Fiction: SOS (Save Our Souls)

Shikamaru, Kiba et Ino sont trois jeunes gens entre 21 et 25 ans. Ils ne se connaissent pas, vivent des vies très différentes mais ils possèdent ce point en commun : ils sont blessés au plus profond d'eux-mêmes et leur âme, le navire d'un être humain, menace de couler. "Save Our Souls" : Sauvez nos âmes. Un message d'au secours, un espoir qui va renaître lorsqu'ils vont se rencontrer...
Classé: -12D | Général | Mots: 10798 | Comments: 8 | Favs: 8
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shikacool (Féminin), le 07/07/2010
Salut les lecteurs !

Je commence une nouvelle fiction à plusieurs chapitres. L'idée m'est venue alors que je surfais sur le net, à la recherche de la signification véritable de "SOS". Je l'ai trouvée. J'ai décidé d'en faire une fiction.
Je ne sais absolument pas ce que ça donnera, comme d'hab' je ne peux pas m'empêcher de poster le premier chap' alors que je ne sais pas comment la fiction se terminera et je compte vraiment sur vous pour me donner la motivation :)
J'ai trouvé en les romans policiers de Mary Higgins Clark une véritable source d'inspiration pour cette fic. Cette femme a vraiment un don, avis aux amateurs de polards palpitants, je vous la conseille de tout coeur.
Vala, j'ai tout dit :)

Bonne lecture !




Chapitre 1: Le commencement



C’était un jeudi, quelque part entre le printemps et l’été.
Il y avait de l’animation dans le centre-ville ; ça devait être le milieu de l’après-midi.
Il ne faisait pas vraiment chaud, il pluviotait incessamment mais la température était plutôt agréable.

Alors pourquoi était-ce l’hiver dans son cœur à lui ? Pourquoi avait il froid de la tête aux pieds, pourquoi se sentait-il gelé jusqu’à l’os ?
Pourquoi ce torrent qui s’abattait sur ses joues alors qu’il se tenait à l’abri de la pluie ?

Adossé contre un mur décrépis sous ces arcades de pierres, il observait, l’air impénétrable malgré les larmes qui lui rougissaient les yeux, les gens passer devant lui, pressés ou insouciants.
Des hommes d’affaires en conversation téléphonique, leur précieux attaché-case en main ; des mères de famille qui tentaient à grand peine d’abriter leur fratrie entière sous le parapluie noir ; des adolescents bougeons qui se chamaillaient sans se soucier de leurs cheveux dégoulinants ; des clochards qui faisaient la manche, marmonnant quelque imprécation contre la société entre deux gorgées de vinasse.
Ces gens, tous ces gens, tous différents et pourtant tous les mêmes : tous armés de cette indifférence qui blesse, ce déni des autres qui fait mal, tous confinés dans leur bulle imperméable à tous les appels au secours.

Enfonçant un peu plus ses mains dans ses poches, rentrant encore la tête dans les épaules, il ferma les yeux un court instant, le temps d’un vrombissement que produisait une voiture sur la route trempée. Quand il les rouvrit, sa décision était prise. Il arrêta de pleurer et, lentement, le pas tranquille et le visage soudain plus détendu, il se mit en marche.

Il en traversa des rues, sous le ciel gris ; il en rabroua faiblement, des gamins qui le bousculaient en courant ; il en maudit en silence, des couples qui échangeaient un baiser, serrés l’un contre l’autre sous le parapluie ; et puis, à force de marcher sans aucun but, le bruit faiblit, les rues se firent plus étroites, les immeubles devinrent austères et déserts, il ne tarda pas à froncer le nez en sentant l’odeur d’urine et de tabac froid qui persistait dans les alentours. Plus d’enfants qui jouent en riant, plus de jolies étudiantes qui bavardent en s’esclaffant. A la place, des groupes d’hommes à la mine patibulaire, d’un peu tous les âges ; ils le regardaient passer avec un peu trop d’intérêt, promenant leurs yeux sur son veston trempé, sans doute à la recherche de quelque portefeuille ou objet de valeur.

Mais il ne possédait rien de tout cela ; mieux, il se contrefichait de subir une éventuelle agression. Il faillit s’arrêter pour demander une cigarette, sa dernière cigarette. L’occasion pour lui de se servir encore une toute petite fois de son briquet de collection, un Dupont qui en imposait, cadeau d’une vieille connaissance. Dans la poche de son pantalon en toile, ses doigts se crispèrent sur l’acier froid du briquet ; mais il renonça finalement. Si ces hommes lui cherchaient des noises, il n’aurait pas le temps de monter sur le toit et la rue serait vite pleine de monde. Il ne voulait pas attendre demain ; il ne pouvait pas.

Il continua donc son chemin d’un bon pas, sans se départir de sa démarche nonchalante et de son air gravement songeur. Il avait la tête baissée. Il ne pensait à rien en particulier, et regardait sans les voir ses chaussures crasseuses et les flaques d’eau trouble qui défilaient sous lui. Bientôt ce monde serait le passé… Un passé qui l’oublierait sans mal, se dit-il avec une pointe d’amertume.

Subitement, il tourna à droite et s’enfonça dans une ruelle où seul un chat famélique l’observait. Il passa sous une gouttière et le filet glacé qui mouilla ses cheveux et coula dans son cou lui arracha un frisson. Un escalier maculé de taches de rouille se tenait à trois mètres. Il l’emprunta et monta les marches glissantes. L’escalier était en colimaçon et son équilibre instable, aussi son ascension fut pénible. Il grimpa les cinq étages en se voûtant un peu plus à chaque marche. Enfin, plus fatigué qu’il ne l’avait jamais été, les muscles des membres inférieurs tiraillés, le souffle court, il parvint à pénétrer sur le toit. Il avait une triste vue sur la ville, sous ces nuages gris et la pluie qu’ils déversaient. Il s’approcha lentement du bord et aperçut la mairie : la haute bâtisse blanche d’où flottait un drapeau tricolore ruisselant dominait la ville. A son sommet, les aiguilles d’une grande horloge se déplaçaient par à-coups et indiqueraient bientôt treize heures. Il savait qu’il devait accomplir son destin durant ce court délai.
De nouveau, il serra dans son poing le briquet de prix qu’il gardait dans sa poche. Il le sortit et, d’un mouvement du bras qui traduisait son habitude, il ouvrit le briquet. Du pouce il roula la molette et une flamiche apparut, vacillant sous le poids des lourdes gouttes de pluie. Un peu comme sa vie à lui, la lueur perdit vite de sa taille et de son éclat. D’un long soupir, il éteignit la flamme et regarda, les yeux mi-clos, la fumée à l’odeur vaguement âcre s’envoler. Il eut une sorte de spasme et jeta son briquet dans la rue de toutes ses forces. Il se surprit lui-même puis haussa les épaules ; après tout, ce briquet ne pouvait plus rien pour lui.

Il avala sa salive et sentit son ventre se contracter lorsqu’il contempla la rue, à quinze mètres en dessous de lui. Comme il l’avait prévu son courage l’abandonnait.
Alors, comme dans un rêve, il ferma les yeux et se laissa tomber.

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Perdue dans ses pensées, elle ne remarqua pas à temps le vieux tas de ferraille rouge qui déboulait sur sa gauche. L’antique engin freina dans un bruit horriblement strident, semblable à celui d’un cochon qu’on saigne. Un des rétroviseurs heurta son coude et elle sursauta de douleur. Une vitre coulissa, et la vieille conductrice caqueta, le visage mécontent :

- Eh la demoiselle, là, pourriez pas faire attention ! Vous avez failli abîmer mon rétroviseur !

Elle ne réagit pas tout de suite ; pour qui cette mégère toute ridée se prenait-elle ? Ce danger de la route avait failli la renverser ! Elle se retourna pour lui dire vertement sa façon de penser mais la voiture démarrait déjà, disparaissant dans un virage. Frustrée, elle poursuivit sa route en marchant d’un pas rageur, ses talons hauts claquant sur le trottoir tandis qu’elle massait son coude douloureux. Midi quarante-cinq sonna : elle accéléra l’allure, elle ne voulait pas être en retard. Par chance il y avait peu de monde dans les rues à cette heure-ci. Elle atteint la limite du quartier « glauque » en cinq minutes et s’y enfonça à contre cœur. Les locaux où elle devait passer son entretien se situaient juste à côté d’une cité plutôt mal fréquentée ; de surcroît la nature l’avait dotée d’une constitution fragile et d’un visage de poupée, cadeau dont elle se serait volontiers passée, songea-t-elle en passant devant un groupe de jeunes qui attardèrent leurs regards goguenards sur ses longues jambes. Dans un sursaut de prudence, elle s’écarta des bâtiments, au cas où on voudrait l’y entraîner de force. Soudain un coup sur la tête la fit glapir de frayeur ; elle chercha son auteur de tous les côtés, le crâne parcouru d’élancements violents. Tout tournait autour d’elle et elle dut fermer les yeux pour reprendre ses esprits. Quand elle les rouvrit, elle découvrit l’apparent malfaiteur : ce n’était autre qu’un briquet de belle taille échoué dans une flaque de boue, à ses pieds. Il avait sûrement dû tomber de plusieurs étages pour l’avoir atteinte avec tant de force. Après un instant d’hésitation, elle le ramassa et jeta un œil au dessus d’elle. Il n’y avait personne. Elle finit par fourrer l’objet dans son sac à main et continuer sa route, murmurant avec une grimace : « c’est bien ma journée… »

Enfin l’enseigne délabrée apparut dans son champ de vision. Soulagée, elle se précipita à l’intérieur de l’immeuble décrépi, néanmoins à l’abri de la pluie et des types effrayants dehors. Elle poussa une lourde porte et atterrit dans une pièce miteuse, ou plutôt un large couloir qui donnait sur plusieurs bureaux où d’autres s’affairaient. Elle posa son regard sur l’enseigne, comme pour s’assurer qu’elle était arrivée à bon port ; on y lisait « S.O.S-Envol ». Elle soupira et attendit, nerveuse.

Elle se retourna vivement en entendant des pas lourds derrière elle ; un homme d’âge mûr s’approcha en la dévisageant. Elle balbutia :

- Bonjour, euh… Je… J’ai appelé pour savoir si je pouvais intégrer vos services, hier…
- Vous êtes Ino Yamanaka ? dit l’homme avec bonhomie.

Un peu rassurée, elle acquiesça. Ils se serrèrent la main et l’homme l’invita à entrer dans son bureau.

- Je suis Mr. Jiraya, se présenta-t-il une fois installé. C’est moi le fondateur de cette association, entre autres personnes. Je ne crois pas que ce soit à moi que vous ayez parlé au téléphone, mademoiselle ?
- Non, répondit timidement Ino. Je crois bien que c’était une femme.
- C’est sûrement Tsunade. Nous sommes associés ici. Vous a-t-elle donné des renseignements particuliers sur notre fonctionnement ?
- Oui, elle m’a dit que cette association existait dans le but d’écouter des personnes qui traversent une période difficile, qu’on pouvait leur parler, les soutenir. Elle m’a précisé que toutes les conversations étaient téléphoniques et confidentielles. Et que bien entendu ceux qui s’engageaient le faisaient en tant de bénévoles.
- Elle vous a bien renseignée. Puis-je savoir quelles sont vos motivations ?
- Eh bien, disons que je sais ce que c’est de traverser des périodes difficiles, moi aussi. Et j’aimerais aider les gens qui sont dans ces périodes là, dans la mesure de mes moyens.
- Je vois. Avez-vous déjà participé à semblable projet ?
- Non, jamais.
- Comment avez-vous entendu parler de « SOS-Envol » ?
- Je suis avocate et, lors d’une entrevue avec un client, il m’a parlé de cette association. Je me suis dit que ça valait la peine d’essayer.
- Très bien. Je vais vous laisser un tas de paperasse à remplir, et nous conviendrons d’un jour dans la semaine où vous travaillerez dans nos locaux, mademoiselle Yamanaka.
- Un jour seulement ? fit Ino, déçue.

Mr. Jiraya eut un sourire.

- Nous commencerons comme ça. Si ce travail vous plaît, vous pourrez venir plus fréquemment.
- D’accord.
- Quand souhaitez-vous passer ?
- Je suis assez prise par mon métier. Le dimanche soir, ça m’irait bien.
- C’est noté. Disons dimanche prochain, à vingt heures ?
- C’est parfait.
- Alors à dimanche, mademoiselle, conclut Mr. Jiraya en se levant.
- Au revoir monsieur.

Elle quitta les locaux, satisfaite, et ne put s’empêcher de sourire. Peut-être pourrait-elle racheter ses fautes en aidant les malheureux ? C’était son vœu le plus cher et son cœur se serra quand elle s’en remémora la cause. Son coude la faisait souffrir à nouveau, d’un élancement aigu et régulier. Ino s’arrêta et fouilla dans son sac, à la recherche d’un éventuel médicament antidouleur. Elle prenait toujours soin de s’armer de différents calmants lorsqu’elle sortait, habitude qu’elle avait prise de sa meilleure amie. « Au cas où », lui répétait cette pharmacie sur pattes.
Elle avala deux comprimés et releva la tête ; la vitrine du magasin en face d’elle lui renvoya l’image d’une grande blonde aux cheveux raides comme des baguettes de tambours, encadrant un visage plutôt avenant où deux yeux bleus étincelaient.
Elle allait se remettre à marcher, réfléchissant au café où elle prendrait son déjeuner : « Le pain d’épice » ou « La brioche dorée » ? Elle n’eut pas le temps de se décider car elle sentit son portable vibrer dans son sac. Elle s’empressa de s’en emparer.

- Allô ?
- Mademoiselle Yamanaka ?
- En personne.
- Vous êtes avocate, n’est ce pas ?
- C’est exact. Qui est à l’appareil ?
- Je suis Kiba Inuzuka et je souhaiterais que vous me représentiez en justice. Pourrions-nous nous rencontrer ?
- Bien sûr, répondit Ino, légèrement surprise. Je suis libre tout l’après-midi à partir de quatorze heures. Vous situez-vous dans les locaux à garde à vue du commissariat de Lilian-Est ?
- Oui.
- Très bien, j’arrive dès que possible. Vous n’attendrez pas longtemps.
- Merci mademoiselle, à bientôt.

Ino raccrocha et jeta un coup d’œil à sa tenue : elle avait eu le bon goût de choisir une jupe noire et un tailleur de même couleur ; elle n’aurait pas à se changer. La jeune femme se dirigea vers le café le plus proche. Elle avalerait un encas en vitesse et prendrait le bus jusqu’au commissariat. De nouveau pensive, elle poussa la porte d’un petit café et disparut dans la pénombre.

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Hana Inuzuka entra dans le commissariat et maudit sa timidité. Son frère l’avait appelée parce qu’il était placé en garde à vue, elle avait été obligée de quitter son travail chez le vétérinaire et voilà qu’elle n’osait pas s’approcher du guichet ! Elle rejeta sa crinière brune en arrière et se dirigea vers un policier corpulent, au visage sympathique. Elle lui expliqua la raison de sa venue et le policier hocha la tête et la conduit vers la cellule où était retenu son frère. Il lui dit en chemin :

- J’ai arrêté votre frère ce matin, avec deux collègues. On l’a vu sortir d’un appartement où venaient d’être tirés trois coups de feu : résultat, un couple blessé et un autre homme mort. On n’a retrouvé personne d’autre sur les lieux, et tout porte à croire que c’est Mr. Inuzuka qui a fait le coup.
- Je connais mon petit frère, coupa Hana en maîtrisant difficilement les tremblements de sa voix. Il n’est pas capable de tuer qui que ce soit.
- Prions pour que ce soit la vérité, fit le policier avec un sourire triste. Il est dans cette salle, ajouta-t-il en s’arrêtant. Vous pourrez rester avec lui jusqu’à ce que son avocat arrive.
- Très bien, merci.

L’homme ouvrit la porte et Hana entra. Kiba était effondré sur une chaise, le regard vide, l’air perdu. Le policier referma la porte et Hana tira une chaise et se posa en face de son jeune frère. Il leva les yeux vers elle mais ne la regarda pas en face ; pendant une minute, aucun ne proféra mot et Hana le dévisagea. Kiba semblait au bord des larmes et il tremblait. Hana ne l’avait jamais vu dans cet état.

- Je ne suis pas un tueur, dit-il au bout d’un moment. Je ne suis pas un enfant de chœur non plus, mais je n’ai tué personne. Tu me crois, toi, Hana ? demanda-t-il désespérément.
- Oui je te crois. Mais as-tu été témoin de cet effroyable meurtre ? Kiba, ce n’est pas normal que tu n’aie rien vu si tu étais en leur compagnie.
- Pourtant je te jure que je n’ai rien vu, Hana. Ils… ils ne m’avaient pas remarqué, en fait.
- Que veux-tu dire ? fit la brune en fronçant les sourcils.
- Je préfère en parler à l’avocat d’abord. Je te dirai plus tard…

Mais Hana était loin d’être idiote. Elle se pencha un peu plus vers son frère et gronda :

- Kiba, ne me dis pas que tu es entré chez ces gens par effraction ?

Il tiqua, gêné.

- Je t’expliquerai plus tard… Mais je te promets que je ne leur voulais pas de mal !
- Tu voulais les cambrioler ? s’étrangla Hana en s’efforçant de ne pas crier. En plein jour ?!
- S’il te plaît, Hana…
- Non Kiba ! explosa-t-elle. Que faisais-tu chez ces gens, bon sang !! Que cherchais-tu ?!

Mais avant que Kiba n’aie pu répondre, la porte s’ouvrit et une jeune femme blonde accompagnée du même policier entra. Kiba parut soulagé et la salua :

- Mademoiselle Yamanaka, je présume. Enchanté… voici ma sœur Hana. Hana, voici maître Yamanaka, mon avocate.
- Enchantée également, répondit la blonde avec énergie.

Elle serra la main de Kiba puis tendit la sienne à Hana. La brune bouillonnait : ces civilités semblaient si stupides dans des circonstances pareilles ! « Enchantée ? ragea-t-elle intérieurement. Et de quoi ? D’apprendre que mon frère va peut-être moisir en prison pour vol avec effraction, ou pire, pour meurtre ? »
Elle salua néanmoins l’avocate. Elle était jeune et sûrement inexpérimentée. Pourtant lorsqu’elle pria Hana de sortir avec une froideur professionnelle, elle ne protesta pas et obéit.

En quittant le commissariat, elle se demanda si elle ne devait pas prévenir leur mère, à Kiba et elle. Tous deux ne connaissaient pas leur père et Tsume était le seul parent qui leur restait. Toutefois Tsume était du genre à s’inquiéter pour tout et les médecins lui avaient découvert un problème cardiaque. Son cœur se fragilisait… A l’hôpital, on avait bien prévenu Hana que le moindre souci d’envergure pourrait s’avérer fatal pour sa mère.
« Je la préviendrai s’ils mettent Kiba en prison, décida l’aînée des Inuzuka. Quoi que ce choc puisse être dangereux aussi… » Sentant la migraine brûler ses tempes, elle rentra directement chez elle et ne retourna pas au cabinet vétérinaire. Shino comprendrait. Elle avait besoin de se reposer…



Premier chapitre terminé ! Qu'en pensez-vous ? Des critiques à faire ? Je le dis et je le répète, n'hésitez pas, votre avis m'est précieux.
Je ne sais pas quel sera le temps de parution des chapitres. Théoriquement, ça devrait aller vite, vu que je suis en vacances. Après, on n'est jamais à l'abri du syndrome de la page blanche... :S

Merci d'avoir lu ! :)
Zibouilles !




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