Fiction: Beceause Of You

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Elle se sentait de plus en plus rougir, pas uniquement de gêne, mais aussi de colère. C'était bien la première fois qu'un homme la voyait nue et cet homme n'était autre que lui, son pire ennemi, l'homme qui avait fait de sa vie un enfer, le frère de celui qu'elle avait aimé et détestait le plus au monde maintenant.

Les yeux rouges flamboyants ne cessaient de la fixer, attendant d'elle le moindre geste susceptible d'engager le combat. Mais tous deux savaient déjà qui en sortirait vainqueur...

Elle se pinça la lèvre inférieure. Sayaka avait déjà assez souffert comme ça, elle aussi d'ailleurs. Elles ne supporteraient pas de revivre de nouveau une telle expérience. Dire qu'elles avaient eu beaucoup de chance de s'échapper de leur repaire en aussi bon état. Et cette chance n'allait sûrement pas se répéter et leurs vies étaient de nouveau mises en jeu.
Que pouvait-elle bien faire pour se sortir de cette impasse ? Elle n'en avait aucune idée mais il devait bien exister une solution. Seulement, elle ne pouvait y réfléchir indéfiniment : le temps lui était compté.

Elle regarda l'Uchiwa. Il n'avait pas bougé d'un pouce. Que pouvait-elle bien faire ... Déjà, il fallait que Sayaka reste bien cachée. Comme elle avait dû avouer tout ce qu'elle savait et qu'elle n'était qu'une simple infirmière, elle leur était, dorénavant, d'aucune utilité. Sakura était persuadée que le nuke-nin ne s'embarrasserait pas d'elle cette fois-ci... Peut être qu'en ne l'apercevant pas, il la laisserait. Après tout, elle ne représentait pas une grande menace. Le temps qu'elle trouve le bon chemin pour gagner Konoha, la rose ne serait sûrement déjà plus de ce monde...

Elle eut un pincement au cœur en se rendant compte à quel point elle doutait des capacités de sa propre élève et la rabaissait ainsi. Mais ses critiques étaient malheureusement bien fondées. Sayaka était jeune et avait encore beaucoup à apprendre.

Elle continuait à fixer l'Uchiwa, toujours calme. Mais, en à peine un battement de cils, il disparut de son champ de vision. Surprise par sa vitesse de déplacement, elle regarda autour d'elle, essayant désespérément de le localiser. Immobile, elle était une cible facile, elle devait donc bouger. Elle se précipita alors vers ses vêtements. Pour mener combat, elle voulait d'abord se débarrasser de cette maudite gêne qui allait lui porter préjudices. Mais bien avant qu'elle n'atteigne son objectif, un bras la saisit par le cou tandis qu'un métal froid piquait ses reins. Il était rapide, trop rapide. Ce parfum, elle le reconnut, c'était le sien. Son corps était presque collé à lui, elle pouvait même sentir son souffle chaud sur sa nuque. Elle n'osait faire le moindre geste par peur de se faire tuer ou blesser.

- Il est vrai ...

Le fait qu'il déchira ce silence qui s'était installé depuis le début de leur face à face la surpris.

- ... que Sayaka n'est pas une menace.

Cette simple phrase la déstabilisa : comment pouvait-il savoir ce qu'elle avait pensé bien avant qu'il décide de bouger ? Puis, elle se souvint des incroyables facultés du sharingan, dont l'une était de lire dans les pensées d'autrui. Dans la situation actuelle, elle se sentait impuissante, soumise. Mais elle ne put penser à autre chose. Un choc sur la nuque lui fit perdre connaissance...


***

Le bruit de l'eau qui frappait le lac la réveilla doucement. Elle se redressa et se frotta les yeux pour chasser les dernières traces de sommeil. Puis elle se dirigea vers la seule sortie possible et, une fois dehors, elle leva les yeux vers le ciel : la position du soleil indiquait qu'il était à peu près 10h du matin. Comment avait-elle pu dormir autant ?
Elle chercha un quelconque signe de vie de sa senseï. Des vêtements abandonnés sur le bord de l'eau attirèrent son attention.

Elle s'en approcha et les reconnut de suite : c'étaient ceux de Sakura. Elle scruta avec attention l'étendue d'eau, s'attendant à voir la jeune fille remonter à la surface. Mais les minutes défilaient et aucune chevelure rose n'apparut. Sakura ne pouvait tenir aussi longtemps sous l'eau, aussi entrainée soit-elle. Elle n'était donc pas en train de se baigner comme elle le supposait. Mais que pouvait-elle bien faire toute nue hors de l'eau en plein jour ? Elle se rendit aussitôt compte que ce n'était pas le plus important pour l'instant. La bonne question était « Où était Sakura ? »

La peur lui noua l'estomac. Elle avait fouillé les environs pendant une demi-heure et n'avait trouvé aucune trace de sa senseï. Elle ne pouvait l'avoir abandonnée ! L'Akatsuki... l'Akatsuki les avait retrouvées, c'était le scénario qui lui semblait le plus logique. Mais si Sakura avait été rattrapée par leurs tortionnaires, que faisait-elle encore ici ?

Son corps se mit à trembler. Elle était là, seule et ne savait que faire pour aider sa senseï. Si, elle savait : elle devait avertir le Hokage.

La jeune fille regarda autour d'elle, désorientée. Elle n'avait aucune idée de la direction à prendre. Déjà à la base, elle était incapable d'expliquer comment elle avait atterri ici. Au hasard, elle choisit une direction en espérant que la chance soit avec elle et que le chemin qu'elle suivrait l'amènerait vers son village natal et non dans la gueule du loup ...


***


Le froid envahissait son corps et le faisait trembler comme une feuille.

Peu à peu, elle rassembla ses esprits et regarda autour d'elle. La pièce était lugubre et elle eut la sensation de la connaître, trop bien même. Elle était de retour dans sa cellule ...

Une odeur familière lui chatouilla les narines et elle se sentait légère. Elle posa son regard émeraude sur son corps et vit qu'elle était recouverte de la veste caractéristique de l'Akatsuki. Cette tenue lui raviva ses souvenirs et sa gêne. Elle comprit que cette sensation de légèreté était due au fait qu'elle ne portait rien sous cette longue cape noire imprimée de nuages rouges et l'odeur qui émanait de cette veste était celle de l'Uchiwa.

Pour rien au monde elle ne garderait ce manteau sur elle plus longtemps. Elle chercha alors du regard ses vêtements, espérant les trouver entasser dans un coin du cachot. Mais rien. Soudain une chose plus importante lui vint en mémoire. Sayaka ! Où était-elle ? Elle se leva et regard autour d'elle s'il y avait un signe de vie de sa chère élève. Mais rien. Avait-elle été, elle aussi, recapturée et enfermée dans une autre cellule ? Ou Itachi l'avait finalement ignorée... ou peut être encore tuée ?

En cet instant, elle aurait donné n'importe quoi pour être rassurée sur son sort et priait de toutes ses forces que sa jeune élève se trouvait loin d'ici en bonne santé.

Elle se colla au mur contre lequel elle se laissa glisser pour finir sur le sol froid et humide. Elle ne pouvait rien faire d'autre à part attendre qu'un de ces ravisseurs daigne lui rendre visite.

Les heures défilèrent, lentement. Elle avait fini par reprendre quelques forces, se doutant de ce qui l'attendait.

Le violent claquement de la porte contre le mur et la voix masculine l'ordonnant de se réveiller la firent sursauter. Elle examina alors son ennemi. Son visage portait de nombreux piercings qui lui donnaient un air autoritaire, froid et cruel. Ses yeux étaient ce qui l'effrayait le plus : ils ne possédaient pas de pupille et les iris ressemblaient à des spirales...

Une femme, au visage angélique encadré par des cheveux bleus dans lesquels une rose blanche était piquée, l'accompagnait. Mais Sakura savait que les apparences sont souvent bien trompeuses ... La rose resserra davantage la cape sur son corps et leur lança un regard noir. Ce geste n'échappa aux yeux des deux nouveaux arrivants.

- Dois-je m'occuper personnellement de toi pour te faire avouer les informations que je souhaite.

Sakura avait très bien compris que ce n'était pas une question. Elle fronça les sourcils et le fixa dans les yeux, lui montrant ainsi qu'il ne l'intimidait pas, même si au fond d'elle, elle doutait ...

Sans lâcher son regard, il se pencha vers elle, la saisit par le cou et la souleva sans aucune difficulté jusqu'à ce que les pieds de la Kunoichi ne touchent plus le sol. Sakura lâcha d'une main la cape pour tenter de repousser cette poigne de fer. Mais en vain.

- Pauvre petite chose ... Dit-il d'une voix méprisante.

Il la relâcha, la laissant tomber lourdement au sol. Il sortit de la pièce sans un regard en arrière. La femme, quant à elle, l'observa quelques secondes avant de suivre son compagnon.


***

Plusieurs jours étaient passés depuis la disparition de Sakura et elle avait perdu tout espoir : perdue au milieu de cette gigantesque forêt, elle peinait à survivre. Elle n'avait pas mangé depuis ce jour là... Ses forces l'abandonnaient petit à petit.

Malgré son état affaibli, elle entendit tout à coup un bruit, constant, comme le clapotis de l'eau. Elle se dirigea donc vers la source de ce bruit et découvrit avec joie une petite rivière.

Elle tomba à genoux au bord de l'eau et se mouilla le visage en sueur. Sans qu'elle ne puisse les retenir, des larmes s'échappèrent de ses yeux turquoises et s'écrasèrent sur la surface de l'eau brouillant son reflet. Elle chassa du revers de la main les larmes suivantes qui s'accumulaient.

Elle se sentait coupable de la disparition de sa senseï. Tout était de sa faute. C'était à cause d'elle, parce qu'elle était faible, qu'elles s'étaient arrêtées. Elle n'arrivait plus à s'enlever cette idée de la tête. Que pouvait bien subir Sakura ? Etait-elle au moins toujours en vie ? Ces questions la hantaient constamment.

Elle se releva difficilement, décidée à ne pas abandonner. Lorsqu'elle se retourna, elle tomba nez-à -nez avec une personne qu'elle n'imaginait même plus revoir. Un mois qu'elle ne l'avait plus vu, et pourtant, elle n'avait cessé de penser à lui. C'est en bégayant qu'elle prononça son nom.

- Sa...Sasuke-kun ?

Il la regardait, une expression neutre inscrite sur son visage. Cependant, lui aussi ne s'attendait pas à une telle rencontre. Il la croyait même morte depuis tout ce temps.

Sayaka remarqua alors qu'il n'était pas seul. Une femme aux cheveux rouges portant des lunettes, deux hommes, l'un très grand et blond et l'autre plutôt bizarre qui n'avait pas l'air comestible avec ses cheveux blancs virant sur le bleu pâle l'accompagnaient.

La jeune femme la fixait méchamment, comme si sa présence ne lui plaisait pas alors qu'elles ne se connaissaient même pas.

- Sasuke-kun ! Qui c'est ?

Sasuke ignora cette question qu'il trouvait futile.

- Que fais-tu ici ? Demanda-t-il à Sayaka.
- Je ... Je ne sais même pas où je suis, bafouilla-t-elle en baissant la tête, déçue elle-même de sa réponse.
- Si tu es ici, Sakura ne doit pas être bien loin ...

Leur rencontre inattendue l'avait momentanément détourné de ses pensées angoissantes, mais la simple évocation de sa senseï les lui remémora et le fait qu'il mentionne, de manière aussi désinvolte, Sakura l'anéantit. Elle éclata en sanglots, se laissant tomber au sol.

La voir ainsi effondrée le prit au dépourvu. Il avait de bons souvenirs de sa compagnie quand il était en convalescence à Konoha. C'était même les seules fois où il avait réussi à se distraire comme tout le monde depuis sa désertion.

Elle était si innocente, gentille et attentionnée mais aussi très naïve. Elle avait pris soin de lui, et ce, même quand il la rembarrait méchamment. Il avait trouvé sa présence vraiment agréable bien qu'il s'était appliqué à le lui cacher.

La dernière fois qu'il l'avait vue, c'était pendant cette partie de cartes où, pour lui faire plaisir, il l'avait laissée gagner. Elle semblait heureuse à ce moment-là et lui l'avait trouvée tout simplement belle.

Mais le soir même, après le départ de Naruto, une autre infirmière avait pris la relève et l'avait informé de la disparition des deux jeunes filles. A partir des bribes d'informations qu'il parvenait à récolter de là où il était (Naruto étant très bavard, encore plus quand l'inquiétude le rongeait, cela lui facilita grandement la tâche), il avait très vite soupçonné l'Akatsuki comme étant l'auteur de ces enlèvements.

Quelques jours plus tard, il quittait le village, sans l'accord de la Cinquième, bien entendu...

Mais là, la revoir dans cet état... il eut un pincement au cœur, une sensation qu'il détestait ...

Surprenant ses compagnons il s'agenouilla devant elle, prit son menton d'une main et le releva. Il pouvait facilement lire dans ses yeux la tristesse, le regret, la souffrance mais aussi le doute. Il ne savait pas comment lui demander le pourquoi de ses larmes et se sentait encore moins capable de la réconforter... Il activa alors ses sharigans et s'immisça dans son esprit.

Au bout de quelques minutes, il sut tout ce qui s'était passé et la haine envahit son corps. L'envie de tuer son frère se fit plus intense. Il serra les poings, le regard haineux.

Mais sa colère retomba vite lorsqu'il sentit, surpris, le corps de Sayaka s'appuyer contre le sien. Il baissa son visage pour mieux la regarder et repoussa quelques mèches rebelles qui cachaient son visage. Mais qu'est-ce qu'il lui prenait de faire ça ? Pour dissimuler ce geste aux yeux des membres de son équipe, il entreprit d'allonger la jeune fille avant de la recouvrir d'une cape.

Devant la tournure inattendue que prenait cette rencontre, la rouquine sentait monter en elle une vague de jalousie à l'encontre cette inconnue et tenait à en savoir plus sur elle et sur sa relation avec « son » Sasuke-kun.


***


Assise sur un canapé, elle observait son coéquipier qui était adossé au mur, l'air absent. Il réfléchissait sûrement à la manière dont il allait s'y prendre pour obtenir de la jeune Kunoichi de Konoha les informations qu'il voulait. Il releva la tête en la regardant dans les yeux.

- Konan, quel âge a-t-elle à ton avis ?

La dite Konan le fixa intensément en se demandant ce qu'il lui prenait de poser une question aussi futile. Mais étant le chef de leur organisation, jamais elle ne se permettrait de lui manquer de respect en lui faisant une telle remarque.

- Dix-huit ans il me semble.
- A dix-huit ans, une demoiselle comme elle doit être assez soucieuse de son physique et des garçons, non ?

Elle fronça les sourcils, se demandant bien ce qu'il avait en tête.

- Tout dépend du caractère mais en général, oui.
- Parfait.

Sans ajouter un mot de plus, il quitta la pièce laissant Konan perplexe et seule par la même occasion.


***

Réveillée depuis plusieurs minutes déjà, mais ne voulait pas se lever. Elle s'était alors assise, le dos appuyé contre un arbre. Tête baissée, elle fixait ses mains posées sur ses genoux. Ses cheveux détachés et emmêlés cachaient son visage.

Au début, elle avait cru qu'ils étaient partis, l'abandonnant à son sort. Mais des éclats de voix, appartenant à une femme, lui étaient parvenus. A la fois rassurée et fatiguée, elle n'avait pas cherché à connaitre la cause de ces cris. Puis, elle entendit cette même personne dire qu'ils allaient établir leur campement ici pour la nuit sur ordre de Sasuke.

Perdue dans ses pensées, elle n'avait pas remarqué que quelqu'un s'était approché d'elle. Elle sursauta quand une tasse fumante apparut d'un coup dans son champ de vision et tourna brutalement la tête vers le nouvel arrivant.

- Faut pas avoir peur de moi petite ! Ricana l'homme aux cheveux pâles.
- Excusez-moi.
- Tiens, bois-ça, ça te réchauffera.

Elle regarda la tasse d'un air méfiant.

- Je te rassure, elle n'est pas empoisonnée si c'est à ça que tu penses. Allez, prends.

Elle prit la tasse dans ses mains, toujours un peu sur ses gardes.

- Qu'est-ce que c'est ?

L'homme avait aussi une tasse mais le liquide qu'elle contenait semblait différent de la sienne.

- Sasuke m'a dit que tu n'aimais que le thé vert. T'as de la chance qu'on en ait.

Elle ne put s'empêcher de sourire en apprenant que Sasuke avait retenu sa boisson préférée.

- Quelle est ta relation avec Sasuke ? demanda-t-il en buvant une gorgée de son breuvage.
- Pardon ?
- Sasuke a l'air de beaucoup t'apprécier.
- Qu'est-ce qui vous fait dire cela ?
- Parce qu'il est aux p'tits soins avec toi, répondit d'une voix froide et menaçante la femme aux cheveux rouges qui venait d'arriver.

L'homme leva la tête pour la regarder.

- Quelle jalousie Karin.
- Suigetsu je ne me rappelle pas t'avoir demandé de l'ouvrir.
- Ah ? Je ne me rappelle pas non plus t'avoir demandé de te joindre à nous.

La remarque irrita Karin mais elle fit mine de l'ignorer. Elle s'approcha de la jeune fille.

- Comment connais-tu Sasuke ?
- Et bien, je suis infirmière et Sasuke était soigné dans mon service quand il était hospitalisé à Konoha. Mes supérieurs m'ont demandé de m'occuper de lui...

En entendant ces aveux, Karin était devenue rouge de colère. Elle écarquillait les yeux au point que ceux-ci semblaient sortir de leurs orbites. Suigetsu éclata de rire en la voyant ainsi.

- T'as dû drôlement t'amuser avec Sasuke ! Tellement froid et refuse tout contact avec le reste du monde ! se moqua-t-il.
- Mais non ! Sasuke-kun était gentil avec moi ! Nous avons joué aux cartes et j'ai même gagné contre lui à plusieurs reprises !
- Sasuke ? Perdre ? Aux cartes ?

Karin était maintenant verte de jalousie, provoquant un nouveau fou rire chez Suigetsu. Sayaka ne put s'empêcher de rire elle aussi, se laissant entrainer dans cette bonne humeur.

- Je vois que tu vas mieux, Sayaka.

Les rires se stoppèrent et toutes les têtes se tournèrent vers le propriétaire de cette voix qui n'était autre que Sasuke.

- Sasuke-kun, dit-elle avec un petit sourire aux lèvres. Elle se leva, sa tasse à la main, et s'approcha de lui. Merci d'avoir pris soin de moi.

Sur ces mots, elle s'inclina. Sasuke se sentit mal à l'aise. Il était rare qu'une personne le remercie pour si peu. Elle se redressa et lui sourit. Ce sourire, combien de fois y avait-il pensé ? Combien de fois avait-il essayé de l'oublier ? Mais en vain. Il avait gardé en mémoire son visage, ses goûts, ses gestes, sa gentillesse, et tous les bons moments qu'il avait passés avec elle...




Bref, le chapitre 8 devrait arriver bientôt, vous en pensez quoi ?

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