Fiction: Et si Masashi Kishimoto m'avait laissé écrire les naruto shippuden

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C’était la fin de l’après-midi, Gaara avait décidé de visiter Konoha. Ou plutôt Kankuro lui avait dit que s’il ne le faisait pas il allait se faire broyer par Temari qui ne souhaitait plus que le frapper jusqu’à ce que mort s’en suive. Il n’avait pas vraiment peur d’elle mais, il voulait prendre l’air. Il quitta donc les appartements que l’Hokage lui avait proposé pour toute la durée de son voyage et se rendit dans les rues du village les plus fréquentées. Il n’avait pas revêtu sa tenue de Kazegake, de ce fait peu de gens le reconnaissaient. Alors qu’il avançait dans un anonymat presque complet, ses pensées allaient et venaient. Il pensait au climat doux du pays du feu en se rappelant le climat sec et aride du désert. Il se disait que malgré leur alliance le village de Konoha et de Suna n’avait rien en commun : les bâtiments ici étaient gris ceux de Suna dorés, les rues sentaient les udon, les dangos alors que dans son village personne ne possédait de terre assez humide pour faire pousser du riz… Konoha était bien plus prospère que Suna, malgré cela Gaara commençait à regretter son village. Et le pire de tout c’est que rien ne lui rappelait son pays natal, rien à part la tête du type qu’il venait croiser dont la forme ressemblait à une forme d’ananas … Ah ! Il fit marche arrière et s’approcha tout en contemplant la coiffure du jeune homme. Puis il semblait qui le reconnaissait. Mais oui ! C’est …
« Akamaru ? 
- Hein ? Oh ! Gaara. Que fais-tu là ? »
Il ne lui répondit pas mais, le tira par le bras en direction du bâtiment de l’Hokage avait un sourire béat. Il l’avait trouvé ! Lui et sa tête d’ananas qui lui rappelaient Suna et qu’il aimait bien. 


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Lee:

Je me rappelais les paroles de mon sensei " Bon écoute, un jour tu trouveras la solution toi-même en attendant, cherche ! " C'était bien la première fois que mon idole avait prononcé une phrase aussi ambigüe ! J’avais beau réfléchir, je ne suis pas quelqu'un de mauvaise foi, mais là, j’abandonnais. 
Gaï-sensei m’avais dit de chercher la solution par moi-même. Les derniers rayons du soleil disparaissaient et je n'avais toujours pas trouvé. Je m’assis donc sur un tronc d'arbre face à l'étang, et je me mis à faire des ricochets. Je réfléchissais encore et encore. Pourquoi ? N'y a-t-il pas quelqu'un dans ce monde qui voulait de moi ? Sensei avait répondu tellement vite quand j’ai voulu lui parler de mes problèmes … même lui abandonnait à supporter un boulet tel que moi. Je m’assis là et j'attendais que quelque chose me pousse à rentrer chez moi.

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Sakura :

Il se faisait tard, j’allais finir mon travail à l’hôpital, ça n’avait pas été une journée très agitée, mais malgré tout j’étais épuisée. J’étais en train d’enlever mes gants tout en traversant le couloir principal quand Hiashi poussa la porte avec Hanabi qui se débattait dans ses bras elle semblait vouloir crier mais il tenait fermement sa main sur sa bouche.
Il était rare de voir le chef de la famille Hyuga, j’ai compris tout de suite que quelque chose n’allait pas. Il regardait un peu partout puis il me vit. Il vint vers moi, j’avais fini mon service mais je voulais l’aider, je remettais mes gants et attendit qu’il soit devant moi. Sa fille s’agitait dans ses bras et je crus même qu’elle lui avait donné un coup de coude dans les côtes. 
« J’aurais besoin d’une infirmière qui sache garder un secret.
- Oui ! Bien sûr suivez-moi » 
Qu’est-ce qu’il m’a prit d’accepter ?! Tout le monde sait que la famille Hyuga est une sorte de mafia à la Kishimoto ! Non ? ( ou l’auteur n’a pas tout comprit ) Quand le chef de famille cherche quelqu’un qui sait garder un secret tout le monde est sensé faire comme s'il n’avait rien entendu. Je les fis entrer dans une porte adjacente et la ferma aussitôt. Hiashi posa sa fille sur le fauteuil et alla regarder à travers les stores descendus. Hanabi s’était calmée elle attendait patiemment que quelque chose se passe.
« Que se passe-t-il ? » demandai-je. Hiashi m’expliquait que depuis quelques temps sa fille se comportait bizarrement, qu’elle parlait de gouverner le monde, et autres choses totalement folles. Voyant qu’il était mal à l’aise et exténué je le rassurais en lui disant qu’il avait certainement mal compris les propos de sa fille. Car, après tout elle arrivait à l’âge où il est difficile d’exprimer ce qu’on ressent. Ce que je lui dis parut l’apaiser et il accepta de me laisser seule avec Hanabi.
Une fois son père parti j’étais plutôt heureuse d’aider une adolescente qui avait des difficultés avec son père, je me disais qu’après ça elle viendrait peut-être me confier tout ses secrets, elle serait peut-être la sœur que je n’ai jamais eue. Mais, je n’ai pas eu le temps de me retourner que …
« Toi, la fille aux cheveux roses, tu seras mon esclave, tu laveras mes vêtements, et estime toi heureuse, car tu aurais pu subir le même sort que Neji. L’abruti ! Il a agi exactement comme je l’avais imaginé, ahahah ! Et maintenant à moi la tête de la famille Hyuga !! Bien sûr il y a Hinata, il faut veiller à ce qu’elle ne se mette pas en travers de mon chemin, il faudrait peut-être que je pense à la bâillonner, et à l’enfermer dans la cave, et à bloquer la trappe. Mais du genre infiniment. Et Hiashi, peut être que je le gracierai mais peut être pas, je pourrais le faire disparaître de la mémoire des gens le plonger dans l’anonymat. Dis tu ne connaîtrais pas un jutsu capable d’endormir quelqu’un pour toujours ? En lui faisant faire des cauchemars ? Il faudra aussi que je m’occupe de l’Hokage ensuite je me suis déjà occupé de son porc de compagnie, je pense à un exil qui l’emmènerait loin ou peut être … »
Qu’est-ce que je fais là ? Elle n’est pas sérieuse ? Et qu’a-t-elle fait à Neji ? Et à Tonton ? Où est Hiashi ?

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Lee :

Il était perdu dans ses pensées énumérant tout ses défauts et se décourageant de lui-même.
C'est alors qu'il n'avait pas remarqué qu'une grenouille curieuse, se rapprochait de lui. La combinaison de la sauterelle de Konoha hypnotisa la petite bête. La grenouille était comme absorbée par la tenue verte. Et quand Lee tourna la tête remarquant qu'elle était là, elle effectua un petit saut et se posa sur son épaule. Lee ne réagit pas tout de suite puis il caressa la rainette. Elle ne bougeait pas, au contraire elle semblait apprécier le contact du ninja, croassant comme si elle tentait de lui dire quelque chose. Lee lui demanda ce qu’elle faisait là avec quelqu’un dont personne ne veut. 
Et puis il se dit que Dieu avait peut-être entendu ses prières …


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Il faisait nuit quand Tenten et Ino arrivèrent à l’endroit où la ninja brune voulait emmener son amie. Elles avaient traversé la forêt et étaient arrivées sur un terrain qui aurait pu être un terrain vague, mais devant elles, se tenait une énorme montagne d’armes blanches, des kunaïs amassés et qui tenaient uniquement par des restes de murs autour. Il devait y en avoir pas moins de mille six cents. 
« Mais … Tenten qu’est-ce que …
- Anko a entretenu mon ancien bâtiment d’échauffement.
- Attends, c’est toi qui l’as mis dans cet état !?
- Oh, tu sais avec mes deux équipiers ça va très vite 
- Qu’allons-nous faire maintenant ?
- La meilleure défense, c’est l’attaque ! »
Devant autant de sang froid et de charisme dont faisait preuve Tenten, la blonde la suivit sans prononcer un mot de plus.

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Shizune :

Mais, où est ce cochon ? « Tonton ! » Rien à faire, il ne me répond pas, je l’ai cherché dans tout le village et même dans les environs. Cette clairière était ma dernière chance. Tsunade va me tuer ! Et Kiba qui aurait soit disant fugué après être allé à un rendez-vous avec une fille. Ses ados et leurs hormones, jamais là quand on en a besoin ! Hé mais attend ! … C’est peut-être ça la solution. Oui quelqu’un aurait très bien pu enlever Kiba et Tonton. Pourquoi ? Dans quel but ? Les manger ! Non … ou bien … c’est une déclaration de guerre, voilà une déclaration de guerre envers Konoha. Et en plus il les retient en otage ! Mais qui aurait pu faire ça ? Un village ? Non quelqu’un de seul et de terriblement maléfique … Orochimaru ! C’est ça ! Je vais tout de suite le dire à Tsunade comme ça, elle lui refera la façade à ce … 

Tiens, que fait Kurenaï devant ce ruisseau avec ces drôles de types ? Et puis c’est quoi ces plantes en forme d’étoiles toutes vertes qu’elle leur montre. Mais … elle deal ! (O_o). Et pas qu'avec du pavot! Il faut que je le signale à l’Hokage.

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