Temari No Sabaku, jeune femme et professeur de secondaires, devra faire équipe avec Shikamaru Nara, un spécialiste de l'éducation, et ce, pendant une semaine. Mais comment peut-on supporter un homme aussi flemmard, macho et charmeur quand on a de très mauvaises relations avec le sexe opposé?
Chine-chan (Féminin), le 17/01/2011 J'espère que vous trouverez cette histoire drôle et originale, car c'est mon but premier !
A écouter avec Just The Way You Are !
Chapitre 10: J'ai dit que je ne la lâcherai pas
Le reste de la semaine de camping passa plus que rapidement. Entre randonnées, jeux de groupes, veillées jusque les deux heures du matin et batailles de boules de neige intensives, le temps avait filé avec une vitesse incroyable. Sasuke n'avait pas encore réussi à changer son vocabulaire, mais son attitude était déjà plus accueillante et engageante. Il s'impliquait dans ce qu'il entreprenait et aidait sans râler ses camarades de classe. Le soir, après avoir mangé leur "festin" qui était en fait des nouilles avec du thon-demandé par Kisame- il avait proposé au Nara de lui rendre sa tente.
_ Vous pouvez pas dormir dehors ! S’était exclamé l'Uchiwa.
En se serrant un peu, Madara avait décidé de dormir avec Yahiko et Nagato, et Sasuke avec Deidara et Sasori.
Shikamaru avait été plutôt soulagé d'apprendre qu'il aurait enfin un endroit chaud pour passer la nuit.
_ Dommage, hein, avait-il lancé à la blonde.
Elle avait froncé les sourcils.
_ Parce que vous croyez vraiment que j'allais vous demander de dormir dans ma tente ?
_ Bien-sûr, avait-il alors affirmé.
Enfin, la neige était tombée de temps en temps, mais une seule fois pendant la nuit. Tous avaient donc bien dormi au chaud, et plus personne ne faillit mourir d'hypothermie.
Ils faisaient donc leurs bagages, avec une pointe de nostalgie. Pendant cette semaine, il y avait eu beaucoup de changements et d'imprévus. Des amitiés s'étaient créées et une petite lueur d'amour aussi. Yahiko tenait vraiment à Konan, mais il ne savait pas encore trop bien où il en était. Quoiqu'il en soit, il avait décidé d'y réfléchir intensément, car il avait deviné les sentiments de la jeune fille et ne comptait pas la laisser attendre trop longtemps. Sasuke ne savait pas non plus comment se comporter avec Karin. C'était assez nouveau pour lui, et il ne voulait surtout pas se presser. Il laisserait le temps faire son travail. Aujourd'hui, tout ce qu'il savait, c'est qu'il aimait poser sa tête sur son épaule et écouter le silence à ses côtés.
Ils avaient repris un bus afin de quitter Kushiro, puis ils avaient embarqué dans un bateau, histoire d'arriver à Niigata. Là, comme prévu, les parents les attendaient. Si c'étaient les parents de Madara qui avaient conduit les deux cousins pour l'aller, il était convenu que ce soient ceux du ténébreux qui les ramènent. Sa mère n'était pas là, mais Fugaku, son père, se tenait bien droit, à côté de sa voiture. Il ne discutait pas avec les autres adultes, il se contenait de fixer son fils de loin, avec un regard sévère.
Sasuke le remarqua immédiatement, et ses battements de cœur s'accélérèrent. Une main se posa sur son avant bras.
_ Karin...
_ Ca va aller. On s'voit demain, à l'école, hein ?
_ Ouais...
Demain à l'école ?
La phrase avait fouetté le visage de Temari comme une bourrasque lors des grandes tempêtes. Exceptionnellement, les élèves devaient aller à l'école de dix heures à midi demain, "parce que, avait dit Tsunade, M. Nara nous fera ses adieux et nous donnera ses impressions". Il va partir.
Sasuke se dirigea aux côtés de son cousin vers la voiture de Fugaku.
_ Salut, tonton ! Balança Madara.
Il disait toujours ça, d'une façon trop joyeuse. Il savait qu'elle masquait le "B'jour, père" de Sasuke.
Ils mirent leurs valises dans le coffre, puis s'installèrent à l'arrière de la voiture.
_ Tu viens pas devant, Sasuke ? Demanda son père.
_ Nan. J'aime pas.
Fugaku haussa les épaules.
_ Itachi a toujours voulu aller devant.
_ Mais je ne suis pas Itachi.
Les mains de Fugaku se crispèrent sur son volant. Jamais Sasuke n'avait répondu quelque chose par rapport à son frère. Il avait dit ça avec une telle évidence, et puis il l'avait affirmé, comme si lui, son père, ne pouvait plus jamais lui faire de remarque à propos d'Itachi. Il ne répliqua rien, pas habitué à cette attitude de la part de Sasuke.
Quant à Madara, il cherchait assez de blagues pour tout le trajet, sentant déjà l'ambiance exécrable régner dans le véhicule.
Il ne restait plus que Temari et Shikamaru, à Niigata. Tous les parents étaient venus rechercher leur progéniture à l'heure.
_ Bon, on se voit demain. Faites gaffe sur la route, lança le Nara.
_ Euh...oui, vous aussi.
_ A demain.
_ A demain.
A demain.
Temari le regarda chercher ses clés, ouvrir sa portière et s'installer au volant de sa voiture. Il lui fit un bref signe de main, auquel elle sourit. Le temps filait tellement. Temari avait l'impression de n'avoir rien fait pendant ces quelques jours où il avait été près d'elle. Elle croyait vraiment qu'elle n'avait pas su saisir le temps, de ne pas en avoir profité comme il le fallait, qu'elle l'avait laissé glisser entre ses doigts.
Sentant la brise soulever ses cheveux, elle frissonna et se décida à regagner elle aussi son véhicule.
Sur le chemin du retour, ses pensées convergeaient toujours vers lui. Par ses sourires et ses réflexions, par ses gestes et sa franchise, il l'avait sortie de sa peur d'une nouvelle relation avec le sexe opposé. Grâce à lui, elle se sentait de nouveau confiante. Temari esquissa un sourire. Il faudrait qu'elle parle à Kiba demain.
Shikamaru arriva dans la soirée chez son ami, Chôji. Il était convenu qu'il soupe chez lui et sa femme, Ino, puis qu'il retournerait chez lui avec Aiko. Celle-ci, au lieu de lui sauter dans les bras comme elle le faisait d'habitude, le boudait dans son coin.
_ Mais regarde ! Dit le Nara en lui montrant son Iphone, il est complètement cassé !
_ T'avais qu'à prendre celui des autres, grommela-t-elle.
_ Bah, fit-il en haussant les épaules, y'avait presque pas de réseau, ça n'aurait pas marché.
Chôji vint s'immiscer dans la conversation.
_ Mais comment t'as fait pour le mettre dans cet état ?
Shikamaru passa sa main derrière sa nuque en soufflant.
_ Oh...c'est une longue histoire.
_ On a tout notre temps, répondit Ino en lui servant un verre de vin. Alors ?
Le Nara se résigna. Personne ne pouvait rien contre Ino. Quand elle voulait quelque chose, elle l'obtenait. Il ne voulait seulement pas parler de Sasuke et se contenta de dire qu'il avait sauté pour rattraper Temari qui avait glissé pendant une randonnée.
_ Ouah ! Papa ! T'es trop fort ! S'écria la petite fille en le serrant dans ses bras.
Son aversion envers lui avait complètement disparu. Imaginez, quand vous apprenez que votre père est un héros, vous lui pardonnez quelques petits écarts facilement ! Surtout pour une fillette de cinq ans.
_ Je sais, rigola-t-il en lui caressant les cheveux.
_ Ta modestie te perdra, lui dit Ino.
_ Aha ! Il faut accepter ses qualités !
_ Ce sont ses défauts normalement !
_ Oui, mais quand on n'en a pas...
Shikamaru se prit une tape sur la tête de la part de la blonde.
_ Bon, venez manger, j'ai préparé du bœuf de Kobe !
_ Ouah ! Un VRAI festin !
Vers 22H30, Shikamaru quitta ses deux amis et reprit la route pour rentrer chez lui. Une fois cela fait, il prit Aiko qui s'était endormie dans la voiture et alla la déposer dans son lit. Heureusement qu'Ino avait eu la présence d'esprit de lui faire mettre son pyjama après le souper. Il l'embrassa sur son front et la contempla un instant. Il voyait la couverture monter et descendre avec la respiration paisible de sa fille. Si Temari avait été là, elle aurait dit sans hésitation qu'ils avaient la même façon de dormir.
Shikamaru éteint la lumière puis sortit de la chambre, refermant doucement la porte derrière lui. Il alla s'installer dans son divan et alluma son ordinateur portable. Il savait ce qu'il allait écrire. Il avait eu l'occasion de prendre quelques notes pendant la semaine de camping et il allait remettre tout ça en place. Son téléphone fixe sonna alors et il se rua dessus, afin qu'il ne réveille pas sa fille. Non, mais ! Qui pouvait lui sonner à une heure pareille ? Juste quand il allait se mettre à écrire !
_ Ah, Shikamaru ! Enfin ! Ca fait trois jours que je veux te joindre !
Le Nara grogna. C'était son éditeur.
_ Vous saviez que j'étais parti avec le Collège !
_ Ouais, et alors ? Ton Iphone t'en fais quoi ?
_ Euh...ouais, laissons tomber. Vous aurez le texte demain.
_ Vraiment ?
_ Vraiment.
_ Bien, alors à demain.
_ Hé ! J'ai une requête.
Shikamaru l'entendit souffler.
_ On en parlera demain.
_ Très bien. Je serais là, demain, à midi trente.
Il raccrocha alors et laissa courir ses doigts sur le clavier jusque tard dans la nuit.
Le lendemain matin, Aiko se réveilla avec la douce odeur de pancakes. Elle s'étira et bailla un grand coup, puis descendit les escaliers.
_ Papa !
_ Hey !
Il l'embrassa puis lui servit un verre de jus d'orange.
_ Tiens, c'est pour toi, dit-il en lui donnant les pancakes, bon appétit !
_ Merci !
Shikamaru bailla et passa sa main dans ses cheveux, encore emmêlés. Il prit un élastique dans sa poche et les attacha, histoire de reprendre sa tête d'ananas habituelle.
_ T'as l'air fatigué.
_ Ouais...j'ai écrit toute la nuit.
_ Pourquoi t'es levé si tôt ? C'est dimanche.
_ Je sais, chérie, mais je dois dire au revoir à Mlle No Sabaku et aux autres. Alors spécialement, on se retrouve tous à 10 heures. Ah, à midi trente je dois passer donner mon texte, t'es prudente toute seule, OK ?
_ T'inquiète papa, je regarderai la télé.
Shikamaru hocha la tête et félicita RTL de diffuser six épisodes de Pokémon d'affilée. Il regarda sa montre. Il était 9H45. Le temps qu'il arrive à l'école...mouais, il serait à l'heure.
Le Nara embrassa sa fille et lui promit de rentrer pour une heure, afin qu'ils mangent ensemble. Shikamaru n'avait rien préparé de spécial. Les discours et les adieux ce n'étaient pas son truc.
_ Nan...je déteste les adieux...
Il mit la radio de la voiture presqu'à fond et écouta Just the way you are qui passait pour, certainement, la troisième fois de la matinée.
When I see your face There's not a thing that I would change Cause you're amazing Just the way you are And when you smile, The whole world stops and stares for awhile Cause girl you're amazing Just the way you are
Shikamaru tâcha de se concentrer sur la route, mais les paroles de la chanson sonnaient tellement bien dans son esprit...
Her lips, her lips I could kiss them all day if she'd let me Her laugh, her laugh She hates but I think it's so sexy
Il se rendit alors compte qu'il avait complètement dépassé l'école et entreprit de faire demi-tour. En même temps, il en profita pour se donner une claque qui le sortit de sa rêverie et décida d'éteindre la radio. Non, il n'aimait pas les adieux, mais il n'avait pas à s'en faire, il n'y en aurait pas.
_ Je n'en veux pas et j'ai de bons arguments.
Arrivé, il gara la voiture à sa place habituelle et se dépêcha de gravir les marches. Ils devaient se donner rendez-vous dans la grande salle, mais il préféra d'abord passer par la salle des profs. Et il avait bien fait, car ses collègues s'y trouvaient tous, discutant de leur semaine de camping.
_ Ah, Shikamaru !
Kiba s'avançait vers lui et lui adressa une tape dans le dos.
_ Ca va, vieux ?
_ Euh, ouais. Et toi ?
_ C'était GENIAL !!!!
Shikamaru sourit.
_ Tant mieux.
_ Ouais, et merci !
_ Hum ? Pourquoi ?
_ Temari ! Je sais pas ce que tu lui as dit, mais son comportement à complètement changé envers moi ! Pour une fois, j'ai l'impression d'avoir une chance !
_ Ah...ah oui...cool...
Hein ? Quoi ? Shikamaru avait-il raté un épisode ?
Du regard, il cherchait la blonde qu'il ne tarda pas à repérer. Elle était en grande discussion avec ses deux amies, pour changer.
_ Je t'avais dit que ça allait te changer ! S'exclama Sakura. Et de quoi tu parlais avec Kiba ?
_ Oh...comme ça...
_ Ah oui ? Depuis quand tu lui parles "comme ça" ? Insista Sakura, les poings sur les hanches.
_ Alors mesdemoiselles, comment s'est passé votre semaine ?
Sakura gloussa en entendant la voix rauque du spécialiste et Temari sembla ressentir une pointe de nostalgie en l'apercevant.
Elles lui expliquèrent brièvement ce qu'elles avaient fait, mais n'eurent malheureusement pas le temps de dire grand chose. Tsunade venait d'entrer dans la salle des profs.
_ Oh, M. Nara, vous êtes là, parfait. Toutes les quatrièmes sont dans la grande salle. On devrait...euh, vous devriez y aller. Faîtes ça bien, M. Nara.
Shikamaru respira profondément et ils sortirent tous en discutant. Ils s'installèrent au dernier rang, dans la salle, derrière les quatrièmes. Shikamaru remarqua qu'il y avait un micro sur l'estrade et il soupira. Sans grande motivation, il le prit et salua les élèves.
_ Cool que vous soyez venus, fit-il, un dimanche à dix heures du mat'...A votre place, je s'rais pas venu !
Des rires résonnèrent dans la salle et Shikamaru en profita pour repérer les élèves qu'ils connaissaient, au deuxième rang.
_ Je vous connais pas tous, je n'ai pas eu cette chance. C'est pourquoi, je trouve cela un peu idiot de partir maintenant. Cependant, de ce que j'ai vu avec la 4ème F, vous êtes des jeunes formidables, pleins de bonne volonté et c'est une bonne chose ! Dîtes vous qu'un jour, c'est vous qui serez à ma place ! Même si je doute que vous n'ayez ma classe...
Des "ouuuuh !" retentirent, ce qui fit rigoler le spécialiste. Il vit Temari lever les yeux au ciel, ce qui lui rappela des tas de souvenirs d'un coup.
_ Enfin, je tiens à dire que vous avez de la chance d'avoir de bons professeurs ! Ils tiennent à vous, tous, ce qui est important. Même si vous vous dîtes de temps en temps "Inuzuka, il m'gonfle à courir deux fois par an !" ou " P'tain, les interros de Mlle Hyûga, elles sont trop dures !", sachez qu'ils font ça pour votre bien.
Hinata était en train de dire à Naruto que non, ses interrogations n'étaient pas si terribles que ça, quand Shikamaru reprit son discours.
_ J'ai eu l'occasion de vivre une semaine vraiment agréable en compagnie de Mlle No Sabaku...et des 4ème F, s'empressa-t-il d'ajouter. Et, puisque c'est idiot de se quitter si tôt, je crois en ma chance pour vous dire qu'on se reverra sûrement ! Maintenant, passez un bon dimanche !
Des applaudissements fusèrent, surtout du deuxième rang, où Yahiko et Madara sifflaient comme des dingues.
Tsunade l'avait écouté dans son coin et réfléchissait sur le sous-entendu que le spécialiste venait de laisser planer : comment ça, il reviendrait ?
Les élèves partirent, mais les professeurs retournèrent à leur salle, histoire de boire un verre avec leur collègue d'une semaine.
A 11H50, Shikamaru décida qu'il était temps de les quitter. Pour l'instant.
Il serra les mains à la plupart de ses collègues masculins et fit la bise à Hinata et Sakura, qui ne demandait pas mieux. Face à Temari, il ne savait pas trop comment réagir. Il finit par lui tendre sa main, qu'elle saisit, aussi peu à l'aise que lui.
_ Ce fut vraiment, très, très agréable, affirma-t-il.
_ Pour moi aussi. Et...euh...merci.
Comprenant immédiatement de quoi elle parlait, Shikamaru lui offrit son plus beau sourire puis lui tourna le dos.
_ A plus, ajouta-t-il en se retournant brièvement.
A plus? Que veut-il dire ?
_ Oooh ! Temari, comment as-tu fait ?
_ Hein, euh, de quoi ?
_ T'es sûre de ne pas avoir craqué ?
_ Sakura, je t'ai déjà répondu à cette question.
_ Alors pas d'inconvénient à ce que je te l'emprunte ?
Temari soupira en guise de réponse et alla chercher ses affaires.
Shikamaru roulait rapidement vers son éditeur. Arrivé à l'énorme immeuble, il monta les marches quatre à quatre jusqu'à arriver au deuxième étage. Il toqua à la bonne porte et entra après qu'on le lui ait donné la permission.
_ Ah, M. Nara, à l'heure pour une fois. Bon, ce manuscrit ?
_ M. Sarutobi, je vous donne ce manuscrit à une condition.
Sarutobi releva un sourcil, pas certain d'apprécier cette "condition".
_ Vous êtes bien placé, et je dois dire que j'ai de bonnes relations, moi aussi. Il vous faut ce manuscrit, on est d'accord ? Vous dépendez de moi.
L'éditeur déglutit. Il n'aimait vraiment pas cette situation.
_ Y'a un gamin, Kabuto, personne n'a réussi à le remettre dans le droit chemin. Même dans le centre où il est placé, son état ne s'arrange pas et sans vouloir me vanter, je pense être le meilleur au niveau des adolescents à ce moment.
_ C'est vrai.
Sarutobi n'avait d'autres choix que d'être d'accord avec le Nara. Il n'y avait aucun doute que c'était le meilleur et en plus de ça, il était très intelligent. Shikamaru était une de ces personnes qu'il fallait mieux avoir de son côté.
_ Que proposez-vous ?
_ Et bien...
Et voilà, fin du chapitre 10 ! Pas grand chose à dire, à part que ce passage de Just The Way You Are allait bien avec les pensées de Shikamaru à ce moment. Beaucoup de suspens aussi, mais c'est une façon de vous tenir en haleine ! Je tiens aussi à vous mettre en garde pour le prochain chapitre (oui, à ce jour le 17/01/2011, le 11ème chapitre est déjà écrit). Certains d'entre vous vont me détestez et peut-être même arrêtez de lire cette fanfic. Mais je vous en prie, ne vous inquiétez ! Vous comprendrez ces mots en lisant le chapitre 11 !