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Fiction: De Hyuuga à Inuzuka

AU. Traduction d'une fic anglaise (abandonnée, mais j'ai l'intention de la continuer) donc voici un petit résumé: Je me suis enfuie, et ils m’ont trouvée. Maintenant j’ai des griffes, des crocs, des triangles rouges tatoués sur les joues et un nouveau nom de famille : Inuzuka. Mais maintenant, mon ancien clan a commencé une guerre. Bien que nous soyons des banis, nous devons désormais trouver un moyen mettre fin à cette guerre.
Classé: -12D | Spoil | Action/Aventure / Humour / Romance | Mots: 7165 | Comments: 5 | Favs: 7
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Sazukai (Féminin), le 14/04/2010
Alors qu'Hinata venait de se faire agréssé,
que vont-ils faire pour la proteiger?




Chapitre 2: La nouvelle Inuzuka



- « Kiba ! Mais qu’est-ce qu’il lui est arrivé bon sang ? Je t’ai dit de l’emmener en ville, pas chez l’Akatsuki ! » C’était la voix de Hana. Enfin, je me réveillais.

- « Ce n’est pas de ma faute. C’est Soshaku et sa bande. La fille s’en est prise à elle pendant que les gars me retenaient. » Ah, et voici celle de Kiba.

- « Pourquoi ? »

- « Occupe-toi d’elle, plutôt ! »

- « Je suis veto, pas docteur ! »

- « C’est la même chose. Allez, fais quelque chose ! »

- « D’accord. »

Silence. Je pouvais entendre faiblement le tintement des instruments, et ma peau était froide contre la table de métal. Lentement, la douleur dans mon crâne diminuait, et mes côtes ne me torturaient plus autant. Je pense que j’en ai quelques unes de cassées.

- « Kiba. Je veux que tu me dises pourquoi son gang l’a attaquée. Et je ferai tout mon possible pour éviter que cela ne se reproduise. »

- « … »

- « Kiba Inuzuka ! »

- « Il a dit que c’était parce qu’elle n’était pas Inuzuka. Il a dit qu’il n’aimait pas la vermine de l’extérieur. »

- « … » Hana soupira. « Je… Je pense que j’ai une idée… »

- « Hum ? »

- « Je vais devoir tatouer des triangles rouges sur ses joues et lui injecter ce produit spécial que j’ai créé. »

Une seconde ! Quoi ? Tatouage ? Injection ? Je commençais à replonger dans les ténèbres.

- « A quoi sert-il déjà, ton produit ? »

- « Il sert pour les vieux chiens Inuzuka. Je peux faire pousser leurs crocs et leurs griffes en quelques secondes. Donc si j’en donne à Hinata, elle aura des griffes et des crocs tout comme nous. Et je peux la tatouer. Après tout, je me suis bien fait les miens. »

- « Comment tu as fais ça, exactement ? »

- « Tu prends une aiguille et du fils. » commença Hana. Déjà, je savais que je n’aimais pas cette idée. « Tu teins le fils avec de l’encre rouge, pique la peau avec l’aiguille et fait passer le fils sous la peau pour qu’elle absorbe l’encre. De façon permanente. » Je ne me sentais pas très bien désormais. « Et comme le fils est petit et que les marques de naissance sont larges, ca va prendre assez longtemps. »

- « Et tu as pensé à Hinata ? Elle pourrait très bien être en colère en se réveillant. Nous ne lui avons pas vraiment demandé « Hé ! Tu veux être marquée pour le reste de ta vie comme Inuzuka ? ». Parce que si nous faisons comme tu as dit, elle sera et restera Inuzuka pour toujours. » Inuzuka ? Pour toujours ?

- « C’est une question de vie ou de mort. Qu’elle le veuille ou non. Elle deviendra Inuzuka. Maintenant va me chercher du fils et une aiguille. » Oh... Étourdissement. Coucou ténèbres… de nouveau…

Inuzuka. Pour toujours.



-o-o-o-o-

Quand je repris officiellement mes esprits, et pas cette espèce de transe comateuse, mon visage, ma bouche et mes doigts me faisaient mal. La première chose que je fis fut de regarder mes doigts, qui avaient maintenant de longues griffes. Je n’avais donc pas rêvé. Je commençais à me lever pour aller me voir dans un miroir quand la douleur dans mes côtes se réveilla. En conséquence de quoi, je me laissais retomber en arrière et m’emparais d’un instrument médical luisant. Je regardais mon reflet et je vis les canines comme des crocs et les triangles rouges tatoués sur mes joues. Bon… Salut Hinata Inuzuka.

- « Content de voir que tu es réveillée » soupira une voix fatiguée. Elle semblait soulagée. Je levais les yeux vers le bout de mon lit, là où Kiba était assis, à cheval sur une chaise retournée. Ses bras reposaient sur les barres de métal froid au pied du lit, et sa tête paresseusement posée sur ses bras croisés. « J’ai une surprise pour toi. » Il resta assis, apparemment attendant une réponse de ma part.

- « Donc… je suis Inuzuka maintenant ? » demandais-je. Il hocha la tête en approbation.

- « En gros. Est-ce que tu veux vraiment être une véritable Inuzuka ? » Je réfléchis à sa question. Qu’est-ce qu’il voulait dire par « en gros » ? Peut-être est-ce que j’avais besoin d’autre chose? Je pouvais toujours retourner chez moi, et dire à Hiashi que j’ai été forcée d’accepter ce traitement. J’ai été forcée, c’est certain. Mais cela reviendrait à déclarer la guerre entres les clans Hyuuga et Inuzuka. Les Hyuuga seraient révoltés de voir que leur héritière ressemble à une Inuzuka. Et puis il y avait Hana et Kiba. Hana était gentille et douce… Comme la mère que je n’ai jamais eue. Ou une grande sœur. Une sœur dont je n’aurais pas à craindre que quelqu’un dise qu’elle soit meilleure que moi. Puisque Hana est plus âgée. Et puis Kiba. Tout hentai qu’il est... je l’aime bien dans son genre. Est-ce possible que cela ne fasse qu’un jour ? Je ne sais pas.

La première réponse qui me vint fut « est-ce que j’ai le choix ? ». Mais en fait, je l’ai, le choix. Un choix qui allait affecter du reste de ma vie.

- « Oui… j’aimerais devenir une véritable Inuzuka. » Un sourire de chenapan sur le visage de Kiba révéla ses crocs.

- « Bien, Kogane va être content d’entendre ça. » Kogane ? Qui est Kogane ? Comme s’il avait entendu ma question, un petit chiot blanc avec des oreilles foncées sortit la tête hors du manteau de Kiba et sauta sur ses genoux. Je compris pourquoi Kiba l’avait appelé Kogane. Dans la lumière, ses oreilles semblaient presque dorées.

- « Kiba-Kun... Comment... Quand... Pourquoi? » J’en perdais presque mes mots.

- « Facile ! Je l’ai acheté à l’animalerie. Pendant que tu étais inconsciente. Parce que chaque Inuzuka à son propre chien. »

Je pris dans mes bras le chiot qui était en train de me lécher furieusement le visage. Mes joues faisaient comme même un peu sensibles mais je ne voulais que Kogane pense que je ne l’aimais pas en le repoussant. Je l’aimais vraiment. Il était si petit. Il aurait pu tenir dans la paume de ma main sans difficulté. Il ressemblait un peu à Akamaru. Ils n’avaient que la couleur des oreilles de différent. Maintenant que j’y pensais… Tous les prénoms Inuzuka avaient quelque chose à voir avec les chiens, et ceux de leurs chiens avec les couleurs. Donc voilà un nouveau problème. Mon nom signifiait « endroit ensoleillé ». Pas très canin…

- « Et pour mon nom ? » demandais-je.

- « Huuuum. Je suppose qu’il faudra que nous utilisions un faux nom quand je te parlerais devant les autres Inuzuka. »

- « Comme quoi ? Choisis un bon. Un qui colle.”

- « Mesuinu. » dit Kiba en riant. Je me contentais de le foudroyer.

- « Et qu’est-ce que le nom de salope a à faire avec les chiens ? »

- « Je faisais référence à la chienne, femelle du chien. Si j’avais voulu dire salope, je t’aurais appelée « Ikeike »… »

(note de la traductrice : Le mot anglais est « bitch », dont le sens premier est « chien femelle/chienne. » Et comme notre « chienne », le mot peut être également utilisé en argot pour dire « salope »)

Je croisais les bras en boudant.

- « Héhé. Tu seras donc Ikeike! » Je lui montrais les crocs avec un grognement sourd. D’où est-ce que cela venait ? Kiba ne semblait pas plus surpris que ça. « Je rigole ! Cependant, je garde Mesuinu pour devant les autres Inuzuka. Ça colle bien.” Il eut un sourire tout en dents. Je grognais simplement encore une fois.

- « Kiba ! Arrête d’ennuyer Hinata. » dit Hana en le bousculant en passant près de lui pour se rendre à mon chevet. Elle était entrée juste quand je grondais.

- « Aaah ! Mais tu voulais dire Ikeike ? » Kiba s’esclaffa. Je grondais encore. « Héhé. Humour. Je voulais dire Mesuinu. » Je souriais triomphalement, mais dut le fusiller du regard quand il se mit à dire « Ikeike » entre deux toux.

- « Il faillait que j’aie un nom lié au chien à utiliser devant les autres Inuzuka. » expliquais-je à Hana. « Puis-je suggérer que tu dises à sa femme – si jamais il se marie – de ne pas le laisser choisir le nom de leurs enfants. » ajoutais-je en toute innocence. Kiba me lança une œillade entre ses paupières étrécies à quoi je répondis en lui tirant la langue.

- « Et je suppose que toi, tu es douée pour trouver les noms ? » me demanda Hana. Je ne vis pas son sourire malicieux avant que je lui répondisse.

- « Bien sur ! » Immédiatement, je rougis violemment et je sentis une goutte de sueur se former sur mon front. Kiba resta planté la avec une expression mêlant confusion, embarras et irritation. Hana, elle, riait aux éclats avec sa jolie voix. « Grrr, je vais me trouver un nom. » Hana s’arrêta de rire, et elle et Kiba attendirent de voir ce que j’allais trouver. « Bikou ! Cela veut dire ‘queue’ non ? » Hana acquiesça joyeusement, mais Kiba insista que les noms qu’il avait proposés étaient meilleurs. Il rigolait bien sur… Parce sinon, il morflait.



Hana décréta que je pouvais rentrer, et le temps que nous arrivâmes à la maison, Kiba marchait en dormant. Comment pouvait-il faire ça, je l’ignore…

- « D’accord. » commença Hana. “Puisque Hinata est notre invitée – et qu’il est hors de question que je quitte ma chambre – elle va dormir dans ta tienne. Et oui, Kiba cela veut dire que tu te tapes le canapé. » Elle n’obtint aucune réponse. « Est-ce que tu as au moins écouté un mot de ce que j’ai dit ? »

- « Hrmph. » fut la réponse de Kiba. Il était toujours en train de dormir debout.

- « Dis, Hana. Est-ce que je peux prendre une autre D-O-U-C-H-E ? » J’épelais le mot pour ne pas que Kiba se réveille. « Pour le sang et les bleus… »

- « Pas de problème. Ne t’inquiète pas pour les marques sur ton visage, elles ne vont pas s’effacer. J’ai passé le fils assez profondément sous ta peau pour… »

- « D’accord ! Je ne serai pas longue. » Hana ne devrait pas être mise en contact avec les gens qui sont facilement nauséeux.

Je me hâtais dans la salle de bain et me déshabillais. L’eau chaude qui ruisselait sur ma peau me faisait un bien fou et je pus m’examiner. J’avais de nombreuses ecchymoses sur mon ventre et mes côtes, là où j’ai surement été frappée. Et un autre sur ma clavicule, là où la fille avait atteinte pour m’assommer. A part ca, rien de grave. J’espérais seulement ne pas avoir à revoir ce groupe.

Après m’être enveloppée dans une serviette, je regagnais la chambre de Kiba pour y dormir. Je ne me donnais pas la peine d’allumer les lumières, parce que je trouvais le noir réconfortant. Ne prenant aucune chance, je passais rapidement les vêtements que j’avais avant. Ils gisaient en tas près du miroir, et quand je me baissais pour les récupérer, je décidais de plier les genoux pour ne pas dévoiler des choses à des spectateurs inattendus. Puis je regardais mon reflet. Le débardeur me donnait toujours l’impression que j’allais exploser mais bon… Je profitais généralement des moments comme ceux-là pour m’examiner.



Je n’étais pas si mal, même si Sakura été celle qui attirait tous les gars. Mais encore une fois, qui voulait vraiment risquer sa peau pour sortir avec l’Héritière Hyuuga quant elle avait un cousin qui se comportait comme un frère et un père qui faisait très, très peur ? Personne. Sakura et moi étions très proches comme des sœurs, bien que Neji soit loin d’être son frère. Un autre point que moi et mon amie aux cheveux roses partagions, un point bien étrange. Nos cheveux avaient toujours la mémé longueur, quoiqu’il arrive. Sakura aimait avoir les cheveux longs, donc je laissais pousser les miens. De couleur bleu-violet, ils arrivaient maintenant un peu au-dessous de mes épaules (peut-être parce qu’ils furent abimés pendant ma traverse du désert) et j’avais toujours ces deux mèches qui ne voulaient rester nulle part autre de devant mes oreilles. Et puis il y avait mes yeux. Je me faisais toujours remarquer dans le clan des Oubliés a cause d’eux. Blancs avec des reflets violacés. Ils n’étaient pas si insolites pour moi, mais pour les autres, si.

Bien que je fusse petite, j’avais un corps harmonieux. Un ventre plat et une grosse poitrine. Toutes les autres filles étaient jalouses des mes seins, mais moi, ils me sortaient pas les yeux. Sérieusement ! Essayez de prendre un gars dans vos bras, et ils disjonctent. Faire des choses simples et quotidiennes comme dormir, faire du sport et autre, et ils sont au milieu. Sérieusement. A quoi me servent-ils ?

- « Idiote… de poitrine… à la noix… » marmonnais-je dans un souffle. Puis je remarquais un mouvement dans le miroir.

- « Ah. Je ne pense vraiment pas que ta poitrine soit si mal. » me dit Kiba. Mais que faisait-il dans son lit ?

- « Ne devrais-tu pas dormir sur le canapé ? » criais-je. Il rit.

- « Je me rappelle tout de même que ici, c’est ma chambre. »

- « Humph ! » Il était tellement énervant.... Une seconde! « Depuis quand es-tu ici ? »

- « Depuis que nous sommes rentrés, pourquoi ? » interrogea-t-il innocemment. Il eut un long silence et je demandais enfin :

- « Est-ce que les Inuzuka peuvent voir dans le noir, comme les chiens ? » J’attendais, planifiant mes attaques.

- « Bien sur. » Un autre long silence.

- « ESPECE DE SALE HENTAI ! » Je sautais sur son lit et je tentais de le frapper. Il avait beau être sous moi, il n’avait aucun mal à bloquer mes coups.

- « Mais qu’est-ce qui se passe ici !? » Hana fit irruption, l’air vraiment fatiguée. Elle poussa l’interrupteur et en me voyant en train de taper Kiba, elle soupira. « Je ne vais même pas demander ce qu’il a fait. » Elle le tira de dessous moi et hors de la chambre. Je pouvais entendre des bruits sourds alors que Kiba se faisait tirer, heurtant les escaliers… embrasure de la porte… la table basse… le canapé. Il eut quelques cris, puis le bruit d’Hana remontant se coucher et claquant sa porte. Je tressaillais à chaque son. Et je me sentais coupable. Donc je fais la chose la plus stupide à faire dans un moment pareil. J’allais en bas voir Kiba.



Je me glissais entre les portes du salon et vis une silhouette avachie dans le fauteuil. Un rayon de lune qui passait par la fenêtre me permit de distinguer Kiba. Il regardait par la fenêtre, me montrant la partie droite de son visage. La douce lumière lui donnait un reflet bleuté. Il avait une expression que je ne lui avais jamais vue auparavant. Elle sembla froide et atone au départ, mais en regardant de plus près, il y avait autre chose. De la peine vacillait dans ses yeux, renforçant mon sentiment de culpabilité. Je n’ai jamais été capable de retenir mes émotions. C’était une chose que mon père aimait me voir faire. Pleurer.

- « Kiba... » Ma voix se cassa à la fin de mon murmure. Il ne me regarda même pas, mais je savais qu’il m’avait entendu. « Je…je ne voulais que Hana se fâche… Je… Je --- »

- « C’est bon, pas de problème. » Il tourna la tête un peu pour me regarder et je vis qu’il avait son sourire caractéristique de vaurien.

- « Je n’ai pas le droit de prendre ton lit, Kiba. Laisse-moi dormir ici. »

- « Non. Je ne laisserai pas une fille dormir sur le canapé. » Il eut une pause. Enfin, je posais la question qui m’ennuyait:

- « Hana… elle… elle ne t’as pas fait mal, hein ? » chuchotais-je.

- « … Non… » Je le regardais encore une fois pour voir qu’il me regardait bien en face maintenant. La lune éclaira trois longues écorchures sur sa joue gauche, apparemment fraichement faites par des griffes. Il m’avait menti. Et Hana… Elle était comme mon père. Est-ce que toutes les familles sont ainsi? Je reculais d’un pas et il me donna un regard triste et confus. Si sa famille était comme la mienne, comme toutes les autres, que faisais-je donc ici ? Je m’étais enfuie pour laisser tout ça derrière moi, et voilà que j’y revenais.

- « Je suis désolée, Kiba… Mais je dois rentrer. » dis-je, une larme roulant finalement sur ma joue. Je couru vers la porte et agrippait la poignée. Mais une main était déjà sur la mienne. « Pousse-toi, Kiba ! » sifflais-je, enfonçant mes griffes dans sa peau. Son dos était contre la porte et curieusement son autre main trouva mon autre main et nos doigts s’entremêlaient. Puis il me tira à lui, s’assurant que je ne pouvais pas me libérer.

- « Pourquoi ? » Il semblait blessé. Mais, pourquoi quoi? Pourquoi est-ce que je partais? Pourquoi est-ce que je pleurais? Pourquoi est-ce que --- »

- « Pourquoi as-tu peur, Hinata ? » Je n’avais rien à dire. Pourquoi avais-je peur ?

- « Hana… elle… »

- « Non ! »

- « Dans ce cas, d’où viennent-elles ? » Je posais mes doigts sur les griffures et Kiba tiqua.

- « Ma mère était là. C’est à elle que Hana parlait pendant que nous nous bagarrions en haut. »

- « Elle a fait ça que parce que tu m’as vue nue ? »

- « Non. Autre chose. »

- « Pourquoi ? » Kiba posa son menton sur le haut de mon crane et je sentis quelque chose de mouillé tomber sur mes cheveux. Pleurait-il ?

- « Je ne peux pas te dire. »

- « S’il te plait. »

- « Désolé. Pas encore. » Je n’essayais pas d’argumenter, mais seulement de libérer ma main de la sienne et de la poignée. »

- « Veux-tu toujours partir ? »

- « Non. »

- « Bien. » Kiba utilisa la main récemment débloquée pour tirer une mèche de mes cheveux. « Hinata? »

- « Hum ? »

- « Est-ce que tu voudrais venir regarder les étoiles avec moi ? » Je riais doucement contre sa poitrine.

- « Bien sûr. »

Je commençais à avancer vers le salon, mais je me sentis soulevée par Kiba. Il me prit en berceau et s’avança vers « son » fauteuil. Il s’assit immédiatement, moi toujours immobile dans ses bras. Je levais la tête pour le voir avec un grand sourire, en train de regarder le ciel à travers la vitre. Et, sentant ma tête bouger contre son torse, baissa la tête pour me regarder avec son sourire de crétin. Il pressa ses lèvres sur le sommet de mon crane, et en réponse je fermais les yeux et me laissais emporter par le sommeil.

Des baisers sous les étoiles





Suite au prochain chapitre!!!



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