Fiction: La vie de Sabaku No Gaara

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C’était la fin, Tsuki sentait déjà le sable l’écraser. Bientôt son corps éclaterait sous sa pression.

« - Sabaku sousou »
Le sable écrasa Tsuki. Gaara regarda intrigué, le liquide visqueux s’écouler à travers le sable.
« - Mizu Bunshin … (clone d’eau)
« - Tu voulais vraiment me tuer… »
Gaara se tourna lentement. Tsuki se tenait à présent en face de lui. Ses yeux bleus brillaient à cause des larmes qui dévalaient le long de ses joues pâles.
Gaara tendit le bras comme s’il voulait attraper Tsuki mais c’est le sable qui se mit en mouvement. Mais à la place de reculer pour esquiver, elle s’élança vers Gaara et s’arrêta à quelques centimètres de lui.
« - Je t’en prie… laisse-moi t’expliquer pour les lettres… »
Gaara laissa retomber son bras et fixa Tsuki d’un regard neutre mais qui était doté d’un intérêt pour cette explication. Tsuki jeta un coup d’œil inquiet vers le sable qui s’était arrêté et regarda à nouveau vers Gaara :
« - J’ai tenu ma promesse. Je n’ai jamais cessé de t’écrire. Je t’envoyais une lettre par semaine…au début. Mais je n’ai jamais eu de réponse. J’ai diminué le nombre petit à petit jusqu’à une par mois pendant … des années… »
Tsuki avait prit soin de peser chaque mot pour qu’aucun n’énerve Gaara. Elle n’était sûre de rien. Il l’avait écouté attentivement mais aucune émotion ne s’était peinte sur son visage. Son regard fixe gênait Tsuki.
Puis le sable se remit en mouvement et se rangea dans la jarre de Gaara. Tsuki eut un mouvement de recule dû plus à la surprise que la peur. Un geste presque comme un réflexe.
Gaara se détourna et commença à partir. Tsuki sentait son cœur se serrer.
« - Je ne t’ai pas oublié… » Dit-elle en refoulant un sanglot.
Gaara s’était de nouveau arrêté.
Qui ne tente rien n’as rien. Tsuki décida de dire ce qu’elle pensait clairement de manière diplomatique pour ne pas agacer le jeune shinobi. A part sa vie qu’elle pouvait très bien défendre grâce à son démon, elle n’avait rien à perdre.
« - …et je ne t’oublierai jamais … »
Puis Gaara reprit sa marche et finit par disparaître du champ de vision de Tsuki. Elle se laissa glisser au sol et pleura doucement. Ce n’est que la fraîcheur de la nuit qui lui rappela que ce n’était pas le bon endroit pour ça.
Elle reprit donc le chemin de chez elle et confia à son oreiller ses tristes larmes amères.

Perturbé était le mot le mieux qualifié pour traduire l’état émotif de Gaara. Un mélange de rage, d’incompréhension et de mélancolie tournait sans répit dans ventre, lui donnant un profond sentiment de mal être. Pourquoi ? C’était la question qu’il se posait. Pourquoi se sentait-il mal ?
En fait Gaara se doutait très bien pourquoi. Tout ça c’était à cause de Tsuki. Il n’avait pas hésité une seule seconde à la tuer sauf quand il avait vu ses larmes. Ce n’était pas la première qu’il voyait quelqu’un pleurer alors qu’il allait tuer une personne. Il avait même vu des gens supplier sa pitié et voler leur vie ne lui avait causé plus de soucis que ça. Il en était même au stade d’avoir des regrets. Pathétique, il se dégoûtait lui-même.
Son démon aussi était dégoûté de son porteur et l’encourageait, non, l’ordonnait de tuer cette gamine sans valeur. Cette chose qui l’a oublié, qui a cru qu’avec un sourire elle pourrait être pardonnée, qu’elle pouvait rester en vie.
Mais Gaara, pour la première fois en 6 ans n’était pas du même avis que Shukaku. Tsuki était beaucoup trop naïve et honnête. Ces lettres il en était sur, elle lui avait envoyées. Après venait la question du « comment se fait-il qu’il ne les ait pas reçues ? » Mais la réponse vint d’elle, comme une évidence, de quelque chose que l’on peut parfaitement prédire. Son père. Cet homme qui voulait le tuer et qui faisait tout pour l’empêcher d’être heureux, d’être comme tout le monde. Encore lui. Il l’avait séparé de Tsuki, il avait encouragé le village à le haïr, il avait essayé de le tuer et maintenant il essayait de faire en sorte qu’il tue Tsuki. Malgré le peu de lien et de temps passé avec le Kazekage, son père le connaissait bien. Il arrivait à deviner certaines de ses réactions et ce qui n’est pas facile, pour ne pas dire impossible. Il savait bien que Gaara essaierait de tuer Tsuki, d’une part parce que c’était un monstre, d’autre part parce qu’elle l’avait « oubliée ». Malheureusement pour les projets de son père, Tsuki ne mourai pas. Il ne voulait pas faire comme son père avait décidé. Bien sûr si Tsuki devenait encombrante et qu’elle l’agaçait alors il la tuerait.
Mais dans tous les cas, Tsuki serait tuée, se ce n’est pas pour lui, ça sera durant l’assaut contre Konoha. A moins qu’elle ne soit capturée puis mise en esclavage. Cependant connaissant Tsuki, elle se battra jusqu’à la mort pour protéger son village et sauver des vies.
« Pathétique idéal » . Pensa Gaara. Néanmoins il admirait la détermination qu’elle mettait dans ses objectifs.
Gaara regarda le ciel qui changeait petit à petit de couleur, passant du bleu nuit à un bleu ciel. Bientôt le ciel s’embrasserait de couleurs annonçant l’aube. Ces couleurs qui donnaient au ciel l’impression qu’il brillait de mille feux.
Finalement Gaara aurait passé sa nuit à méditer sur Tsuki.

Il était un peu plus de midi quand Tsuki se réveilla. Encore une nuit où elle avait mit du temps avant de trouver le sommeil. Sommeil ô combien apaisant puisqu’elle en avait oubliée sa peine durant quelques heures. Mais celle-ci avait redoublée de puissance dès l’instant où elle avait ouvert les yeux.
Elle s’étira et grimaçant en sentant chaque parcelle de son corps endoloris. Faut dire que dormir sur les genoux repliés contra sa poitrine n’était pas la position la plus agréable pour dormir. Mais Morphée l’avait encore une fois prise par surprise et alors la position n’avait plus d’importance.
Elle se dirigea vers sa cuisine et se servit un verre de lait qu’elle bus lentement tout en réfléchissant. Elle avait prit sa décision si dure soit-elle. Elle n’irait plus voir Gaara. S’il ne venait pas vers elle, elle n’irait pas vers lui. Même si cette décision était difficile, elle la respecterait car si Gaara ne voulait pas la voir, elle ne devait pas le forcer.
Tsuki lava son verre et prit une pomme qu’elle croqua à pleine dent. Encore deux jours où elle ne pourrait pas travailler et elle n’avait pas de livre pour étudier. Tant pis ! Elle irait à l’hôpital pour en chercher un. Kana-sensei n’allait sûrement pas se fâcher pour une raison comme celle-ci !
Elle déambula dans les rues de Konoha en savourant ce qui l’entourait. La rue était animée et Tsuki appréciait de voir la joie sur le visage des gens. Cela la rendait de bonne humeur.
Elle arriva à l’hôpital et entra sans frapper dans la salle où consultait sa sensei habituellement. Elle se stoppa net et se confondis en excuse quand elle vit que Kana était avec une très belle jeune femme aux longs cheveux noirs et aux yeux verts.
« - Gomenasai ! Je venais juste prendre un livre pour réviser. Dit Tsuki, gênée.
- Tu les trouveras dans la salle de repos. Tu peux m’y attendre ? J’aimerai te parler.
- D’accord. »
Tsuki regarda sa sensei avec étonnement, puis s’inclina et sortit.

« - Tu ne devrais pas lui en parler.
- Je sais bien Hanoko-san. Mais je pense qu’elle a le droit de savoir, puis elle était impressionnante quand elle a découvert les deux meurtres.
- Peut-être, mais elle reste une enfant. Même si elle a bien agit, il faut qu’elle reste en dehors de tout ça.
- Tu as raison. Mais je la tiendrais au courant tout de même.
- Comme tu veux. Je vais te laisser. Je n’ai pas terminé mon enquête.
- Je pense que tu devrais la céder à une autre équipe d’anbus. Etant donné que tu étais proche d’Hayate, cela pourrait interférer dans la recherche.
- Je trouverai son meurtrier. »
Hanoko disparut et Kana soupira.
Elle ne pouvait pas lui en vouloir d’être déterminée, c’est tout de même son fiancé qui s’était fait assassiner.
Elle quitta son bureau et alla dans la salle de repos où se trouvait Tsuki en pleine lecture.
« - Je suis ravie de voir que tu prends cet examen avec sérieux.
- J’ai toujours pris vos enseignements avec sérieux. Je m’en voudrais de ne pas réussir vos évaluations. Je ne voudrais pas que vous pensiez que vous perdez votre temps à m’enseigner l’art de la médecine et des ninja et que je n’arrive pas aux évaluations à appliquer votre enseignement.
Kana sourit. En tant que professeur cela lui faisait plaisir de voir à quel point son élève était soucieuse de sa réussite et mettait toutes ses chances de son côté. Il y avait une autre satisfaction plus personnelle cette fois-ci. Tsuki était sa première élève mais elle était aussi l’enfant dont elle s’était occupé pendant des années. De ce fait, voir Tsuki comme elle aimerait qu’elle soit lui procurait une certaine joie. Elle était contente que Tsuki suive l’éducation qu’elle lui avait donnée.
« - Tsuki, par rapport aux meurtres qui se sont passées à l’hôpital. »
Tsuki referma son livre et regarda sa sensei l’air inquiète.
« - Tu n’as vraiment pas vu le meurtrier ? »

Tsuki ne répondit pas toute suite. La question qu’elle se posait c’était : pourquoi sa sensei lui demandait ça ? Après tout, elle lui avait déjà répondu.
En plus elle ne pouvait pas trahir Gaara, malgré ce qu’il a fait, il reste son ami. Mais en même temps cela fait deux meurtres non élucidés. Bloquer la vérité ne permettrait pas aux âmes de défunts de vivre en paix.
« - Non je suis désolée. Pourquoi me posez-vous cette question ?
- Il y a eut deux nouveaux meurtres. »
Quoi ? Gaara a encore tué ? Tsuki cacherait la vérité en souvenir de son ancienne amitié pour le ninja de Suna mais s’il continuait à tuer, elle ne pourrait pas le protéger éternellement. D’une part parce qu’elle trahit son village en dissimulant un tel secret et d’autre part parce qu’elle ne supporterait pas de voir le nombre de victimes augmenter.
« - Qui a été tué ?
- Un ninja qui se présentait à l’examen des chuunins et l’examinateur des matchs préliminaires pour la troisième épreuve. »
Ca n’étonnait pas Tsuki que les deux victimes aient un lien avec l’examen des chuunins. Mais tuer un examinateur ! Gaara est devenu plus fort qu’elle ne le pensait.
« - J’espère que le meurtrier sera attrapé. Mentit Tsuki.
« - Je suis d’accord avec toi. Ces crimes sont horribles. Allez maintenant file ! Tu seras plus à l’aise pour réviser chez toi !
-Vous avez raison. Bonne journée sensei !
- A toi aussi Tsuki. »
Tsuki sortit de l’hôpital avec un gros paquet de livre dans les bras. La brune chancelait sous le poids des bouquins.
« - J’ai encore été gourmande ! » Dit-elle en réprimant une grimace.
Puis Tsuki buta sur quelque chose qui fit perdre l’équilibre et elle tomba dans un gros fracas. Les gens présents dans la rue avaient cessé leurs mouvements et regardaient la demoiselle. Ensuite ils reprirent leur activité comme si de rien n’était en ignorant la brunette.
« - Aucun altruisme ! Bonjour la solidarité !
- Dire que je comptais t’aider … »
Tsuki releva la tête pour voir un ninja vêtu de vêtements orange et aux cheveux blonds. Ses yeux bleus et son sourire niai exprimaient une bonne humeur et une joie peu commune.
« - En fait, je ne pensais pas qu’on viendrait m’aider.
- T’es juste pas tomber dans la bonne rue. Je suis sure que tu serais tomber devant Ichiraku il t’aurait aidé !
- Ichiraku ?
- QUOI ? Tu ne connais pas Ichiraku ! Mais il fait les meilleurs ramens de tout Konoha ! »
Tsuki se sentit gêné. Le jeune shinobi avait hurlé dans la rue attirant le regard des passants.
« - J’irai un jour pour y goûter alors
- J’allais y aller là. Ajouta le jeune ninja (c’était un peu confus ^^’)
- Hey bien…je dois d’abord ramener mes livres.
- Bah attend je vais t’aider. »
Le jeune blond prit plusieurs livres Tsuki en fit de même.
« - Merci … euh…
- Uzumaki Naruto, futur Hokage. Et toi ?
- Tsuki, futur kunoichi à vos ordres Hokage-sama. » Dit Tsuki en plaisantant.
Elle l’avait déjà vu. Naruto Uzumaki, porteur de puissant renard à neuf queues : Kyuubi No Yokho. Son père lui avait parlé d’un autre porteur de démon du même âge qu’elle qui vivait au village. Mais il ne lui avait jamais dit son nom, ni à quoi il ressemble.
Au début elle pensait que ça serait un élève surdoué mais elle n’en était pas sur. C’est quand elle avait vu le regard empli de haine des villageois sur Naruto qu’elle se doutait que c’était lui, le réceptacle de Kyubi. Cependant elle n’en était pas sur non plus.
« - Tu le pense vraiment ? Demanda Naruto tout joyeux.
- A entendre Inuzuka Kiba, ton adversaire lors des préliminaires de chuunins, tu as l’air fort.
- Kiba t’a dit que j’étais fort ?! »
Tsuki hocha la tête pour confirmer et un grand sourire s’afficha sur les lèvres de Naruto.
« - Maintenant il faut réussir la 3e épreuve !
- Mon prochain adversaire est fort … Dit Naruto avec air triste.
- Tu ne réussiras pas si tu ne crois pas en toi ! Est-ce digne d’un Hokage de douter aussi facilement ?
Naruto sourit de nouveau et dit :
« - Au fait, tu es de quel rang ? Je ne t’es jamais vu avant.
- Je suis chuunin et c’est normal puisque je passe mon temps à l’hôpital.
- Tu n’as pas l’air malade pourtant … »
Tsuki éclata de rire devant la mine septique de Naruto.
« - En faite c’est moi qui soigne !
- Ah tu es médecin ! La vache t’es jeune pourtant.
- Oui ! Je suis le plus jeune médecin de tout le village ! »
Tsuki et Naruto arrivèrent chez la brunette. Le jeune shinobi arqua un sourcil quand il vit un tas de livre, de parchemins éparpillés sur la table.
« - Tu fais quoi ?
- Je révise un examen en médecine.
- Les livres qu’on porte c’est aussi pour que tu révise ?
- Oui ^^’
- Tu te donne du mal. Surtout que tu as l’air d’être une surdouée alors tu n’as pas à t’en faire.
- Possible mais j’adore lire et apprendre tout ce qui concerne la médecine.
- Mouais … moi je préfère les entrainements les vrais.
- Je vois et qui est ton sensei ?
- Kakashi mais il préfère entrainer Sasuke. »
Tsuki fronça les sourcils, elle ne voyait comment Kakashi-senpai pourrait entraîner Sasuke puisque celui-ci avait fui l’hôpital et personne ne sait où il est.
« - Et du coup qui t’entraîne pour la 3e épreuve ?
- Ero-sennin…
- Pardon ?
- Euh … comment il a dit qu’il s’appelait déjà … me souviens plus mais il a dit qu’il se surnommait « l’ermite aux grenouilles » .
- Ah ! C’est Jiraya-sama ! Il est fort, non ?
- Peut-être bien. Mais il passe son temps à mater les filles ».
Tsuki parut choquée et Naruto éclata de rire. Une fois, l’émotion passée, Naruto prit le bras de Tsuki en l’entraînant dans la rue. Le kistune vanter le délice des ramens d’Ichiraku pendant tout le trajet. Tsuki écoutait attentive ses paroles même si en fait elles voulaient dire la même chose.
Tsuki avait la même chose impression que lorsqu’elle avait rencontré Gaara. Celle de ne pas être la seule à porter un démon. Tsuki se sentait bien même si au fond elle aurait préféré être avec le ninja du Vent.
« - Si t’es médecin, tu peux me dire comment vont certains de mes amis ? Demanda Naruto en s’asseyant devant le comptoir d’un restaurant. OSAN ! DEUX RAMENS S’IL TE PLAIT ! »
Un vieil homme, surement le restaurateur lui adressa un bonjour accueillant et se mit à la tâche.
« - En effet, je m’occupe de plusieurs genin de l’examen. Dit Tsuki pour répondre à la question de Naruto
- Tu t’es occupée de qui ?
- L’équipe de Suna, Lee, Hinata, Kiba, Tenten et Sasuke.
- Sasuke va bien ?
- Aucune idée ! Il s’est enfui de l’hôpital.
- Ah ! Et Hinata et Lee ?
- Ca peut aller pour Hinata, quant à Lee, son état est critique. »
Naruto baissa la tête, attristé.
« - Mais ne t’inquiète pas ! Il finira par guérir !
- Oui ! Il est déterminé pour ça !! Et puis tu as l’air douée alors tu arriveras à le soigner ! »
Tsuki répondit par un sourire. Elle ne voulait pas rendre Naruto triste avec le mauvais diagnostic sur l’était de Lee. Diagnostic qu’elle ne pouvait pas changer, ça dépassait ses compétences. C’était la première fois qu’elle tombait sur un cas aussi dur. Mais tout n’est pas décidé, elle ne voulait pas voir la tristesse sur le visage des proches de Lee alors que tout espoir n’est pas perdu.
« - Au fait, tu fais que soigner à l’hôpital ? Ou tu fais des missions ?
- Non je préfère soigner à l’hôpital. »
Les deux shinobis discutèrent de la vie qu’ils menaient entre deux bouchées de ramens. Le temps défilait jusqu’à ce qu’un ninja aux cheveux blancs vint chercher Naruto. Le jeune blond égueula son sensei en l’accusant d’avoir passé son temps à mater des filles pendant que lui, s’entrainait.
Tsuki en conclut que c’était Jiraya qui avait filé en douce pendant que son élève s’entrainait.
Naruto partit avec son sensei en faisant un grand signe de la main à Tsuki.
La jeune fille se leva à son tour et se fit un petit programme pour la journée mentalement. Tout d’abord elle étudierait avec les livres qu’elle a prit à l’hôpital. En même temps ça lui laisserait le temps de digérer les trois bols de ramens que Naruto l’avait encouragé (presque forcé) à prendre. Puis elle s’entrainerait à la rivière. C’était l’endroit qu’elle préférait le plus dans le pays du Feu.

Seulement, pendant que la brunette marchait, insouciante dans les rues de Konoha, un jeune shinobis l’observait dans la plus grande discrétion.
Gaara était sortit de l’appartement malgré la surveillance de ses ainés. Comme il était facile de berner ses imbéciles. Ils avaient surement cru que son clone de sable était vrai. Quels incapables !
Gaara regardait Tsuki entrait dans le bâtiment dans lequel elle habitait. Peut-être lui rendrait-il une petite visite …





Je tenais à m'excuser pour le retard. Mais le bac n'est pas encore tout à fait terminer maintenant faut que je révise les rattrapages au cas où je ne l'ai pas du premier coup.

Sinon je ne sais pas si cela vous gêne que Tsuki apparaisse souvent dans ma fic.
Au début elle ne devait être qu'un perso qui permette de mettre plus en valeur la vie de Gaara mais elle est devenue primordiale et je ne sais pas si bien ou pas.

N'oubliez les petits com's si important pour les écrivains de fanfiction *x*

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