Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Tabidatsu gaitou kako soshite uchuu :Voyage dans le temps et l'espace

Je suis certaine que je peux, d'une manière ou d'une autre toucher mes rêves et ceux des autres. Parfois ils arrivent que les gens que nous connaissons sont des êtres totalement différents d'une dimension à l'autre. Je crois qu'il suffit de savoir qui on est pour pouvoir continuer et changer le monde.
Classé: -16I | Spoil | Action/Aventure / Romance / Suspens | Mots: 172772 | Comments: 258 | Favs: 53
Version imprimable
Aller au
limala (Féminin), le 12/12/2010
Bon, j'ai mis quelques scènes de combat. Mais pas très longue. Désolé pour ceux qui en sont accros. Je ne suis pas doué pour les écrire. J'ai mis une musique aussi à écouter jusqu'à la fin. Sur ce, à toute.



Chapitre 36: A la recherche des âmes perdues : 7- Intrusion au repaire de la pluie partie 2



Mon katana à la lame rouge est toujours en direction de la gorge de la femme à l'âme noire. Elle se met à rire d'un coup. On dirait une démente !

- Alors c'est donc ça, la guerre est finie ! Vous le pensez vraiment !
- En effet !
- Mais que vous êtes naïve petite fille ! Regardez ! Regardez donc ! Les tensions sont partout !
- Je sais cela ! Mais moi, je ne serai pas le pion de la cinquième guerre ! Si elle a lieu évidemment.
- Maître Pein vous tuera et il vous donnera la paix comme il le promet à nous tous !
- Vraiment ? Moi je ne crois pas. Sa vision est différente de la mienne. D'une certaine manière je vois ce qu'il veut. Mais cette vision est bien trop remplie de haine. Je ne connais pas trop cet homme.
- Un dieu !
- Si vous voulez, quoiqu'il en soit, je crois comprendre que vous agissez pour le compte de Pein. Mais à votre façon. Croyez-vous que votre dieu accepterait de vous voir tuer une enfant ? Tuer un être au cœur encore pur et rempli d'innocence ?

Elle ne peut pas répondre. Mais je sens qu'elle change de camp. Elle me croit, elle croit que moi, avec ma force de penser, je peux changer ce monde.

- Ne croyez pas ça madame.
- Hein ?
- Je ne suis pas celle qui peut changer ce monde.
- Vous lisez mes pensées !
- Oui.

Autant être franche.

- Je peux aussi bien lire vos pensées que d'envoyer des vagues apaisantes qui font du bien.
- Mais êtes-vous humaine ?
- Ah cela c'est à vous de le croire.

La femme commence à douter.

- Regardez Sayuki-chan, madame je vous en prie.

Elle m'obéit et dévisage le mignon visage de l'angélique enfant. Je continue de parler calmement tout en rengainant mon sabre.

- Vous pensez réellement qu'un enfant peut vous causer tant de souffrance ?
- Non.
- Alors de quoi avez-vous peur ?
- Je ne sais pas.
- Ne vous laissez pas gagner ainsi par votre propre peur.

Mon arc apparaît et devient or. La flèche sort de ma poitrine. La femme prend peur.

- Que faites-vous !
- Rien qui ne vous causera de soucis. Ayez confiance en moi. Ayez confiance en la flèche de pureté des âmes.

La flèche frappe la poitrine de la femme. Puis elle s'enfonce à l'intérieur en libérant sa bienfaisante vague apaisante. Je ressens les ondes de ma bienfaisante technique elfe. Le cœur de la femme abandonne ses ultimes frayeurs pour s'abandonner à la chaude et douce lueur de l'espoir qui vit encore dans l'humaine. Elle tombe à genou. Des larmes coulent sur son visage. Elle est en paix à présent. Je cède mon arc pour qu'il disparaisse en moi. Tous les humains me regardent étrangement. Sauf Sayuki. Son oncle se relève et dit d'une voix pleine d'inquiétude. Mais je ne sais pas pour qui.

- Êtes-vous ?
- Oui, vous voulez me dire quoi ?
- Vous ne vous appelez pas Kira n'est-ce pas ?
- Non. Mais vous, vous savez qui je suis ?

L'homme fait oui de la tête. Sa femme parle à sa place, exprimant ses paroles.

- Vous êtes Amayelle-hime. La dernière des elfes. Vous vous cachez sous les traits d'une humaine afin de voyager plus librement dans notre pays.
- Oui. Je ne veux pas être découverte par Pein. S'il vous plait, promettez-moi de ne rien dire.
- Très bien. Comment le disons-nous en elfe ?
- En le pensant et en disant à voix haute, I'm o guesta.

Tous les humains s'exécutent, y compris la petite fille. Je suis leurs pensées et je sens que la promesse fait effet. Puis je souris.

- Je vous remercie. Je vais vous laisser à présent. N'ayez crainte, j'aiderai la personne qui pourra amener la paix en ce monde.
- Nous l'espérons.

Je fais oui, et je quitte la maison. Mais j'entends la tante de Sayuki dire.

- Pour pouvoir rencontrer notre dieu, vous devrez affronter les épreuves de l'église de la paix.
- Je ferai comme vous me le conseillez.
- Soyez en paix hime de Konoha.

Je referme la porte de la maison blanche puis je grimpe la colline qui me mène quelques mètres plus loin à un vide. Plus loin que le vide, je vois l'église noire de la paix.
Maï ?

« - Je suis là. Finalement tu n'as pas besoin de moi pour la trouver pas vrai ? »

Oui, c'est vrai. Je peux la voir, ton âme. Je la vois au niveau le plus élevé de l'église. À son sommet, sur le toit entre deux tours. La pluie commence à tomber, le vent se lève. L'eau me retransforme en elfe. Je le sens à cause de la poussée de mes oreilles et à mes sens qui me reviennent plus facilement.

« - Il semblerait que cet homme sait qui tu es. »

Tu penses que cette pluie est magique ?

« - Pour avoir rendu ta forme, oui je le crois. »

Moi je pense qu'il ne sait pas qui je suis et ce que je veux. D'ailleurs il ne sait pas quand je viens. Non, je crois plutôt que c'est une protection pour identifier les gêneurs comme moi. Et faire en sorte de se protéger. Ce n'est pas idiot comme stratégie défensive.

« - Ne sois pas envieuse, sinon tu n'arriveras pas à récupérer mon âme ! »

Je l'admire, cela je ne peux le nier. J'admire ces trois personnes, qui sont devenues deux, pour leur vie passée. Malheureusement, la joie n'a pas allumé la flamme de la lumière. Maï ne dit rien et retourne dans le collier. Il me faut toute ma concentration. Bon, ce trou ne me dit rien qui vaille. Je lance un caillou dans le vide. Mais aucun son ne me revient. Un trou sans fond ? Cela est impossible. Je souris. Je ferme les yeux. Je n'arrive pas à croire que je vais faire ça. Je cours en gardant les yeux fermés, et je me laisse guider vers le trou sans fond. Mais je ne sens pas la chute. Je rouvre les yeux. Je suis sur un pont qui s'est formé sans que je ne le voie. J'en étais sûre. C'est le courage que Pein a voulu voir par cette épreuve. Et c'est sans doute à ce moment là qu'il sait qu'une personne étrangère arrive. Je le sais puisque qu'un son très discret s'élève. Un humain ne l'aurait pas entendu. Je cours vers l'autre bout du pont. Je suis indemne pour le moment. Je regarde devant moi, et sur les côtés. Rien. J'avance tout doucement en laissant mon chakra identifier les lieux et les dangers. Rien. J'arrive devant un escalier immense de sans doute plusieurs centaines de marches qui amènent devant une grande porte ressemblant à l'entrée d'un château. Je pose mon pied sur la première puis la deuxième.

- Mais HEIN !

Je suis repoussée ! Je tombe sur les fesses. Comment ça se fait ? Je laisse mes yeux me donner la réponse. Je sors un kunaï que je remplis de chakra. Puis je le lance sur la deuxième marche. Il est repoussé aussi. Mais mes yeux m'expliquent pourquoi. En fait, un champ magnétique inversé se trouve en action. Pour toute chose, vivante ou non, le champ le repousse comme un aimant dépolarisé. Je dois en quelques sortes repolariser cet aimant pour passer. Mais avant, je dois connaître la nature de ce champ. Je me rapproche à nouveau et je parviens à poser ma main gauche sur ce « mur invisible ». Je fais ensuite passer du chakra de ma paume au mur. Je ressens une répulsion. Donc ce n'est pas du chakra. Je concentre alors mon aura, l'énergie la plus complexe regroupant à la fois le chakra et la vie, tout simplement. Cette fois, je sens une acceptation mêlée d'un refus. Si ce n'est pas le chakra, donc un symbole de vie me permettrait de passer. Et qu'est-ce qui permet la vie ? La respiration ? Non, je respire et le passage ne s'ouvre pas. La chaleur ? Non plus vu que ma main dégage de la chaleur et cela ne permet pas de créer une brèche. Alors c'est le sang. Je sors mon sabre de son étui. Je le place au niveau du poignet. D'un geste rapide, du sang sort et gicle sur la paroi. L'effet est radical. Le champ devient solide et se brise en morceaux, comme un verre. Une fois le passage ouvert, je rengaine mon épée et j'utilise le chakra médical pour refermer ma blessure. Je grimpe jusqu'au sommet. Je suis devant la porte. Elle est... magnifique. Des symboles rouges sont incrustés dans l'immense porte. Ses symboles représentent le feu, et le doré autour des symboles renforcent la signification. Je recule. Je sors mon arc de ma main puis l'arc de feu de ma poitrine, je vise l'un des symboles que je frappe en plein milieu. Il s'illumine et, dans un bruit de tonnerre, la porte s'ouvre. Je laisse partir mon arc une fois encore et je rentre à l'intérieur du bâtiment.
Dedans, c'est quelque chose d'assez hors du temps. Il n'y a rien, juste du carrelage en calcaire grisonnant. Comme si cet endroit n'avait pas d'âge. Mes sens aiguisés me permettent de ressentir en ce lieu des moments du passé très graves. Je me demande si je peux le faire ? Après tout ce genre d'information serait intéressant.

« - Non attends, tu dois d'abord me ramener mon âme ! »

Chaque chose en son temps. Et puis tant que je peux voir le passé sans avoir besoin de voyager avec mes ailes rien ne peut m'arriver. À une exception.

« - Justement, c'est à ça que je pense aussi. Ton âme verra le passé grâce à un don qui t'a été donné. Je ne sais pas par qui, mais en tout cas tu risques ta vie. Ton corps sera à la merci de tes ennemis. »

S'ils veulent m'éliminer bien sûre.

http://www.youtube.com/watch?v=K-Bce8UC_cc&feature=related

« - Ne le fais pas ! »

Désolé Maï, mais c'est à moi de décider, pas à toi. Elle essaie de rentrer dans mon corps. Je la repousse aisément et je créé autour du collier un mur psychique qui l'empêchera de voler mon corps. J'avance à pas de loup, cherchant un objet ou un quelconque indice me permettant de voir le passé. Mais j'ai beau regarder, à part des vitraux très sombres dont je ne peux tout simplement pas voir les motifs, il n'y a rien. Un danger arrive ! Je le sens ! Je lève les yeux vers le plafond. Une série de Kunaïs aussi tranchant que mon sabre est accrochée au mur. Le danger que je ressens vient de là, mais aussi du chakra de Nagato. Il n'est pas loin et pourtant je ne vois pas son aura. Il doit y avoir un système de repérage très élaboré. Le bruit mortel des kunaïs tombent vers moi. Il n'y a aucun moyen pour m'échapper de ce traquenard. Je dégaine le katana. Je dois me rappeler de mes leçons et de mes connaissances instinctives. Je dois analyser tout ce qui m'entoure rapidement. L'air. C'est la réponse. Je ferme les yeux et je concentre mon esprit à voir l'aura des kunaïs. Ce sont des objets qui ne possèdent pas d'aura. Mais le chakra de Pein et celui d'une autre personne, sans doute Konan, me permet d'identifier les armes. Le premier kunaï, le plus proche, arrive sur ma droite. Je prends le katana dans les deux mains.

- Allez c'est parti !

Cling, la première arme est repoussée contre celle qui arrive sur ma droite. J'esquive celle au dessus de moi en posant ma main gauche de libre sur le sol et je fais une rotation arrière. Mon pied frappe le kunaï qui va faire exploser celui en dessus de moi. Une fois de nouveau sur mes pieds, j'arrive à voir avec l'aura un passage que j'ai créé en repoussant une dizaine de kunaï. Je place mon katana contre mon ventre, à plat. Puis je saute dans les airs, après avoir pris un élan et concentré le chakra dans mes pieds. Je lève le sabre au dessus de moi, une fois en l'air. Je crie en elfe !

- Que le chakra des kunaï me revienne !

Le sabre absorbe les chakras, rendant la lame couleur pourpre. Puis je relâche la pression et je fais exploser tous les kunaïs grâce aux vibrations de chakra qui sont libérées de la lame. Le calme est revenu. Je reviens à terre. Puis je rengaine mon épée. Ainsi Pein veut voir la force qui coule en moi. Et bien, j'espère qu'il a apprécié ce spectacle. Un son lourd se fait entendre. Je cours vers ce bruit. Je vois une porte qui s'ouvre, aussi gigantesque que celle de l'entrée. Je vois, apparemment il a aimé. Mais c'est au moment où je monte un escalier de calcaire, que j'aperçois un rideau déchiré. Je change mon chemin et je prends l'objet. Je concentre mon énergie autour de moi afin de créer une barrière de protection. Je ferme les yeux, et je cherche en moi le don de vision que le dragon m'a offert. Je n'ai pas à chercher longtemps. Un bruit de porte se fait entendre. Je rouvre les yeux. Je vois le passé. C'est clair et net, vu que cette fois je distingue les rideaux neufs, le sol propre et brillant. Mais à quelle époque est cette vision ? J'aperçois Pein et Konan entrer. La femme dit.

- Ici sera une belle planque pour notre organisation.
- Oui, en plus quoi de mieux qu'une église au dessus d'un village caché. Nous allons pouvoir rechercher facilement les hôtes des démons.
- Tu as bien raison.

Mon sang se glace dans les veines. Madara, sous la forme de Tobi, entre à la suite des deux autres.


- Mais je crois que pour moi, cet endroit n'est pas approprié. Vous deux vous resterez ici afin de voir le comportement de ce village et agir comme vous l'entendez. Quant aux autres membres, nous aurons qu'à trouver les perles rares.
- À qui vous pensez ?
- Hum, et bien aux nukenins.

Pas de réponse. Je pense qu'ils consentent à son idée. Je suis donc au moment de la création de l'organisation selon les vœux de Madara. Le trio avance mais Madara s'arrête. Il regarde dans ma direction. Il avance ensuite vers moi, son bras se tend. Il n'est plus qu'à quelques mètres.

- Que !

Personne ne m'entend. Mais là, je crois que je suis en plein délire. Le bras de Madara me traverse la poitrine de part en part. Son corps plonge dans le mien. Puis il se relève et s'éloigne d'un pas avec quelque chose dans les mains. Mon cœur bat à cent à l'heure. Pein et Konan le rejoignent. Du calme Amayelle, du calme, tu n'es pas dans ton époque, c'est normal qu'on peut passer à travers toi comme un fantôme. Les deux autres demandent ce que Madara a trouvé. Il montre une plume aussi blanche que la neige. Une plume qui ressemble énormément à un fragment d'âme. C'est la première fois que je vois une plume de Sakura de Tsubasa. En vrai j'entends. L'homme au masque dit.

- Cette chose renferme un pouvoir très puissant. Sans doute capable de modifier notre monde.
- À quoi pensez-vous Madara-san ?

L'homme se tourne vers Konan.

- Avez-vous entendu parler de Maï ?
- Non, qui est-ce ?
- Une femme, non, je devrais plutôt dire une déesse. Elle a vécu durant ma première vie.
- Mais, elle devrait être morte ?
- En effet. Mais ceci est un objet très rare. En réalité, je crois que c'est une âme. Ou du moins un fragment.
- Une âme ?
- Il est dit que cette femme est morte à cause de la dispersion de son âme aux quatre coins du monde, après avoir apaisé la colère des démons.
- Vous parler de ceux qui hébergent les Jinchuuriki ?
- En effet. Et le corps de cette femme est encore dans ce monde. Quelque part. On dit que seuls les yeux de la nature et de la vie peuvent voir et savoir où il se trouve.
- Mais, les humains ne peuvent pas le voir ?
- Non. Même un sharingan et un rinnegan ne le peuvent. Seul un être qui est né dans la nature a ce privilège.
- Que se passerait-il si cette personne rendait la plume au corps ?
- Maï reviendrait. Et elle redonnerait à ce monde la vision de la personne à qui elle lui doit sa résurrection.

Les deux personnes semblent comprendre ce que veut Madara par ce récit. Moi aussi je crois le savoir. Et le simple fait qu'il connaisse lui aussi l'histoire ne me dit rien qui vaille. Même s'il ne peut trouver le corps, il peut tout de même voir les âmes. Quant aux êtres de nature, il pense sans aucun doute à Robÿn. Mais il ignore mon....

- Pein, j'ai une faveur à te demander.
- Allez-y.
- Je te confie la plume. Moi je ne pars pas à la recherche des âmes. Mais si j'en trouve, elles seront dans notre repaire de la rivière.
- Très bien.
- Encore une chose. Si tu vois arriver une personne aux oreilles pointues, fais en sorte de la capturer vivante.
- Un elfe ?
- Une elfe aux cheveux roux et blond.
- En quoi cela vous aidera et que ferez-vous ensuite ?
- Je ferai en sorte qu'elle soit sous mon emprise et qu'elle aille à la recherche des âmes perdues de Maï. Puis une fois cela fait, j'irais avec elle voir le corps de la déesse. Nous lui redonnerons la vie et à ce moment là, notre paix sera bien plus vite arrivée.
- Cette personne a un nom ?
- Oui. Il s'agit de la sœur jumelle d'une elfe dont j'ai fait la connaissance par le passé. L'elfe, morte aujourd'hui, s'appelait Robÿn. Quand à sa sœur, celle que je veux, elle s'appelle Amayelle.
- Très bien. Quand Amayelle, l'elfe aux cheveux roux et doré viendra, je vous l'offrirai.




Bon, la musique vous a dit quelque chose pas vrai? Désolé pour ce qui n'aime pas pokémon (moi aussi j'aime pas), mais les musique en revanche sont super belles. Et la fin, plutôt inquiétante ou non?






Veuillez vous identifier ou vous inscrire:
Pseudo: Mot de Passe: