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Fiction: Tabidatsu gaitou kako soshite uchuu :Voyage dans le temps et l'espace

Je suis certaine que je peux, d'une manière ou d'une autre toucher mes rêves et ceux des autres. Parfois ils arrivent que les gens que nous connaissons sont des êtres totalement différents d'une dimension à l'autre. Je crois qu'il suffit de savoir qui on est pour pouvoir continuer et changer le monde.
Classé: -16I | Spoil | Action/Aventure / Romance / Suspens | Mots: 172772 | Comments: 258 | Favs: 53
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limala (Féminin), le 02/04/2011
Dernière parie pour Oto. Et le mystérieux inconnu que vous avez sans doute deviné.



Chapitre 49: A la recherche des âmes perdues : 11- Oto où la violence à l'état pur partie 3



Je me relève. De la lumière intense pénètre dans ma geôle. Je place mes mains devant mes yeux. Puis, dès que l'intense lueur disparaît, j'écarte mes mains. Mais j'ai été énormément éblouie. La main de l'individu prend la mienne, et me tire pour m'obliger à le suivre.

- Je...je n'y vois rien. Qui êtes-vous !

La deuxième main tapote mon bras comme pour me rassurer. Mais c'est vain. Je suis effrayée. Et je sais que ce ne peux pas être Kisara et Shinji. Ils sont dehors. Je le sais. Et ce chakra m'est inconnu. Il me tire encore. Je ressens dans son cœur un besoin d'empressement.

- D'accord.

Il me serre la main comme s'il ou elle a peur de me lâcher. Ce contact est différent du serpent. Parce que cette main est chaude. Cela me rassure énormément. Mon corps, bizarrement, ne repousse pas ce contact étranger d'Orochimaru. Comme si dans mon rêve, le sort avait été rompu. Dans ce cas il doit le savoir que notre lien est rompu. Je ressens moi aussi le besoin de bouger rapidement. Je ne sais pas depuis combien de temps cette personne bienveillante et moi courons, mais je commence à retrouver de la lumière dans mes yeux. C'est alors, une fois que nous entrons dans la salle où se trouvent mes affaires rangées comme lors d'un départ, que je lâche la main de la personne et que je cherche le pendentif. Mais il est où !

- Si c'est le collier, je l'ai avec moi.

Cette voix ! Je me retourne. Mon cœur s'emballe. J'ai beau essayer de ne rien laisser paraître, mais la ressemblance avec Itachi est trop forte. Même si ce n'est pas lui.

- Sa...Sasuke...Uchiwa. Mais ?

Il semble surpris de l'avoir appelé par son nom. Il ne me reconnaît pas ?

- Comment connaissez-vous mon nom ?
- Mais, tu ne me reconnais pas ?
- Pas vraiment. En fait, vous ressemblez à une personne... mais ?

Je place les mains au niveau de mes oreilles. Elles sont humaines ! Alors, sous les yeux de l'adolescent, la lumière sort de mon corps, dévoilant ma vraie identité. Sasuke n'arrive pas à bouger. Ni à parler. Le choc est intense. Il se remet quand même vite. Alors, pour la première fois de ma vie, je vois Sasuke laisser tomber quelques larmes.

- Ro...Robÿn !
- Non, en fait ce nom que je t'ai dit c'est celui de ma jumelle. Mais elle est morte il y a très longtemps. Et c'était le seul souvenir qui me restait. Jusqu'à ce que je découvre mon identité. Je suis Amayelle, Sasuke.
- Amayelle. C'est vraiment plus ….joli.

Il n'est pas habitué à complimenter. C'est mignon. Avant même que je m'en rende compte, Sasuke est dans mes bras. Ou plutôt, je suis dans les bras de Sasuke. Il est un peu plus grand que moi. Ses mains serrent mon dos, ses larmes tombent dans mon cou. Ses pulsations de bonheur m'envahissent comme un baume si puissant que je me noie en lui. Afin de me calmer. Au bout d'un moment il se calme et me lâche. Il passe le pendentif autour de mon cou. Je sens alors toute l'angoisse de Maï en moi. Je vais bien.

« - AH OUI ! MAIS MOI J'AI VU CE QUI S'EST PASSE ! SANS EN AVOIR ENVIE ! Mais c'est vrai, je ne sens plus les ténèbres en toi. »

C'est grâce à une créature. Et à Kira. Sasuke va chercher dans mon sac un objet. Puis il me le tend. C'est le bandeau de Konoha. Je le regarde. Il semble qu'il y ait un grand dilemme en lui. Je ne le presse pas. Il est assez grand maintenant pour dire les choses.

- Tu es shinobi de Konoha alors.
- Oui. Tout comme tu l'étais.
- Tu sais, j'ai beaucoup souffert quand tu es...

J'ai placé mes mains sur sa bouche.

- Chut ! On reparlera de cela une fois dehors. Il n'est pas loin.

Il comprend ce que je viens de lui dire en chuchotant. Je prends mon sac et je prends mon bandeau que je mets sur mon front. Sasuke me prend la main et ensemble nous courons. Je fais en sorte de mémoriser les couloirs de ce labyrinthe. Parce que je suis à peu près certaine qu'il ne viendra pas avec moi. Malgré son dilemme, je sens encore son envie de vengeance qui est bien plus forte. Ça me fait de la peine.

« - Peine ou pas, dis-toi qu'il n'est pas complètement dans le camp de ce monstre. »

C'est vrai. Mais ! Ta plume !

- Sasuke !
- Quoi ?
- Tu as déjà entendu parler des fragments d'âme ?
- Oui. Et je sais ce que tu cherches. Elle est avec moi.
- C'est vrai !

Mon cœur est rempli de soulagement. C'est vraiment mon chevalier servant.

« - Décidément, ce Sasuke semble t'apprécier vraiment. Malgré que tu l'aies abandonné par le passé. »

Je ne l'ai pas laissé tomber ! À cette époque je ne maîtrisais pas mes pouvoirs. Alors ne sois pas si injuste. En revanche, le fait que tu dises que Sasuke m'apprécie beaucoup me semble étrange. Tu as raison. Comment peut-il m'aider et ressentir tant de bonheur à mon contact. Je regarde sa main qui tient la mienne fermement. Je concentre mes facultés et je sonde le cœur de cet ado. Il y a beaucoup de haine. Comme je m'en doutais. Mais dans cette noirceur, il y a des remords concernant Naruto et Sakura. Mais c'est faible au milieu de cette haine. Et, à ma grande surprise, je vois en lui un espace différent dans son âme. Comme un sanctuaire où il peut se cacher. Et c'est mon image que je vois. Ou plutôt une image floue qui devient de plus en plus nette. Il avait eu du mal à me reconnaître parce qu'il gardait de moi comme souvenir une image très floue. À présent il semble se forger mon image dans du « granit ». Pour ne plus m'oublier. Je ne comprends pas pourquoi il fait cela. Il serre ma main. Il me chuchote alors.

- On a de la visite. Surtout ne parle pas. Laisse-moi faire.

Je le regarde dans ses yeux noirs. Si semblables à ceux d'Itachi. Je fais « oui » de la tête. Il me lâche ma main. Je n'aime pas ça. Ce n'est pas que j'ai peur pour moi. Quoique si quand même. Mais je crains qu'il ne fasse une erreur de jugement. Il est jeune après tout. Et comme dit Gaï, il a en lui « la fougue de la jeunesse ».

- AHHHH !!!

Sasuke ! Je m'élance à sa suite. Mais à ma grande surprise, il est debout. Il est calme. Comme si rien ne s'est passé. Il se retourne et me prend la main. Il me tire et nous courrons à nouveau vers la sortie.

- Sasuke-kun, où est la sortie ?
- Pas loin Ama-chan.

Il me sourit. Je vois, il communique de la même manière que moi. On dirait qu'il rattrape les années de séparation en me parlant comme à une confidente. Je souris à mon tour. Je ressens en moi un immense soulagement d'avoir retrouvé Sasuke. En continuant à courir, je sonde ce qui est devant nous en projetant mon esprit. Je cherche avec mon âme la sortie. C'est bien plus rapide. Nous arrivons. Il n'y a personne. La seule lumière présente est la lune. Elle est pleine. Le vent nocturne dans mes cheveux me rend ma lucidité. Cette fois je me suis retrouvée. Sasuke continue de courir vers le cœur de la forêt. Je le suis avec confiance. Nous arrivons finalement à ce qui me semble être le cœur de ce monde sylvestre. Il me lâche la main et reprend son souffle. Une fois les minutes de repos passées, il me regarde tout en fouillant dans son kimono. Il sort alors une espèce de flacon où à l'intérieur se trouve une sorte de fil argenté. Il débouche le flacon et le fil s'envole jusqu'au pendentif. Il pénètre dedans, libérant comme d'habitude une vague apaisante. Je respire enfin. Je vais pouvoir fuir cet endroit. Et puis Shinji et Kisara ne sont pas loin. C'est sans doute pour cela que Sasuke semble si tendu.

- Ils ne te feront pas de mal.
- Je sais. Mais je n'aurai pas l'occasion de les voir.
- Pourquoi ça Sasuke-kun ?

Il me regarde, de la tristesse dans le regard. Je parle alors à sa place. Répondant ainsi à ma propre question.

- Tu ne viens pas avec moi.
- Non, je ne retournerai pas à Konoha.
- Je m'en doutais. Mais tu sais tout comme moi ce que cela signifie.
- Oui, nous serons ennemies. Toi en tant que Chûnin de Konoha, et moi en tant que déserteur.
- Tu veux donc toujours te venger d'Itachi-kun.
- Oui, mais aussi de quelqu'un d'autre depuis que tu es ici.
- Orochimaru.

Il me fait « oui » de la tête. Il se rapproche de moi. Il me prend la main délicatement.

- Tu sais, je n'ai vraiment pas envie d'être ton ennemi.
- Moi non plus. Je suppose que cela ne sert à rien de te demander à nouveau de venir avec moi. Alors je te demande de faire attention à toi.
- Je te le promets.

Il s'éloigne en disant.

- Je dois y aller, sinon ils vont se douter de quelque chose.
- Attends encore un peu. Il faut que tu retiennes une chose !
- Quoi ?
- Ne sois pas manipulé par la personne qui est avec ton frère et toi, très proche. Il est maléfique.
- J'en tiendrai compte. Tu crois encore en lui pas vrai, en Itachi.
- Oui, parce qu'il t'a caché des choses à toi et à tout le village.
- Quelles choses ?
- Ce n'est pas à moi de te le dire mais à ton frère ainé.
- Très bien. À bientôt, je l'espère de tout cœur.

Il part. Je pense qu'il ne pouvait tout simplement plus supporter ce sentiment très fort qui ne cesse de grandir en lui.

« - L'amour ? »

Oui, j'en ai bien peur. Il a gardé une image si douce de moi qu'il en a créé un espace de recueillement. Mais cela risque d'être un sacré problème à l'avenir. Avec Itachi du moins.

« - Sauf si l'histoire est la même. »

Je ne laisserai jamais mourir Itachi ! Maï ne réplique pas, elle ne comprend pas mes émotions. Quoi de plus normal ! Bien, je me rends en direction des deux coéquipiers. C'est alors, au bout d'une bonne heure de marche forcée que je les vois.

- Shinji-san ! Kisara-chan !

Ils retournent et vont vers moi. Ils me prennent chacun dans les bras. Puis je prends un coup de poing sur le haut du crane de la part de Kisara.

- Ça ! C'est pour avoir tenté de mourir ! Non mais t'es dingue ! Tu aurais pu avoir la bonne idée de nous suivre ! Mais non, il faut que cette demoiselle se prenne pour une reine !
- Désolée de t'avoir inquiétée.
- Je me suis inquiétée, mais ton animal m'a un peu rassurée. Il nous a dit que tu ne risquais rien.

Je me mords la langue en me disant qu'il s'était, justement, passé des choses atroces. Puis c'est Shinji qui me dit.

- Dis-moi, c'est une drôle de créature. J'avais déjà entendu parler des crapauds ou autres animaux de notre monde qui avaient des costumes. Mais ça, je ne sais pas ce que c'est.
- C'est...un esprit venant d'un monde que je croyais inventé aussi. Mais, ce n'est pas le cas.
- Tu as invoqué un animal d'un autre univers !
- En gros oui. Et ce n'est pas un animal. C'est ce que l'on appelle un Pokémon.
- Pokémon ? Drôle de nom.
- En fait, ce n'est pas « son » nom, mais celui de toutes les créatures qui y existent.
- Je vois. En gros c'est le synonyme d'animaux.
- Oui.
- Mais, pourquoi dis-tu que ce monde, pour toi, n'existe pas ?
- Je ne sais pas.

Kisara nous coupe en levant ses bras en croix.

- Ça suffit, j'en ai marre de ces histoires. Et puis, tu as une vie ici Ama-chan ! Vis-là autant que tu le peux, parce que l'on sait jamais combien de temps on a devant soi.
- C'est vrai.
- Bon, allons-nous-en !

Nous partons, non pas vers le Sud mais vers le Nord d'Oto. Kisara répond alors.

- Shinji et moi restons avec toi au pays de la foudre afin de veiller sur toi. Après nous partirons. Dans un bateau différent. Toi vers Kiri et nous deux vers Konoha.
- Ok.

La nuit tombe alors dès que nous sommes en vue du pays de la foudre. Je sais qu'il n'y a plus rien à craindre. Alors je m'allonge à même le sol, laissant mes deux amis veiller sur moi. Le temps de mon repos dans le monde de Kira.

Amayelle vient de me laisser sa place. Elle a bien besoin de repos. Je continue de me demander comment ce monde fonctionne. Je ne suis pas dans un rêve à proprement parler, mais dans une sorte de connexion. Et lui, pourquoi Suicune s'est ainsi apparu ici ? La réponse se trouve avec le dieu du livre des secrets. Je me rends donc de ce pas dans, ce que j'appelle, le sanctuaire du passé et du futur. Ce lieu est toujours si noble. Il s'agit d'arbre, plus vert et respirant un air plus pur que le cristal. Des espèces de dalles en forme rectangulaire placées les une aux autres sans logique, mais allant toujours vers cet autel où se trouve mon maître. Il a pris l'apparence d'un Pokémon. Comme s'il avait entendu ma question. C'est donc Mewtwo qui s'avance.

- Pourquoi ce Pokémon maître?
- Parce qu'il est télépathe et parce qu'il aura un rôle très important dans ta libération.
- Comment ça ? Ma libération ? Dans le monde de Naruto voulez-vous dire ?
- Pas exactement. Tu seras libérée, ton corps et ton âme, à la mort d'Amayelle. C'est elle qui te donnera la vie. En combinant son esprit à celui de la déesse Maï.
- Pouvez-vous m'en dire plus à ce sujet avant de répondre à ma question ?
- Amayelle, je sais qu'elle va tout savoir à la suite de ma réponse. Veux-tu réellement qu'elle le sache ?
- Oui, sans aucun doute. Après tout elle est moi, et je suis elle.
- Très bien. Lors de la dernière journée de la princesse, elle trouvera le corps de la déesse dans un sanctuaire. Un sanctuaire spécial.
- Spécial, en quoi maître ?
- C'est la porte vers ton monde.

Je sursaute de surprise. Alors comme ça, il y a une porte menant dans le monde de Naruto. Quoique je ne devrais pas être surprise. Après tout, mon univers est relié à différents monde par le biais de ces « portes »

- Tout à fait Kira.
- Que va-t-il se passer ensuite ?
- La princesse va poser le collier sur le corps de la déesse et les deux s'uniront en une seule entité.
- Je ne comprends pas. Dans ce cas Amayelle ne mourra pas.
- Si, le simple geste de poser le collier dans le corps de la déesse va la faire mourir. Tu sembles sceptique. Tu comprendras le temps voulu. Puis, avec l'aide du poignard de l'âme d'Amayelle, Maï frappera son cœur. Mais au lieu de récupérer sa magie, elle enclenchera une sorte de tunnel de vie. Ce tunnel va donner naissance à ta libération. Vers le monde dont ton cœur souhaitera aller.
- En gros, c'est ma vie contre celle d'Amayelle. Pourtant je me sens bien vivante.
- Oui, mais ici tu es une prisonnière. Ce monde, même s'il est accueillant est une prison. Tu ne seras libérée que par la décision d'Amayelle. Et elle aura le choix. Mais Maï va tout faire pour qu'elle finisse le pacte. Celui d'échanger son âme à la vie de Maï.
- J'ai compris. Mais je trouve cela si injuste. Après tout, elle est moi. Elle pourrait vivre selon son seul désir. Mais cela, je préfère que ce soit elle qui en décide le moment voulu. Maintenant pouvez-vous répondre à ma question concernant Suicune.
- Ce Pokémon est lié, comme Mewtwo et comme trois autres Pokémon à toi. Pas à Amayelle. Votre lien a permis de l'invoquer. Mais j'ai peur qu'elle ne le puisse plus à présent. La porte de ce monde est fermée pour de bon.
- Vous voulez dire que la porte était ouverte !
- J'ignore pourquoi, mais oui, la porte vers Pokémon était bien ouverte. À présent elle est fermée. C'est une autre façon de voir le destin de votre cœur. Votre amour de la nature. À présent, je vous laisse repartir. Revenez quand d'autres questions vous viendront à l'esprit.

L'habituelle lumière blanche m'entoure et s'éloigne une fois que je suis chez moi. Dans mon habitat. Il s'agit d'une cabane dans les arbres. Elle est faite de branches longues et circulaire, et de feuilles de châtaigniers. Mon lit est fait de plumes d'oiseau de différentes espèces multicolores. Je redescends de mon nid et je vais sur le rivage de la mer qui s'étend si loin que je ne vois pas le bout. Je m'assois alors sur le sable, laissant mes pieds dans l'eau. Elle est agréable, voir même suffisamment chaude pour se baigner. Je me relève et enlève ma robe, identique à celle de Sakura dans TRC. Je plonge ensuite dans la mer. Je regarde ensuite le ciel, en flottant sur le dos. Décidément, cette prison est vraiment un peu trop agréable. Même si je me sens très seule. Le dieu du livre des secrets n'est pas humain, et moi c'est de compagnie humaine dont j'ai besoin. Mes larmes se déversent dans la mer. Je ressors de l'eau et je me rhabille. C'est alors qu'une voix s'élève au-delà de la mer. Une voix que j'ai entendue dans le monde de Marie. Quand elle écoutait un film. Celui de Pokémon. La mer et le film Pokémon. C'est !




Je suis désolé de ne pas être allé plus loin avec Sasuke. Mais j'espère que cela vous a quand même plu.






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