Fiction: Et si Masashi Kishimoto m'avait laissé écrire les naruto shippuden

Un peu d'humour dans les fanfics: quiproquos, mal-entendus, actions incomprises ... et si les personnages étaient soumis à ce genre de situations!? Allez clique ;).
Humour | Mots: 10586 | Comments: 6 | Favs: 10
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Noa_ (Féminin), le 28/06/2010
Je l'ai fait ! J'espère vraiment que ça vous plaira en espérant ne pas vous avoir choqué par le titre. J'ai mis cette fiction dans la catégorie Drame/Humour... ahah quelle antithèse mais il faut l'avouer des fois le malheur des uns fait rire les autres! J'aurais pu la mettre dans d'autres genres, même moi je ne sais pas qu'elle direction elle va prendre. Je ne vous promet pas de suite, et pour ceux qu'ils l'avaient déjà vu, oui je la reposte. Améliorée bien sur. Merci.



Chapitre 6: Les Hokages et ceux qui aspirent à le devenir, sont des gens respectables ...



Tsunade se levait. Son mal de crane ne lui faisait plus rien car elle avait pris l'habitude de boire .... Encore une journée à passer comme Hokage. Mais qu'attend Naruto pour devenir fort? ( c'est vrai, qu'est-ce qu'il attend? ). Elle qui avait perdu confiance en toute personne, sauf Tonton, bien sûr ce ne serait pas demain que Tonton la trahirait. C'est ce qu'elle pensait.

Mais, elle attendait Naruto, de le voir plus grand, de le voir plus fort. C'est sûr qu'il deviendra Hokage, mais quand? Le plus tôt serait le mieux et pour lui et pour elle. Il devait s'être donné à fond pendant ces deux années, il a dû travailler encore plus que Sakura. Elle savait. Tout le monde le savait, personne n'en doutait. Naruto serait le prochain Hokage et il sera aussi fort que le quatrième.

Elle déjeunait, s'habillait, et sortait de chez elle. Quel quotidien ! Pensait-elle. Mais alors qu'elle se dirigeait vers son bureau elle vit le héros blond au milieu de la rue. Il avait les mains derrière la tête et souriait à pleines dents. Il avait gardé cette habitude, en faite il n'avait pas beaucoup changé. Il était seulement plus grand et une certaine maturité se creusait dans ses traits qui autrefois étaient enfantin. Elle s'approchait un peu plus et vit qu'il regardait Konohamaru qui était sortit de l'hôpital sans son autorisation quand il avait entendu dire que Naruto était rentré ... Heureusement qu'il n'y en a plus qu'un à gérer comme ça. Naruto parlait.
" Konohamaru, je sais bien que tu fais de ton mieux pour arriver à mon niveau, mais avec l'entrainement que j'ai suivi c'est impossible pour toi de m'égaler à présent. Après tout, je suis le prochain Hokage de ce village ..."
Elle riait intérieurement, à croire que cet entraînement dit " intensif " par Jiraya n'a pas taché sa détermination. Mais s'il savait a quel point être Hokage est ennuyant ... Laissons lui la surprise.

Elle s'apprêtait à repartir quand elle le vit formé des sceaux avec ses mains, un justu. Elle le regardait, qu'allait-il nous sortir cette fois-ci?
" Sexysexyméta!
- ...
- Génial, Naruto nii-chan, dit Konohamaru alors qu'il venait de subir une grosse hémorragie interne du nez."
Elle allait le frapper.
"Héhé qu'est-ce t'en pense, j'ai revu la taille de la poitrine ils sont aussi gros que ceux de Tsunade la vieil-
- NARUTOOO! "
Elle le frappa, mais Naruto ne lui suffit pas il fallut taper Konohamaru avec. Ils se retrouvèrent propulsés dans la forêt de Konoha. Par les airs? Non non non, ils traversèrent tous les murs qui osèrent se dresser devant eux. Tsunade fit une explication rapide aux habitants qui se retrouvaient avec un trou dans leurs maisons et qui n'avait rien suivi à la scène. Puis elle reprit le chemin de son bureau.


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Shino:


" Saluuuuuut petite araignée. Si petite, si poilue et si détestée. Oui c'est ça, viens dans ma main, c'est bien! Raconte-moi petite araignée, ... tiens je vais t'appeler Mayuko. Raconte-moi Mayuko comment les filles te détruisent les tympans quand tu veux leur dire bonjour, comment ta toile sur laquelle tu mets t'en de temps à fabriquer se retrouve arrachée, comment en te promenant, tu as tout le temps peur qu'une chaussure t'attaque et t'écrase, raconte-moi ... Il faut le dire aussi Mayuko avec ces quatre paires de pattes et ton unique œil, qui quand on le regarde nous fait croire que tu en as vingt, et tes poils! Mayuko tu es moche! Mais je t'excuse, tout le monde n'a pas la chance d'être né coccinelle ou papillon. N'est-ce pas? Aller sèche tes larmes, deviens plus forte, et arrête de pleurer devant moi parce que tu vois petite Mayuko, TU N'ES PAS UN INSECTE!! "
Je lui sautais dessus aussi cruellement que sur la coccinelle. " Tiens, mange! "


L'auteur demande une minute de silence pour Mayuko ...


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Ino:


" Viens! " Ca fait cinq minutes qu'on court, mais où Tenten veut-elle m'emmener?

" Tiens, il y a des trous dans les maisons ... Que s'est-il passé?
- T'es pas au courant? Il parait que ce matin Naruto a demandé à Tsunade qui de elle ou de son nouveau justu pervers avait les plus gros seins.
- QUOI? Mais il est malade. Et l'Hokage a autre chose à faire que de répondre à ça, j'hallucine!
- C'est pas étonnant de la part de Naruto, c'est un garçon, ne l'oublie pas. Et les garçons, c'est nul!
- Oui ils sont nuls!
- ...
- ...
- Tu ne m'as pas dit, comment ça s'est passé ton rendez-vous avec Kiba?
- Il est pas venu ...
- ... Tu ne l'as pas revu depuis?
- Non, et si je le revois je vais le frapper lui et Akamaru jusqu'à que mort s'en suive. "
Tenten me fit un grand sourire. Ca me consolait un peu. D'autant plus qu'apparemment personne n'a revu Kiba depuis ce soir. C'est pitoyable, faire mentir sa soeur et Hinata pour éviter d'assumer. Si je le vois, je ... grrr.

Les portes de Konoha étaient maintenant derrière nous, on allait foncer par un chemin quand on vit Shino au beau milieu en train d'écraser toutes les araignées qui passaient. On s'arrêtait.
" J'hallucine!
- Qu'est-ce que tu fais Baka! Quand c'est pas les filles c'est les insectes que les garçons torturent?
- Ce ne sont PAS des insectes! "
Il disait ça en s'acharnant sur la pauvre bestiole, je le regardais effrayée. Tenten me ramena à la réalité en me tirant le bras.
" Viens, il faut faire quelque chose! "


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Les trois de Suna étaient arrivés à Konoha ... Ils se tenaient à présent dans le bureau de Tsunade où un silence régnait, même Shizune n'osait pas parler. Il faut dire avec cette menace de guerre de la part du pays des eaux, qui devenait de plus en plus certaine, il ne fallait pas faire de gaffes avec les alliés.
" Qu'est-ce que je fais là? " pensait Temari, " Où est la sortie? " se demandait Kankuro ...

Puis le silence fut brisé.
" Quand est-ce qu'on mange?
- ...
- Hein? "
Ainsi Le très grand Kazekage de Suna avait parlé.
" Hum hum ... et bien quand vous m'aurez expliqué comment vous êtes arrivés aussi vite à Konoha. Le voyage était si paisible que ça?
- Eh bien euh ... ?o_O?
- Ah, ça! C'est Noah elle avait tellement plus d'imagination au bout de deux jours passés sans nous, elle avait besoin du très grand Kazekage de Suna pour le bon déroulement de la fiction! Et puis elle me dit de vous dire que si elle avait écrit les Naruto Shippuden elle aurait inventé une ligne ferroviaire entre Suna et Konoha.
- ...
- Dites, de quoi il parle là?
- Ca lui prend depuis quelque temps. Temari et moi on pense qu'il se met à communiquer avec Shukaku ... ou alors il devient totalement schizophrène. Il faut mieux ne pas le contre dire, ça pourrait être dangereux. Chuchota Kankuro.
- ... Bon, et pourquoi le très grand Kazekage de Suna est-il ici?
- Il nous fallait renforcer l'alliance, et beh voilà ...
- C'est la fin!
- Que dis-tu Kankuro?
- Euh ... non rien.

Tous les regards qui étaient posés sur Kankuro revenait sur Gaara.
" Je donne la main de ma soeur à un homme de Konoha, n'importe lequel.
- QUOIII!? "
Shizune et Kankuro rattrapèrent Temari qui essayait de tuer Gaara qui lui avait un sourire béat. Tsunade pensait que ce n'était pas une mauvaise idée, après tout Temari était quelqu'un d'important pour Suna.
" Tu étais au courant, sale marionnettiste à la con, je vais vous frapper!
- Calme toi Temari, tu me l'as dit toi-même, contredire Gaara pourrait faire sortir Ichibi. "


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Les deux supers méchants :

Ils marchaient à une allure lente vers le village d'armes. Levant à peine le pied laissant entendre le bruit de leurs pas pesants sur le sol. Derrière eux régnait une atmosphère angoissante comme si après leur passage plus personne n’allait jamais rire. De loin, on aurait dit deux ombres des enfers qui avançaient dans un but précis et qui emmener avec elles la vie. Leurs bandeaux attestaient qu’ils avaient été ninjas, l’entaille au milieu laisser supposer qu’ils avaient renié ce titre. Qui étaient-ils ? Des traites ? Des renégats ?
Samehada la grande épée à dents enroulé dans un bandage taché de sang et poussiéreux était posée sur l'épaule de Kisame. Il se contentait d’avancer et de suivre le rythme de son équipier dévisageant occasionnellement certains passants qui les croisaient. Sa peau bleu grisée n’avait aucuns reflets, et sans ses bronchies et ses dents aiguisées dépassant des ses lèvres on aurait pu penser à un cadavre plutôt qu’à une fusion entre un homme et un requin qu’il était. A coté de lui Itachi marchait. Son aura était oppressante même pour l’« homme » qui l’accompagnait. Il fixait le sol silencieusement, pensif. On ne voyait de lui que sa chevelure sombre qui flottait et ses yeux rouge sang. Le reste de son corps était dissimulé par sa cape. Une cape longue et noire ondulant à chacun de leur pas, décorée de petits cumulonimbus rouges et blancs …
" Ca va te fous pas de notre gueule on y est pour rien si l'Akatsuki nous force à porter ses tenues.
- ... Tu me parlais Itachi? "

Ils arrivaient maintenant à destination. Sans rien dire Kisame suivait Itachi. Ils allèrent vers une boutique louche tapit dans l'ombre de la petite ruelle par laquelle ils passaient. Le marchand sortait. Il souriait d'un air narquois.
" Que puis-je pour ces seigneurs, ici chez Hori les clients sont rois.
- Montre-nous ton stock de Kunaïs.
- Ah, ... je suis désolé, mais une cliente nous a tout pris il y a trois jours. Mais je pense qu'à un prix tout à fait abordable je peux vous trouver ça d'ici une semaine.
- On n’a pas le temps!
- D'où elle venait ta cliente?
- Et bien, je suis désolé, mais nous ne pouvons communiquer ce genre de renseignements. Mais pour un prix abordable, ...
- Et si je le torturais avec les armes qui lui restent.
- ... Vas y j'en ai marre des boulets. "




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