Fiction: Il suffit d'un homme...

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Tenshi et Karin remontèrent la rivière jusqu’à la Vallée de la Fin, où ils s’arrêtèrent pour se reposer. La jeune femme se posait beaucoup de questions, mais elle savait que le moment n’était pas encore venu et l’endroit était inadéquat.
Ils entrèrent sous une cascade encadrée par deux immenses statues de pierre représentant deux puissants ninjas : Hashirama Senju, le premier Hokage du village de Konoha, et Madara Uchiwa, son plus grand rival et chef de son clan.
Tenshi continua de ramer pendant quelques minutes avant d’arriver à un sol rocailleux. Il fit descendre la rouquine et amarra la barque à un pieu près de la rive.
Une fois ceci fait, il demanda à l’invitée de le suivre. Ils avancèrent jusqu’à une porte en bois, il l’ouvrit, et ils pénétrèrent dans la nouvelle pièce. Les lumières s’allumèrent et elle découvrit une salle assez spartiate, taillée dans la pierre. « Il avait tout préparé », se dit-elle. En effet, des sacs de couchages étaient pliés dans un coin, des provisions pour le soir et le lendemain matin à côté et un sac de premiers soins en bandoulière accrochée par un clou au mur.


Le lendemain, ils prirent un rapide petit-déjeuner, puis, ils se dirigèrent vers la porte qu’ils avaient franchie la veille.
Karin fut surprise de ne plus voir leur embarcation et son contenu. Tout avait disparu. Mais, ce qui l’étonna plus encore, c’est la réaction, ou plutôt l’absence de réaction de la part de Tenshi.

- Ne t’en fais pas, nos affaires nous attendent ailleurs. Viens, suis-moi, exprima-t-il en allant vers une ouverture sur le côté.
- Tu pourrais quand même me dire où on va !, dit-elle, en commençant à s’énerver de tous ces secrets.

Après mûres réflexions, il décida de lui dévoiler le reste du trajet.

- Bon, alors écoute. On va se diriger vers le Pays des Rizières. Une fois que nous l’aurons traversé, nous arriverons à l’océan, et là, nous prendrons la mer. Une île nous y attend. Pour éviter de se faire repérer par Kabuto, nous monterons sur le dos de Taiyou.
- Je refuse, intervint-elle, subitement, c’est le pays où se terre Kabuto. Et c’est qui ce Taiyou ?
- Taiyou, l’esprit-dragon de l’Eau. Il nous protégera durant la traversée, que ce soit de Kabuto, d’autres ennemis, ou nos alliés. Alors, tu n’as rien à craindre. Pour l’instant, on joue la discrétion.

Elle céda sous le charme de son chakra, devenu plus chaleureux et rassurant.
Ils marchèrent sur quelques mètres avant de grimper des marches abruptes. Puis, ils sortirent de la grotte et la ninja-médecin remarqua qu’ils étaient rendus au niveau des visages des statues, du côté de celui du Hokage.


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De son côté, Konan se prépara à repartir à Ame. Elle avertit les Kages de son départ pour cause d’urgence, en prétextant de façon plus précise que l’espion de l’Akatsuki avait été repéré aux abords d’Ame. Elle ne voulait pas leur dire la vérité sur ce qui s’était passé la veille au soir ; cela lui aurait coûté sa crédibilité et celles des protecteurs de Yama.

Pour ne pas donner l’emplacement du campement à l’ennemi, Konan et Yaiba marchèrent pendant plusieurs centaines de kilomètres.
Rendu au Pays de l’Herbe, elle créa un oiseau de papier taille XL et sauta sur son dos, imitée par son garde du corps. L’oiseau prit son envol en direction de leur village.
Il leur fallut tout de même la journée entière pour rentrer chez eux.

Alors qu’ils ne leur restaient plus que deux kilomètres, Konan remarqua un nuage de fumée au loin, dans le soleil couchant. Yaiba l’avait vu aussi, et lorsque sa supérieure tomba à genoux en se tenant le cœur, il mit un genou sur le dos de l’oiseau et plaça une main sur son épaule.

- Maitre Konan, qu’est-ce qui ne va pas ? Vous êtes pâle.
- Yaiba, ..... pars devant mais..... sois prudent. .... Compris ?, put-elle articuler, en tentant de reprendre sa respiration.
- À vos ordres, Maître, lui répondit-il, inquiet, avant de la saluer.

L’oiseau diminua son altitude et le sabreur sauta sur la cime d’un arbre avant de disparaître dans la forêt, en direction des rochers qui bordaient Ame.

« - Dépêche-toi de me faire ton rapport, Yaiba. J’ai un très mauvais pressentiment. Mes anges en papier ont été détruits. », pensa-t-elle, en se remettant debout.


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Ils étaient au milieu de l’océan, entre les Pays des Rizières et de la Foudre. Le prince était allongé sur la tête de Taiyou, semblant piquer un roupillon tandis que la rouquine, assise à ses côtés, regardait au loin. Au bout d’un moment, elle se retourna vers son sauveur et l’observa silencieusement.

Début Flash-Back

Alors que Tenshi fouillait dans ses affaires, elle le regardait faire en essayant de comprendre son comportement.

- Qu’est-ce qu’il y a ? J’ai un truc sur le nez ?, lui demanda le jeune homme, interloqué.
- Comment peux-tu changer ton chakra ? Et, d’où venait ce dragon ? Je ne t’ai pas vu faire de signes pour l’invoquer à Konoha.
- Oh, eh bien, pour mon chakra, disons que c’est une longue histoire. Pour le dragon, c’est tout simplement parce que je ne l’ai pas invoqué, commença-t-il en fermant son sac, un grand sourire sur le visage.

Il se gratta la tête quelques instants pour chercher ses mots pour préciser son explication, qui ne semblait pas la satisfaire. Se sachant très mauvais dans ce domaine-là, il décida de lui montrer. Il claqua des doigts comme à Konoha et l’eau se mit à remuer dangereusement. Une tête de dragon apparut devant eux.

- Karin, je te présente Taiyou. Taiyou, voici Karin, fit-il en bougeant les mains de l’un à l’autre.

Le dragon tourna sa grande tête vers la jeune femme et la rapprocha de son visage.
Il la renifla et lui souffla dessus, faisant bouger ses cheveux rouges en avant puis en arrière.

- Salut ! Articula le mastodonte.

Karin n’aimait pas son haleine, d’où le fait qu’elle ait mise sa main devant sa bouche et son nez.

- Bonjour, Taiyou, lui répondit-elle en essayant de respirer de l’air plus frais.

Ensuite, le dragon regarda à nouveau le jeune homme.

- Que comptes-tu faire avec cette fille ? Elle n’a pas l’air fiable. Tu prends de gros risques à la mêler à cette guerre, lui dit-il d’une rauque.
- Taiyou, elle est ninja-médecin et, au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, nous sommes en guerre. Ses compétences vont être primordiales pour pouvoir faire cesser cette guerre. Je lui fais confiance car elle a accepté de nous rejoindre. En plus, elle a fait équipe avec Sasuke, donc, elle le connaît bien.
Voyant le regard méfiant que la créature affichait, Tenshi le rassura.

- Ne vous inquiétez pas. Elle sera surveillée jusqu’à ce que toute l’armée ait confiance en elle.

Plus ou moins satisfait, le dragon acquiesça et posa sa tête sur l’eau, attendant que les deux ninjas montent dessus.

Fin Flash-Back


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Une jeune femme était assise à une table près d’une fenêtre ouverte. Le vent pouvait y entrer et sortir à sa guise en faisant bouger les rideaux sur son passage. Elle était en train de lire un rapport de mission : son frère jumeau avait accompli sa mission, malgré l’intervention des quelques ninjas restés à Konoha. Il allait bientôt arriver à bon port.

Une fois qu’elle eut fini sa lecture, elle prit toute sa paperasse, se leva et se dirigea vers son bureau situé à quelques mètres, devant une bibliothèque remplie de livres divers et variés. Elle posa le contenu de ses bras dessus et ouvrit un tiroir pour chercher le dossier correspondant. Puis, elle le posa et y rangea ces documents avant de le remettre à sa place.

Alors qu’elle allait sortir de la pièce, elle vit un origami en forme de papillon sur la poignée de la porte. Celui-ci s’envola en direction des étagères d’ouvrages. Elle suivit l’insecte volant des yeux : il rejoignait les siens sur le bureau. Tous se placèrent et se déplièrent de manière à former un rectangle parfait, quoiqu’un peu froissé. Seika se rapprocha de la feuille et la lit : Il est venu. midi là où tu sais.

Sur ce, elle regarda la pendule située au-dessus de la bibliothèque, plia vite fait le message et le mit dans une poche, dans sa manche et se mit à courir dans les couloirs, laissant les portes grandes ouvertes derrière elle. Il fallait se dépêcher au plus vite. La tempête allait succéder au calme...


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Karin sortit de ses pensées quand elle vit au loin quelque chose d’arrondi qui semblait flotter sur l’eau. Plus Taiyou approchait, plus la forme devenait plus nette. Elle se leva d’un coup, ce qui fit sursauter Tenshi, qui se réveilla.

- Ah ! Enfin on arrive. Ce n’est pas trop tôt, dit-il en baillant à s’en décrocher la mâchoire.
- Parle pour toi, paresseux ! Grogna le dragon.
- Qu’est-ce que c’est ?, demanda la jeune femme, curieuse.
- C’est une île un peu spéciale : elle se déplace.
- Quoi ? C’est possible ?
- Oui. Tu vas voir quand on y sera.

Le dragon les conduisit à une berge. Ils descendirent de sa tête, en le remerciant pour la ballade, et marchèrent à travers une forêt touffue. Karin n’était pas à l’aise : elle sentait de nombreuses présences pas très amicales autour d’eux, mais celles-ci ne semblaient pas vouloir s’approcher.
En quelques minutes, ils arrivèrent au pied d’une falaise d’où tombait une cascade. Tenshi continua sa route alors que Karin s’était arrêtée sur la rive.

- Naruto, dis-moi ce que tu attends de moi. Je préfère te prévenir que si tu compte réellement m’emmener sur le front, je refuse catégoriquement !, répliqua-t-elle, en colère et angoissée en même temps.

Tenshi s’était arrêté presqu’en même temps qu’elle. Il se retourna après qu’elle eut fini sa phrase.

- Je le sais. Mais j’ai fais une promesse et je dois la tenir. Il en va de mon honneur et de l’avenir du monde.
- Ah oui ? Et à qui as-tu fais cette promesse ?
- Suis-moi sous la cascade de la Vérité, répondit-il en reprenant son chemin pour éviter de répondre.
- Eh !! Je t’ai posé une question !! J’exige que tu me répondes !!, s’exclama-t-elle en ignorant la réflexion de son guide.

Le jeune homme à la mèche cessa à nouveau de marcher. Puis, il tourna la tête vers elle et, à peine Karin eut-elle le temps de déchiffrer son regard qu’elle sentit une présence dans son dos, une de ses mains bloquée dans le dos, une autre la tenant par la gorge.
- Karin, lui murmura-t-il dans son oreille, je t’ai dit que tu aurais des réponses. Suis-moi à l’intérieur de cette cascade et tu les auras. C’est promis.
- Bon d’accord, de toute façon, tu ne me donnes pas vraiment le choix.

Il finit par relâcher son étreinte et repassa devant elle. Elle souffla à la fois de soulagement et d’exaspération avant de se convaincre de le suivre.

Elle passa la cascade et traversa un long couloir qui menait à un immense espace rempli de sculptures humaines décapitées. Tenshi s’assit sur une pierre et invita Karin à faire de même. Elle s’exécuta en silence.

- Bien. Maintenant, on va pouvoir discuter. Alors, je vais commencer par te raconter comment cette histoire a commencé. Ensuite, si tu as des questions, j’y répondrai. Ça te convient ?, expliqua-t-il, calmement.

Son interlocutrice approuva et le récit commença.

- Lorsque je suis parti du village, il y a deux ans, je suis allé à la Vallée de la Fin pour me remémorer mon combat avec Sasuke. Je voulais me rappeler de ce pourquoi je veux le sauver. Puis, le soir, j’ai vu Sakura qui me cherchait ; je m’étais caché dans la cascade. Le lendemain, nous avons discuté et elle m’a annoncé qu’elle voulait s’excuser pour son attitude et qu’elle souhaitait m’accompagner. J’avoue que je n’étais pas trop pour au début, mais je me suis dit que, étant donné que nous sommes des équipiers et des amis, je devais lui laisser une seconde chance. Je lui en voulais encore un peu de ce qu’elle avait tenté de faire à Sasuke, au Pays du Fer.
Ensuite, nous nous sommes dirigés vers l’emplacement d’un village disparu où nous nous sommes installés pour quelque temps. Notre but étant de sauver Sasuke, nous nous sommes entrainés sans relâche. Sakura est devenue beaucoup plus forte et s’est améliorée dans le ninjutsu médical, tandis que moi, je contrôle mieux mon chakra et je peux utiliser plus de techniques qu’avant. De temps en temps, on voyageait afin de s’adapter à n’importe quel terrain et se renseigner sur l’Akatsuki et l’Alliance. Quand on a eu vent que Madara avait une armée plus puissante et plus grande que celle de l’Alliance, on a décidé de former note propre armée pour se joindre à la guerre.
C’est une des raisons qui nous ont poussés à créer Yama, le Village Caché de la Montagne, au Pays de la Pluie. De plus, Konan, la nouvelle dirigeante d’Ame, nous a proposé son aide pour nous organiser. Sakura s’occupe du village et moi, j’espionne et forme les nouveaux combattants.
Pour passer plus inaperçu, nous avons changé nos identités : Sakura est devenue la princesse Seika et moi le prince Tenshi, son frère. Aussi, mon but ces temps-ci est de réunir tous les amis que je me suis fait au cours de mes missions et de mon entrainement avec l’Ermite Pas Net. Au moment où je te parle, Seika a négocié la reconversion d’Ame avec les Kages et leur a fait part du soutien militaire de Yama et Ame.
Tu te souviens de Taiyou ? Eh bien, en fait, il s’agit d’un revenant. Il y en a 5 autres comme lui. Si je meurs, ils redeviendront ce qu’ils étaient : des cadavres.
Pour en revenir au village disparu, c’était Uzu, le village natal de ma maman. Le clan Uzumaki était connu pour ses techniques de scellement puissantes, tellement puissantes que beaucoup de clans les enviaient et d’autres les craignaient. Ce sont deux raisons pour lesquelles ce clan a été détruit. À cette époque, ma maman était déjà à Konoha. En quittant notre village, j’ai voulu en savoir plus sur mes ancêtres, mais surtout sur leurs techniques. Je sais que Madara veut utiliser tous les Bijuus pour dominer le monde. Pour l’en empêcher, j’ai programmé plusieurs plans possibles:
_ sceller Kyuubi en moi de façon à ce qu’il n’y ait que moi à pouvoir l’enlever de mon corps.
_ lier nos deux âmes – à Kyuubi et moi – pour que mon âme face partie de Juubi lors de l’extraction du Démon Renard par Madara.
_ faire en sorte que Kyuubi et moi ne formons plus qu’un, que nous fusionnons nos âmes et nos chakras et donc, que Madara ne puisse plus se l’approprier.
Ainsi, je mènerai ses plans à l’échec, je sauverai Sasuke et protégerai tout le monde.
- Eh bien ! Tu as un sacré plan. Digne d’un idiot comme toi !
- Oui, mais sache que mes plans fonctionnent tout le temps.
- Et tu m’avais parlé d’une armée. Mais je ne vois rien autour de nous !, dit-elle en cherchant une trace de ladite armée.
- C’est normal, nous sommes en route pour les prendre au passage. Avec Seika, nous avons prévenu nos amis et il est prévu qu’ils se rejoignent en petits groupes, pour ne pas trop attirer l’attention. L’île va tous nous réunir et ainsi, nous pourrons enfin passer à l’élaboration d’un plan, en collaboration avec l’Alliance. L’île se déplace assez vite et donc, on reste hors de portée des techniques d’espionnage grâce à des techniques de scellement qui nous protègent.
- Comment as-tu fait pour trouver cette île ?
- C’est simple, c’est un ami qui me l’a montrée.


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Seika, de son côté, s’était rendue à une des nombreuses maisons de la montagne, l’une des premières par rapport au sommet. Elle frappa et la porte s’ouvrit. Un jeune homme aux cheveux blancs et habillé en violet apparut, une bouteille d’eau à la main.

- Salut, Seika. Qu’....
- Prenez vos affaires, nous partons tout de suite, se pressa de dire la princesse de Yama, une cape de voyage et un sac en bandoulière sur elle.

Aussitôt dit, aussitôt fait, le jeune homme, d’abord stupéfait, tourna les talons et appela son colocataire aux cheveux et yeux oranges afin qu’ils préparent leur baluchon.
La princesse faisait les cents pas dehors en les attendant : les choses s’accéléraient. Il fallait donc se dépêcher pour réunir toute l’armée au plus vite.
Une fois les deux hommes prêts, ils sortirent de la maison et la suivirent. Ils se dirigèrent vers l’entrée du village. Au niveau de la grande porte, Seika se retourna et fit le signe du tigre. Une lumière les éblouie. Une fois que celle-ci eut disparu, les deux hommes étaient abasourdis : Un mur de plusieurs mètres de hauteur venait de remplacer la porte qu’ils venaient de franchir.
Seika fit comme si ce phénomène était normal. Puis, elle fit une série de signes et...

- Ninpo : Invocation.

Un grand cygne blanc tendit ses ailes, prêt à prendre son envol.

- Montez, nous allons vers notre base secrète. C’est l’heure du grand rassemblement.


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Konan avait atterri non loin du village et attendait son garde du corps, assise dos contre un arbre.

- Maître Konan, j’ai de très mauvaises nouvelles : Ame a été..., annonça Yaiba.

Il fut interrompu par un kunai qui venait de l’égorger.



J'espère que ça vous a plu !
J'ai coupé le récit de cette façon, histoire de vous donné l'eau à la bouche pour le prochain.

La suite bientôt

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