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Fiction: Tu me donne un coma !

Dans la petite vie de Sicilia tout ce chamboule au moment de la rencontre d'un garcon a la chevelure bleu,ne savent plus ou donner de la tete elle si colle au mur !
Spoil | Humour | Mots: 1158 | Comments: 2
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orochigirl (Féminin), le 20/09/2010
Bon je crois bien que c'est bon ! A vous d'en décider !



Chapitre 1: François, T'es mort.



Je m’extirpai difficilement du vieux canapé tout moisi qui trônait dans le salon tout miteux de ma sœur et me dirigeai vers la salle d’eau pour aller faire pipi. Après cette magnifique série de seize mouvements, je sortis et allai réveiller ma sœur de la manière la plus affreuse possible, l’eau ! Je pris le verre d’eau sur sa commode, qu’elle laisse toujours là, et le lui versai à la figure ! Elle cligna des yeux convulsivement et comprit que ce n’était pas une nouvelle fuite du plafond ! Elle sauta de son lit et me courut après. Je fis des bonds et des roulades au sol pour éviter tous les objets qu’elle me lançait en criant et en pestant après moi. Comme si je venais en envoyée de Satan !

- Sicilia, sale peste, je vais te marteler la tête à coups de machette !

Elle me courut après à en perdre haleine et abandonna, prétextant avoir faim (quelle goinfre). Elle prépara des gaufres et partit travailler avec dix minutes d’avance, comme d’habitude… Et je me retrouvai comme chaque matin, seule avec mes livres et mon chat obèse, François. Ce chat était attachant, mais tellement laid ! Je l’avais trouvé dans une poubelle voisine à lécher des couches (ouah) malodorantes. Je ne sais pas. Je regardai l’horloge et remarquai mon retard pour l’académie, je tentai une approche tactique en appelant pour motiver mon absence... J’appelai au secrétariat.

- Bonjour, je suis Mathilde, que puis-je faire pour vous aider ?

- (voix muée) Bonjour, je suis la mère de Sicilia, No Matsu, elle sera absente aujourd’hui.

- Ah oui, pourquoi donc madame l'Hokage ?

- Euh, eh bien elle a une énorme diarrhée ! C’est HO-RRI-BLE ! Un vrai carnage de maïs et de noix ! Elle souffre beaucoup.

- Les qualificatifs étaient inutiles madame, passez une bonne journée...

Danse de la victoire ! Cris de victoire !
Toute fière de mon mensonge je me réinstallai pour la sieste et me réveillai quelques heures plus tard, affamée comme tout. Je sortis de l’appart' pour aller dîner vers deux heures, si j’en crois l’horloge. Une fois assise au comptoir je commandai une assiette de légumes sautés et un verre de jus de pastèque, après avoir regardé autour de moi plusieurs fois je pris la flasque dans mon sac à main et versai du liquide dans mon verre de jus puis je serrai l’objet dans le sac. Je pris une grande gorgée, et sortis trois aspirines liquide-gel, au moment où je me décidai à mettre la dernière dans ma bouche, une main m’arrêta en tenant mon poignet si fermement que j’en lâchai le petit comprimé vert. Sur la défensive, je lui dis avec un air rageur :

- Heille, de quoi tu te mêles !

- ...

- Lâche ma main ! Tu me fais mal ! Gros imbécile... Ignoble personnage !

Il me lâcha et j’en profitai pour mettre un billet sur le comptoir et quitter le restaurant en buvant à même ma flasque tellement j’en avais assez de devoir être miss parfaite ou Sicilia la petite sage, allez tous chier ! Je sortis du village et allai marcher dans la forêt de la mort. Après une bonne dizaine de minutes de marche, je m’effondrai saoule comme jamais près d’un arbre qui avait l’air de danser le boogie-boogie ! Comme c’était majestueux, ce si bel arbre qui dansait pour Dame Nature ! Ô, oasis de paix, je me sens tellement pas bien ! Étais-je au ciel ? Ou en enfer ? Mouhahaha ! Je suis folle, j’en suis absolument certaine… La chute du toit de l’académie doit en être la cause, saleté de Kiba qui tenait absolument à ce que j’essaye, pour ensuite me guérir moi-même comme si j’en avais été capable, mais bien sûr j’en suis incapable… J’aurais juste voulu voir la face de ma mère quand elle m'a vue toute désarticulée sur le ciment ! Une chance que mon "meilleur" ami de toujours l’eût filmée… Pour évidemment prouver que j’étais bel et bien sa fille, je ne suis pas trop sûre de l’identité de mon père, mais vu ma peau laiteuse et ma langue anormalement longue, je parierais sur le vilain Orochimaru. J’ai sûrement été conçue après une soirée bien arrosée entre ma mère et Orochimaru.

- Oh la la.

De très légers bruits de pas se firent entendre, oh, mon dieu... C’était lui qui arrivait, j’en étais sûre. Je vis du coin de l’œil le garçon du restaurant, celui qui apparaissait sur chaque article de journal à côté de Sasuke et qui par pur hasard me rencontrait… Suigetsu. Il me donna de l’eau à boire et m’aida à m’asseoir. Il brisa le silence en premier.

- On ne se connaîtrait pas, par hasard ?

- ...

- ...

- Je suis la fille de Tsunade... *Hic*.

Il me regarda, abasourdi, et dit :

- QUOI !?

- Wow, wow ! Tu n'es pas obligé de crier... Comme tu peux le voir, J’ AI DES OREILLES ! Je me mis à tirer sur celles-ci pour lui prouver leur présence...

- Eh bien... C’est bon à savoir ! Ça fait longtemps que tu en as ?

- ... Euh, c’est une bonne question !

Il rigola à gorge déployée (ça veut dire quoi au juste ?)
- Je vous déteste ! (Oui, je sais. Réaction très mature. C’était pas ma faute si je n'étais qu’une pauvre adolescente en pleine crise existentielle, accro au chocolat et à l’alcool !) Ma mort doit arriver, je vois une lueur !

- C’est seulement un coucher de soleil, me dit-il d’un air faussement découragé.

Je me levai et courus en essayant de ne pas trop tituber jusqu’à l’appart', pour aller voir mon confident de toujours, François !

- FRANCOIS ! T’es où mon gros roux ?

Comme le vrai paresseux que je connaissais, il était étalé sur le canapé du salon à licher les graines de biscuit et autres choses que je n’oserais pas nommer. Beurk. Ce gros chat me dégoûte !

- Tu sais quoi ? J’crois que j’ai enfin trouvé, il m’est apparu comme ça, "POUF".

- …

- C’est ça, hein, tu t’en fous ! Tu m’ignores ? M’en t’en faire moi ! Tu l’as cherché sale bouffeur de couches !

Je le pris avec beaucoup de misère et le brassai de gauche à droite.

- T’es juste un MÉCHANT, MÉCHANT CHAT !

Je lâchai le chat et vis le gars, oh, mon dieu, il m'avait vue brasser le truc, euh, le chat roux, et lui parler en plus ! Il doit me trouver folle ! Je me dirigeai vers le mur le plus proche et me cognai le plus fort possible la tête contre le mur et le plus de fois possibles avant de m’écrouler comme une masse par terre, la seule chose que je vis était un bruit étouffé puis une marée de cheveux bleus... Merde !



T'es juste un méchant méchant chat!!! ( C'est ma partie fétiche)
Com'Z?




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