Fiction: SexyBack

Après un silence interminable...Elle Revient, plus en forme que jamais...
Humour | Mots: 3918 | Comments: 9 | Favs: 11
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potatos (Féminin), le 12/03/2010
Elle vous a manqué?
Et bah, la revoila!
Sexitachette est de retour!
Pour les incultes, Sexyback est la suite des aventures de Sexitachette. Je vous conseille d'aller lire vite fait les petits chapitres de la première saison pour bien comprendre la suite x)

Enjoy *o*




Chapitre 1: Sexy is back!




~~Voix Off~~


Après des mois de silence
*enfile un gant de cuisine*
…après des semaines de souffrance
* serre son carré hermès sur sa tête*
…après des jours entiers d’esclavage
* serre son tablier à carreau rouge et blanc d’une marque discount…snif*
…après des minutes d’agonie et de douleur !
* prend la plaque du four encore brulante d’un air déterminé !*
Elle revient ! Sexitachette is back !
* pose avec force la plaque sur la table de préparation et se tourne vers la voix off, qui n’est autre que Zetsu qui n’avait apparemment rien de mieux à faire aujourd’hui, comme tous les jours d’ailleurs…*

- Fait péter la sauce mon poulet !
- Euh Sexitachette, tu te rends compte à quel point tes propos pourraient être mal interprétés hors contexte ?
- J’te dis de m’passer l’ketchup ! Si Deidara a pas son ketchup il va encore me balancer mes nuggets à la figure, t’imagine pas combien y’a de graisse sur ces p’tits bouts de viande, une goutte sur mon carré hermès et j’peux lui dire adieux !… Aaaaaaaaah !!!
- Quoi ?? Tu t’es brulé ?
- Aaah ahahahaha !!! J’viens de comprendre le sous-entendu de tout à l’heure !! Alala, j’aurais dû dire passe moi la sauce blanche ça aurait été encore plus rigolo ! Ahahahahaha !
- … C’est bien de rire à ses propres blagues… c’est bien…

Bonjour à tous, maintenant que j’ai fait dégager la voix off de mes deux, je vais pouvoir me présenter pour ceux qui ne me connaissent pas encore ! Mon nom est Itachi Uchiwa… Enfin, mon ‘nom’ officiel. Mon vrai nom, c’est Sexitachette, et oui, vous l’avez deviné, je suis la desperate housewife de l’Akatsuki. Pour différentes raisons j’ai dû cacher mon vrai sexe aux membres de ma famille, me faisant ainsi passer pour un homme, jusqu’à ma venue à l’Akatsuki, la croix rouge !

A l’époque, je pensais : à moi la belle vie ! À moi les vernis violets moches, les manteaux Prada à nuages rouges, les bagues hors de prix, les chapeaux à PQ (oui j’ai un petit faible pour le chapeau a PQ rose) et le mascara waterproof ! Sauf que voilà, ce jour là, tout allait changer, à cause de notre mascotte, une plantureuse blonde à forte poitrine, avec des jambes qui font presque ma taille (1m58 je vous le rappelle… ou pas), et qui ne parle pas un mot de français. Je parle bien sur d’Adrienne ! (Voir chapitre précédent pour les incultes !)
Pour une fois tout se passait bien à l’heure du repas. Seul Kisame, mon amour d’homme thon, manquait à l’appel, et pour cause, il devait aller chercher le linge qui séchait dehors. C’est quand il revint que le drame se déroula.

- Vite ! Il faut partir ! Nous sommes repérés !!! Cria-t-il l’air un peu affolé.
- Holà, du calme moussaillon, fit Pein (Mais d’où il sort le moussaillon, on n’est pas dans un bateau ici !).
- C’est quoi le problème cette fois ? Ta copine ne peut pas aller faire un Genjutsu ? Comme la dernière fois quand Sasori a débarqué en carrosse ? Fit Kakuzu de mauvaise humeur, c'est-à-dire comme d’habitude.
- Non, cette fois… c’est irréparable ! C’est à cause de la blonde !
- Adrienne ? Fit Zetsu très intéressé par le sujet tout à coup (tiens tiens !), mais qu’a-t-elle bien pu faire ? Une personne si fragile, si…
- Arrête de rêvasser Zetsu elle t’a foutu 5 râteaux en une journée la semaine dernière, ça t’as pas suffit ?
- Laissez Kisame parler enfin… fit Sasori désespéré.
- Bah…comme d’habitude c’est elle qui va chercher le linge… elle a dû ramener tous les pervers de la région… donc quand c’est moi qui y est allé… avec mon manteau bien sûr…bah je suis tombé sur 36 mecs en train de baver et de se tripoter devant l’étendoir à linge.
- Oh mon dieu ! Fit Pein. Ne me dis pas que…IL…était là !?
- Bien sûr que si ! Vous ne pensez pas que le plus grand pervers de tous les temps manquerait un spectacle pareil ! Mais le pire… c’est qu’il était accompagné de son élève favori…
- Non… pas LUI !
- Si, LUI !!
- Non pas EUX ! Il faut déménager de suite ! Nous sommes découverts !
- Houlà attendez deux minutes là ! Fis-je un peu perdue.
- Ouais, fit Deidara qui n’avait pas encore parlé depuis le début, attendez une peu, laissez-moi finir mon assiette et je fais mes valises.
- … Sale goinfre. Mais, qui sont-ils ?
- Bah, c’est évidement Jiraya et Naruto, deux ninjas de Konoha !
- Ah… Mais, on est pas censé capturer Naruto ? C’est pas genre, le mec dont on a besoin pour éradiquer la pauvreté dans le tiers monde ?
- Euh, si… répondit Pein.
- Et on est pas genre 8 ou 9 contre 2 ?
- Euh… si, réfléchit Pein.
- …
- Faut déménager ! Crièrent les hommes tous en cœur.


C’est ainsi que, tous en cœur, les hommes se mirent à déplacer tous nos meubles, nos fringues, nos appareils électroménagers, leur salle de jeux, les plantes de Sasori, tout ça dans la planque bis, situé… 200m plus loin.
Evidement, un imbécile à mèche blonde a eu l’excellente idée de laisser la blondasse et Kisame à l’intérieur de notre ancienne planque, seuls, tous les deux, sans caméra infrarouge pour les surveiller. J’ai dû serer mon p’tit homme poisson dans mes bras pendant presque une heure tellement il pleurait de devoir me quitter… tu parles !

Après le déménagement fini, nous étions deux, moi et Zetsu, dans ma chambre sur le lit, à déprimer comme des gens déprimés (normal hein) en regardant Grey’s anatomy à la télé (la fin de la saison 5, pour bien déprimer comme il faut évidement !) avec un pot XXL de Haagen daas (macadamia nuts brittle évidement, pour bien se réconforter).

- Zetsu, j’ai peur. Et si-
- Tout homme normalement constitué ne résisterait pas à plus d’une dizaine de minute en sa compagnie sans avoir envie de lui sauter dessus.
- Ce n’est pas parce que t’as eu la gaule non stop pendant une semaine que tous les hommes sont comme toi. Puis Kisame est différent…
- En quoi est-il si différent ?
- Bah, ça se voit non ? C’est un requin…
- Et la libido des requins est si différente que celle des hommes ? Puis, c’est pas du jeu, c’est un mi homme mi requin, pas qu’un requin. Il faudrait faire un mix de ses deux libidos, les additionner et les diviser par deux-
- Ecoute là tu m’as perdue, moi et les maths… mais il va rester là bas pour toujours s’il faut…oh…
- Hey, pleure pas pour ça, tu en trouveras un autre homme qui ne pensera rien qu’à toi, tu sais, un vieil ami à qui tu dis tout, avec qui tu rigoles, avec qui tu déprimes devant Grey’s anatomy…
- Mais j’ai déjà tenté une approche avec Sasori, rien n’y fait… s’il était un peu plus comme toi, plus attentif, plus facile… bah, qu’est qui y’a Zetsu, t’as l’air encore plus déprimé qu’il y a 5 minutes ! C’est Meredith qui te fait cet effet ?
- Laisse tomber, il me faut un truc pour me remonter le moral là. Qu’est ce que tu fais toi quand t’as vraiment le moral à zéro et que t’en peux plus de cette glace trop sucrée ?
- …


C’est ainsi qu’on s’est retrouvé tous les deux devant mes magasins préférés. La carte bleue du chef à la main, j’étais bien décidé à me changer les idées, et celle de Zetsu aussi. Mais après Prada et Zara, son expression de blasé de la vie n’avait pas changé d’un pouce. C’est là que j’ai eu une idée de génie…

- Alors, il te plait celui-là ?
- Ah… c’est merveilleux !! Je ne savais pas que le paradis existait avant ça !

Et oui, j’étais sûre que Zetsu aimerait la lingerie.
En le laissant le nez dans les soutiers gorges, je commençais à flâner entre les rayons. C’est là que j’ai eu le coup de foudre. Le mannequin en plein milieu de la boutique était tout simplement sublime ! Une guêpière noire et bleue nuit, avec des bas noirs fins et raffinés… des jarretelles en dentelle.

- Waah, fit Zetsu, j’vois une fille comme ça, j’en tombe raide dingue, comme si c’était Adrienne !
- … Mais bien sûr !
- Quoi ? Tu ne vas pas…
- Si ! C’est ma taille, je la prends !
- Mais… tu ne veux pas l’essayer d’abord ? Que je te dise si ça te va bien ou non…
- Pas le temps pour ça ! J’ai mon homme à sauver !
- C’est plutôt tes fesses que t’essaye de sauver…
- Hey, t’en connais beaucoup des femmes qui sauvent leur cul dans cette tenue peut être !
- Oui, des pluripathé-
- Je vais faire comme si je ne t’avais pas posé la question !


De retour à notre nouvelle planque, je m’enferme dans la salle de bain et me mets à essayer mes trouvailles…
La guêpière était parfaite, les bas aussi, tout m’allait parfaitement, mais à peine je fis un pas que les bas tombèrent ! (C’est peut être pour ça qu’on appelle ça un bas, parce que c’est fait pour tomber… en bas). Il faut appeler les jarretelles à la rescousse !
Sauf que voila, y’a un truc que j’avais pas prévu. Comment on attache ça ? J’veux dire, c’est quand même pas évident…y’a pas de trou sur les bas. Faut en faire ? Puis c’est pas des trucs qui se clapsent, y’a un truc en caoutchouc j’crois et un truc en métal au dessus…
Et évidement comme c’est mon jour de chance, c’est pile au moment où j’avais une pause un peu ridicule en train de me demander si il fallait forcer avoir fait des études supérieures pour savoir attacher son bas à sa jarretelles que Konan décida de tirer la chasse et de sortir des toilettes…Sur le coup, j’avais une pause des plus ridicules sur terre : le pied posé sur le bidet, la tête dans le genre : mais c’est quoi ce bidule, comment ça marche ? J’ai tourné doucement la tête, comme prête à recevoir la sentence divine… Et là, surprise. Konan, notre amie Pétunia, que je n’ai jamais vu sourire de ma vie entière passé ici, cette Pétunia même à qui j’ai longuement fait chanter tous les classiques de Claude François en la faisait danser comme une Claudette (alala, qu’est ce que c’était trop de la voir danser Bélinda !), elle a sourit.
Elle s’est même carrément jetée sur moi, enfin sur mes bas plus précisément. Je vous jure, j’ai vu des étoiles dans ces yeux, limite une constellation (genre la grande ourse).

- Itachette, il faut que je te révèle mon grand secret, me dit-elle après de longue minute de contemplation de mes jambes.
- Ouiii ? Fis-je. Pourvu que ça s’arrête, pourvu que ça s’arrête…

C’est là qu’elle enleva son manteau.

Quelle horreur, je vous préviens, la scène qui va suivre est interdite au moins de…interdite. Personne ne devrait supporter ça !
Je pensais que la lingerie sexy révélait le côté majestueux de la femme (ou coquin comme vous voulez). Je me trompais, y’a aussi le coté rôti de veau ficelé qui ressort. C’est avec une grande fierté qu’elle me montra ses bas résilles et sa guêpière rose. Heureusement, j’avais un évier à côté.

Quoi qu’il en soit, elle me fit promettre de garder son secret, et en échange, m’apprit à ne plus faire tomber mes bas. J’aurai mieux fait de faire bac +2.

Mais maintenant, je suis fin prête à aller défier les éléments, les catastrophes naturelles, la faim dans le monde et même la reine d’Angleterre, mes talons aiguilles les feront tous plier, car aujourd’hui, je suis plus Sexitachette que jamais !

Adrienne, gare à tes fesses, parce qu’elles vont se prendre un 37 et demi dans pas longtemps !

~~Voix off again~~

Et d’un pas décidé, quoi qu’un peu tremblotant… je t’avais dis de pas prendre des talons de 10 cm pour marcher sur des cailloux !
- Roh Zetsu tu t’es vu avec ta tronche de broyeur sur la tête en bicolore ? Alors, tu la fermes !
- Oui oui Sexitachette je n’ai rien dit… Hum… Et d’un pas décidé, la belle Sexitachette s’avança lentement mais surement vers son dernier combat, celui pour l’amour de sa vie !
- Ouais là t’en fais un peu trop, ça fait genre film américain, pour un coup de pied au cul quand même…
- On rajoutera de effets spéciaux t’inquiète pas.
- Bon d’accord.

Prochain épisode : Retour à la maison !




Bon ok le debut est pas trop cohérent, on met pas ses gants de cuisine avant d'attacher son carré hermès, maiiiis

OSEF!

Comment please x)




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