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Fiction: Tabidatsu gaitou kako soshite uchuu :Voyage dans le temps et l'espace

Je suis certaine que je peux, d'une manière ou d'une autre toucher mes rêves et ceux des autres. Parfois ils arrivent que les gens que nous connaissons sont des êtres totalement différents d'une dimension à l'autre. Je crois qu'il suffit de savoir qui on est pour pouvoir continuer et changer le monde.
Classé: -16I | Spoil | Action/Aventure / Romance / Suspens | Mots: 172772 | Comments: 258 | Favs: 53
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limala (Féminin), le 05/12/2010
J'ai pensé que voir les modifications du futur après l'intervention d'Ama-chan serait une bonne idée. Alors voilà la suite.



Chapitre 34: A la recherche des âmes perdues : 6- Au pays de l'oiseau part 2



Je regarde l'enfant devant moi. Il est à genoux mais ne pleure pas. Il lève vers moi des yeux remplis d'amertume.

- Elle était mauvaise alors. Et moi j'ai failli perdre mon enfance à cause de mon ignorance.
- Tu es jeune. Et je pense qu'elle a dû lancer sur toi ses capacités d'attraction.
- Elle m'attirait ?
- Oui, d'une certaine façon tu étais sous l'emprise d'une énergie magique très ancienne.

Il baisse la tête. Puis il la relève et me regarde avec des yeux plein de motivation.

- Apprenez-moi à parler avec les animaux.
- En quoi cela te serait utile ?
- Pour comprendre mes erreurs.

Quelques secondes avant mon arrivée, je l'ai peut-être sauvé mais une partie de son innocence a déjà été enlevée. Je souris.

- D'accord. Mais en échange je veux que tu passes ton temps à jouer et à poser des questions sur le monde à tes parents.
- Promis.

J'amène l'enfant vers un lieu où je peux ressentir des esprits en pleine effervescence. Une fois arrivée, le calme de la forêt s'installe. Je me mets en face de l'enfant qui me suit. Puis je pose mes genoux à terre. Il fait de même.

- Que fait-on maintenant senseï ?
- Tu m'appelles senseï ?
- Bien-sûr, vous êtes mon maître et moi votre disciple.

Je le regarde avec un brin de scepticisme. Moi un maître ? Je n'ai pas la trempe de Tsunade et la force de Jiraya. D'ailleurs j'hésite un peu. Mais bon, j'ai fait la promesse de lui enseigner à lire les pensées. Alors je vais tenir parole. Comme Naruto, c'est mon nindô en quelque sorte.

- Ok, d'abord il faut que les êtres vivants viennent nous voir.
- D'accord.

Il se lève et se met à crier comme un fou furieux. Comme moi, en fait, avant d'arriver dans ce monde où je dénonçais le Sarko.

- ET VENEZ LES AMIS !!!
- TAIS-TOI !
- Pourquoi senseï ?
- Les animaux sont sauvages ok ?
- Ok.
- Donc pour les laisser s'approcher de toi, tu dois calmer tes impulsions et surtout vider ta tête.
- Comment on peut faire un truc pareil maître ?
- C'est simple. Ne pense à rien.
- Mais c'est le cas non ?

Je plonge mon esprit dans ses pensées.

- Pas vraiment. Je lis que tu penses encore à ton erreur. Tu es énervé à cause de ta faiblesse. Tu as peur aussi. Peur de ce que je vais t'apprendre. J'ai raison pas vrai ?
- Comment ?
- Je fais ? Oh, c'est une habitude chez moi.
- À cause de votre sang elfe ?
- En partie oui.
- Et moi qui suit humain, je n'y arriverais pas n'est-ce pas ?
- Ne sois pas septique ainsi. Tu dois croire en ce que tu as en toi. Même si tu n'y parviens pas de suite, tu n'auras qu'à t'entraîner. L'entrainement, même pour les moins doués, peuvent permettre de surpasser les génies.
- Je crois comprendre.
- Allez, vide tes émotions. Ne pense à rien.

L'enfant ferme les yeux et moi je suis son parcours en lisant dans sa tête. Ses émotions commencent à s'estomper. Sa technique est étrange. En fait pour faire de la place, il se concentre que sur mon visage. Alors le reste s'évapore. Puis mon image commence à s'estomper jusqu'à disparaître. Je sors de son esprit au moment où il ouvre les yeux. Je lui demande.

- Alors ?
- Je me sens bizarre senseï. Mon corps est comme endormi.
- C'est la bonne sensation. Tu dois ressentir cela pour pouvoir lire les pensées. À force tu seras habitué et tu ne feras plus attention.
- Et vous ? Vous ressentez cette sensation ?
- Non.

Il veut parler mais je lève la main. Le coupant dans sa réponse. Je tourne la tête à gauche et l'enfant fait de même. Je sens son excitation. Avant qu'il ne fasse quoique ce soit d'idiot, je lui envoie une bonne dose de vague apaisante. Il est totalement calme cette fois. Les animaux sont à au moins quatre mètres de nous. Il s'agit de faisan, d'écureuil dans les branches, de lièvres. De petits animaux en somme. L'enfant chuchote.

- Senseï, on fait comment pour les faire approcher ?
- Tout d'abord je vais t'apprendre à ressentir les choses autour de toi. Cela prendra pas mal de temps et moi je ne pense pas rester ici longtemps. Donc je vais commencer à t'apprendre cela. Ensuite je te dirais comment faire pour la suite. Seul.
- Mais....

Je lève une fois de plus la main. Le petit se résigne et moi, je commence à lui parler en tant que professeur.

- Tout d'abord je vais t'expliquer ce que tu dois ressentir.
- Le chakra ?
- Non, l'aura.
- Mais c'est pareil non ?
- Non. L'aura représente la manifestation de l'âme d'un être vivant. Les chakras, les sept points, permettent la circulation de l'énergie de l'aura. En gros, imagine un moulin à eau avec les planches. L'eau représente l'aura et les planches du moulin, les différents chakras qui font circuler l'eau.
- J'ai compris. Mais pourquoi travailler ma perception de l'aura et pas le chakra ?
- Parce que l'aura est plus simple à distinguer étant donné qu'il s'agit de l’énergie des sept chakras réunie. Bien à présent je veux que tu regardes ces arbres sans te concentrer. Même flou tu peux distinguer l'aura. Allez vas-y.

Le petit s'exécute. Pendant qu'il travaille à regarder l'aura d'un arbre, je vais à la rencontre des êtres sauvages. Doucement je m'assois et je tends la main pour guider mon esprit à lire dans ceux des êtres vivants.

- Ravi de vous rencontrer esprit de liberté.

Le faisan se pose devant moi et les écureuils descendent des arbres. L'oiseau penche sa tête de côté. Mes oreilles se mettent à frémir au moment où il pousse son cri doux et aigu.

- T'es quoi ? Je sens un curieux mélange humain et animal sauvage.

Je souris.

- Je suis une elfe.
- Elfe ? Créature mi-nature mi-humain?
- Oui c'est ça.

Tiens, c'est donc la définition que les animaux donnent à ceux de mon espèce. Étrangement je me sens bien humaine mais surtout sauvage. La discussion avec les êtres vivants est drôlement plus bénéfique que je ne l'aurais cru.

- Je sens une énergie étrange dans ton cœur.

Je reviens à moi. Qu'est-ce que l'oiseau veut dire par là ? Je lui demande des explications et il me répond.

- Tu es pleine de haine malgré les efforts de ton corps. Tu es attirée par des forces qui peuvent détruire ce monde.
- C'est pas possible. Je suis ici que pour aider ce monde et le mien.
- Ton destin dit sans doute cela. Mais tes actes vont amener le chaos si ton cœur reste ainsi.

L'oiseau s'envole et les écureuils remontent aux arbres. Ça veut dire quoi ça ?

- Senseï !

Je me retourne et j'aperçois l'enfant courir vers moi. Les animaux sauvages fuient une fois qu'il est arrivé près de moi.

- Pourquoi ils sont partis ?
- Règle n°1, ne jamais courir ou faire des gestes brusques en présence de telles créatures. Règle n°2, reste calme en toutes circonstances même si c'est difficile.

J'ai intérêt à prendre note de ce que je débite comme ça. L'enfant se remet de mes leçons de morales et dit.

- J'ai réussi senseï !
- Alors qu'as-tu vu ?
- Les arbres ont une aura bleue comme le chakra mais c'est très dur de les distinguer parce qu'un autre chakra, plus clair se mélange au bleu.
- C'est ça. Le chakra bleu est celui que les ninjas utilisent. Le centre se trouve au niveau du front. On l'appelle le troisième œil. Quant au blanc, en fait c'est une illusion crée par les six autres points du chakra. On ne voit pas l'aura directement en regardant une personne puisque les sept chakras correspondent aux mélanges des sept couleurs qui composent la lumière. Pour distinguer l'aura, il ne faut pas se concentrer sur un seul objet car ton cerveau empêcherait de distinguer l'aura. Tu t'es alors détendu et tu t'es servi de ton propre chakra afin de distinguer l'aura des arbres.
- Mais j'ai vu un chakra non ?
- Tu as vu le chakra bleu, celui dont l'aura a le plus de composition.
- Je vois. Le gradient de chaque chakra diminue au fur et mesure qu'on se rapproche de la composition finale.
- C'est ça. Bien. Comme promis je vais t'expliquer ce que tu devras faire après mon départ.
- D'accord, vous serez fière de moi senseï.
- Alors, écoute. Pendant quelques années, tu devras t'entraîner à lire l'aura des humains et des animaux domestiques. Encore et encore. À un moment donné, si tu en as le talent, tu détecteras en toi une sorte de déclic. Fais attention parce ce passage est dangereux.
- Pourquoi ?
- Tu seras tenté d'utiliser ce don à mauvais escient. Donc tu vas répéter ce que je vais te dire. En elfe. Ainsi tu seras tenu par ta promesse.
- Je vous écoute.
- I'm o guesta iuith vala balan an cadwor.
- I'm o guesta iuith vala balan an cadwor. Je me sens tout drôle.
- Ne t'inquiète pas. C'est normal. Bien alors ensuite comme je te l'ai dit, ce déclic en toi signifiera que ton esprit aura développé la capacité de lire les esprits. À ce moment là, entraîne-toi à lire ceux de tes proches car tu les connais bien grâce au lien que tu as avec eux qui t'aideras à guider tes pensées vers les leurs. Attention ! Ne te perds pas sinon tu ne pourras plus revenir en toi. Et tu seras en quelques sortes mort.
- Comment ne pas me perdre ?
- Je l'ignore. Je pense qu'il faut avoir une volonté très forte.
- Je l'aurai.
- Bien, il est temps pour moi de retourner à mon époque.
- Vous voyagez dans le temps senseï ?!
- En effet. Alors sois sans crainte, je te reverrai quand tu seras bien plus âgé.

Je fais un signe de la main puis je pars, le laissant retourner chez lui. Je me rends à un bosquet suffisamment caché pour pouvoir dormir en paix une fois de retour à mon époque. Puis je laisse le chakra des ailes m'envahir. Mes ailes sortent et je me dirige vers le ciel et dans la brèche. Je suis dans le vortex. Je me sens étrange tout à coup. Il y a en moi quelque chose qui bouge. Robÿn apparaît à ce moment là et me dit.

« - J'ai l'impression qu'on t'a jeté un maléfice. »
« - Oui, un sale type noir comme la nuit m'a mordu et m'a transmis une technique qui oblige mon corps à aller vers lui. »
« - Oui, je la sens. »
« - Nee-chan, enlève-la ! »
« - Je ne peux pas. Je peux en revanche lancer sur toi une incantation. Mais j'ai peur qu'elle n'agisse pas dans les délais que je lui impose. »
« - Comment ça ? »
« - Je ne pense pas que ma magie agira au bon moment. »
« - Qu'importe. J'ai besoin d'avoir une protection. »

Robÿn accède à mes souhaits et une drôle de sensation rassurante circule en moi. Une chaleur brûlante. Une fois sa magie terminée, elle me laisse passer dans la brèche mais avec une inquiétude sur son visage.
Une fois que je rouvre mes yeux, je vois les feuilles humides des arbres créer un reflet avec la lumière du soleil. À l'odeur, je dirais qu'il a plu depuis quelques jours. Je me relève et je rentre au palais. Une fois au village, Icha m'accoste et me prend dans ses bras. Puis il plaque ses lèvres contre les miennes. Pour toute réponse, je lui assène un coup de poing dans le ventre et je cri.

- NON MAIS CA VA PAS LA TÊTE !
- Mais, ah oui, tu m'as rejeté quand je t'ai déclaré ma flamme.
- Oui, et c'est quoi cette plaisanterie !
- Tu avais disparu hier soir. Et notre seigneur s'est inquiété.
- Justement je vais le voir.

Il me laisse partir avec un pieu dans son cœur. Je m'occuperai de son cas plus tard. Je rentre chez moi et je me regarde dans la grande glace. Holà ! Mes cheveux sont dans un de ces états, évidemment comme je suis bouclée et que j'ai atterri dans un lit de feuille morte, j'en ai plein la tête. Et j'ai des nœuds partout. Quel cauchemar. Bon mon entrevu attendra que je sois propre. Je passe alors une bonne heure à me faire belle en faisant pour la première fois de ma vie dans ce monde un chignon avec des mèches bouclées qui tombent du chignon et qui arrivent à tomber sur mon épaule gauche. Comme Hermione au moment du bal des sorciers. Je porte un chemisier blanc avec des rubans rouges qui ferment le haut du chemisier comme des lacets. En bas j'ai une jupe rouge comme mes rubans qui est assez « volante » et descend au dessous des genoux. J'ai mon sac de kunaï sous la jupe et mes sandales de ninja. J'ai mis mon bandeau frontal. Bon allez.
Le seigneur est sur son trône et je me penche légèrement pour le saluer. À côté de lui il y a le prêtre qui me reconnait. C'est l'enfant que j'avais entraîné.

- Senseï. Je suis content de vous revoir enfin.
- Moi aussi.

Le daizen nous regarde, étonné.

- Tu connais Amayelle-hime de Konoha Iroto ?
- Oui daizen-sama. Elle m'a appris les bases de mon enseignement que je donne aux enfants aujourd'hui.
- Comment ça ?

C'est moi qui ai parlé.

- Amayelle-senseï, vous m'avez donné beaucoup par le passé. Et vous aviez raison à propos du déclic. Votre promesse m'a aidé à ne pas tomber dans des désirs malsains.
- À quel âge est-ce arrivé ?
- À mon seizième anniversaire maître.
- Effectivement, cet âge est très dangereux pour ce don. Mais pour avoir dompté ce moment je suis fière de toi.
- Merci senseï. Donc j'ai passé ce cap et j'ai réussi à lire les pensées de mes amis. Mais pas des animaux.
- Il arrive que notre don ne soit actif que pour certaines espèces.
- Alors j'ai décidé de prendre ce pouvoir comme un enseignement que je donnerai pour les générations futures, comme vous avez fait pour moi.
- Combien d''enfants ont réussi ?
- Un seul. Sur cinquante enfants.
- De qui s'agit-il ?
- De moi.

Je regarde le daizen. Alors il arrive à communiquer. Il me regarde différemment à présent. Il dit.

- Je ne savais pas que mon maître avait été éduqué par vos bons soins hime-sama.
- Je ne l'ai pas éduqué. Je lui ai appris à se servir d'un don.
- Et moi je peux m'en servir grâce à Iroto-sama. Et vous, vous avez l'apparence de mon âge alors que cela remonte à plus de quatre-vingt ans. C'est incroyable. Vous êtes incroyable hime.
- Merci majesté. Bien, j'ai récupéré l'objet dont je vous ai parlé. Il est temps pour moi de partir vers un autre pays.
- Ou vous dirigez-vous ?
- Vers l'Est.

Un calme inquiétant s'installe entre nous. J'en demande ma raison. C'est le daizen qui me répond.

- À l'Est d'ici se trouve le pays de la pluie. Il s'agit d'un pays instable militairement parlant. Le village caché se nomme Âme-no-kuni.
- Vous êtes sûr ?
- Certain. Ce sont nos voisins. La frontière est étroitement surveillée par nos soldats et des shinobis de votre village. Nous craignons une attaque imminente de ce pays. Mais bizarrement il ne bouge pas.
- Savez-vous qui est le seigneur de cet endroit ?
- Des rumeurs disent qu'un dieu dirige ce pays. Mais selon moi ce sont des idioties. Si vous allez là-bas, Amayelle-hime, soyez prudente. Je ne crois pas qu'ils connaissent votre existence.
- Je saurais changer mon apparence.
- N'oubliez pas vos yeux surtout. Ainsi que vos oreilles. Ceux sont les seules aspects qui vous trahissent.
- Oui je sais. Bien, soyez sur vos gardes altesse. Utilisez vos dons pour trouver les êtres qui sont noirs. Ayez confiance en Konoha et en vos alliés.
- Je prends note. Allez, je vous souhaite bonne chance.

Je m'incline et à la nuit tombée, je sors du village. Icha s'y trouve comme je lui ai demandé.

- Tu pars.
- Oui. Et pendant un bon moment.
- Mon cœur souffre Amayelle.
- Je sais. Je vais y remédier.

Il tend ses bras en croyant que je vais l'embrasser. Mais moi, je place mes mains sur ses tempes et je concentre mon chakra dans ses pensées. Je fais le vide en lui et j'efface de sa mémoire les émotions qu'il a pour moi. Il tombe à terre. Ses coéquipiers arrivent et le prennent. Je leur dit.

- N'ayez crainte. Votre chef ira mieux à présent.
- Merci hime.

Ils s'en vont. Mais à peine je pose mon pied hors du village qu'une voix familière m'interpelle. Iroto arrive en courant.

- Pourquoi avoir effacé la mémoire d'un humain ?
- Pour qu'il ne souffre pas. J'ai juste fait en sorte qu'il m'oublie moi.
- Ce n'est pas très noble. Vous avez utilisé une technique très dangereuse pour ne pas faire face à votre problème.
- Je sais. Mais j'ai fait cela en connaissance de cause.
- Comme vous le voulez. Je viens vous accompagner.
- Non. Votre rôle est de rester auprès de votre seigneur.
- Je ne vous ai pas revue depuis tant d'année maître. Et pourtant vous êtes la même. Aussi téméraire qu'irréfléchie.
- Je prends cela pour un compliment.
- Bien, apparemment je ne pourrai pas vous faire changer d'avis.
- Non.
- Bien dans ce cas faites attention.

Je souris et je lui dis au revoir. Pendant quelques jours, je marche dans la vallée du pays de l'oiseau. Ce pays porte bien son nom. Je trouve toute sorte espèce. Des aigles royaux passant par des pigeons messagers et des vautours. Puis, sous un matin étrangement froid pour un mois de printemps, je tombe de court sous une tempête de pluie. Hier il a fait beau tout le temps. C'est vraiment étrange. J'ai l'impression que cet endroit pleure des moments passés dans l'histoire de ce pays. Pein, j'arrive chez toi. Ou plutôt Nagato.




Bien, le pays de l'oiseau est fini. Maintenant passons à vos commentaires.^^






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