Fiction: Ma nouvelle vie. (terminée)

Sunamaru, 16 ans, bouleversera la vie de Naruto. Rencontre originale qui changera le cours des choses ; entre Sunamaru, la soeur cadette de la belle Sakura et un inconnu du clan Hyûga qui deviendra, sans qu'il s'en aperçoive l'ami qu'il aurait toujours voulu avoir. Une histoire d'amour partagée entre le coeur de Naruto et celui de la plus belle fille de Konoha. Ces trois jeunes formeront une nouvelle équipe qui aura, plus tard, une fonction spéciale...
Classé: -12D | Action/Aventure / Humour / Romance | Mots: 66413 | Comments: 129 | Favs: 35
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~Sunamaru~ (Masculin), le 10/05/2010
Dans cette histoire, Sunamaru, qui est un garçon, est attiré mystérieusement par notre jeune héros blond aux yeux bleus, pourtant, il est amoureux de Sakura.

Moi, qui suis un grand fan, j'ai eu la folle envie de me créer un personnage dans NARUTO, où je pourrais vivre dans Konoha avec tous les ninjas, et vu que j'adore écrire des pages et des pages, je ne me suis pas géné ! Depuis 2 mois que j'écris cette histoire, elle n'est pas encore finie !




Chapitre 2: Sakura m'enmène faire les magasins.



Le moment est venu pour moi de quitter ce maudit hôpital, je frissonne rien qu'à l'idée de visiter le village. Pourvu que Naruto aille bien, après la raclée qu'il s'est prise hier ... mieux vaudrait pour moi de ne pas embêter cette si jolie fille pourtant aussi forte qu'un bœuf, et encore moins lui chercher des noises.

Je me suis levé d'un bond, je vais ouvrir les rideaux, le soleil illumine toute la pièce, et ensuite, j'ouvre les fenêtres pour aérer ma chambre. Après, je me vêts d'un maillot noir et d'un jean bleu-foncé, mais voyant qu'il ne tien pas très bien, je m'entoure la taille d'une grosse ceinture blanche puis pour finir, je me met une casquette. Maintenant je me dirige dans la petite salle de bains ; j'y fait ma toilette et me brosse les dents. Sur le chemin du retour, j'apperçois, posé sur le meuble en bois de chêne, un autre bouquet de fleurs dans lequel est coincé un petit papier violet pâle : "Salut, je t'ai apporté d'autres fleurs pendant que tu dormais, j'espère qu'elles te plairont ! PS : Passe à la boutique un jour quand tu auras le temps, je voudrais bien faire ta connaissance. Bisous. Ino " C'est très gentil de sa part dis donc ! J'irai dans sa boutique de fleurs plus tard, même si je ne suis pas acro à ce genre de magasin ... Puis soudain, j'entends frapper à la porte.
-Entrez ! La porte s'ouvre et je découvre Sakura.
-Salut !
-Salut ! lui dis-je en bordant mon lit. Ca ...
-Qu'est-ce que c'est que cet accoutrement !? C'est provoquant !
-Ah... ah bon ? Tu trouves ? elle se dirige d'un pas décidé vers moi et d'un revers de la main, elle envoi voler ma casquette plus loin. Hé !
-Tu discute pas et tu viens avec moi ! elle me prend brusquement par le bras et m'entraine avec elle.
- J'ai pas fini mon lit !! Ma casquette !! Nous passons la porte.
- Je m'en fiche ! nous traversons le long couloir et descendons les escaliers. Je t'enmène faire les boutiques, ça te fera sortir. Je ne dis plus rien.

Dans la rue, tout le monde me regarde bizarrement. La pauvre Sakura est gênée, elle est rouge. Elle baisse la tête et accélère le pas et nous entrons en hâte dans un magasin de vêtements. Il n'y a pas beaucoup de clients pour l'instant. Sakura m'a dit que je pouvais prendre ce qui me chantais quand nous fuyions le regard des autres habitants du village. Non loin de là où je suis, je découvre un vêtement magnifique dans une vitrine protégée : un haut de coton noir laissant entrevoir convenablement une partie du torse et un pantalon léger et blanc qui va jusqu'à mi-jambe et des sandales noires (genre tenue Sasuke mais de couleur différente).
- Je voudrais celui-ci. je pointe le vêtement du doigt et elle ouvre de grand yeux ronds et blancs.
-Il...il c-coûte... c-combien ? Nous nous approchons de la vitrine et je lis : "8 500 ryôs" elle s'exclame soudainement :
- SEULEMENT 8 500 ryôs ! Je le prend tout de suite ! Avec les missions que je fais cela ne me coûte pratiquement rien. elle me fait un grand sourire et va chercher un vendeur pour qu'il nous ouvre la vitrine. Quelques secondes après, elle revient avec lui. Une fois ouvert, je me saisi de la tenue et me dirige rapidement dans une cabine. Je quitte mes vieux habils et resort pour qu'elle me dise ce qu'elle en pense.
- Alors ? Comment tu me trouve ?
Elle s'écrie soudain :
- KKYYAAAAHH !!!!

Tous les gens du magasin se sont retournés brusquement vers Sakura. J'essaie de me cacher comme je peux, honteux de son cri.
-Oups... Elle rougit et reprend aussitôt. Tu es ... enfin ... Elle articule plusieurs mots à la suite à une vitesse folle. Enfin ... le vêtement te va parfaitement bien ! Hem, hem !
C'est alors qu'elle s'approche de moi pour me rafistoler un détail.
-Voilà, c'est mieux... Elle me sourit, se recule et m'invite à la suivre à la caisse.
Je la suis jusque là-bas, tourne le dos à la caissière pour qu'elle scan l'étiquette de mon habits. Je jetterai mes anciens habits en sortant dans une poubelle dans un coin de rue.

Une fois sorti à l'extérieur du magasin, je remarque qu'il me manque un très gros détail.
- Sakura ? Il me manque quelque chose... fais-je en la regardant.
- Oui ? Qu'est-ce qui te manque ? dit-elle en tournant sa tête vers moi.
- Il me manque un katana ... J'ai perdu le mien durant mon périple et je ne l'ai plus jamais retrouvé... j'y tenais vraiment beaucoup... Je baisse la tête. C'est alors que de douloureux souvenirs me reviennent en mémoire.

Flash-back :

C'était une très belle journée. Le soleil brillait aux éclats, nous riions et nous jouions avec notre chiot qui était âgé de treize mois. Mais à l'heure du couvre-feu, au moment où je m'apprêtais à aller me coucher, dans une nuit de pleine lune et que le brouillard était bas ; je vis, de la fenêtre du salon, trois silhouettes déambuler dans notre champs de blé qui se dirigeaient vers notre demeure. J'avais prévenu mes parents qu'il y avait quelqu'un qui était dans notre champs. Mais ils ne m'avaient pas cru et m'avait répondu que c'était mon imagination qui me jouait des tours. Et pourtant...

Quelques instants après, la porte s'était renversée dans un fracas assourdissant, le vent frais avait pénétré la pièce et j'avais couru me réfugier dans un placard. J'étais si jeune ...
Mon père s'exclama :
- Mais qu'est-ce que c'est que ça ?! Sortez de chez moi bande de voyous !

Un inconnu lui répondit d'une voix grave :
- Dégage vieux con ! Maintenant c'est chez nous ici ! Donne nous tout ce que tu as et nous te laisserons peut-être la vie sauve !
J'assistai à tout de ma cachette, mon souffle était court. Ma mère répliqua :
- Nous avons bâti notre vie dans cette maison ! Vous n'avez pas le droit ! Allez vous en !
Mon père s'interposa entre ma mère et les inconnus vaillamment. Mais sa vaillance avait causé sa perte... Une giclée de sang s'abattit sur mon visage effrayé. Ils avaient étaient embrochés tous les deux en même temps.
- Prenez tout ce que vous voulez et allons nous en !
La maison était renversée sans-dessus-dessous, toutes les vitres s'étaient brisées, les tables renversées, le canapé déchiré... Je ne savais que faire. Je préférais rester cloîtré dans mon placard les jambes repliées.

Une fois que les voleurs étaient partis, que le silence était revenu ; je poussai la porte de ma cachette qui m'avait sauvé la vie et me rendis à quatre pattes, traumatisé, vers mon père qui, dans son dernier souffle m'avait dit :
- Sunamaru ... prends le katana dans le grenier, il se transmet de père en fils... Il toussa et reprit faiblement. Fais-en bonne usage... Je n'oublierai jamais ses derniers mots. Va embrasser ta mère...

Fin du flash-back.

- Eh ! Sunamaru ! Réveil toi ! Elle me secoue.
- Pardon ... Tu disais ?
- Je disais qu'il y avait un magasin qui vendait se genre de chose. Il est là-bas. Elle me le pointe du doigt et reprend. On y va ?
- Oui... Dis-je avec un pincement au cœur en retenant une larme.

Les gens dans la rue ne me regardent plus pareil qu'il y a quelques minutes, mon amie n'est plus honteuse, elle a l'air fière. Nous nous glissons dans cette fourmilière avec difficulté ; nous nous faisons des croches-pattes sans le faire exprès, nous nous faisons bousculer par les habitants et nous nous tenons la main pour ne pas que l'on se perde malencontreusement faute d'attention. Enfin nous arrivons devant le fameux magasin. Nous y entrons sans plus tarder à la hâte. Une sonnette retentit en haut de nos têtes.

- Bien... Commence t'elle. Je te laisse choisir.
Après avoir regardé aux quatre coins de la petite pièce, je flash sur la vitrine du fond. Le vendeur, qui est un homme d'un certain âge, nous salue bien bas. Nous le saluons réciproquement et nous nous dirigeons vers cette vitrine qui me fascine autant. J'ai demandé au vieux monsieur de sortir le katana qui est renfermé derrière la vitrine ; il a acquiescé et me l'a sorti.
- Tenez. Il me tend l'arme, je m'en saisi et sors la lame de son fourreau. Au fur et à mesure que la lame sort de son étui, elle scintille et son chant mélodieux me caresse les oreilles. Je continue de l'ouvrir lentement et avec précaution de peur de la rayer même de manière microscopique. Une lame de se genre a dû être façonnée par les mains d'un Dieu... Quelle beauté ... Une fois sortit, je peux voir le reflet magnifique de Sakura. C'est alors qu'elle m'adresse la parole :
- Sunamaru ? Tu la prends ? Je lui répond sans quitter l'arme des yeux.
-Oui. Sans mot dire, le vieux marchand frêle nous écoute.
- À la bonne heure ! Avec un tel accoutrement, Naruto ne te reconnaîtra même pas ! Elle s'adresse maintenant au marchand. Monsieur, nous la prenons. Je range le katana dans son fourreau et la donne au vendeur.




Alors ? Mon deuxième chapitre vous a plu ? Disez moi ce que vous en pensez. Je tiendrai compte des bons conseils ^^





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