus penser à ça. Elle devait plutôt réfléchir à Sasuke. Elle savait qu'il avait de meilleurs contacts avec sa mère et surtout, avec son frère. Ils avaient discuté longuement en toute honnêteté, et Itachi s'était excusé. Apparemment, il avait ressenti le mal-être de son petit frère, mais n'était pas conscient qu'il en était la cause. Temari était fière de voir que Sasuke lui expliquait sa situation. Il lui faisait confiance, et elle faisait de son mieux pour le soutenir. " Le problème, avait-il dit, ça reste mon père." La blonde savait que Sasuke et lui n'avaient jamais été dans de bons termes, et la situation semblait s'aggraver. Avec l'arrivée de Kabuto, elle se disait que ça ferait bouger les choses. En effet, le nouvel adolescent, étant orphelin, s'il retrouvait la parole, il pourrait bien aider l'Uchiwa. Si un n'avait plus son père, l'autre n'en voulait plus. Ce duo pourrait très bien se compléter.
Oui, les personnes de caractères opposés se rapprochent souvent.
Elle rit en pensant à Konan et Yahiko. Elle était très timide et calme, l'autre était surexcité. Mais ils étaient pourtant très mignons.
Plongée dans de sujets sérieux, Temari ne pensait plus au Nara. Mais peut-être aurait-elle dû ? N'avait-elle pas dit que des personnes de caractères opposés se rapprochaient ? C'est en se remémorant cette phrase qu'elle finit enfin par trouver le sommeil.


Shikamaru fixait le plafond, les yeux grands ouverts. En boucle, il revoyait la scène de ce midi. Bon, d'accord, il avait remarqué depuis le début que Sakura craquait pour lui. Mais bon, les filles qui gloussaient à la moindre de ses paroles l'exaspéraient au plus haut point. Alors, pourquoi avait-il répondu à son baiser ?
Et c'était pas un p'tit bisou.
Il l'avait pensé en se souvenant de Temari et Kiba qu'il avait surpris le matin-même.
Il soupira bruyamment et ferma les yeux. Il sentait son cœur battre jusque dans ses tempes, ce qu'il détestait et surtout, l'empêchait de dormir. Il n'aimait pas spécialement Sakura. Mais Temari n'était plus là. Shikamaru grogna en se mettant sur son côté droit. Il éprouvait une soudaine haine envers l'Inuzuka. Oui, il était dingue de la No Sabaku, et peut-être que, l'espace d'un instant, il avait crû que c'était réciproque. Mais non ! Comment pouvait-on aimé une personne comme lui, qui passait son temps à la titiller et à lui faire des sous-entendus plus qu'évidents ? Pourquoi avait-il agi ainsi ?
Je suis tellement maladroit avec elle.
Le Nara se releva, décrétant qu'il avait soif. Il descendit les escaliers sans faire de bruit et fut surpris de trouver Kabuto dans le salon. Il regardait par la fenêtre, assis en tailleur sur le sol. Shikamaru se servit un verre d'eau, et décida d s'asseoir à côté de lui, comme si de rien n'était.
L'adolescent tourna juste sa tête vers lui puis refixa son point dans le ciel bleu foncé. Le spécialiste se rappela son activité préférée quand il avait son âge. C'était de regarder les nuages. Mais regarder les étoiles, la nuit, c'était bien aussi. Bien-sûr, il n'en voyait pas autant qu'à Hokkaido, mais c'était tout de même reposant.
Hokkaido.
C'était là qu'il était réellement tombé amoureux d'elle. Oh, bien-sûr, il l'avait toujours trouvée jolie et attirante. Avec ses cheveux blonds et ses yeux émeraude, il l'avait trouvée fascinante et son regard triste l'avait rendu curieux de deviner qui était cette femme à fort caractère. C'est pour cette raison qu'il aimait lui lancer des petites piques, il avait été heureux qu'elle finisse par jouer le jeu. Oui, parce que c'était ça, un jeu.
Mais plus maintenant.
Il tourna la tête vers son nouveau locataire et sourit.

_ Tu sais Kabuto, je me réjouis de t'entendre parler. Quand ça se passera, j'espère que tu diras à toutes les personnes à qui tu tiens que tu les aimes.
_ Oui, je lui dis tout le temps.

Shikamaru sursauta.

_ Aiko ! Il est deux heures du matin, t'as école demain !
_ Mais ! répliqua-t-elle, c'est mercredi : demi-journée. Je peux rester avec vous ?
_ Non, tu dois dormir !
_ Et vous ?

Shikamaru connaissait sa fille par cœur. Elle avait hérité de son intelligence, mais elle était également très persuasive. Il était fier d'elle, mais parfois, comme dans ce cas-ci, il aurait préféré qu'elle ne soit pas si en avance pour son âge. Il lui tendit ses bras et elle vint s'y réfugier en souriant.

_ Merci papa !
_ Mais pas trop longtemps, c'est compris ?!
_ Oui !

Elle s'assit comme eux, dans les bras de son père. La fillette déposa sa tête sur son torse et la tourna vers le nouvel occupant.

_ Regarde, Kabuto. Mon père est triste.
_ Quoi ? Mais non, chérie.
_ Ah si ! Tu dors pas ! Alors, t'es malade ?

Il rigola. Plus de la capacité de déduction de sa fille que de la situation.

_ T'as raison. Mais tu me redonnes du courage, lui sourit-il.

Aiko l'embrassa sur la joue avec toute la tendresse dont elle était capable.

_ Tu devrais dire papa.
_ Hum ?
_ C'est Mlle Temari, je sais.
_ On avait dit pas longtemps, coupa le Nara, remonte dans ton lit.
_ Mais...
_ Tout de suite !

Il savait se montrer très convainquant, lui aussi. La petite fille comprit qu'elle était sans doute "trop jeune" ou une autre de ces idioties pour parler de ce point avec son père. Elle embrassa Kabuto sur la joue puis regagna sa chambre. L'adolescent avait sursauté. Cette fillette était extraordinaire. Elle souriait tout le temps, alors qu'elle ne connaissait même pas sa mère. Elle était également très intelligente et semblait déjà réagir comme une adulte. Quoique non, un adulte n'avait plus cette insouciance et cette naïveté qui la rendaient tellement mignonne ! Et c'était sans doute pour cette raison qu'elle était plus douée qu'un adulte. Il n'y avait pas de questions ni de problèmes, pour elle, il y avait juste une solution.

_ Elle est intelligente. Trop intelligente. Elle a raison. Des paroles peuvent basculer une vie, positivement ou négativement. Par peur du négatif, je n'ai rien dit, mais j'aurais dû. Après tout, je ne peux pas deviner avant d'avoir essayé.

Essayer.
Le verbe avait résonné dans la tête de l'adolescent. Depuis quand n'avait-il plus rien tenté, plus rien essayé ?
Kabuto se retourna et plongea son regard dans celui de Shikamaru. Il était désemparé, juste parce qu'il aurait dû dire quelque chose. C'était bête. Cependant, il n'avait pas l'air de vraiment baisser les bras. Il respirait un peu, se retirait, pour mieux repartir. Kabuto lut soudainement de la détermination dans les yeux du Nara. Tout le monde, un jour ou l'autre, pouvait se sentir au plus mal, au plus bas. Cette période durait une journée pour certains, quelques mois pour d'autres.
Deux ans.
C'était trop long. A force de rester en bas, on oubliait ce qu'il y avait en haut. Mais la situation n'était pas désespérée pour autant. On avait toujours l'occasion de remonter. Pour cela, il n'y avait qu'une condition : le vouloir.
Cela faisait seulement deux jours qu'il vivait avec eux. Kabuto réalisa qu'on lui avait plus parlé pendant ces deux jours que pendant les deux ans qu'il venait de vivre. Il avait entendu des choses intéressantes. Il se sentait bien ici. Surtout quand Aiko était là. Au début, ses sourires et sa gentillesse ne lui faisait rien. Mais il se voilait juste la face. Il l'avait trouvée mignonne dans la seconde où il l'avait vue.

_ Je...dois...ess...ayer...articula-t-il.

Shikamaru écarquilla les yeux. Il venait de parler ! Après seulement deux jours ! Bon, d'accord, il était le meilleur de l'enseignement, mais quand même ! Il réalisa alors que c'était sans doute grâce à Aiko.

_ Kabuto ! Tu parles !
_ Oui...

Il devait retrouver les mots, puis les formuler à voix haute. Ca lui prenait un peu de temps, mais il y parvenait. Car cette fois-ci, il le voulait.

_ Je...vais...dormir. A...demain...
_ Hein, mais...d'accord.

Le Nara le laissa partir. Ils avaient tout le temps de discuter, tous les deux, à présent.



Vers 6H30, Kabuto se leva de son lit. Il enfila des vêtements propres, puis se regarda dans le petit miroir accroché au-dessus de son bureau. Ses cheveux gris-bleus pendaient en désordre devant ses yeux noirs. Il n'avait pas une tête très accueillante, aussi, il se rendit dans la salle de bains et piqua un des élastiques au Nara. Il se fit une queue de cheval puis sourit. C'était déjà mieux. Kabuto retourna dans sa chambre en silence puis, fixant le miroir, il se mit à parler tout bas.

_ Je m'appelle Kabuto...et toi ? Articula-t-il plusieurs fois.

Lorsqu'il jugeait qu'il la prononçait assez rapidement et d'une manière naturelle, il passait à une autre phrase fonctionnelle. A sept heures, Shikamaru ouvrit sa porte.

_ Hey, Kabuto ! Viens déjeuner !
_ ...Ouais.

Aiko était déjà en bas. Elle fit la bise à son père et à Kabuto puis se servit un bol de céréales.

_ Ca te va bien tes cheveux, lança Shikamaru, y'aurait pas tes mèches, tu me ressemblerais, rigola-t-il.
_ Oui...euh l'élast...ique...
_ Oh, garde-le ! J'en ai plein !
_ Qu'il finit toujours par perdre ! répliqua Aiko entre deux cuillères.

L'adolescent prit un bol dans l'armoire, mais lorsqu'il voulut s'asseoir, il cogna la chaise et faillit le lâcher.

_ Aaaah...
_ Ca va Kabuto ?
_ Oui...euh...

Il fixait la chaise, comme s'il était étonné qu'elle soit si près de lui. Le Nara l'observa un instant puis hocha la tête. Il avait compris.

_ T'as besoin de lunettes, Kabuto.
_ Hein ?
_ Ouais, faudra qu'on voie ça après l'école !



Par un simple hasard, Shikamaru arriva en même temps à l'école que Kiba. En sortant de la voiture, il laissa Kabuto rejoindre la cour par le chemin des élèves, puis il rejoignit Kiba qui l'attendait, un grand sourire sur les lèvres.

_ Yo, Shikamaru !
_ Salut, Inuzuka.

Ce dernier fronça ses sourcils en entendant son nom de famille. Tout le monde l'appelait toujours Kiba !

_ Oh, t'as oublié pendant que t'es parti ? Moi, c'est Kiba !

Shikamaru avait une envie irrésistible de lui envoyer son poing sur la figure. Pourquoi ?
Parce que je suis bien plus jaloux que ce que je croyais.
Il réussit néanmoins à se maîtriser, et lui dit, de la manière la plus naturelle qu'il le pouvait :

_ Ah ouais, Kiba, désolé ! C'est juste que...

Que je vais te faire bouffer tes dents.

_ Que Kabuto a parlé, alors...enfin, voilà.
_ Waouh, c'est génial !

Temari choisit ce moment pour arriver elle aussi. Par réflexe, les deux hommes se retournèrent avec le bruit de la voiture de la blonde. Tous les deux s'apprêtaient à monter les marches, mais l'Inuzuka s'arrêta.

_ Désolé, Shikamaru...
_ Ouais...t'inquiète...

Et pourtant, le Nara ne pouvait décrocher ses prunelles noires des iris émeraude qui s'avançaient vers lui, ou plutôt, vers Kiba qui l'accueillait déjà bras écartés, prêt à poser ses lèvres sur Temari.
Ne préférant pas assister de nouveau à la scène, Shikamaru gravit les marches et gagna la salle des profs. Sakura lui sauta littéralement dessus.

_ Shika, j'avais pensé qu'on pouvait passer la soirée tous les deux, ce soir, non ?

Hier, il aurait dit oui. Mais aujourd'hui, il avait décidé de récupérer la femme qu'il aimait. Bien que Sakura soit dingue de lui, il ne l'aimait pas. Certes, il avait répondu à son baiser, mais c'était juste parce que, dans sa tête, Temari était perdue. Cependant, encore maintenant, il se rendait compte qu'il ne pouvait vivre sans elle. Il ne voulait pas d'une relation qu'il aurait pu avoir avec la Haruno. La routine se serait installée rapidement. Il n'en voulait pas. Il voulait quelque chose d'extraordinaire.
Comme avec elle.

_ Shika ?
_ Euh...

Kiba et Temari entrèrent dans la salle pile à ce moment. Un échange de regard s'effectua entre les deux amies. Sakura sourit. Temari ne broncha pas. A vrai dire, elle avait détourné le regard pour le poser sur le Nara, qui ne bougeait pas d'un pouce. Enfin, il repoussa légèrement Sakura, et lui dit :

_ Désolé euh...

Il vit la main de Kiba se glisser dans celle de la blonde. Un "ouais va y, accepte !" résonna dans son esprit. Il la surmonta et continua :

_ Aiko et Kabuto...euh, je dois m'en occuper...

Il se débarrassa de son étreinte et alla dans les toilettes. Il se passa un peu d'eau froide sur la figure, ce qui lui remit les idées en place. Plan numéro 1 : se débarrasser du tas de muscle Inuzuka Kiba. D'ailleurs, celui-ci venait d'entrer dans les toilettes, un sachet en main. Il enleva sa chemise, dévoilant un torse étonnamment musclé que Shikamaru n'appréciait pas du tout. Ensuite, il prit le pull à capuche du sachet et l'enfila.

_ J'vais courir les deux premières heures du matin avec les rhétos, lui dit-il.
_ Ah ouais ? Tu leur fais aussi le coup du "J'enlève mon pull et je remets ma chemise ?"
_ Hein ?
_ Ouais, tout le monde sait que tu dragues tes élèves, KIBA !

Shikamaru avait haussé le ton et il sentait la colère monter en lui. Et cette colère, il allait la déverser sur l'Inuzuka qui le regardait avec surprise.

_ Qu'est-ce qu'il te prend ? C'est faux !
_ Ah ouais ?! C'est comme ça que t'as eu Temari ?!

Un déclic se fit dans le cerveau du prof de gym.

_ Mon pote, t'es jaloux ? Désolé si t'as pas d'abdos, MEC !
_ J'AI PEUT-ETRE PAS D'ABDOS, MAIS AU MOINS, J'AI QUELQUE CHOSE DANS LA TETE !

Son corps agit plus vite que son esprit. Son poing partit bien plus rapidement qu’il ne le voulut et fracassa le nez de l'Inuzuka. Celui-ci chancela et porta sa main à son nez ensanglanté.

_ Mais t'es malade !

Kiba laissa tomber son sachet par terre, et, sans se soucier de son nez, attrapa violemment Shikamaru par sa chemise. Bien que le Nara soit plus grand que lui, le prof de gym n'eut aucun mal à le soulever avec la force de ses deux bras.

_ Mec, calme-toi, j'suis trop gentil pour te fracasser le crâne et surtout, t'en vaut pas la peine.
_ C'est toi qui en vaux pas la peine.

Shikamaru força sur ses biceps ce qui surprit Kiba. Il ne s'attendait pas à autant de force de la part de son adversaire. Et il ne s'attendait pas non plus à ce que celui-ci lui fasse un coup de boule qui l'obligea à le lâcher.

_ AAAAH !

Les deux hommes tombèrent tous les deux sur le carrelage en roulant. Kiba reprit le dessus et balança son poing dans la figure de Shikamaru.

_ Raaah ! T'es calmé, c'est bon ?!

Shikamaru le regarda, un œil ouvert. Un bel œil au beurre noir allait sûrement apparaître d'ici la fin de la journée.

_ Je...Kiba...j'avais vraiment envie de te foutre mon poing dans la figure. Mais au final, je ne me sens pas mieux.
_ Tu crois que c'est facile pour moi ? Je sais que Temari sort avec moi parce que, par je ne sais quel miracle, tu l'as sortie de sa haine pour les hommes. Alors, évidemment, je me suis dis : "Pourquoi elle sort pas avec toi ?" et j'ai trouvé la réponse : "t'étais sensé partir !" et surtout, vous n'êtes pas du même milieu. Je suis le mieux placé pour être avec Temari, c'est compris. Même si, elle ne me parle que de la semaine de camping depuis une semaine ! "Et Nara a fait si, et Nara a fait ça...!" c'est très agaçant. Alors je sais qu'à la base, je n'ai pas beaucoup de chance pour que ça dure entre nous, mais je tiens à la saisir, de toute mes forces, c'est compris ?! Je ne dirais pas ce qu'il s'est passé, à condition que tu ne lui tournes plus autour, pigé ?!
_ Merci, Kiba. Et, je te le promets.

L'Inuzuka se redressa et lui tendit sa main. Shikamaru la saisit, puis il passa sa main sur son front.

_ Pas mal le coup de boule.
_ Merci. Désolé pour le nez.
_ Pas de soucis.




Bon, voilà ! Je m'étais dit "Non, je ne dois pas les faire se battre !" mais finalement, Shikamaru n'a pas résisté U_U(désolée Kiba !) Le prochain chapitre sera un peu plus basé sur Sasuke et Kabuto ! Je sens la fin arriver, mais bon, puisque je suis esclave de mes personnages...Dites moi ce que vous en pensez, comme d'habitude ! A plus pour le prochain chapitre !



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