Fiction: Tabidatsu gaitou kako soshite uchuu :Voyage dans le temps et l'espace

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Je respire vite. Mon cœur s'emballe. Je regarde les autres mais ma vue se brouille. J'ai peur. J'ai peur, j'ai mal.
J'ouvre les yeux. Ma tête. Je passe ma main derrière ma nuque. Il y a un truc qui colle mes cheveux. Je lèche mes doigts. Un goût de fer. Mon cœur s'accélère et je me relève brusquement faisant peur à mes compagnons. Matsuri et Temari se précipitent vers moi. Matsuri tient ma main tandis que Temari place un morceau de soie humide derrière ma nuque. Je crie de douleur. J'ai l'impression qu'on me martèle la tête. Je demande alors.

- Que s'est-il passé ?
- Tu es devenu toute pâle et ton corps est tombé en arrière. Puis ta tête a percuté un rocher. Une entaille s'est formée derrière ta nuque. Nous n'avions rien sur nous. Mais toi, dans ton sac il y avait des nécessaires de secours. Du coup j'ai pu soigner des plaies rapidement.
- Merci beaucoup Temari-chan.
- J'ai deux questions à te poser. La première, c'est comment ça se fait que tu es autant de médicament, pommade et j'en passe dans ton sac ?
- C'est simple. Je suis ninja-médecin.
- Vraiment !
- Oui.
- Bon la seconde question, pourquoi tu t'es évanouie ?
- En fait, c'est à cause d'une conscience étrangère.
- Une quoi ?
- Je peux voir vos émotions à travers mon esprit et je peux même aller dans vos âmes pour déceler le danger. Mais cette fois, c'est moi qui ai été sondée.
- Par qui ? Personne, je veux dire, aucun humain peut te faire subir ça non ?
- Je n'en sais rien.
- Et cette seule visite dans ton âme t'a fait perdre connaissance ?

Ils sont sceptiques. Je leur explique alors ce qui s'est passé. Me faisant frissonner de peur et de froid. Matsuri me pose une sorte de cape très chaude sur les épaules.

- Merci. Pour faire simple, cet esprit était froid et il a analysé chaque parcelle de mon âme sans que je ne puisse lever de barrière psychique.
- De barrière ?

Gaara semble très intéressé tout à coup.

- Oui, je peux faire en sorte d'ériger en moi des souvenirs ou une image suffisamment puissante pour bloquer l'accès à mes sentiments et à ma mémoire. Mais pour cela, il faut être très calme.
- Tu ne l'étais pas.
- Non. Mais tu t'en es rendu compte Gaara n'est-ce pas.
- Oui. Depuis que nous avons vu l'entrée de la grotte. Mais n'aies crainte. Je ne te laisserai pas entre des mains ennemies. Par contre je ne peux pas empêcher celui-ci d'entrer en toi désolé.

Il est bizarre tout à coup. Mais bon. Je me lève et je déclare que je suis prête à les aider cette fois. Cette conscience est très étrange. Elle n'est pas humaine. Elle est plutôt animale. Je laisse mes oreilles guider les voix de la grotte jusqu'à moi.

- J'entends des bruits de glissement sur le sol, mélangé à des sons d'eau tombant en cascade.
- Tu entends la cascade ? Mais elle est au moins à vingt kilomètres de là où nous sommes.
- Je suis elfe Matsuri-chan.
- Alors c'est ça, les sens aiguisés des elfes de la forêt.
- Oui. On y va ?

Tout le monde sourit, calmant peu à peu le choc que j'ai ressenti quelques heures plus tôt. Nous avançons selon mes sens. J'ai beau chercher partout, je ne sais pas où est cette chose qui a cherché des informations sur moi. Nous finissons par arriver devant une source très grande. Une chute d'eau fait un immense vacarme répandant de la brume au contact du sable cristallisé brûlant. Les torchent sont éteintes à cause de cette étrange brume qui semble dégager de l'énergie. Quoiqu'il en soit, je me sers de mes yeux elfes afin de voir davantage dans la semi obscurité. Une faible lumière se trouve au plafond, permettant à mes compagnons d’armes humaines de voir autour d'eux.

- Bon sang, comment on va pouvoir voir le problème de la source si on n'y voit rien !

Kankurô a crié, mais moi, je lui dis.

- Chut. Si tu me fais confiance je peux te dire la cause du poison dans l'eau.
- Comment ?
- Vous voyez que les contours des choses, et le faible reflet de la lumière sur l'eau pas vrai.
- Oui.
- Moi aussi, mais en utilisant mes yeux de chat, je distingue tout en bleu clair, foncé, avec des nuances blanches. Laissez-moi prendre un échantillon de l'endroit le plus contaminé.

Ils disent rien. Alors je prends une fiole dans mon sac contenant les kunaïs. Puis je vais vers la source. À un endroit, je peux voir de l'obscurité plus présente alors que la lumière éclaire la source de manière équivalente. J'en conclue que c'est ici la source du problème. Avant de prélever je place ma paume au dessus de la source et je laisse mon esprit voir la véritable naissance de cette mixture qui ressemble à du venin visqueux.

- Gaara-kun.
- Amayelle, qui a-t-il ?
- J'ai besoin de ton sable.

Il vient près de moi. Son esprit me rassure. Je lui demande alors d'aller à la pêche. En le guidant, ensemble nous retirons de l'eau un immense serpent noir. Sa peau visqueuse tombe en morceaux dès qu'elle est au contact de l'air. Une odeur pestilentielle s'en dégage. Voilà l'origine du poison mais.


- Le véritable animal n'est pas loin.
- Comment ça ?!

Je regarde Matsuri. Elle est morte de peur. Mais pas autant que moi. Cet esprit qui me harcèle depuis que nous sommes arrivés à la source provient bien du serpent. Mais comment un simple animal peut arriver à forcer mes défenses ? C'est impossible psychologiquement parlant. Je dis aux autres.

- Écoutez, la chose qui m'a fait évanouir est ce serpent. Il n'est pas loin. Je sens son esprit me percuter bien plus violemment qu'avant.
- Comment résistes-tu ?
- Je force mon âme à voir un objet précieux. Et je m'en sers comme bouclier.
- J'ai compris.

Matsuri a l'air un peu plus calme. En tout cas, elle aussi a pris de la prestance. Mais pas autant que Temari. Elle dégage un chakra très noble. Malgré le passé qu'elle a sans doute eu. En tout cas, notre groupe marche vers le serpent. J'ai peur de voir ce reptile. D'ailleurs, j'ai toujours été effrayé par cette espèce. En plus des rats, des araignées et j'en passe. Gaara est devant moi, cela me rassure suffisamment pour avancer. Tout à coup, je sursaute. Les autres me regardent. Pour les empêcher de parler, je mets un doigt sur mes lèvres. Je chuchote tout doucement, les obligeant à se « coller » à moi.

- Il est là. Dans cette alcôve.

Je montre du doigt un immense trou circulaire. Sans aucun défaut. Je touche le rebord.

- Bah !

Je recule d'un coup. Mes mains sont visqueuses et un film visqueux se retire de la paroi cristallisée. Je m’essuie sur ma cape. Puis je sors mon katana. Le sabre rouge luit au moment où mon chakra circule à l'intérieur. J'ignorais que cette action pouvait faire ça. Merci Anko. Je lève le sabre, et la chaude lueur sanguine dévoile un chemin brillant. En mettant mon sabre le long du sol, je me rends compte que celui-ci est visqueux. Je crois comprendre. Les autres non apparemment.

- Nous sommes dans une alvéole fabriquée de toutes pièces par le reptile.
- Il l'a fait ?
- Oui Kankurô-kun. Il ne faut jamais se fier à ce que l'on sait.
- C'est vrai.

Nous avançons alors tout doucement, mon sabre éclairant notre chemin sur le sol visqueux. Heureusement qu'il me reste du chakra, sinon je n'aurais pas pu adhérer au sol comme les autres. Je sens au bout d'un moment une odeur très étrange. Je m'arrête et les autres, qui sont derrière moi, également. Gaara pose sa main sur mon épaule et me murmure à l'oreille.

- Il est là.
- Je sais.

Il dit la même chose aux autres de la même manière. Je sens leurs chakras remonter et être prêt pour le combat. Je ferme les yeux et je sonde les alentours. Mais je rouvre très vite les yeux par un cri venant de Matsuri.

- Attention Amayelle-chan !
- Ah !!!!!!!!

La queue du serpent m'entoure le corps, j'ai mal, il me serre et m'amène loin des autres dans une alvéole au dessus de mes amis.

- Non ! Au secours !

J'ai peur ! Et le pire, c'est que j'ai lâché mon katana quand j'ai vu cette queue. J'ai beau me tortiller dans tous les sens je ne fais qu'intimer le reptile à serrer son emprise sur mon corps. Le sang remonte dans ma bouche et je le crache. Le goût du fer me rappelle les sensations que j'ai vues dans le passé. Le serpent me relâche subitement et je tombe dans les ténèbres.
À mon réveil, je ressens une horrible douleur dans mon cou. Je mets mes mains de chaque côté de mon corps afin de me relever.

- Qu'est-ce-que....KIAAAAAAAAA !!!!!!!!

J'ai la main sur une tête de mort remplie d'asticots ! Je sursaute et je cogne mon dos contre une paroi visqueuse là encore. Où est la sortie de secours bordel ! Malgré mon envie de pleurer, je mords ma lèvre. Sans effet. Je pleure en marmonnant.

- Maman, papa, Pierre-Antoine, Sylvain, Céline tout le monde... si vous saviez dans quel pétrin je suis...je veux retourner à la maison. Je veux rentrer chez moi.

J'ai honte d'être si faible. Mais c'est moi ça. J'ai beau montrer que je suis courageuse, il m'en faut peu pour être à bout de nerf. Et là, je crois que je vais mourir. Je préfère mourir. Mes oreilles se dressent malgré moi. Le serpent est là, sa longue langue entoure mon cou et...hein ? Il me caresse ? Non mais là je suis en plein délire ! Mais c'est vrai, en faisant cela il m'oblige à le regarder. Là est mon erreur. Je ne peux plus dégager mon regard du sien. Ses yeux sont jaunes avec une fente noire. La peau du serpent que je croyais noire au départ est blanche comme neige. La queue du reptile me soulève. Je ne bouge pas. Je suis pétrifiée par ce regard. C'est alors qu'une voix, celle que je n'avais pas envie d'entendre dans toute ma longue vie, me parle avec un ton suave, caressant. Me dégoûtant encore davantage.

- Alors voilà ton apparence princesse elfe. Magnifique.

Je n'arrive pas à parler. Le serpent devant moi rétrécie et se transforme. La queue devient une longue langue qui entoure mon corps, la tête devient humaine avec des cheveux longs, noirs comme la nuit. La peau reste blanche ainsi que les yeux jaunes à fente noire. Les bras et les mains apparaissent et se plaquent contre ma bouche pour éviter que mon cri n'aide les autres à me retrouver. Pourtant je ne demande que ça. Je sens que mes visions qui le concernent vont donc être réelles. Mon corps tremble. La langue d'Orochimaru rentre dans sa bouche. Il est trop près de moi. Son corps est presque collé au mien. Mes jambes, sans que je ne comprenne pourquoi, se colle davantage à celles du serpent. Lui, se met à placer l'une des siennes entre les miennes. Mon corps m'envoie des signaux que je refuse d'obéir. Orochimaru le voit et plaque sa bouche contre mon cou, me faisant crier de douleur. Ses crocs sont dans ma chair. J'ai mal. Non, pas ça. J'espère que ce n'est pas ça ! Il s'éloigne, et sa langue se pose sur mes lèvres.

- Tu es à moi. Pour toi pas de marque maudite, cela abîmerait ton joli corps. Non, c'est moi qui ai marqué. Ton sang, je l'ai. À présent tu ne peux que me désirer.

Mon regard noir lui prouve le contraire. Malgré le désir de mon corps de se coller au sien. Il rit et part sans le moindre remord. Pourquoi m'a-t-il laissé ? Alors que j'étais à sa merci. La réponse vient d'un ensemble de cri. Des voix qui me soulagent. Je les appelle à mon tour. Le sable de Gaara explose un mur du plafond qui ne s’écrase pas loin de moi. Ouf. Les autres me voient. Temari cri.

- Amayelle ! Tu vas bien ?!
- Pas autant que je le voudrais !
- Où est le monstre ?!
- Parti !
- Quoi ?!
- Je vous expliquerai, pour l'instant sortez-moi de là je n'en peux plus !

Le sable de Gaara descend vers moi et crée une sorte de plancher sur lequel je saute. Je remonte vers ma sortie de secours. Ils me prennent tous dans leur bras, me rassurant. Mais je ressens encore mon corps désirer Orochimaru. Il m'a ensorcelé pour que je vienne à lui. Mais il oublie que corps et âme sont deux choses à la fois unies mais aussi distinctes. Les autres me ramènent vers la source afin de purifier l'eau. À l'occasion et honteuse, je leur raconte qu'en réalité le monstre était Orochimaru. Je passe sous silence le fait qu'il m'a ensorcelée, évitant de les inquiéter. Kankurô demande alors.

- Mais pourquoi avoir voulu polluer l'eau ?
- Pour attirer Amayelle.

Je regarde Gaara. Mais il est beaucoup trop perspicace bon sang. Temari est septique.

- Et si c'était le cas, comment aurait-il pu savoir qu'Amayelle était ici ? Qui plus est, l'eau était déjà bien polluée avant qu'elle n'arrive. Alors comment a-t-il pu être au courant, et pourquoi ne pas en avoir profité pour détruire de l'intérieur notre village ?

Holà, trop de question ! Et puis je ne m'en pose pas de toute façon. Mais Gaara tient à avoir des réponses et se met à dire des hypothèses qui m'angoissent.

- Je crois qu'en fait Orochimaru sait que notre princesse fait un voyage dans notre monde. Alors il a dû mettre des pièges à retardement afin de la coincer. Le problème de la source en est un. Et il a été déclenché au moment où...
- J'ai utilisé mes dons pour localiser le point de départ de la contamination.
- C'est ce que je pense. Logiquement, un humain aurait cherché le problème en faisant bouger le flux de l'eau mais avec tes facultés tu n'as même pas eu besoin de mettre un pied dans l'eau. Quant au serpent, je te parie qu'il s'agit d'un clonage mélangé à une technique de transformation.

J'acquiesce de la tête. Gaara continue.

- Donc on peut supposer qu'Orochimaru a atteint son but étant donné que tu l'as vu.
- Plus que vu.

Je vais tout leur dire. Comme ça je pense qu'ils seront fixés.

- Il a entouré mon corps avec sa langue de serpent et m'a mordu ici.

Je leur montre le bas droit du cou.

- Il a bu mon sang et j'ignore pourquoi mais à cause de ce geste, j'ai vraiment très envie de coller mon corps au sien.
- Quelle horreur ! Cette technique, il a osé te la faire !
- C'est une technique Temari-chan?
- Oui, la technique des corps aimants.
- Des QUOI !
- Tu as compris, tant que tu n'auras pas partagé...la couche d'Orochimaru, tu...seras irrésistiblement attirée par son aura.
- C'est...c'est...
- Abominable.

Gaara lève la main. Son visage est chargé d'inquiétude. Il exagère un peu, ok ma situation n'est pas très agréable mais elle n'est pas sans issue.

- Cette technique était utilisée pour attirer le sexe opposé afin de le piéger. Pendant la dernière guerre, cela a permis à un grand nombre de femmes d'être prisonnières afin d'obtenir une rançon. Mais là, c'est différent. Si Orochimaru a fait ça, ce n'est pas seulement pour abuser de toi. Mais sûrement pour un but très précis.
- Lequel ?
- Tu dois le savoir. Un elfe est désiré pour une chose très importante pour un humain.
- Ma vie.
- Oui, ton essence immortelle, c'est cela que ce serpent cherche.

Nous restons tous silencieux devant cette vérité. Une de celle que je devais découvrir. Une de celle que je dois comprendre. Comment procéder pour redonner vie à un humain. Mes pensées vont vers Itachi. Je sais qu'il va mourir. Si je peux me sacrifier, je le ferai pour lui. Juste que pour lui ou bien pour un autre homme, celui qui passe après Itachi...

- Nous arrivons ! Amayelle te sens-tu en état de purifier l'eau ?
- Oui, ne t'inquiète pas Kankurô-kun.
- Je ne suis pas inquiet. Je te ramène juste sur terre.
- Merci.

Je souris. Heureusement qu'ils sont venus me libérer de l'emprise d'Orochimaru sinon j'aurais hurlé de terreur. Cette fois, je vais faire ce don pourquoi les autres ont demandé mon aide. Je ferme les yeux. Je suis le vent du nord, je suis la création du monde, toute essence, toute chose n'émane pas de moi mais provient du cœur de cette planète. Je n'ai pas ce cœur en moi mais je suis « le cœur ». Mon magatama brûle, et en ouvrant les yeux, je vois un chakra vert, comme le ninjutsu médical, mais avec un petit quelque chose de plus, pouvant purifier le monde. Je plonge mes mains dans l'eau noire, trouble. L'énergie verte brûle le poison en son sein, créant une odeur de sapin frais. L'eau reprend ensuite sa couleur translucide, aussi pure qu'avant mon intervention. C'est alors que je comprends pourquoi je suis attirée par cet endroit. C'est Matsuri qui l'indique.

- Regardez ! Là-haut !

Nous levons tous nos yeux et je vois une étoile voyager dans le ciel nocturne. Je regarde alors davantage, dévoilant ma vue elfe. C'est Maï, ses ailes de feu dégagent une énergie positive, malgré le fait qu'elle ne soit pas solide. Les autres se retournent vers moi.

- C'est l'objet de mes recherches.
- Cette étoile ?
- Oui, Maï.
- La fille aux ailes de feu !
- Oui, c'est elle qui m'a donné la possibilité d'être dans ce monde.
- Tu veux qu'on vienne avec toi ?
- Je pense que c'est à moi de vous le demander. Je ne crois pas que Maï sera contre des personnes en plus.

« - Non, tant qu'ils se comportent bien. »

- J'en suis certaine même. Alors, vous souhaitez m'accompagner ?
- Et comment ! Voir une déesse n'est pas donné à tout le monde.
- Ce que Kankurô veut dire c'est qu'il en sera ravi et moi aussi.
- Nous aussi Temari-san ! Et Gaara-sama ?
- Cela sera très instructif je crois.

Nous sortons donc de la grotte. L'air pur de l'extérieur me revigore. Cette grotte a été vraiment un supplice pour moi. Mais c'est fini à présent. Ou du moins pas encore. Mon corps a très envie de m'amener au Nord-est d'ici. Là où se cache Orochimaru, là où est Sasuke. Je crois que ce piège sera sans doute un cadeau du ciel. Grâce à cela, je vais sans doute trouver la trace du frère de mon être que je chéris. Et je pourrais peut-être changer le cours de l'histoire. Mais pour l'instant, il faut que je coure vers cette étoile qui se dirige vers le Sud.




Et voilà un autre acteur qui entre en scène, le très "visqueux" Orochimaru. Qu'avez-vous pensé de cette seconde partie et de l'avenir avec le serpent blanc?

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