Fiction: Vacances à Kiri

Temari décide de prendre des vacances. Elle rencontre ce jeune homme...Son nom ? Shikamaru Il changera sa vie à tout jamais...
Romance | Mots: 1717 | Comments: 6 | Favs: 1
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TemaShikaPOWA (Féminin), le 20/03/2010
Ce n'est pas un excellent One-Shot, veuillez m'en excuser.



Chapitre 1: Vacances à Kiri



Il faisait chaud. C'était l'été. Elle gagnait bien sa vie, mais il était temps qu'elle prenne des vacances. Elle devait même appeler une agence de voyages.

Elle chercha son téléphone qu'elle posait toujours n'importe où après chaque utilisation.
« Merde ! Où je l'ai mis ? » pesta-elle.

Et après avoir mis son appartement sans dessus dessous, elle composa le numéro de son agence préférée où travaillait sa meilleure amie.
« Allô? Agence de vacances KAZE NO.Que puis-je pour vous?
-Tenten, c'est Temari.
-Temi ??? Tu te décides enfin à prendre des vacances ? hurla son amie.
-Eh !! Ouais!!
-Bon, je t'arrange tout ça en moins de deux ! Où veux-tu aller ? A Iwa, comme d'hab' ?
-Non. Cette fois, je voudrais aller à Kiri, répondit la blonde.
-Punaise, c'est loin !!! Mais j'ai entendu dire que l'océan était somptueux là-bas.Et en plus, ça te changera du désert. Bon, okey.Tu veux partir quand ? Et pour combien de temps ?
-Bah, le plus tôt possible et pour deux semaines, répondit rapidement la Sabaku no, excitée à l'idée de partir en voyage.
-Alors, dans deux jours, ça te va ?
-Ok, parfait !! »

Et après être partie pour payer son voyage et récupérer son billet d'avion, Temari revint, fatiguée et elle ne se fit pas prier pour aller se coucher.

Le lendemain, elle alla au centre commercial pour s'acheter des maillots de bain, puisqu'elle n'en avait pas car à Suna, il n'y a ni mer, ni océan.
Après s'être fait plaisir, Temari rentra pour préparer ses bagages.

Le jour du départ:
« Je crois que j'ai tout !! Bon, bah, c'est là qu'on se quitte, Tenten!
-Tu me raconteras tout, n'est-ce pas, ma petite Temi, commença Tenten, ne se retenant même pas pour verser des larmes.
-N'aie pas peur, on s'appellera tous les jours, ne l'oublie pas ! » s'exclama Temari, ne voulant faire pleurer sa meilleure amie davantage. Elle aussi était très émue, car les seuls moments où Tenten pleurait, c'était quand elle se séparait de son amie.

VOIX OFF: « A tous les passagers de l'appareil, nous traversons une zone de turbulences et nous vous prions de bien vouloir regagner vos sièges et d'attacher votre ceinture de sécurité. Merci.
-M'man, ça veut dire qu'on va mourir, sanglota un petit garçon âgé, certainement, de 7 ou 8 ans.
-Non, n'aie pas peur, le rassura sa mère en le prenant dans ses bras.
-La poisse », s'enquit Temari.

Quand, l'appareil se décida enfin à descendre et que Temari regagna l'aéroport de de la province Mushnikyo de Kiri, ce dernier était "surpeuplé"(mot signifiant ici pour Temari: Où grouillaient pleins de gens et que je ne voyais plus où je mettais mes pieds).
Elle n'arrivait plus à trouver la sortie et se sentait comme face à un casse-tête auquel elle essayait de trouver la solution.

Mais malheureusement (ou heureusement, car cette rencontre va modifier le cours de notre histoire), elle se cogna contre le torse d'un jeune homme. Elle le regarda de la tête aux pieds.
Brun, avec une haute queue de cheval, bizarre, et des yeux d'un noir profond.
« Vous n'auriez pas pu faire attention...galère, s'enquit le jeune.
-Si vous aussi vous aviez regardé où vous marchiez, on ne se serait pas bousculé, répondit Temari, du tac au tac.
-Pff...galère.
-Vous allez arrêter de répéter ça ? Bref.. ».dit Temari préférant abandonner que de perdre son temps.
Et elle tourna les talons et se dirigea vers la sortie, qu'elle venait de repérer.

Arrivée devant son l'hôtel, elle était exténuée. Elle descendit de son taxi et regarda l'enseigne: Kiri Perfection Palace*.
La Sabaku no entra et se dirigea vers le comptoir où se trouvait une hôtesse d'accueil.
« Oui ? Que puis-je pour vous? dit-elle d'une voix suraiguë.
-J'ai une réservation du nom de Temari Sabaku no.
-Oui, voilà votre clef. Votre chambre est la 321 et se trouve au 3eme étage ».

Temari prit la clef que lui tendait l'hôtesse et repéra l'ascenseur. Elle appuya sur le bouton et entra.
Mais à peine l'ascenseur commença à fermer ses portes, qu'un jeune homme entra en courant et la bouscula.
Ils étaient seuls dans cet ascenseur.Il lui tournait le dos, mais cala n'empêcha pas Temari de l'analyser.
Cheveux bruns attachés en une haute queue de cheval. C'était l'homme de l'aéroport qui venait, une fois de plus, de la bousculer.
« Eh!! On dit "pardon" quand on bouscule les gens, et en l'occurence quand c'est la 2nde fois.

Il se retourna.
-Ah, encore vous, espèce de furie! Comment osez-vous parler comme ça avec un homme -être supérieur à vous (mais il se garda bien de la rajouter)? Que faites-vous ici ?
-C'est un hôtel public à ce que je sache !
Mais déjà l'ascenseur arrivait au 3eme étage. Temari se dépêcha de sortir. Mais le brun sortait également.
-Pourquoi vous me suivez ? demanda sauvagement Temari.
-Je ne vous suis pas, ma chambre se trouve à cet étage. En face de la vôtre.
Non, il allait être son voisin de palier !
-Mais...comment vous pouvez savoir laquelle est ma chambre?
-Je vous ai entendu parler avec l'hôtesse », dit-il le plus simplement du monde.
Temari entra dans sa chambre et le brun ne tarda pas à l'imiter.

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Le lendemain, en se réveillant, Temari pensa que se journée allait être superbe.
Elle se leva avec hâte, rentra dans sa salle de bain et se doucha.
Ce que ça fait du bien, pensa-t-elle.
Elle revint dans sa chambre, enfila un petit short vert et un T-shirt, également vert. Il était 9h43.
Elle prit sa clef et sortit, se retrouvant dans le couloir.


Comme par hasard, son voisin de palier sortit au moment qu'elle.
« Bonjour, je m'appelle Shikamaru Nara. Et vous, c'est Temari Sabaku no, si je ne me trompe pas.
-Comment ? A, oui, vous avez entendu (ou écouté) ma conversation avec l'hôtesse, hier.
-Exact. J'ai 23 ans et je suis psychologue. Et vous ? demanda-t-il.
Temari pensa qu'il n'était certainement pas quelqu'un de bien mauvais et lui répondit.
-J'ai 23 ans également et je travaille dans la mode ».

Ils descendirent les grands escaliers princiers de l'hôtel (ne me demandez pas pourquoi ils ne prennent pas l'ascenseur, je n'étais pas là-vas), et arrivèrent dans l'étage où se déroulait le petit-déjeuner.
C'était un endroit très spacieux, mais toujours dans le même style antique et les meubles ne tardèrent pas à recevoir une critique de la part de la Sabaku no.
« Vieux, vieux, vieux .Tout est vieux et moche ici. »
Shikamaru sourit à cette remarque en pensant que Temari avait les mêmes goûts que lui.

Ils ne parlèrent pas beaucoup au petit-déjeuner.
« Vous connaissez quelqu'un ici ? lança le brun.
-Non, et vous ?
-Non, plus.
-Excusez-moi, à présent je dois m'en aller.
-Okey. »

Et Temari se leva, remonta -cette fois par l'ascenseur- dans sa chambre et prépara ses affaires pour aller à la plage. Crème solaire, serviettes, livre, lunettes et habits de rechange. Elle enfila son maillot et partit, non sans prendre sa clef.

Elle marchait dans une grande allée, parallèle à la plage, elle tourna à gauche et aperçu l'océan d'un bleu magnifique. Installée sur la plage presque vide (je ne sais pas non plus pourquoi), Temari étala de la crème solaire sur tout son corps, puis commença à lire son livre :
Nuages pour le bonheur de Tsunade Hiroyaka . Mais elle ne tarda pas à s'endormir face à cet océan si pur, si beau. Il s'étendait jusqu'à l'horizon et nul n'aurait pu affirmer qu'il prenait fin.
Mais Temari, elle ne rêvait pas d'un océan somptueux, mais d'un beau jeune homme. Brun, avec une queue de cheval haute et des yeux noirs. Shikamaru !!
Elle sursauta. Pourquoi rêvait-elle de lui ? Elle ne le connaissait que depuis hier. Pour se changer les idées, elle se leva, marcha vers l'eau et y mouilla ses pieds pour entrer. Elle était gelée ! Elle voulut retourner sur la plage, quand quelqu'un, dans son dos, la mouilla.
Elle le regarda, c'était ce Nara.
Et ils commencèrent à s'envoyer de l'eau, ils rentrèrent dans les eaux plus profondes, toujours comme des gamins. Si bien, que c'est que quand il commença à faire sombre, qu'ils décidèrent d'arrêter.

Revenu sur la plage, Shikamaru, très fatigué, se coucha sur le sable. Il allait dormir ici, ce soir.
Temari le regarda. Il était tellement mignon qu'elle décida de ne pas le laisser seul et s'installa, elle aussi.
Tous deux rêvaient de la même chose.
Ils se voyaient, en train de s'embrasser. Ils étaient comme deux enfants éperdument amoureux.
Ais c'est Temari qui se sépara, la première, des bras de Morphée. Il était toujours là, couché sur le sable.
Mais elle ne put s'empêcher de crier.
« Shikamaru !!!! Réveille-toi !!!
-Oui, maman, répondit le brun, toujours endormi.

Il se redressa, les yeux clos. Temari pensa que sa mère était certainement très sévère avec lui.
Elle le prit d'une main et l'entraîna dans l'eau et là.
Splach ! Elle lui envoya de l'eau en pleine figure ( ou plein visage, si vous préférez).

« Tu vas me le payer !! »
Et commença une course-poursuite, qui entraîna Temari et Shikamaru à être d'excellents arroseurs.

Shikamaru saisit Temari par la taille et l'entra dans les eaux profondes.
Elle ne ressortait pas. Il crut d'abord qu'elle le faisait exprès mais après quelques minutes, il paniqua. Le Nara plongea et l'attrapa.
Il courut avec hâte jusqu'à la plage. Mais vous savez très bien que dans l'eau, on ne court que très lentement et il ne pouvait nager avec elle, accrochée à son épaule.

Enfin, arrivé à la plage, il s'arrêta quelques instants pour reprendre son souffle et se remit à courir (comme un dingue) jusqu'à l'hôpital le plus proche. Ils traînait dans les rues, en demandant le chemin, mais heureusement que les gens étaient bien informés, car il le trouva en peu de temps.

Heureusement encore que la salle d'attente était vide et que les médecins prirent Temari en charge immédiatement.

Shikamaru attendit deux heures (les pires de sa vie), quand le Dr arriva et lui apprit qu'il pouvait la voir, qu'elle allait bien.
Il entra, sans même toquer.

« Tu m'as fait peur, femme galère.
-Moi aussi, je t'aime. »

Et ils s'embrassèrent amoureusement...



Alors ? Avez-vous aimez ? Je n'ai pas beaucoup d'imagination.



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