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Fiction: La vie de Sabaku No Gaara

Certains diront que c’est le destin qui les amené à se rencontrer. D’autres un coup du hasard. Mais tous seront d’accord pour dire que leurs vies ont été jalonnées d’obstacles. Ainsi le jeune Gaara découvrira la cruauté du monde dans toute sa splendeur alors qu’il connaitra le bonheur avec une petite fille nommée Tsuki. Bonheur rapidement volé par des adultes impitoyables. Ils vont devoir se perdre pour mieux s’aimer. Malgré les pronostics sombres de l’adversité, ils vont se retrouver.
Classé: -12D | Spoil | Général / Romance | Mots: 132969 | Comments: 393 | Favs: 232
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Sanephar (Féminin), le 11/03/2007
J'avais dis que je mettrais du temps à publier ce chapitre mais les com's m'ont tellement motivés que je me suis mise à écrire en délaissant mes petits devoirs -_-
Bref ces temps-ci je de l'inspiration et ceux en partit grâce à vos com's ^^
Sur ce je remercie Akuma Katame, hanabi san, myself, Felindragon et bien évidement tous ceux qui continuent à mettre pleins de com's ^^
Je papote beaucoup là, allez place au chapitre 9 !!

Bonne lecture !!




Chapitre 9: Une famille pour Gaara



Tsuki s’éveilla petit à petit. Elle se sentait encore fatiguée et entreprit de se rendormir quand quelque chose attira son attention : des yeux verts qui l’observaient.
« - KYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! » Cria Tsuki en reculant en arrière et en tombant du lit.
Elle se massa le dos en se maudissant d’avoir oubliée qu’elle dormait au bord.
Elle leva les yeux vers le lit et vit Gaara qui s’était redressé et la regardait avec curiosité.
« - Gomen ! J’ai du mal à me réveiller le matin ! Et du coup j’ai oubliée que tu dormais avec moi. Dit la brune en se grattant la tête visiblement embarrassée
- Bonjour Tsuki-chan ! » Répondit Gaara d’un ton enjoué.
Tsuki soupira de soulagement, elle avait eut peur qu’il lui en veule de l’avoir oublié pendant quelques secondes.
Tsuki se leva et passa la main dans les cheveux. Son teint devint alors livide.

Gaara regarda Tsuki qui avait pâlit et qui semblait terrifiée.
« - Quelque chose ne va pas Tsuki-chan ?
- J’ai oubliée de m’attacher les cheveux ! Ma mère va me tuer !
Gaara regarda les cheveux en batailles de son amie et c’est vrai qu’elle allait certainement passer du temps à les coiffer.
« - Je vais te montrer la salle de bain pour tu fasses ta toilette. » J’irais après toi. Dit Tsuki.
Gaara était amusé de voir Tsuki regarder dans tous les coins pour voir si sa mère n’était pas dans les parages. Alors qu’ils atteignirent la salle de bain, une ombre menaçante se dressa devant eux et Tsuki émit un « gloups » des plus inquiétants.
Gaara entra dans la salle de bain tandis que la mère de Tsuki entraina sa fille avec force dans sa chambre, une brosse à la main.
Le petit garçon aux cheveux rouges se demandait si les regards apeurés de Tsuki étaient réels ou exagérés.
Lorsqu’il sortit de la salle de bain, il entendit un cri de douleur et se précipita vers la source de ce bruit.
Quand il arriva dans la pièce, il vit Tsuki avec une mine refrognée et sa mère essayant difficilement de démêler les cheveux de la brune.
« - AIE maman ! Tu me fais super mal !
- Ce n’est pas ma faute si tu es douillette !
- Même pas vrai d’abord ! C’est toi qui tire super fort parce que tu es en colère.
- Tu n’as qu’à tresser tes cheveux. On n’est serait pas là tu l’avais fais.
- Tu vois ! Tu es en colère !
- Chipie ! Je vois chercher du démêlant. »
La mère de la petite partit et Tsuki lançant d’un ton joyeux :
« - Tu peux entrer Gaara-kun, tu ne nous dérange pas. »
En faite Gaara regardait la partie des cheveux coiffée de Tsuki et une envie imprenable de les toucher s’empara de lui.
Il s’approcha de son amie et caressa doucement les longs cheveux fins de celle-ci.
« - Tes cheveux sont tout doux ! Dit-il.
- Ma mère veut à tout prix que j’ai de beaux cheveux. Alors c’est pour ça tout à l’heure qu’elle était un peu en colère. »
Gaara continua à passer ses petits doigts dans les cheveux brins de la fillette ne se lassant pas de la douceur de ceux-ci.
« - Tu veux me coiffer ? Demanda-t-elle en lui tendant la brosse à cheveux.
- Je vais te faire mal aussi.
- Mais non ! Et puis j’ai un peu l’habitude avec maman. »
Gaara prit la brosse et la passa lentement dans la partie des cheveux emmêlés de Tsuki. Malgré les quelques nœuds, Gaara réussit à coiffer Tsuki.
La mère de Tsuki entra et sa fille la regarda d’un air malicieux :
« - Gaara-kun a réussit à me coiffer et sans me faire mal ! »
Dans une réaction totalement mature qu’une mère puisse avoir, elle lui tira la langue et partit en disant qu’elle devait préparer le repas.
« - On s’est levé tard quand même » Dit Tsuki
La sonnette retendit et la mère de Tsuki demanda depuis la cuisine :
« - Tsuki tu peux aller ouvrir ?
- Oui ! Attends moi ici Gaara-kun, je reviens. »

Elle déambula les escaliers et ouvrit la porte en clamant un bonjour des plus matinal. Mais son sourire disparut quand elle reconnut Yashamaru, l’oncle à Gaara.
« Bonjour je suis venu chercher Gaara-sama.
- C’est obligé qu’il parte maintenant ? Demanda Tsuki d’une voix triste.
- Oui Kazekage-sama va entrainer Gaara-sama dans l’après-midi. »
Vaincue, la petite brune allait appeler Gaara mais celui-ci descendit les marches.
Il avait reconnut la voix de Yashamaru et comptait obéir aux ordres de son père même s’il préférerait rester avec Tsuki.
« - Etes-vous bien amusé Gaara-sama ?
- Oui.
- Allons-y, votre entrainement sera après le repas. Il vaut mieux que vous rentrez toute suite pour avoir le temps de digérer.
- D’accord.
- Bonne journée Gaara-kun ! On se retrouve demain à la balançoire ?
- Oui. A demain Tsuki-chan ! »

Gaara et Yashamaru partirent. Tsuki rentra dans la cuisine et aida sa mère pour le repas.
« - Pff … je vais m’ennuyer cet aprèm’ ! Dit Tsuki en mettant la table.
- De quoi tu parle ? Tu compter ne rien faire ? Demanda la mère de l’enfant en posant un plat sur la table.
- Tu vas encore me donner pleins de trucs à étudier ??
- Tu croyais quoi ?
- J’ai toujours su que tu voulais me tuer à la tâche !
- A ce que je sache, personne n’est mort en étudiant.
- Et ben … si ! Je pourrais très bien faire une commotion cérébrale et …
- Est-ce que tu sais ce que c’est au moins ?
- Euh … non ^^
- Ca te fera une occasion d’apprendre.
- Je devrais me réjouir ?
- Oui car si tu travaille bien, je t’autoriserais à aller voir Gaara TOUTE la journée demain.
- C’est vrai !?
- Puisque je te le dis.
- Oh bah j’attaque toute suite alors !
- Attaque plutôt ton assiette ! »
Tsuki ne se fit pas prier et mangea en deux bouchées le contenu de son assiette. Sa mère se demanda si sa fille n’allait pas dévorer les couverts par la même occasion.
Une fois le repas finit, Tsuki se mit à travailler avec empressement, bien trop pressé de terminer ses études de la journée afin de pouvoir passer la journée entière avec Gaara le lendemain.

Gaara regarda avec horreur son sable se diriger vers l’homme qui lui servait d’adversaire pendant l’entrainement. Le sable frappa le Shinobi de plein fouet, le blessant sévèrement à l’épaule.
Gaara paniquait. Pourquoi n’arrivait-il pas à contrôler son sable certaines fois ? Pourquoi faisait-il du mal aux gens sans qu’il le veuille ?
Gaara regarda le sang de son adversaire s’écouler lentement le long de sa veste.
Il se mit alors à trembler en posant une main sur sa tête. Il le sentait, cette sensation, cette excitation qui s’échapper de son démon. Cette pulsion, cette envie de tuer que Gaara avait tant de mal à maitriser.
Il se mordit la langue pour se concentrer sur autre chose que cette envie meurtrière. Peine perdue, la douleur et le goût de son propre sang ne faisait qu’exciter davantage son démon.
Le Shinobi s’élança à nouveau vers lui, un kunai à la main. Gaara lui lança un regard apeuré. S’il faisait ça, son sable allait riposter et il allait le …
« - ARRETEZ »
Tout s’arrêta, le sable, le ninja, même le vent semblait s’être arrêté de souffler. Comme si cette voix avait le pouvoir de tout stopper.
Gaara tourna la tête pour voir le Kazekage se tenir droit. Il regarda sévèrement son fils et Gaara sentit des frissons le parcourir.
« - L’entrainement est terminé.» Dit-il froidement avant de partir sans rien ajouter d’autre.
Le ninja s’inclina devant Gaara plus par obligation que par respect et sortit à son tour de la pièce.
Gaara regarda son sable. Une fois encore, il avait déçut son père.

Tsuki se contorsionna dans son lit. Elle avait mangé trop vite et du coup elle en subissait les conséquences. Le point positif de la soirée c’était qu’elle avait finit tous ses cours.
Son sourire disparut quand une nouvelle vague de douleur lui assailli le ventre l’obligeant à se tordre de nouveau.
« - Ses saletés vont pas me lâcher ! Qu’est-ce que je pourrais pour les oublier ? » Grogna-t-elle.
Elle se redressa et ses yeux se posèrent d’emblés sur le journal de Tomiko. Mais oui ! La lecture serait un bon moyen pour oublier sa douleur.
Tsuki se remémora les derniers moments du journal. Tomiko était enceinte de 4 mois à présent et vivait le parfait amour avec Shiro même si parfois il était distant et glacial.
Elle ouvrit le journal et tourna les pages en dévorant chaque ligne.

« …Je vagabondais dans mon lieu. Un endroit que je suis le seul à connaitre … ou plutôt à y aller. Cet endroit ce sont les souterrains de Suna et qui s’étendent par de là le désert. Un endroit qui sert à la fois pour protéger les civils et à combattre les ennemis en temps de guerre.
Ces souterrains son maintenant condamnés à toutes personnes qu’ils soient civils ou Shinobis. Et si Shiro-kun apprenait ce que je venais ici, je ne donne pas cher de moi.
Cet endroit lugubre, froid et ferait peur à n’importe qui, mais moi je l’aimais bien, sans doute parce qu’il formait un mur entre moi et Suna. Ces temps-ci Suna était devenu oppressant. Les conseillers me regardaient étrangement, même Chiyo-sama.
Je sais que c’est risqué pour moi, même si je suis la femme du Kazekage les conséquences seront lourdes, quoi que je me demande si je suis toujours la femme du Kazekage. Shiro-kun est à nouveau distant avec moi, encore et toujours … sans que je comprenne pourquoi.
Nos conversations se font rares, il lui arrive même de dormir dans son bureau, à croire qu’il m’évite. Il m’arrive parfois de me demander s’il sait que j’existe toujours.
Mes pas résonnaient dans le couloir pendant que je ruminais mes sombres pensées.
Des voix lointaines retendirent, je fronçais les sourcils et j’observais les lieux. Pour une personne qui ne connaissait pas les souterrains, il lui serait impossible de différencier les couloirs tellement leur ressemblance était frappante.
Je me dirigeais vers la source des voix quand je compris que je me trouvais en dessous du bureau du Kazekage. J’allais partir car écouter les conversations de mon mari sans en avoir la permission était considéré comme une trahison.
« - Et que comptez-vous faire pour Tomiko, Kazekage-sama ? »
Je me stoppais net. Pourquoi parlaient-ils de moi ?
« - Rien. Elle ne se saura rien. Son but c’est de mettre au monde l’enfant qu’elle porte. Elle n’existe que pour ça.
- Vous avez fais en sorte qu’elle tombe enceinte ?
- Oui. Chiyo m’a donné des fertilisant pour elle.
- Veuillez m’excusez de mon insolence Kazekage-sama, mais votre femme devrait être au courant que vous allez sceller le Shukaku du sable dans le corps de l’enfant.
- Elle n’a pas besoin de savoir tous ces détails. »
Je préférais ne pas entendre la suite de cette discussion. J’avais l’impression que … »

Tsuki referma le journal en vitesse et le cacha sous son oreiller. Quelques instants après, sa mère entra.
« - Je viens te souhaiter bonne nuit.
- Oh je peux encore rester un peu éveillée ?
- Non. Tu as beaucoup travaillée alors tu te couche tôt.
- J’arriverais pas à dormir de toute façon ! J’ai mal au ventre.
- Tu n’as qu’à manger plus doucement. Tu t’en souviendras la prochaine fois.
- Je peux avoir un médicament s’il te plait ?
- Non. Je t’ai déjà dis que les médicaments doivent être utilisé que dans le cas où le corps ne peux pas se défendre seul. Ce n’est pas bien l’automédication.
- Et les douleurs c’est bien ? Mon confort ne compte pas ? Tenta Tsuki sur un ton calme.
- N’essaye pas d’argumenter. Allez au lit maintenant !
- Bon d’accord. Bonne nuit maman ! »
La mère de Tsuki embrassa sa fille et éteignit la lumière
« - Et que je ne voye pas de lumière une fois le dos tourné. » Dit-elle en refermant la porte.
Tsuki sourit sous ses couvertures. Une fois que le calme envahit la pièce, elle rangea le journal dans sa table de nuit et se glissa à nouveau dans ses couvertures.

Gaara se laissa glisser le long du mur. Cette journée était des plus dures. Il était abattu, il avait déçut son père. Il avait du mal à accepter qu’un démon vivait dans son corps mais le village ne l’aidait pas et il avait l’impression que son père commençait à le haïr. Comme il aurait aimé avoir une famille. Que sa grande sœur et son grand frère jouent avec lui. Que son père s’occupe de lui. Il ne savait même pas ce que c’était d’avoir une mère, certes il pouvait s’en douter mais pas totalement le ressentir.
Il commença à sangloter doucement. On lui avait dit que pleurer faisait du bien, mais ça ne faisait partir la terrible douleur qu’il avait au creux de sa poitrine. Cette douleur qui lui donnait l’impression que son cœur se comprimait jusqu’à ce l’éclatement.
Il ramassa ses petites jambes contre lui et les entoura avec ses bras. Il enfouit son visage contre ses cuisses pour cacher les preuves de sa faiblesse : ses larmes.
Il continua à pleurer jusqu’à ce qu’il sentit une douce chaleur se poser sur son épaule. Il tourna son visage larmoyant et vit Tsuki le visage inquiet.
« - Pourquoi est-ce que tu es…
- Je m’inquiétais pour toi … par rapport à l’autre nuit quand tu n’allais pas bien, j’ai eu comme … un mauvais pressentiment … j’ai eu la sensation … que tu étais triste.
Elle allait se lever mais Gaara lui agrippa le bras.
« - S’il te plait … reste avec moi …
- Je ne peux pas. Je n’ais pas prévenue ma maman. »
Les larmes de Gaara se remirent à couler le long de ses joues pâles.
« - Mais toi si tu veux, tu peux venir. Je suis sur que ça ne dérangera pas maman que tu reste à la maison cette nuit. Et puis tu n’as rien à faire.» Dit-elle d’une voix douce.
Gaara sourit et essuya ses larmes.

Les deux enfants marchèrent côtes à côtes dans les rues silencieuses de Suna. Tsuki racontait des histoires drôles et Gaara comprit qu’elle essayait de lui faire oublier son chagrin. Ca fonctionnait, il arrivait à sourire malgré sa douleur toujours présente dans sa poitrine.
« - Ne ne* Gaara-kun, est-ce que demain on pourra aller dans le désert ?
- Tu veux aller dans les souterrains ?
- Oui, on n’a pas eut le temps de tout visiter la dernière fois.
- D’accord ».
Tsuki s’arrêta devant sa porte. Après une légère hésitation elle l’ouvrit et Gaara en conclut qu’elle avait peur de se faire gronder.

Ce n’est pas vraiment la peur de se faire sermonner qui inquiéta Tsuki. C’est plutôt la peur que Gaara soit jeté à la porte parce qu’elle était sortit sans permission. D’un autre côté si elle n’était pas sortit, il ne serait pas venu. Mais peut être que si elle avait demandé la permission elle ne serait pas dans la mouise et sur le point de se faire …
« - Tsuki ! S’écria la mère de celle-ci en se précipitant pour la prendre dans ses bras. Je me suis inquiétée pour toi ! »
….Enlacé ? Elle ne s’était pas attendue à ça. C’est plus pire que se faire remonter les bretelles, sa mère s’était fait beaucoup de soucis, et elle aurait préférée recevoir une bonne punition que de voir sa mère dans cet état de stress. Qui sait, c’était peut-être une façon d’être punie : culpabilisé.
Mais pour l’instant c’est une autre personne qui avait besoin de réconfort, et qui d’autre qu’une mère pouvait rassurer un enfant ?
« - Il a besoin de nous … Chuchota-t-elle.
La mère de Tsuki regarda alors à l’entrée où se trouver Gaara. Il attendait là, le regard tourné vers le sol, l’air gêné.
« - Gaara …. »
Il releva la tête et regarda la mère de Tsuki. Puis elle lui fit signe de s’approcher. Il hésita un instant puis s’avança vers elle. Alors qu’il ne s’y attendait pas, elle le prit dans ses bras.
La mère de Tsuki serrait contre elle sa fille et le petit garçon aux cheveux rouges.

Gaara était surprit et ne savait pas comment réagir. Le sourire que Tsuki lui faisait par-dessus l’épaule de sa mère l’encouragea à se laisser aller. Il enfouit son visage dans le cou de la mère de Tsuki d’où émanait une odeur de cerise.
Il se blottit davantage contre cette mère qui le serra un peu plus fort.
Cette nuit là Gaara comprit ce que c’était d’avoir une famille. Il savait même ce que c’était d’avoir une mère et une grande sœur grâce à Tsuki et sa maman.
Sa douleur avait disparu. Il se sentait bien et il espérait que ce bonheur durerait toujours.

Yashamaru entra dans le bureau du Kazekage malgré l’heure tardive de la nuit.
« - As-tu une bonne raison de venir me déranger ?
- Oui. C’est à propos de Tsuki, Kazekage-sama.
- Bien alors parle.
- J’ai suivis Gaara sur le toit où cette petite fille l’a rejoint. En écoutant leur discussion j’ai apprit qu’ils transgressaient le décret qui interdit à quiconque d’aller dans les souterrains de Suna.
- Ainsi ils vont là bas ?
- Oui. Allez faire quelque chose ?
- Nous l’avons finalement trouvé … le lieu pour une mort accidentelle. »

*Ne = dis





Je mettrais sans doute un tout petit peu plus de temps à écrire le chapitre 10. Il y a pas mal de chose à faire dedans et en comptant les devoirs que j'ai négligés un peu plus tôt ... Enfin bref.
J'ai eu une envie intenable de répondre à vos com's, j'envisage peut être de le faire à chaque chapitre publié ...
J'aimerais avoir votre avis la dessus ^^

A bientôt ^^
(n'oubliez les petits com's qui vont toujours plaisir ^^)







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