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Fiction: Esprits

L'homme à été donné une force proche de l'illimité à son origine. La civilization nous à caché cette puissance et l'a enfoui au fond de nos entrailles, ceci est notre esprit. Seul ceux qui se sont retirés de la société demeurent conscient de leur potentiel astral telle les shamans en Amerique du sud, les Yogis en Asie centrale ou même les Vaoudous en Afrique... Quelqu'un viendrait-il au monde pour rendre la société consciente de l'éssentiel, un nouveau messie?
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peanuts (Masculin), le 18/06/2010
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Chapitre 1: La Venu



6 Juin 1956, journée édifiée par de nombreuses inondations et éruptions volcaniques autour de la planète, une dizaine de maîtres spirituels quittèrent la terre sous de circonstances curieuses. Leurs cadavres ne seront jamais retrouvés jusque lors, les gens auront pensés à des meurtres organisés ou encore à une certaine prédiction liée à une fin du monde proche ; ce qui coïnciderait parfaitement avec les hasards météoriques pour le moins inaccoutumés qui avaient eu lieu durant la journée. Les rares proches de ces Yogis, Shamans, Gurus ou même prêtres témoignèrent que leurs maîtres spirituels disaient entre-autre que ‘leur temps avait surgi’ ou encore ‘que le nouveau prophète allait échoir’. Suite à cela une grande polémique autour ‘d’un nouveau messie’ prit place en Angleterre et qui ne tardera pas à se disperser en Europe d’occident, en Amérique et éventuellement autour du globe.

6 Juin 1956, minuit, à ‘Saint John’s Hospital’, Londres, naquit Jack London, premier et dernier fils de Franck et Janette London qui mourraient deux mois plus tard dans un tragique accident de voiture. Janette était une ravissante jeune femme qui incarnait parfaitement le rôle de la femme au début du 20eme siècle, très pâle de peau elle s’enveloppait habituellement dans de longues robes blanches qui s’arrêtèrent au niveau de ses chevilles. Elle était de taille moyenne, avoisinant les 1m 65 avec de beaux cheveux soyeux mi roux mi blonds qui lui arrivaient tout juste à l’épaule. De délicates formes se dessinaient sur son corps lui donnant une élégance propre à elle. Dans sa démarche on croyait y voir toute la grâce du monde réunie en une seule personne, elle illuminait littéralement le monde autour d’elle et vivait de ce qu’elle avait sans penser au plus. Son mari, Franck London était un grand homme touchant les 1m 85, il était mince et s’habillait régulièrement en costume-cravate deux pièces. Franck London était un homme des plus droits, malheureusement il penchait à croire que sa droiture ne l’avait pas emmené aussi loin dans la réussite que la malice et le profiteur aurait pu. Au lieu d’être un avocat des plus renommés du monde il satisfaisait tout juste aux besoins familiaux en demeurant l’avocat altruiste qui ne défendait que les causes qu’il jugeait être justes et qui, malencontreusement, ne lui rapportait pas autant de profit professionnel. Autant la justice avait pu se dire juste, combattre des chefs d’entreprise ou des banquiers au cœur souillé n’avait rien d’une partie gagnée, la corruption posait son nid jamais trop loin de la cours. Franck disait, ‘je préfère garder ma fierté et mon âme que de la vendre au profit de mon succès et de ma fortune. Mon âme elle, à l’opposé de ma fortune, perpétuera à jamais.’

Jack grandit dans un orphelinat à Middlesbrough en un petit garçon sublime et rayonnant de vie avec quelques caractéristiques lui étant proprement uniques. L’héritage qu’il avait à gagner de ses parents était déjà immense, mais Jack avait plus encore à donner que la beauté et la pureté de sa mère et la bonne miséricorde de son père. Jack disposait de cheveux blonds éclatants qui tombaient à mi-chemin le long de son cou, quand le soleil était à son zénith ses cheveux brillaient comme un éclairage et leur extrême finesse suscitait la chevelure d’être aisément emportée par les brises les plus légères. Ses yeux bleus irradiaient de mille feux le jour où le soleil battait de son plein et toiser dans l’azur de son iris rimait à scruter toute la pureté et la profondeur du vaste ciel, or, il semblait que dans l’ombre ses yeux s’altéraient dans un gris clair qui ramenait à la météo hivernale qui ponctuait la majorité des journées de Middlesbrough. Son nez était fin et semblait descendre à la juste hauteur, il avait de petites mains émincées qui paraissaient être destinées à jouer sur un clavier de piano, œuvre qu’il exécutait avec panache.
Il portait habituellement une paire de grosses bottes noires dû au mauvais temps qui étiquetait le paysage plus d’un jour sur deux. Il chantait dans les cœurs et semblait avoir une déteinte d’Archange dans sa voix, une touche de fraicheur équatoriale qui manquait aux gens dans cette contrée froide. Doté d’un charisme exceptionnel, Jack était aimé de tous et toujours entouré de monde, les gens disaient trouver chez lui ‘l’ensoleillement’, et les tuteurs eux, très catholiques, disaient qu’en sa présence ils ne savaient plus reconnaître l’enfant de l’adulte, qu’une énergie si puissante qui semblait tout guérir émanait de lui : allant des angoisses quotidiennes aux entorses et inflammations qui surgissaient suite à des vagues de stress chroniques.
Une de ses tutrices disait, « Être avec lui rimait à l’aboutissement d’une longue heure de méditation ; tu te sentais épanoui et vidé de toutes mauvaises ondes, on croirait que son âme te nettoyait de la tête aux pieds et te purifiais de tout ce que tu avais pu semer de problématique durant l’aube. Suite à une longue journée de labeur autour des enfants parfois trop agités j’allais rendre visite à Jack pour lui lire des contes avant qu’il s’endorme. Avec le temps je faisais de ce temps mon propre loisir, j’éprouvais tout autant ou plus de bonheur que lui à lui lire ces légendes. Je n’avais jamais vu un enfant aussi au point, il vivait les histoires comme aucun autre enfant les vivaient, il ne faisait aucun commentaire et ne posait aucune question, il était juste là, assis en face de moi fixant mes lèvres comme si elles lui offraient les contes en images. A la fin du conte il était le plus heureux des enfants et ne doutais jamais de la viridité du conte. C’était un ange. »

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‘Le pouvoir de dieu est en nous, le temps et la société nous l’ont caché, il est de notre devoir de pouvoir le réveiller. Tout le monde est capable d’effectuer le plus surprenant. ’ – Jack London
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Jack London était aimé, néanmoins il fut craint tout pareillement. Intérieurement chaque individu ayant eu l’opportunité de le rencontrer fut aussitôt mise en conscience d’un fait inébranlable qui sautait aux yeux : Il était intouchable !

L’or d’un soir d’Automne où la pluie avait fait son ravage et que les feuilles d’arbres couvraient le sol de la forêt la teintant en un vaste mélange couleurs vives, la panique envahissait l’orphelinat, Jack avait disparu ! Sur son lit on trouvait tous ses vêtements - ses draps étaient défaits mais aucun signe de Jack ne cheminait. L’inquiétude laissa place au désarroi et au trouble dans l’enceinte du bâtiment et sous peu - le bâtiment entier fut mis en alerte et plus personne ne dormait - juste une question suspendait en l’air : ‘Où est Jack ?’

C’était un désastre - un cataclysme - l’orphelinat en l’espace d’un instant s’était converti en demeure d’affolement et de terreur. Les enfants hurlaient en pleurs - certaines tutrices s’étaient accroupies et se noyaient dans leurs larmes en pensant au pire, d’autres s’engoulaient et s’entre-accusaient pour la mal-surveillance du petit protégé. Le petit protégé, Jack, avait disparu…sans trace - sans rien - ni même de quoi se vêtir - où était Jack - que lui était-il arrivé ? Nul ne le savait et c’était cette ignorance qui petit à petit augmentait l’angoisse et la transe au sein de l’immeuble.

Alors que le chaos avait pris place dans chaque pièce de l’édifice soudainement une certaine tranquillité impétueuse s’implanta dans l’air autour de chaque individu. Les hurlements cessèrent, les pleurs aussi, les engueulades prirent une fin et la subversion avait laissé place au calme et à l’ordre. Eminemment tout se calma, l’atmosphère prit une tournure brusque et on avait déjà du mal à croire au désordre qui avait lieu de cela quelques secondes uniquement. Qu’est-ce qui venait de se passer ?

Curieux de savoir d’où provenait cette soudaine vague de bonté pacifique, tous les résidents de l’orphelinat sortirent ou s’approchèrent de leurs fenêtres dans l’immédiat. Devant eux un jeune garçon pas plus haut que 8 briques, blond comme il ne l’était pas permis, des yeux azurs qui ramenaient à un avant-goût du paradis, on lui donnait difficilement plus de dix ans en âge. C’était Jack, plus serein et impassible que jamais avant. De haut en bas il était vêtu d’un seul tissu couvrant ses parties intimes, le reste de son corps était nu, ses cheveux étaient bataillés et on distinguait quelques feuilles et branches emmêlées dans ses ondulations. Ses pieds étaient entaillés mais il ne semblait rien sentir de semblable à la douleur. Mais Jack n’était pas venu seul, derrière lui une immense meute d’animaux tenait place. Elle était composée de loups sauvages, d’ourses bruns massifs, de cerfs, de renards et des plus petits de la nature tels des lapins, des écureuils et une variété innombrable d’oiseaux. Tous tenaient leurs place autour du jeune garçon comme s’ils visaient à son confort sécurité. Leur nombre était incommensurable, semblable à si Jack venait de prendre toute la forêt avec lui. Une force et un charisme colossal découlait de son corps, son regard était soignant et tout semblait ravir à son passage. En y regardant très attentivement on croirait voir une lueur terne et livide émaner de sa personne, pareille à si son intellect opérait de son corps.

« Jack ! As-tu perdu la tête mon petit ? Cria la directrice d’un ton miteux les larmes aux yeux et s’agenouillant devant le dénommé en question. Ou était-tu ? Te rends-tu compte du danger que tu courrais dehors dans la foret à cette heure-ci, et... dans une telle tenue qui plus est !? Te rends-tu compte de nous, des soucis qu’on a pu se faire à ton égard ? Jack, qu’est-ce qui t’arrive ?
- J’étais dans la forêt m’dame, je me suis fait des amis dit-il en désignant la meute d’animaux derrière lui, il poursuivit alors, et pis ya rien de dangereux dans la forêt j’vous promets m’dame, de toutes façons m’dame, même s’il y avait un danger quelconque mes amis ils m’auraient protégé comme ils l’ont fait en m’accompagnant à la maison. Maintenant en plus, ils protégeront tout le monde à l’orphelinat, ils me l’ont promis ! Conclut-il naïvement avec un grand sourire tatouant son visage.

Consciente qu’il ne servait à rien d’essayer de raisonner ce jeune phénomène elle le prit dans ses bras et l’invita à rejoindre l’enceinte de la bâtisse à nouveau. Avant de rentrer Jack se retourna et d’un geste attrayant de la main droite il fit signe à la meute qui, en comprenant son message, firent demi tour et s’en allèrent vers la forêt pour y disparaître parmi les arbres à nouveau.
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‘L’esprit humain réveillé à son potentiel naturel lui permettra de régner sur tout autre être comme dominant. Ceux-ci se donneront l’objectif de servir l’homme comme l’un servirait son roi, mais ceci ne pourra que perpétuer si le Roi est bon et juste envers son disciple.’ – Jack London

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Cette évènement restera gravé dans l’esprit de chaque particulier dans l’orphelinat, le sujet, en revanche, ne refera plus jamais surface oralement en cause de son statut tabou. Jack quant à lui montrait un certain développement suite à cette épisode. Ses cheveux semblaient plus blonds et plus éclatants que jamais avant, ses yeux demeuraient bleus ciel étincelant même dans l’ombre et il ne fallait plus émettre un effort de concentration particulier pour percevoir cette lueur idyllique et éveillée qui airait autour de sa personne.
Un beau jour la directrice de l’établissement décida d’emmener l’orphelinat en entier dans une excursion au zoo, histoire de changer les idées aux uns et aux autres. Une visite structurée allait tenir place où tous les enfants auront pour la première fois l’honneur de voir des animaux venant de régions lointaines et dispersés autour du globe. L’idée fut une grande réussite, tous les enfants bondissaient de joie avec hâte de pouvoir finalement, à ce beau jour, voir en face d’eux les animaux qu’ils avaient toujours entendus dans les contes ou vus dans des livres à colorier. Le Lion, grand roi de la jungle, occupait la première place chez les animaux les plus convoités parmi les enfants.

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6 Juin 1956, minuit et 45… coupure de courant à ‘Saint John’s Hospital’, un bébé nait dans le noir. L’enfant apparaît et la mère disparaît, tout en silence. Pas de père en vue, le bébé est une fille aux traits caucasiens, des cheveux lisses vigoureusement noirs couvrait son crâne, ses yeux étaient des plus sombres, on ne distinguait aucunement l’iris de la pupille, tout était noir. Le bébé ne poussait aucun cri mais son état semblait rien signaler d’alarmant, sa bouche était ferme et tirée vers le bas comme si elle se lamentait.
Le bébé était de ce qu’il y a de plus sublime mais aussi de plus repoussant, la porter dans ses bras donnait l’impression de porter tout le désarroi du monde en une fois, une onde si maléfique qu’elle fit pousser des frissons découlait de son entité. Pas grand-chose était à savoir de la mère, elle était venue en urgence et n’aurait jamais eu besoin de payer son intervention. Seul fait à noter d’elle était son état maladif ou drogué quand elle est rentrée aux urgences et le fait qu’elle travaillait comme strip-teaseuse dans une boîte urbaine mal fréquentée en banlieue, information tirée par la carte d’identité qu’elle portait sur elle. La mère se nommait Carmelia Gorgia, on devinait des gènes Italiennes chez elle, autant dans son nom que dans sa physionomie et son teint mâte qu’on trouvait chez les méditerranéennes. Elle avait de longs cheveux noirs qui lui arrivaient jusque derrière l’abdomen, ils vaguaient légèrement et paraissaient particulièrement lourds. Elle était svelte, avoisinant les 1m 75 et elle disposait de hanches singulièrement évasés et formés à ce qu’on pourrait définir comme la perfection.
Alors qu’un couple de nouveaux parents revinrent dans leur chambre et apprirent la triste nouvelle ils se précipitèrent pour se porter garant à élever cette fille qui leur semblait si belle et trop innocente pour qu’un tel malheur s’acharne sur elle. Ils la nommèrent Carmelia d’après sa mère et la prirent en charge à partir de là. C’est ainsi alors que Janette et Franck London adoptèrent la jeune Carmelia suite à avoir donné naissance au jeune au jeune Jack, comblés, ils allaient rentrer avec une fille et un garçon à domicile. Le début d’une nouvelle vie...

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‘Que serait le bien sans le mal à combattre ? Une fois que ton esprit sera éveillé à son potentiel naturel, il faudrait savoir reconnaître où ton esprit se doit d’actionner, c’est notre destiné à nous les hommes, c’est ce qui nous permettra de perpétuer. ’ - Carmelia Grahams
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Les deux bébés disposaient d’un charisme hors du commun, leur passage dans les ruelles de Londres attirait tous les yeux et la sympathie des passants. Les deux étaient sublimes et charmaient tout et tout le monde, seulement, le contraste entre les deux était alarmant. D’un côté le petit Jack qui brillait littéralement avec des cheveux d’un blond étincelant et de grands yeux bleus lumineux, il inspirait le bonheur avec un énorme sourire constant ou il nous offrait la pleine vue sur ses dents pas encore formées.
De l’autre côté Carmelia, sublime petite beauté qui charmait tous les passants, en revanche le sourire n’était jamais là. Elle serrait toujours sa poupée et quelque chose dans soi semblait être aspiré dans ses grands yeux d’un noir infiniment profond. Les ondes que les deux bébés libéraient semblaient détonner entièrement. Une extrême chimie se créait quand les deux enfants se retrouvaient à se toucher, les deux semblaient avoir une immense frayeur pour l’autre comme si chacun représentait une idée opposée à l’autre. Les moments où ils furent laissés seuls proches l’un de l’autre résultaient souvent à des hurlements intolérables dans l’appartement et des objets se retrouvaient étrangement fracassés au sol comme s’ils avaient été bougés par une secousse. Les parents, dignes de leurs personnes, ne firent aucun favoritisme et se dirent qu’avec le temps la situation allait éventuellement s’améliorer… allait-elle vraiment s’améliorer ?




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