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Fiction: La vie de Sabaku No Gaara

Certains diront que c’est le destin qui les amené à se rencontrer. D’autres un coup du hasard. Mais tous seront d’accord pour dire que leurs vies ont été jalonnées d’obstacles. Ainsi le jeune Gaara découvrira la cruauté du monde dans toute sa splendeur alors qu’il connaitra le bonheur avec une petite fille nommée Tsuki. Bonheur rapidement volé par des adultes impitoyables. Ils vont devoir se perdre pour mieux s’aimer. Malgré les pronostics sombres de l’adversité, ils vont se retrouver.
Classé: -12D | Spoil | Général / Romance | Mots: 132969 | Comments: 393 | Favs: 232
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Sanephar (Féminin), le 29/01/2007
J'avous que le chapitre précédent est cours. Je m'en suis rendue vraiment compte après un com's -_-'
Je m'excuse encore si on n'a pas beaucoup vu Gaara dans le chapitre précédent.
Je tiens aussi à remercier temari68, JackDragoRen, Pomeley, Naru Haruno, kimimaro93_62, jigoro, nioucha, Devil Zabuza, Kyoxgaara mais aussi à tous les autres personnes que j'ai cités dans le précédent chapitre pour votre soutien.
Sur ce, bonne lecture !!




Chapitre 6: A la recherche du cadeau



Gaara entra dans le salon et vit son grand frère Kankurô fabriquer une marionnette. C’était sa passion les marionnettes.
Il chercha sa grande sœur des yeux et la trouva sur le canapé en train de lire un livre sur le ninjutsu. Il s’approcha timidement d’elle et lui demanda :
« - Temari est-ce que je pourrais te poser une question ? »
La petite fille blonde regarda son jeune frère comme si elle le voyait pour la première fois. En faite il fallait dire qu’elle était très surprise que celui-ci lui adresse la parole, lui habituellement si discret, si silencieux. Il fallait également préciser qu’elle faisait tout pour l’esquiver. Ce n’est pas qu’elle n’aimait pas Gaara, non elle ne le connaissait pas assez pour ça, mais on lui avait tellement dit qu’il était dangereux, qu’il était un monstre qu’elle avait finit par le croire.
Elle regarda Kankurô qui haussa les épaules et retourna à son activité. Elle tourna alors la tête et croisa les yeux verts de son petit frère. Elle hocha la tête pour lui dire qu’elle était d’accord.
« - Dis Temari, qu’est-ce que les filles aiment ? »
Les yeux de Temari s’agrandirent et Kankurô avait cessé de bouger, sans doute pour écouter la conversation de son aînée et de son cadet.
Temari réfléchit quelques instants et dit :
« - Ca dépend de beaucoup de chose. Du caractère de la fille, de son environnement, de ses goûts …. C’est difficile de répondre à ta question.
- Je te remercie beaucoup Temari.
- Pourquoi cette question ?
- Pour savoir
- Ah d’accord. »
Elle reprit sa lecture et Gaara s’apprêta à partir quand son oncle l’appela :
« - Gaara-sama le diner sera bientôt prêt. Je vous l’apporterais dans votre chambre.
- Merci Yashamaru. »
Il ne dit rien d’autre et partit dans sa chambre. Il mangeait rarement avec sa famille ou en de rare occasion. Son père rentrait tard donc il ne mangeait pas en même temps qu’eux. Et Kankurô et Temari devaient aussi manger dans leur chambre. Pour Gaara, tous les enfants de Suna faisaient ça.
Yashamaru lui apporta son repas et il sortit aussi vite qu’il était entré sans un mot pour le petit garçon. Gaara mangea dans le silence en se disant que la nuit va être longue.

Tsuki ouvrit le journal de Tomiko et se remémora de ce que disait le livre. Le début du journal parlait de son amour un certain Shiro. Elle avait raconté toutes les rencontres qu’elle avait eut avec lui, leur relation, leur amour, tout les moments passés avec lui. Leur histoire d’amour semblait parfaite mais au fur et à mesure Shiro avait changé, surtout depuis qu’il était devenu le Yondaime Kazekage de Suna. Il semblait s’être rapproché avec les naissances de leurs deux enfants mais quelques mois après la naissance de Kankurô, Shiro s’était fait à nouveau distant. Les années passèrent où Shiro devenait froid et Tomiko souffrait de son absence d’affection. Elle restait avec lui par amour, et sans doute aussi que son action de quitter LE Kazekage serait très mal vu à Suna.
Tsuki entreprit donc de lire la suite.

« Je regarde le village animé. Le soleil se couche et reflète de magnifiques couleurs sur Suna. J’aurais aimée qu’il soit avec moi. J’aurais aimée qu’il regarde ce spectacle avec moi comme au début de notre relation.
Je soupire et décide de rentrer chez moi.
Je suis à peine arrivée que mon fils vient vers moi en criant :
« - Maman ! Maman ! Temari à emmêler les fils de ma marionnette ! Regarde !!
-C’est rien. On va arranger ça. » Lui dis-je.
Je le prie dans mes bras et nous nous installons dans le salon pour démêler les fils de la petite marionnette. Celle-ci n’était pas emmêler au point qu’elle soit inutilisable par la suite. Finalement il nous fallut peu de temps pour y arriver. C’est ce moment que choisit Temari pour entrer dans la pièce.
« - Tu vois, t’avais pas besoin d’en faire tout un plat !
-T’es méchante ! Je vais te casser toutes tes poupées si tu m’embête !
- M’en fiche !
- Et ton éventail que tu as eu pour ton anniversaire ?
- Je vais te casser toutes tes marionnettes si tu fais ça !
- SILENCE !! Si vous vous disputer encore une fois je vous envoie au lit sans manger ! Et demain je vous ferais recopier un livre entier sur la discipline c’est comprit ? » Dis-je à mes deux enfants.
Ils hochèrent d’un signe de tête.
« - Bien. Maintenant au bain ! Après on mange.
- Hai (oui) ! »
Ils partirent en courant trop content d’éviter mes foudres et je souris d’un air amusé quand je les entends se chamailler pour savoir qui aurait la salle de bain en premier.
Je ne vais pas décrire ma soirée en détail. Elle est comme toutes les autres. Je mange avec mes deux enfants. Mon mari rentre tard et se couche sans un moi pour moi. Voici mon quotidien chaque jour …. »

Tsuki referma le livre et le rangea dans sa table de nuit. Décidément Tomiko à l’air d’avoir eut une vie difficile.
La petite fille sourit en repensant à la dispute des deux frères et sœurs de Gaara. Il faudrait qu’elle lui pose des questions pour le connaitre un peu mieux.
Elle regarda l’heure et décida de se coucher. Demain elle devait se lever tôt.

Le lendemain Gaara percuta de plein fouet quelqu’un à l’entrée d’une boutique.
« - Excusez-moi. Je ne vous avez pas vu. Dit une petite voix.
- Ce n’est rien … Tsuki-chan. » Dit Gaara en tendant la main à la petite fille qui était tombée.
Tsuki regarda Gaara se rendant que ce n’était pas un inconnu qu’elle avait
bousculé mais son ami. Elle lui prit la main et se releva.
Gaara ramassa le sac que Tsuki avait lâché en tombant et le lui tendit.
« - Tu voulais acheter quelque chose Gaara-kun ?
- Euh … non. Je me promenais. » Mentit Gaara.
Il serait préférable qu’elle ne sache rien pour son anniversaire.
« - Et toi que faisais-tu ? Demanda à son tour le petit garçon
- J’ai achetée un livre ! Dit Tsuki en sortant un livre de son sac et en lui tendant.
- Un livre sur les plantes médicinales ?
- Oui j’étudie la médecine !
- Ah oui ?
- Oui. J’adore ça ! Je voudrais devenir ninja-médecin !
- Je suis sur que tu y arriveras.
- Tu le pense vraiment ?
- Oui, tu es forte et tu aime beaucoup aider les autres.
- C’est trop gentil ce que tu dis. Toi aussi tu es fort. Oh mince ! Si je tarde trop ma maman va me tuer !!
- Tu as cours ?
- Oui T.T
- Ce soir on se voit toujours ?
- Oui à 17h ! A tout à l’heure Gaara-kun ! »
Sur ce, elle partit en courant. Gaara la regarda partir avec un sourire joyeux. Il attendit qu’elle soit hors de vue pour entrer dans le magasin. Cette entrevue avec son amie lui avait permit de trouver le cadeau dont il était sur que cela lui plairait. A son plus grand bonheur, l’objet tant convoité s’y trouvait. Il l’acheta sous le regard haineux du vendeur qui se demandait ce que le démon de Suna préparait comme coup pour acheter un truc comme ça.
Il partit chez lui pour le ranger dans sa commode et attendit avec impatience la fin de l’après-midi.

Gaara attendit patiemment Tsuki à la balançoire jusqu’à ce qu’il entende sa voix, il se retourna pour la voir mais il ne vit que le désert. Il baissa ses yeux quand il entendit quelqu’un murmurait des mots incompréhensibles. Tsuki avait trébuchée et elle était en train d’enlever le sable de son visage et sur ses vêtements. Gaara sourit en se disant que son amie était adorablement maladroite et qu’il ne se demandait ce qui le retenait de ne pas éclater de rire. Sans doute le manque d’habitude, personne le faisait rire.
Il lui tendit la main pour la seconde fois de la journée.
« - Je suis vraiment bête ! Dit Tsuki.
- Tu es maladroite ça arrive.
- Un peu trop à mon goût. J’ai l’impression de n’avoir que des mauvaises qualités.
- Ne dis pas ça, ce n’est pas vrai.
- Mais toi par exemple, tu es si parfait.
- J’ai moi aussi des défauts.
- Peut-être que je les verrais un jour …
- …
- Et pourquoi ne pas voir tes faiblesses maintenant ?
- Pardon ? »
Sans rien ajouter d’autre, elle se jeta sur lui et le fit basculer en arrière. Le temps semblait s’arrêter et Gaara ne sentit même pas son corps heurter le sable, celui-ci avait surement du amortir le choc. En revanche, il ne l’avait pas protégé de Tsuki. Lui qui habituellement réagissait à tout geste suspect. A moins que ce n’était pas une attaque ?
Tsuki souriait toujours et bientôt Gaara ressentit une étrange sensation. Il riait aux éclats, son corps se débattait tout seul, son cœur s’accéléra et sa respiration fut rythmée par les spasmes qui envahissaient sa poitrine. Tsuki était en train de le chatouiller. C’était agréable et désagréable à la fois. Une douce torture. Ca serait dommage que Tsuki n’y goûte pas …
Il arriva finalement à attraper les doigts de sa tortionnaire mais celles-ci lui échappèrent de nouveaux et Tsuki s’écarta de Gaara quand le petit garçon essaya de toucher ses côtes. Il se mit à la poursuivre. Il sauta sur elle quand il fut suffisamment prêt. Ils roulèrent ensemble sur le sable et Gaara se mit sur Tsuki pour la chatouiller à son tour. Elle ne mit que très peu de temps à ressentir les mêmes symptômes que Gaara quelques minutes plus tôt.
Leur jeux ne dura pas très longtemps et fut interrompu par la venue d’un ninja plutôt perturbé :
« - Je vous prit Gaara-sama. Arrêter ! »
Gaara se releva précipitamment et Tsuki en fit de même. Elle jeta un regard interrogateur à son ami et après quelques secondes d’hésitations il lui prit la main et s’avancèrent de quelques pas sous les yeux presque choqués du ninja.
« - Yashamaru, je te présente mon amie Tsuki-chan. »
La petite brune s’inclina respectueusement en disant :
« - Enchantée !
- Tsuki-chan je te présente mon oncle Yashamaru. »
Yashamaru inclina la tête et ensuite s’adressa à Gaara :
« - Gaara-sama, votre père, Kazekage-sama à avancer votre entraînement. Je suis venu vous chercher. »
Gaara regarda Tsuki tristement. Celle-ci répondit :
« - A très bientôt Gaara-kun. »
Il lui fit un signe de la main en suivant son oncle.
Il n’avait pas besoin de se le dire, demain ils se retrouveraient.

Yashamaru avait attendu que l’entraînement de son neveu soit terminé pour aller voir le Kazekage. Celui-ci fut quelque peu surprit de le voir et demanda la raison de sa visite.
« - Kazekage-sama. Je suis venu vous informer que Gaara-sama s’est lié d’amitié avec un enfant.
- Poursuit. Répondit le chef du village en fronçant les sourcils.
- Je ne connais que son nom. Elle se nomme Tsuki et semble avoir le même âge que Gaara-sama.
- Recherche davantage d’informations sur elle. Tout devrait se trouver dans les archives du village.
- Hai (oui). »
Après le départ de Yashamaru, une vieille femme qui était restée silencieuse durant cet entretien, s’avança du coin de la pièce où elle était.
« - Voilà une bonne nouvelle que Gaara s’intègre au village. Dit la vieille femme.
- Que dis-tu là Chiyo. Gaara est une arme Rien ne doit le détourner du but de sa création.
- Je suis d’accord avec vous mais s’il se sent intégrer, il deviendra moins instable.
Ce n’est pas un enfant, c’est un monstre. Comment un être comme lui pourrait comprendre les relations humaines. C’est une arme qui sert à tuer et à rien d’autre. »
La vieille femme n’ajouta aucun commentaire. Et rien sur l’expression sur son visage n’aurait pu dire si elle était choquée par les paroles du Kazekage ou si elle l’approuvait.





Je suis désolée mais je vais devoir ralentir la publication de ma fiction (je sens que tu ne vas pas être nioucha).
Je n'ai vraiment pas le choix, j'ai un bac blanc dans trois semaines et je suis contraite de ralentir la publication.
Mais bon, j'ai quand même bientôt terminée l'écriture du chapitre 7 alors si ça peut vous rassurer ...
Merci encore pour tous les com's







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