Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Je t'aime...

ça commence par un Kaka/Saku, une résurection, des couples qui se forment, des ennemis qui apparaissent et bien entendu, des alliés! Une famille qui se reconstruit, suivit d'une autre!!! Des morts reviennent à la vie et les amitiés renaissent, les différents s'estompent. Un nouveau village en plus de celui du ying et yang fait son apparition et se range du co^té de Konoha apportant l'aide des Cinq. Une fic où il ne faut jamais se fier aux apparences...
Classé: -12D | Spoil | Action/Aventure / Mystère / Romance | Mots: 32256 | Comments: 80 | Favs: 79
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Karuka (Féminin), le 18/09/2007
Ma deuxième fic...Qui aurait du être un one-shot avec un petit Kaka/Saku...
Et qui se retrouve avec 28 chapitres (sur un autre site) et 14 ici!!!!
Et qui va continuer jusqu'à la fin des membres de l'Akastuki et une nouvelle aventure^^!!!
Bonne lecture!!!




Chapitre 14: Chapitre 14



Chapitre 14 :


Naoki se réveilla avec un affreux mal de tête. Elle se trouvait dans une chambre sans fenêtre meublée avec le strict nécessaire.
Le lit se trouvait au centre de la pièce. Les couvertures noires n’étaient pas très épaisses mais étaient quand même chaudes. Sur la droite du lit, il y avait une table de chevet avec une petite lampe. Plus loin, une armoire en bois de sapin se dressait, imposante. En face de Naoki se trouvait un bureau croulant sous les piles de dossiers. A sa gauche, il y avait une porte fermée à clé. Le sol, les murs et le plafond étaient de différentes teintes de rouge et de violet.
Après cette rapide analyse, elle en déduit qu’elle était dans la chambre d’un homme, dans son lit alors qu’elle ne le connaissait même pas ! Affolée, elle ferma les yeux et tenta de faire le vide en elle. Au bout d’un moment, elle y parvient et allait pousser un soupir de soulagement quand une voix la fit sursauter.
- Bonjour.
Naoki sursauta et releva vivement la tête. Dans le même temps, elle recula imperceptiblement et remarqua que la porte était ouverte.
Suspendu la tête en bas, un jeune homme vêtu du manteau de l’Akatsuki la regardait dans les yeux. Ses cheveux étaient argentés presque blancs et ses yeux bleus semblaient être constitués de plusieurs tourbillons. La jeune femme tressaillit : elle ne l’avait ni vu ni entendu entrer ! De plus, elle n’avait sentit aucun chakra en approche. Sans prendre la peine de se présenter, celui-ci prit la parole abruptement :
- Où est passé le sceau ?
- P…Pardon ?
- Où est Shichibi no yoko ?
- A Konoha, je suppose.
- Tu mens ! Le sceau ne peut être brisé sans entrainer la mort de son Jinchuriki !
- Preuve qu’il en est que si ! Sinon, je ne serrais pas ici à discuter avec un crétin que je devine être le chef de l’Akatsuki !
Le visage de Pein vira au rouge et il se retint à grande peine pour ne pas frapper la jeune femme.
- Très bien, si ce que tu dis est vrai, nous n’avons pas besoin de toi. Nous nous débarrasseront de ta vie une fois Kyubi capturé.
Consciente que ce qu’elle dirait risquait de lui coûter la vie, Naoki rétorqua avec fermeté :
- Ce que vous faites ne sert à rien ! le sceau qui retenait Kyubi a disparu en même temps que celui de Shichibi !
Le bras du chef se détendit à la vitesse de l’éclair. Il empoignât le col de la veste de la Junin et la souleva avec une facilité déconcertante de façon à ce que son visage soit juste en face du sien. Ses yeux brillants d’un éclat métallique et ses orbes dans ses pupilles devenant de plus en plus foncées sous le coup de la colère. Il lui susurra à l’oreille des mots plein de poison et Naoki tressaillit, comprenant ses intentions. Elle poussa un cri de détresse intérieur quand elle sentit Pein se mettre debout sur le lit et l’une de ses mains se glisser sous ses vêtements…


Naruto avait du être ligoté, enchaîné enfermé et la porte avait été scellé pour ne pas qu’il se jette à la rescousse de Naoki. Son regard était vide de toute expression et il regardait le sol sans le voir. Les chaînes et les cordes semblaient inutiles tant il était immobile. Deux heures s’écoulèrent sans qu’il n’esquive le moindre geste, seule sa poitrine se soulevait de temps à autre.
Akiro arracha le scellé et se faufila lentement dans la pièce. Naruto ne broncha pas. Le Yondaime poussa un soupir et détacha son frère sans pour autant que celui-ci ait une réaction quelconque. Akiro le prit dans ses bras et traversa le village avant de le poser sur son lit.
- Je vais aller te chercher à manger, ne bouge pas.
Quand il revient, se fut sans surprise qu’il vit le lit vide et la fenêtre ouverte. Mais, un détail attira l’attention d’Akiro. L’étui à kunai et à shuriken ainsi que les trois sabres de Naruto étaient toujours présents alors qu’il ne partait jamais sans en mission. Preuve qu’il était toujours dans le village. Il sortit de la chambre pour prévenir les autres et se lancer à sa recherche.

Naruto s’était arrêté au terrain d’entraînement numéro sept. Regardant avec nostalgie les trois poteaux. Le temps passa et il ne bougeait toujours pas. Le ciel commença à se couvrir de nuages gris et la pluie se mit à tomber. Lui, restait insensible au froid et à l’eau.
Yukihi et Akaiheiwa étaient partis aussitôt après l’annonce de la capture de Naoki pour tenter de trouver le repaire de l’Akatsuki. Kyubi, juste avant de partir l’avait proprement assommé pour l’empêcher de les suivre et de se jeter dans la gueule du loup. Quand il s’était réveillé, toute l’équipe Alpha s’était liguée contre lui pour l’empêcher de commettre une folie et il s’était retrouvé enchaîné.
Naruto se retourna en sentant une présence derrière lui.
- Sasuke…Que viens-tu faire ici ?
- Je te cherchais. Tout le monde s’inquiète pour toi et ton père est en train de s’arracher les cheveux d’inquiétude.
- …
- …Ecoute, si on t’a empêché d’y aller, c’est parce que nous savons très bien qu’ils ont posé des pièges et nous ne voulons pas que tu sois blessé…
- …
- Mais bordel ! Dis quelque chose ! Tu crois que tu es le seul à vouloir partir ? Moi aussi j’ai envie d’y aller Naruto ! J’ai envie d’y aller pour sauver la femme qui a su apporter une touche de joie, d’amour et de couleur dans la vie de mon meilleur ami !
Naruto baissa la tête, ne parlant toujours pas. Les paroles de Sasuke l’avaient touché en plein cœur. Pourtant, au fond de lui, il en avait marre. Marre de voir des gens le regarder avec haine et terreur. Marre qu’à chaque fois qu’il avait un ami, celui-ci se faisait aussitôt blessé physiquement ou psychologiquement. Marre de perdre sans arrêt des êtres chers…
Sasuke se calma un peu et se radoucit devant l’air égaré de son coéquipier.
- Tu sais, commença-t-il avec hésitation, je comprends ce que tu ressens et…
- Non, le coupa Naruto en relavant la tête.
- Hein ? (2 mon p’tit Sasuke, après 1 y’a 2…Désolé ! Fallait absolument que je le mette !!!)
- Non...Tu ne peux pas comprendre ce que je ressens Sasuke…
- Mais qu’est-ce que tu racontes ! s’exclama Sasuke abasourdit devant les yeux remplis de larmes de Naruto.
- Je n’ai jamais connu mes parents Sasuke…Je n’ai jamais su ce qu’on ressentait quand un père ou une mère félicitait son enfant pour une bonne note ! Je n’ai jamais eu d’anniversaire ou de fête à proprement parler ! A chaque fois que j’avais une mauvaise note, que je me faisais gronder par un professeur pour une chose que je n’avais pas faite, que des enfants se moquaient de moi ou que des adultes me battaient, quand je faisais un cauchemar, personne n’était pour me consoler, PERSONNE !
Les larmes coulaient librement sur les joues de Naruto. Sasuke, lui, restait immobile et muet fasciné, abasourdi par la tristesse qu’il voyait sur le visage de Naruto. Une tristesse incommensurable, et ses yeux océans brouillaient. Du coin de l’œil, il aperçut certains de ses amis, alarmés par les cris du blond désespéré, arriver sur les lieux.
Naruto reprit, ignorant le groupe d’arrivants qui ne cessait d’augmenter au fur et à mesure qu’il parlait :
- Peu après, j’ai rencontré Iruka…pour la première fois de ma vie, j’ai senti un regard et une présence chaleureuse, dénuée de haine. J’étais heureux et pour le remercier, je me suis mit à rire et à sourire pour ne pas l’inquiéter et ce, même si tout allait mal. Toi, tu avais enfouit tous les sentiments qui étaient en toi. Moi, j’ai fait presque la même chose, j’ai banni la tristesse et le désespoir de ma vie. Les seules fois ou je m’autorisais à pleurer, c’était chez moi, quand j’étais seul. En classe, je me suis mi à faire le pitre pour qu’on me remarque. Mais, ce que vous ignoriez, c’était que même si je n’en avais pas l’air, j’écoutais et je connaissais mes cours par cœur, sur le bout des doigts. Seul le multi clonage me posait problème.
Les amis de Naruto se regardèrent abasourdis. Ce n’était pas possible.
Inconscient de ce qu’il se passait autour de lui, le ninja blond continua, se replongeant dans ses souvenirs :
- Cela ne t’a pas mis la puce à l’oreille quand nous avons combattu Zabuza quand grâce à moi nous avons pu libérer Kakashi-sensei et détruire le Mizu Bunshin de Zabuza alors que c’était le soi-disant « boulet de l’équipe » qui avait mi en place le plan ? Crois-tu que je n’avais rien remarqué quand Orochimaru t’avait apposé la marque lors de l’examen Chunin ? Mais non, pour toi comme pour les autres, j’étais qu’un incapable, un cancre sans intelligence, tout juste bon à faire le pitre et à rire !
Ils se regardèrent. Tout ce que Naruto disait était vrai. Combien de fois les avait-il sauvés ? Combien de fois avait-il fait ou dit quelque chose de juste et approprier à la situation ? Mais non, eux, ils étaient resté sur l’idée du cancre et n’avaient pas changé d’opinion.
Les larmes coulaient de plus en plus sur ses joues. Ses poings se serraient à intervalles réguliers, son corps secoué de sanglots incontrôlables. Ils se regardèrent, jamais ô grand jamais il n’avait vu pleurer Naruto…
- Quand…Quand tu parlais de vengeance contre ton unique famille, Itachi, au fond de moi, je te comprenais mais aussi, je pleurais. Tu voulais tuer ton unique famille alors que tu avais la chance d’en avoir une ! Quand tu es parti rejoindre Orochimaru pour cette raison là, j’ai eut l’impression que tout mon univers s’effondrait. Je te considérais comme étant mon meilleur ami ! Tu étais mon frère ! Et toi…toi…Comprends-tu seulement la souffrance que ton départ à causé ? Pas seulement à moi mais à Sakura, Ino et aux autres ? Le penses-tu seulement ?! Je me suis créé une carapace autour de moi et je suis parti pour m’entraîner. Pour combler le vide qui étais en moi. A mon retour, quand je t’ai vu...Je suis mort, Sasuke…Celui qui était en moi est mort ! Quelque temps après, j’ai apprit que celui qui avait scellé Kyubi en moi n’était autre que mon frère aîné ! J’étais à la fois heureux de connaître enfin ma famille, de savoir mes origines…Mais, à cause de ton départ, toutes ces révélations se sont transformées en tristesse et en amertume…Prétextant le fait que je devais réfléchir et m’entraîner, j’ai quitté le village. Deux mois plus tard, je suis revenu avec une nouvelle identité et surtout masqué. Et ô miracle ! Tous les villageois m’acceptaient pour ce que j’étais réellement, pour la première fois de ma vie, j’ai eu une existence pleine de joie de vivre et de chaleur…Puis tu es revenu…Tu as tout de suite étais réintégré au village…A ton avis…Si moi j’avais déserté…Crois-tu que je serais redevenu aussi facilement un ninja de Konoha ? Non ! J’aurais été exécuté comme une bête ! Parce que personne ne me faisait confiance, PERSONNE !!!! Et alors que j’ai enfin trouvé quelqu’un que j’aime de tout mon cœur, de toute mon âme et que c’est réciproque, il faut que l’Akatsuki s’en mêle et que des imbéciles faisant partie du Conseil mettent des heures à décider si oui ou non nous irons la récupérer ! J’en ai marre ! Quoi que je fasse, pour vous, je ne suis rien !
Après ces paroles qu’il avait plus hurlé qu’autre chose, il disparut dans un nuage de fumée sous les yeux de sa famille, des Hokage, des ses amis et d’une bonne partie du village.


Un claquement sonore retentit.
Pein avait la tête tournée sur le côté. Naoki avait sa veste du Junin à moitié ouverte et elle avait toujours la main levée et la marque rouge qui apparaissait peu à peu sur la joue de l’homme en face d’elle témoignait de la force qu’elle avait mit dans sa claque.
Le chef de l’Akatsuki tourna lentement ses yeux vers elle et elle déglutit avec peine. Les tourbillons avaient disparut tout come l’éclat métallique de ses yeux. En fait, ses pupilles étaient sans vie…comme s’il venait de mourir. Sans un mot, il la lâcha et sortit de la pièce, fermant la porte derrière lui.
Epuisée, Naoki se laissa tomber sur le lit. Son corps se mit à trembler et elle se mit en position fœtal, secouée de sanglots.
- Naruto…

Le Nidaime Hokage, -Hokari de son vrai nom- courait à toute allure sous la pluie, à la recherche d’une personne aux cheveux blonds.
Quand enfin il la trouva, plusieurs heures s’étaient passées et la nuit était tombée depuis belle lurette. Naruto était assit, le dos contre un arbre, les jambes repliées contre sa poitrine, la tête dans le creux des ses bras.
Doucement, Hokari s’approcha de son petit-fils et s’aperçut que celui-ci dormait, les yeux encore rougis par ses pleurs. Il poussa un soupir et le prit dans ses bras faisant tomber un rouleau de la veste de Junin de l’endormit. Surprit, le Nidaime le chargea sur son dos avant de prendre le rouleau et de le lire. Ses yeux s’écarquillèrent de surprise et il sourit en regardant son descendant.
« Ca alors ! Il a réussit à maîtriser ses technique alors qu’il n'est que d’affinités Futon et Suiton ! Sarutobi-san et Tsunade-chan avait raison. Il surpasse Akiro même si celui-ci a vaincu Orochimaru… »

Plus loin, deux formes floues se faufilaient de couloir en couloir, cherchant à retrouver leur chemin. Il y avait une femme et un homme. La jeune femme avait les cheveux châtains aux épaules et des yeux bleu-vert. Elle portait un pantalon bleu -dont le tissu ressemblait à du jean- rentré dans des bottes noires. Elle avait aussi un T-shirt à manches longues blanc par-dessus duquel il y avait un poncho à col roulé bleu marine.
Son compagnon avait les cheveux noirs coupés courts et mesurait une tête de plus qu’elle. Il était vêtu d’un pantalon et d’un pull noir avec des chaussures de la même couleur. Sur son haut, au niveau du cœur, il y avait un petit nuage rouge entouré de blanc.
Soudain, la jeune femme vacilla et il la retient juste avant qu’elle ne tombe au sol.
- Vous êtes sûr que vous allez bien ? demanda-t-il.
- Oui, ne t’inquiète pas Hikari-san. C’est juste un étourdissement.
- Allez voir votre père alors que vous êtes dans cet état n’est pas très conseillé.
- Il ne me fera rien. Mon père sait parfaitement que s’il me fait quoique se soit, il ne verra pas le lendemain. Il est mille fois plus puissant que mon père…
Hikari ne répondit pas et ils continuèrent leur route. Au détour d’un couloir, ils virent Pein sortirent d’une chambre.
Le jeune homme mit un genou à terre et baissa la tête en signe de respect. La femme baissa un peu la tête avant de la relever et de le saluer :
- Bonjour…Père…

Akiro jouait distraitement avec un kunai. Il savait que Naruto avait eu une enfance difficile mais que ça soit à ce point… jamais. Il poussa un soupir.
« A l’époque, je ne savais pas qu’il était mon petit frère…Mais quand j’ai scellé Kyubi, au lieu de penser à l’avenir du village, j’aurais du penser à l’avenir de celui en qui je le scellais… »
Il sursauta quand la porte s’ouvrit en coup de vent sur sa mère, les cheveux encore plus en bataille qu’en temps normal, un énorme sourire aux lèvres.
- Akai-san et Yukihi-chan viennent de rentrer. Ils ont localisé le repère ! L’équipe Alpha au complet les accompagnera !

Quand Naruto se réveilla, il faisait encore nuit et il se trouvait dans une chambre qui lui était inconnue.
- Tu devrais te rendormir pour reprendre des forces.
Il sursauta et se tourna vers l’unique fenêtre de la pièce. Là, assis sur le rebord, une jambe dans le vide se tenait son grand-père.
- Hokari ?
- Yo ! Bien dormis ?
- Qu’est-ce que je fais ici ?
- Je t’ai trouvé dans la forêt et je t’ai ramené.
- Ah…
- Ca n’a pas l’air de t’enthousiasmer plus que ca…
Devant le silence qui suivit, le Nidaime poussa un soupir. Il se leva et s’avança vers le lit tout en fouillant dans sa poche. Il en sortit le rouleau et le tendit vers le blond. Celui-ci le prit, un peu surprit.
- Comment ?
- Quand je t’ai pris dans mes bras, il est tombé. Et puis…félicitation ! Manier un Katon alors qu’à l’origine tu n’as pas d’affinité envers cet élément est un succès. Peu de gens pourraient y arriver.
Naruto garda la tête baissée, son poing s’était resserré sur le rouleau et ses mains tremblaient. Hokari le remarqua et s’assit sur le lit, le prenant dans ses bras et le berçant doucement.
- Vas-y, pleure un bon coup, ca te ferra du bien, tu verras.
Il ne se passa tout d’abord rien puis, peu à peu les épaules de Naruto furent secouées de tremblement avant qu’il n’éclate en sanglots. Hokari continuait de le bercer doucement.
De longues minutes passèrent avant que Naruto ne s’endorment, les yeux rougis pas les larmes. Le Nidaime le rallongea en prenant garde à ne pas le réveiller. Puis, il partit prévenir les autres de l’état de Naruto. Il leur dit qu’il dormait pour se préparer pour le lendemain et la mission de récupération de Naoki. Cela, il l’a noté sur un bout de papier pour prévenir Naruto. Il l’a posé sur la table de chevet à côté d’une corbeille de fruits.

Les yeux de Pein flamboyèrent. Il n’aimait pas voir sa fille en dehors de sa chambre.
- Que viens-tu faire ici ?
- Eh bien…aujourd’hui, c'est l’anniversaire de la mort de mère et je suis venue vous demandez si vous vouliez m’accompagniez à sa tombe.
La claque siffla et la fille du chef de l’Akatsuki se retrouva au sol. Pein allait lever une main pour la frapper une seconde fois quand Hikari s’interposa et reçut le coup à la place. Sa tête se cogna contre le mur et il s’effondra inconscient. Pein eut un regard de dégout pour lui et se tourna vers sa fille qui était restée immobile, le regard baissé. Il l’empoigna durement et la poussa à l’intérieur de la chambre dont il venait tout juste de sortir. Ensuite, il prit par le pied Hikari et le traina ainsi dans les couloirs.

Naoki sursauta quand la porte s’ouvrit. Elle se recroquevilla sur elle-même quand elle entendit la porte se refermer avec un claquement sourd précédé d’un choc. Elle s’attendait à sentir la main de Pein sur elle. Aussi, fut-elle surprise d’entendre des sanglots. Lentement, elle se redressa un aperçut une jeune femme d’environs dix-huit ans, prostrée, les épaules secouées de sanglots.
- Qui es-tu ? demanda doucement Naoki.
- Je…Je m’appelle Natsuhi Fubuki….Je…je suis la fille de Pein…




Je crois que c’est le chapitre le plus long de cette histoire…
J’ai dû tout modifier de haut en bas à propos de Pein.
Au départ, il était sensé être le jumeau de Naruto, né trois mois avant. Il aurait été enlevé par des ninjas d’Ame pour une demande de rançon puis, ceux-ci avaient fait croire à sa mort…
De plus, je tiens à remercier Tookuni pour son one-shot « ma gueule » qui m’a inspiré la crise de nerfs de Naruto.
Voici le lien : : http://www.fanfic-fr.net/fanfi
Bref. Ca vous a plut ?





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