Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: L'antre du serpent.

Ici commence votre voyage dans les ténébreux méandres des couloirs du sordide repére d'Orochimaru. Vous serez probablement amené à être les témoins de ce que l'humanité comporte de pire. N'en soyez pas offusqué, ceci n'est que la réalité. Vous laisserez-vous tenter par ce terrible cheminement? Un terrible incident s'est produit à Suna... Konoha leur vient en aide. (couple : NaruHina KibaIno _ pour commencer)
Classé: -12I | Spoil | Mystère / Romance / Suspens | Mots: 1816 | Comments: 2 | Favs: 1
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Poison-Vivi (Féminin), le 06/06/2010
Bonjour à vous tout d'abord.
Vous qui avez cliquer avec beaucoup de courage sur le lien qui mène à ma fic.
Je vous demanderais de laisser un comm. pour m'aider à progresser. Quelque en soit le contenu.
Sur ce Bonne lecture ^^.




Chapitre 1: Chapitre Un : le pacte du serpent et de la vipère.



L'antre du serpent.


Partie Première :
Tout ça pour un homme...


Chapitre un :

Dans l'antre du serpent une voix rauque et sifflante, perce, l'obscurité et les méandres interminables du dédale, repère du serpent.
Dans une pièce faiblement éclairée, on peut apercevoir trois personnes. Deux hommes et une femme. Un homme aux cheveux longs et filasses, aux yeux jaunes luisants, au teint grisâtre ; qui parle.
Il parle à une femme. Du moins la voix de la personne est féminine. Car, celle-ci est sous une cape, d'elle on ne distingue rien d'autre qu'une sombre silhouette.
En retrait un homme aux cheveux si clairs, que même sous cette lumière jaune et blafarde ils paraissent blancs, il n'a pourtant pas une ride ; d'ailleurs pas une expression ne plisse son visage, et, ses yeux _ cachés derrière de grosses lunettes rondes _ ne sont pas visibles.

Un marché vient d'être scellé par des regards froidement entendus et un silence de mort.

Des regards scellés ; froids comme la mort ; silence entendu ...


« - Aujourd'hui il fait sacrément beau et doux pour la saison! C'est agréable! S'étonna une blonde plantureuse en s'étirant devant sa fenêtre.
Elle venait à peine de se lever de son bureau, et, de lâcher du regard ces montagnes de documents qui le couvrait, que son assistante entra.
La porte du bureau bailla sur une brunette replète, accompagnée d'un petit cochon.
- Tsunade-sama ...
- Oui Shizune ?
- Nous avons un manquement au niveau de l'Anbu, la kunoïshi du nom de ... La jeune femme
s'interrompit.
Un jeune homme d'environ seize, dix-sept ans (physiquement, parce que mentalement...) venait de faire son apparition en braillant.
- Salut mamie Tsunade!
- Naruto ! S'énerva -t-elle.
- Dites, par hasard vous auriez pas une mission pour l'équipe 7 ? Je m'ennuie ferme depuis quelque temps moi ; grogna-t-il en faisant la moue et gesticulant.
- Prends ton mal en patience et dis-toi que c'est pour tout le monde le même Naruto, dit-elle, lasse.
Il protesta, râla et bougonnât encore un moment _ puis, après un conseil de la brune, un avertissement de la blonde, une supplication de Shizune, une dernière sommation de Tsunade _ tant et si bien, qu'il fut traditionnellement expulsé, par la fenêtre de la tour Hokage.
Il atterrit au pied de Sakura qui dans son élan faillit lui marché dessus.
Elle s'arrêta nette. Analysa. Il avait la tête à ses pieds et la regardait.
Elle ramena ses bras pliés sur sa poitrine et les genoux collés l'un à l'autre, piqua un fard et beugla : « Naruto! » Hors d'elle,
- Encore un de tes trucs de sale pervers! Elle l'attrapa par le col, le fit tournoyer avant de l'envoyer valdinguer dans les airs sans qu'il ait eu le temps de s'expliquer de rien.
- Mais j'ai rien fait moi! Déplora-t-il, la mort dans l'âme en valsant pour atterrir il ne savait encore où.
Il voltigeait tranquillement et aperçut l'équipe 8 qui revenait probablement de leur terrain d'entraînement.
Il cria : « Bonjour Shino! Bonjour Hinata! » Omettant volontairement Kiba avant d'aller s'encastrer dans un arbre.
Hinata tomba dans les pommes comme à son habitude ; au grand damne de Kiba, blasant Shino.
Assommé, qu'il était le Naruto.

Deux semaines plus tôt à Suna.
Temari qui discute avec un ami dans la rue voit Kankurô passer en flèche pour faire son rapport au Kazekage. Elle sourit, pensant malgré tout qu'il en faisait vraiment trop.
Elle le rejoignit dans le bureau de Gaara, après avoir acheter son repas et ceux de ses frères.
- Salut vous deux ! Dit-elle en posant les bentos sur le bureau ; elle fit la bise à Gaara, tient voilà ton repas ; et au garçon vêtu de noir et avec des peintures du même nom sur le visage, toi! tu vas prendre une semaine de vacance ; rigola-t-elle, t'as pas vu ta tête ! Je compte sur toi Gaara pour ne pas lui donné de mission et de le surveiller pendant mon absence!
Le dit Gaara grogna en guise de seul réponse, mais chez lui, cela voulait dire : oui, et elle le savait.
... ton absence ? Demandant le marionnettiste.
- Oui! Demain, je pars en mission! Répondit la blonde.
- Heureusement, t'es tout le temps en vacance sinon ; rigola son frère
- on a pu le droit de se reposer maintenant ? ... Ta mission 'sinon' !? Changeant habilement de sujet.
- Bin ... ça me fait des vacances de toi, donc bien ; la nargua-t-il.
- Pendant ce temps là, Gaara écoutait leur petite dispute, légèrement amusé.
- C'est sympa. ! Je te retiens toi ! Elle fit mine de bouder.
- M'enfin ça m'empêche surtout de voir ma formidable soeurette et mon petit frère adoré! On mange ensemble ce midi, ça fait super longtemps !
- Ça serait bien ; rajouta la jeune femme à l'éventail, tandis que les deux regardaient leur frère avec espoir _ soit faisant des yeux de merlan frit _ presque suppliant.
Le Kazekage avait des obligations, il ne pouvait malheureusement pas se libérer, même pour une heure,
- réunion ... lâcha-t-il simplement.
Les deux comprirent et n'insistèrent pas.
À chaque fois, c'était la même chose.
Et avec Gaara, c'était indiscutable.

Temari et Kankurô s'étaient rendus dans une tour de surveillance abandonnée à cette heure et discutaient tranquillement. Les bentos vident étaient superposés l'un sur l'autre.
Pas un souffle de vent, pas une brise pour rafraîchir l'air. Kankurô avait ôté son couvre-chef à oreille de chat et sa tunique. Il possédait une tignasse châtain tirant légèrement sur les roux par endroit sous le soleil. Il se découvrait rarement la tête _ ou autre _ en publique.
- eh bien! on se dévergonde Kankurô-'chan' ! Torse-nue et les cheveux en bataille ! Se moqua Temari.
- Tu trouves pas qu'il fait chaud toi ; s'exclama-t-il.
- Si mais, un peu de tenue ! De classe, de standing, voyons! Elle tenait droite et pris la pause.
- Si, dégouliner de sueur, c'est classe ? d'accord! ; admit-il en rigolant.
- Nous n'avons vraiment pas les même valeurs!
- Présente-toi à l'élection des miss-rillettes si tu veux! Moi je me mets à l'aise ; dit-il en lui tirant la langue.
- T'es même pas drôle va ; pouffa-t-elle.
- Pourquoi tu rigoles alors?
- Pour rien!
- C'est bien c'que j'pensais, sale blonde va!
- Espèce de gay toi nah ! Renchérit-elle.
- Sinon ça se passe bien en ce moment avec Ren ?
- Avec lui ? Ça fait deux semaines que c'est fini !
- Arrête ? Y t'as fait quoi ce pauvre garçon ; dit-il en faisant semblant d'avoir pitié et masquant son amusement.
- Il était vraiment collant et d'une possessivité ! Ah! In-su-p-por-table ; alors qu'elle disait ça, on pouvait lire l'exaspération sur son visage à ce souvenir, et puis de ces mains baladeuses ! ... Mais si t'en veut, huhu ?
- Et dire que tu en faisais de tels éloges, il y a encore trois semaines ! Il éclata de rire ne faisant pas attention à sa dernière remarque.
- C'est bon on peut faire des erreurs oui !?
- C'est comme ça qu'on apprends y paraît ! M'enfin on est sensé ne pas les refaire non ? Les erreurs ! Ahahahah
- Tu vas te taire oui ! Fit-elle un sourire au visage. Elle lui sauta dessus avec ses griffes aiguisées.
- Ah non ! pas les chatouilles ! Aïeuh coupe-toi les ongles, ouille ! Ahahahah ! au secours !
On pouvait entendre leurs rires conjuguaient, ainsi que les supplications intempestives du garçon aux marionnettes dans tout le village.

Trois mois plus tard. Suna.
Une jeune femme, brune aux yeux bleus éclatants. Une jeune femme toute fine, qui tient des dossiers. Cette jeune femme parcourt d'un pas vif et agile, les couloirs nombreux de la tours de la tour du Kazekage. Des couloirs aux murs couleur écrue, éclairés par des néons qui accentue encore la gravité de l'expression de son visage fin. Des couloirs tellement nombreux qu'il semblerait qu'elle erre sans but. Et pourtant son pas est décidé. Elle trouve enfin le bureau du Kage.
Elle frappe timidement. On lui dit d'entrer ...
Elle le fit, et, apparu à Gaara en tout humilité.
- Kazekage-sama ... souffle-t-elle avec respect tout en s'inclinant.
- Nyuuwa ? Fit Gaara étonné, qu'est-ce qui vous amène ?
- Kazekage-sama ; elle allait faire un pas en direction du bureau pour y déposer le dossier mais elle se rétracta soudain et s'arrêta dans son intention.
- eh bien approchez, qu'attendez-vous ?
- Non justement Kazekage-sama ! C'est une infection, je risquerais de vous contaminer ... d'ailleurs cette feuille de rapport doit l'être aussi ... je ne peux exécuter un tel ordre, ce serait commettre une grave erreur professionnelle !
- Alors Nyuuwa expliquez-moi la raison de si grande précaution ... demanda le roux.
- Une épidémie a éclaté _ le premier cas a été recensé il y a moins de 48 heures, il est décédé ... à cet instant nous décomptons plus de vingt-six malades _ tous ont été placé en quarantaine _ les victimes sont toutes de sexe masculine _ la population civile n'as pas encore été touché _ nous n'avons pas encore identifié la source de l'infection ... énonça mécaniquement la jeune femme.
- Je vous remercie de votre exposé Nyuuwa, voilà qui est claire et concis.
- Quels sont les prérogatives Kazekage-sama? Que devons-nous faire? Demanda-t-elle.
- Continuez, ce que vous avez déjà fait me semble convenir.
Il disait ça, car il ne savait effectivement pas quoi faire de plus ... que voulait-on de lui dans cette affaire. Elle lui sourit, compréhensive :
- Comptez sur nous Kazekage-sama, l'équipe fera de son mieux pour enrayer l'épidémie et tout reprendra un cour normal!
Le pire dans tout ça, c'est qu'elle y croyait à ce qu'elle disait là, qu'il se dit. Et elle lui souriait avec son air enfantin. Elle devait avoir deux ans de plus que lui pourtant, elle semblait plus jeune malgré tout. Elle portait la blouse blanche, typique du corps médical de Suna. Mais elle flottait dedans. Certainement n'avait-on pas trouvé sa taille ; se surprit-il à penser, tout en souriant.
- Je vous fait confiance pour ça Nyuuwa. Vous pouvez disposer ... merci.
La jeune femme s'en alla, après lui avoir fait son plus beau sourire, tout en trifouillant son doigt auquel se trouvait une petite bague en argent.

Ah ! La petite Nyuuwa, elle lui plaisait bien à notre cher Gaara. Faut dire quelle était mignonne, mais déjà prise.

Un homme apparu dans l'encadrement de la porte.
- Faites envoyez un ordre de prolongement de mission à tous les ninjas hors du village qu'ils ne reviennent sous aucuns prétextes avant qu'on ne leur ai confirmé qu'ils ne le peuvent.
L'homme acquiesça et disparut.




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