Fiction: Mission de tous les risques... (terminée)

Ici, nous retrouverons l'équipe neuf de Konoha embarquée dans une mission d'apparence en somme toute ordinaire mais qui va s'avérer être un véritable calvaire pour deux de nos protagonistes... Pour avoir davantage de détails, je vous invite à venir lire la suite. Couple habituel : Neji x Tenten.
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Shitema (Féminin), le 18/04/2010
Bonjour !
Me voici de retour avec une nouvelle fiction. Elle sera probablement assez courte (environ 10 chapitres normalement) et chaque chapitre se passera sous le ou les point(s) de vue des deux personnages principaux. Le couple est habituel, et dès le premier chapitre vous saurez de qui il s'agit ;)

Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture !




Chapitre 1: Tenten



Chapitre 1 : Tenten



Une matinée habituelle dans ma vie routinière.

Comme tous les matins depuis huit ans environ, je me rends de bon matin au terrain d’entrainement de notre équipe, m’attendant à voir les deux surexcités qui nous servent de maitre et de coéquipier. Je m’attends bien entendu à te voir toi aussi, et je sais qu’il me faudra garder mon masque de totale indifférence.

A l’intérieur de moi pourtant, je ne suis pas si indifférente que je le prétends. Je suis même tout le contraire, mais ça tu ne t’en doutes probablement pas.

Je joue mon rôle à merveille.

Huit ans que ce rôle me colle à la peau. Huit ans que je me force à paraitre normale face à toi. Huit ans que tu es à mes cotés sans n’avoir jamais rien remarqué. Huit ans que je conserve ce secret pour moi, espérant qu’un jour j’aurais la force de tout te dire.

Mais je sais parfaitement que cela serait de toute manière inutile. Je ne suis qu’une fille ordinaire pour toi, une fille sans talent ni prédispositions particulières. Alors que toi, tu es le prodige de ton clan, surpassant de loin le niveau de simple ninja. Tu es mon idole, je t’admire sans jamais te le dire.

Tu me prendrais pour une folle, ou bien une groupie pathétique.

Mais peut-être suis-je folle après tout. Et bien oui, quelle femme serait assez insensée pour tomber amoureuse d’un homme tel que toi ? Un homme que l’on croirait au-dessus des simples mortels, un homme qui dégage une telle aura de puissance et de grandeur… Je t’admire. Oui, depuis toujours. J’ai toujours cherchée à te surpasser, ou tout du moins à être à ton niveau. Mais je commence à penser que cela est impossible.

Et dire que c’est moi qui dis ça… Je n’en reviens pas moi-même.

Moi qui me définie comme une féministe acharnée, dotée d’un caractère bien trempé, et d’une persévérance impressionnante. Mais qu’as-tu fait de moi ? Que suis-je devenue ? Pourquoi m’abaissais-je à te vénérer ainsi… Cela ne me ressemble pas. Il faut que je me ressaisisse. Je ne suis pas si faible que ça, et surtout pas si soumise. Surtout face à un homme tel que toi. Un homme qui me semble si froid et insensible.

Je me suis demandé un nombre incalculable de fois si tu ressentais seulement quelques émotions, même les plus ridicules. Mais, parfois, j’ai bien la sensation que non. Tu me parais si inabordable, si renfermé sur ta personne, que cela me fait un peu mal au cœur. Comment un être humain ne peut ressentir aucunes émotions ? Cela me semble irréaliste, tu dois bien ressentir quelques petites choses.

J’en suis persuadée.

Tu parais peut-être distant et austère, mais je suis intimement convaincue que tu n’es pas véritablement comme ça. Que tu dissimules ta vraie nature sous ce masque de force. Tu as un cœur, et tu es probablement capable de t’en servir, comme tout le monde. Après tout, tu n’es pas un surhomme, juste un homme tout ce qu’il y a de plus normal. Alors les émotions humaines doivent pouvoir transpercer ta carapace inviolable. J’espère juste être capable d’être cette personne qui t’y aiderait.

Je suis prête à tout pour toi, même t’attendre le temps qu’il faudra. Si je dois y passer ma vie, tant pis. Tu en vaux largement la peine.

Je suis pourtant convaincue au fond de moi que briser tes défenses sera plus facile qu’il n’y parait au premier abord. Tu es un homme tout ce qu’il y a de plus normal. Et si même Gaara a réussi à se sortir de ses ténèbres, tu dois bien pouvoir faire de même. Alors je sais que tu es loin d’être une cause perdue. Il faut juste savoir te dompter, trouver ta faille. Car je suis sûre que tu dois en avoir une. Tout le monde en a une, qu’elle soit d’ordre sentimental ou bien physique.

Et je suis décidée à trouver la tienne.

Je me sais capable de t’aider, de te sortir de ta solitude. Elle n’a pas l’air de te peser, mais je me doute bien que ce n’est pas la vérité. Même si tu sembles si fort, tu n’es pas indestructible. Ni même insensible. Tu me l’as prouvé indirectement à quelques rares occasions, cela m’a d’ailleurs rassurée de te savoir capable d’inquiétude et de peur.

J’avais pu avoir la preuve que le Grand Neji Hyûga n’était pas si solide que ça, après tout.



***



J’étais aux abords du terrain d’entrainement et je percevais déjà les bruits d’un combat. Je me doutais que Lee et Gai-sensei n’avaient pas dû avoir la patience d’attendre mon arrivée pour éprouver leur force. Cela me fatiguait d’avance. J’entendais déjà les « La fougue de la jeunesse fleurit en vous ! » ou bien les « La jeunesse est invincible ! ».

Je soupirais, amusée.

Même s’ils sont parfois un peu excessifs, ils demeurent mes coéquipiers, les membres de mon équipe. Et je les aime, même si je ne leur dirais jamais. Tous les quatre avons un lien indescriptible. Notre travail d’équipe est impressionnant, et notre amitié solide, tout autant. Nous étions comme une grande famille, nous protégeant mutuellement à longueur de temps, Gai-sensei veillant sur nous comme un père l’aurait fait. Même si aujourd’hui, à l’aube de nos vingt printemps, nous en n’avons plus vraiment l’utilité. Nous sommes tous trois devenus bien assez forts pour nous débrouiller seuls, mais malgré cela nous laissons notre sensei continuer à faire sa mère-poule. Il semble aimer veiller sur nous, et nous ne voulons pas le blesser. Nous avions donc passé tous les trois un accord tacite, permettant au fauve de jade de continuer à nous couver.

Cela ne me dérangeait pas plus que cela. J’y étais habituée à force. Etant la seule femme de l’équipe, j’étais constamment surprotégée par ces trois mâles en quêtes de demoiselle en détresse. Ils semblaient penser que j’étais une femme fragile, incapable de me défendre. Mais je savais parfaitement que ce n’était vraiment pas le cas. Ils tenaient à moi, voila tout. En tant qu’hommes, ils se faisaient un devoir de veiller sur moi. Machisme oblige. Gai-sensei tel un père veillant sur sa fille, Lee tel un frère défendant sa petite sœur, et toi comme… Comme je ne sais pas trop, en fait. Tu veilles sur moi mais je ne saurais définir nos liens.

Cela a toujours été ainsi.

Je n’ai jamais pu réellement cerner avec précision ce que nous sommes l’un pour l’autre. Pour moi, en tout cas, cela est évident : tu es celui que j’aime, que j’admire, que j’idolâtre de loin. Mais pour toi ? Je crois que je ne le saurais probablement jamais, je n’oserais te poser la question, c’est absurde.

Effectivement, à nous quatre nous formons pour toujours l’équipe Gai, quoi qu’il arrive. Je sais que cela est pareil pour toi ainsi que pour Lee. Notre lien est éternel, indéfinissable. Nous sommes complémentaires, mais nos attaches sont floues. Après tout, nous ne parlons que rarement, toujours concentrés soit sur notre entrainement, soit sur nos missions. J’aimerais pourtant que la réalité soit tout autre, j’aimerais en apprendre davantage sur toi. Mais j’ai toutefois la curieuse impression que je n’apprendrais pourtant rien que je ne sais déjà. Je n’ai pas besoin de connaitre tous les détails de ton existence pour te comprendre. J’ai appris à le faire durant toutes ces années en t’observant.

Je ne prétends pas tout savoir sur toi évidemment, mais j’en sais suffisamment. Pas besoin que tu ne parles pour que je sache exactement ce que tu penses ou ressens. J’ai comme un sixième sens qui me guide dans tout ce qui peut avoir un rapport avec toi. Je ne lis pas dans tes pensées évidement, non c’est absurde. J’ai juste de drôles de sensations qui me font percevoir tout de toi. Je ne peux l’expliquer avec des mots, mais c’est étrange comme sentiment, comme si je pouvais lire en toi sans même en avoir conscience.

Ce curieux lien me rattachant à toi, cela fait déjà plusieurs années que j’en ai connaissance. Peut-être à partir du jour où j’ai finalement compris que mes sentiments pour toi dépassaient la simple amitié. Que je pourrais éternellement plonger dans tes yeux si beaux sans en être lassée, loin de là. Que la couleur sombre de tes cheveux se balançant au gré du vent était plus attractive qu’un morceau de chocolat ou qu’une armada de kunai. Que ta carrure si imposante ne cesserait de m’imposer le respect et de me rendre toute chose.

J’étais mordue jusqu’à l’os.

J’étais vraiment dans de beaux draps…



Je me sais totalement irrécupérable, rien ne pourrait jamais me détourner de toi. Même si je le voulais, tout me ramènerait toujours à toi, quoi que ma raison m’en dise. C’en est presque désespérant. Ou pitoyable, au choix.

Mais la seule chose dont je suis certaine dans toute mon existence, c’est que cet amour finira par me consumer. Même si je ne le veux pas vraiment. Je mettais un point d’honneur à garder un semblant de dignité, d’honneur. Mais comment faire alors que lorsque je suis face à toi, je perds ainsi de plus en plus facilement mes moyens… ?

Je me sais irrécupérable, et cela me fait peur. Je ne me sens plus maitresse de mes émotions, incapable de redresser la barre. Comment avoir la force de nager vers la rive lorsque le courant est tel que toute lutte est inutile ?

Je suis fichue.

Il me faut alors tout faire pour faire taire mes sentiments, les enfermer à double tour dans une cage dorée. Je suis kunoichi après tout, la maitrise des sentiments est un des principes clé. La règle n°25 du code des ninjas en est la preuve. Je dois bien être capable de l’appliquer dans ce cas-ci également. Alors oui, c’est ce que j’allais faire, je suis décidée. Je ne me laisserais pas déstabiliser par ton regard couleur neige d’hiver, tes cheveux corbeaux. J’allais être forte, montrer que je n’étais pas faible face à un homme.

Après tout, je ne suis pas une faible kunoichi.



Je suis Tenten, fière représentante de la gente féminine dans cette équipe de dégénérés qu’est l’équipe 9.



***



Une semaine était passée depuis ma prise de décision, qui consistait à me comporter normalement face à toi. Et j’ai plutôt bien réussi à tenir cet engagement jusqu’à maintenant. Je suis assez fière de moi, d’ailleurs.

Nous sortions tous les quatre tout juste du village, nous ayant vu confier une mission au pays de l’herbe. La Godaime nous avait attribué la tache de faire cesser les agissements d’un homme sans scrupules qui semble étroitement lié à une organisation mafieuse de ninjas criminels. Il était probable qu’ils fassent du commerce illégal. Nous avions donc pour unique objectif de le capturer, et de le confier aux autorités du pays. Point à la ligne. Cela semble assez facile comme mission, vu sous cet angle, mais il semble que le bonhomme est plutôt bien entouré. C’est pour cela que le petit pays de l’herbe avait préféré confier cette tache à Konoha.

Je soupire.

Pourquoi faut-il que ces pays ne puissent assurer leur sécurité seuls... En conséquence, ce genre de missions superficielles nous revenait à nous… J’enrageais surtout en pensant que l’équipe sept ainsi que la huit avaient été appelées sur une mission importante de rang S… Pourquoi, eux, s’amusaient-ils et pas nous ?!

Je devais faire une drôle de tête puisque Lee me dévisageait bizarrement.



-« Tenten, tu vas bien ? »



Et voila, son côté protecteur reprenait le dessus…



-« Ne t’inquiètes pas Lee, je vais très bien. » Répliquais-je un peu plus durement que je ne le voulais.



Après cela, personne ne parla durant la fin du trajet. Enfin, si l’on ne prenait pas en compte les habituelles jérémiades de nos deux compagnons verts… Parfois, ils me fatiguaient à constamment s’agiter, j’en étais fatiguée pour eux.



Nous avons mis un peu moins d’une journée pour atteindre le pays. Sa capitale se situait non loin de la frontière commune avec notre pays, nous y sommes donc arrivés très rapidement. La nuit commençait justement à tomber, et j’étais extenuée. Comme toujours, Lee et Gai-sensei s’étaient lancé un objectif stupide en accélérant la cadence pour arriver en moins d’un jour au village… Et bien, pari réussi. Mais à quel prix, nous étions tous plus qu’épuisés.

Nous décidâmes de nous arrêter dans la première auberge que nous trouvâmes, Gai-sensei s’occupant de réserver nos chambres. J’avais hâte de me détendre dans un bon bain chaud, rempli de mousse bien sur, pour dégourdir tous mes muscles endoloris… Allez vite, Gai-sensei !

Nous l’attendions un peu en arrière lorsqu’il revint vers nous avec un grand sourire, comme s’il était comblé. A vrai dire, il était toujours comme cela…



-« Et voilà, mes chers élèves ! » Nous dit-il en exhibant fièrement devant nos yeux deux petites clés.



Deux ? Comment ça deux ?! Ah mais oui, suis-je bête, les garçons vont probablement se partager une chambre et avoir la délicate attention de me laisser la deuxième chambre pour moi seule… Je n’allais tout de même pas dormir avec un de ces hommes… Cela serait un peu déplacé… Quoique j’exagère peut-être un peu, je ne suis plus une petite fille.



-« Mon cher Lee ! Que dirais-tu d’une petite compétition pour éprouver notre vitesse ? »



Lorsque Gai-sensei prenait sa fameuse pose du ‘nice gay’, je savais que Lee ne résistait pas longtemps à relever son défi. Je me pris à soupirer de leur immaturité…

Des flammes apparurent dans les yeux de Lee. Il allait craquer, je le sentais.



-« Quelle idée géniale, Gai-sensei ! »



-« Je savais que cette idée te plairais, mon cher disciple ! Le premier arrivé devant nos chambres sera considéré comme le plus rapide ! » Lui dit-il en faisant un clin d’œil accompagné d’un sourire éclatant.



-« Yosh ! »



C’est ainsi que nos deux surexcités partirent au quart de tour comme des dératés en direction de l’étage supérieur. Leurs compétitions ridicules ne finiraient-elle donc jamais ? Je soupirai une nouvelle fois, mais me pris à sourire en voyant l’expression de ton visage. Tu semblais vraiment trouver tout cela ridicule, et moi, je ne pouvais m’empêcher de rire face à ton visage déconfit.

Sans un mot, tu entrepris de les rejoindre à l’étage, et je décidai de faire de même en marchant à ta suite. Je me sentais toute petite ainsi, marchant dans ton ombre. Toi qui en impose autant par ta simple présence, cette assurance dont tu te sers avec traîtrise sur mon pauvre cœur, je me sentais inutile et faible par-rapport à toi. C’est peut-être un raisonnement stupide, je l’avoue, mais je ne peux m’empêcher de penser cela. Bien entendu, je sais parfaitement qu’il n’y a aucune comparaison entre toi et moi qui a lieu d’être… Mais cela ne m’empêche pas d’y penser. Que t’apportais-je réellement ? Ma présence t’était-elle un minimum profitable ?

Je me mis à rire. Je me posais vraiment des questions ridicules.

Tu avais tourné ton visage vers moi, te demandant probablement ce qui me poussait soudainement à rire toute seule… Mais non, je te rassure, je ne suis pas encore complètement insensée. Quoique, je commence à avoir des doutes…

Tu t’arrêtais soudainement devant une porte, l’ouvrit, puis sans un mot, tu pénétras dans la pièce. Moi je restais plantée là bêtement devant cette porte. Je ne comprenais pas tout. Où ont bien pu passer nos deux énergumènes ? Je balayais le couloir du regard, mais je ne vis rien. Puis une porte s’ouvrit à ma droite, et je découvris Lee avec tout son nécessaire de toilette sous le bras. Celui-ci me sourit innocemment puis se dirigea vers la pièce que je devinais être la salle de bain des hommes. Mais alors, si Lee et Neji étaient entrés dans deux chambres différentes, où allait dormir Gai-sensei ? Puis, comme une fleur, je le vis sortir lui aussi de la chambre que venais de quitter Lee.

Le temps que l’information ne monte au cerveau, que mes neurones se mettent en connexion… Si mon maitre et mon meilleur ami étaient sortis de la même chambre, cela voulait dire qu’ils dormaient dans la même chambre donc… ?

Mais alors, le dernier maillon de la chaine s’assembla dans mon esprit… La seule chambre où je puisse espérer dormir était donc, logiquement, celle occupée par Neji… Je me surpris à rougir brutalement. Non, mais je devais être maudite ! Juste lorsque j’avais pris la décision de tout faire pour me tenir à distance, il fallait que je me retrouve à dormir dans la même chambre que lui ! Non mais vraiment, Gai-sensei n’avait pas un brin de jugeote parfois. Un homme et une femme de vingt ans partageant une chambre commune, cela était imprudent. Même très imprudent.

Mais je me dis que l’homme dont il était question était Neji Hyûga, le célèbre glaçon de Konoha. Je ne risquais probablement rien avec lui, il n’aurait pas une attitude de débauché, même en partageant sa chambre avec une femme.

Puis, alors que je pestais intérieurement contre mon sensei, la porte de ma nouvelle chambre s’ouvrit, laissant apparaitre Neji.



-« Tu comptes dormir devant la porte où tu vas finir par rentrer ? » Me demanda t-il.



Je sentis comme une pointe de sarcasme et d’ironie dans sa voix. Attention, une chose inédite venait de se produire… Neji avait fait de l’humour ! Il lui faudrait un peu d’entrainement pour son intonation, mais c’était bien de cela qu’il s’agissait. C’était assez inattendu et… effrayant, je dirais.

Sans me poser davantage de question, je rentrais à sa suite. Je découvris alors une somptueuse chambre avec, heureusement, deux lits simples. Finalement dans mon malheur, j’allais être sauvée. Je n’avais même pas imaginé ce que ce serait de devoir partager un lit double avec Neji… Mes joues se teintèrent de rose sans que je ne puisse m’en empêcher. Ca allait vraiment être dur cette mission, je le sentais. Pas tant le criminel, mais plutôt notre cohabitation.

Cela risquait d’être épique…




Alors ? oO

Oui, je voulais faire une fiction centrée sur ce couple-ci, que j'adore *o*
J'espère que vous avez aimé ce premier chapitre, j'attends tout avis ou commentaires de votre part, surtout si ça peux m'aider à m'améliorer :)

Voila, voila. Sachez aussi que je ne néglige pas ma fiction principale "la survie des deux jinchurikis", j'écris les deux histoires en parallèles. Je finis toujours les fic que je commence, et j'essaye d'avoir un rythme de publication assez régulier. Je déteste attendre un chapitre pendant un an ><

Je n'ai rien d'autre à ajouter =D

A Bientôt pour le second chapitre intitulé : " Neji Hyûga",

*Shitema*




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