Fiction: Une île pas comme les autres

Suite à un "souhait" de l'Hokage, des ninjas de Konoha et de Suna vont se retrouver sur une île déserte. Ils vont apprendre à coopérer et à survivre en utilisant les moyens de bord.Mais l'île, déserte a priori, l'est-elle vraiment???
Classé: -12D | Action/Aventure | Mots: 17163 | Comments: 7 | Favs: 20
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Kaze Senfra (Féminin), le 27/04/2010
J'ai eu l'idée d'écrire cette fiction chez ma grand-mère qui vit à la plage. j'espère que cette fiction vous plaira. Tafarahou!(réjouissez-vous en arabe)



Chapitre 4: Où l'on se raconte des secrets...



Le reste de la journée se déroula sans encombre. Yamato revint avec les gerbes de céréales. Après les avoir longuement observées, Ino confirma qu’elles étaient adaptées à la consommation par un être humain. Les céréales se ‘‘divisaient’’ en plusieurs sortes : une sorte de blé, une d’orge, une de seigle et une de maïs.

Le lendemain, on commença à s’organiser. Dès lors, une équipe irait chasser, une autre irait travailler dans les champs de céréales, une autre à la cueillette et quatre personnes plus Mineo resteraient dans le coin de grottes, non sans faire du mobilier et des objets utiles, tels des sacs en doum (Quoi ? Vous ne savez pas ce que c’est ? Ben, ca ressemble à des feuilles de palmier, mais ce n’en est pas et ça pousse au sol, sans tronc) ou des tables. Yamato, comme il était resté au camp, travaillait le bois en sifflotant. Il fabriquait une table, visiblement longue. Kankurô s’occupait de faire un panier. Ino et Hinata, qui avait attaché Mineo dans son dos avec un châle, fabriquaient des médicaments et ainsi que des poudres que l’on pourrait mettre dans de l’eau chaude.

Lorsque les différentes équipes arrivèrent, Kurenai reprit son fils et les filles durent préparer le repas. Les garçons, eux, avaient le choix entre faire comme Yamato ou de suivre l’exemple de Kankurô. Les seuls qui choisirent de faire comme le Sunien étaient Genma et Izumo, connus pour leur légendaire patience.

Côté menuiserie, il y avait beaucoup de petits maux, même si c’était juste une démonstration. Yamato expliqua longuement comment faire des tabourets.

Il suffit d’une demi-heure de menuiserie pour que les Kunoichi se mettent à éclater de rire. Il fallait dire que ce qui se passait du côté des apprentis menuisiers était plutôt drôle. Puis on entendit une voix s’élever :

«-Passe-moi cette pierre, s’il te plaît, Shikamaru, dit Yamato.
-Hein ? Quoi ? Fit le concerné, visiblement sorti d’un petit somme.
-Je t’ai demandé de me passer la pierre qui est à ta gauche.
-Parle plus fort, j’entends rien !
-PASSE-MOI LA PIERRE QUI EST A TA GAUCHE !
-C’est bon, c’est bon, pas la peine de crier aussi fort ! Tu voulais quoi, déjà ? »

Même ceux qui faisaient les paniers riaient aux éclats. Genma et Izumo s’en sortaient plutôt bien. On dirait qu’ils n’avaient fait que ça de leur vie. Puis ce fut l’heure du repas (quatorze heures, heure locale). Chacun raconta ce qu’il avait fait de sa journée. Kotetsu avait trouvé un jeu et tentait de convaincre ceux qui étaient assis à côté de l’écouter pour pouvoir y jouer.

«-Ca se joue entre deux équipes de même nombre. Il nous faut une outre en peau de chèvre, la remplir de mousse, d’herbes ou de quelque chose d’autre dans le même genre. Puis il faut délimiter un terrain rectangulaire et tracer une ligne qui va du milieu d’une longueur au milieu d’une autre longueur. Ensuite, on doit planter deux pieux sur chaque largeur et suspendre en les deux un filet de pêche. Pour finir, le but est de pousser la balle avec les pieds dans le filet de pêche de l’équipe adverse.
-Et comment tu vas appeler ce jeu ?
-Euh...Le pied-balle.
-Bof, ça donne pas trop envie d’y jouer.
-Finalement, pied-balle, c’est un nom pourri. Football, ça sonne mieux.
-Pourquoi ‘‘football’’ ?
-Parce que c’est pied-balle dans le dialecte de Kiri (d’où vient ma grand-mère).
-En Sunien, ça serait lrjl-balla, intervint Kankurô.
-Hein ? C’est impossible de prononcer ça !
-Si c’est impossible, pourquoi moi je le dis bien ?
-Toi, t’es Sunien, ça compte pas !
-Entraînez-vous à répéter ça, et vous saurez le prononcer !
-Non merci, sans façon. On a des choses plus importantes à faire.
-Comme quoi ?
- C’est per-son-nel, fit Kotetsu. C’est le grrrrrrand mystère.
-Comme des activités de suicide ? Ce n’est pas tellement un grrrrrrand mystère.
-Hé ! Je suis pas suicidaire !
-Ah ? Tenterais-tu de nous cacher ce côté de ton ego ?
-D’abord, vous n’avez aucune preuve de ce que vous avancez ! Alors, lâchez-moi les sandales !
-Ah, j’allais oublier. Kakashi, Shizune, je veux vous voir après le petit déjeuner, se rappela Anko.
-A quel..., commença le ninja copieur, qui, devant le regard que lui jetait sa femme, se tut.
-Après les garçons seront de vaisselle.
-HEIN ??? Mais pourquoi nous ? C’est toujours nous qui devons nous coller le sale boulot !
-Ouvre bien grand tes oreilles et écoute-moi, Nara. Dois-je te rappeler que si vous ne nous aidez pas, vous n’aurez plus à manger ? Alors, soit tu obéis tranquillement, soit tu te colles la cuisine et le ménage ici. Quand je dis faire la cuisine, c’est faire quelque chose de comestible et de bon. Si ça ne tenait qu’à moi, je resterais dans mon coin en râlant comme un dromadaire comme tu le fais et...
-Minute. Qui tu accuses de râler comme un dromadaire ?
-Fais pas l’innocent, c’est bien de toi que je parle !
-Temari, pourquoi te fâches-tu toujours après Shikamaru ? C’est devenu ton souffre-douleur attitré ?
-C’est pas de ma faute, c’est lui. Quand on passe son temps à râler et à se prélasser au soleil, il est évident qu’il y a une personne qui aide Nara.
-Je te rappelle que mes parents m’ont donné un prénom à ma naissance. Et c’est Shikamaru. Je te prierais de m’appeler ainsi.
-D’accord, Shikamaru.
-Tu vois, c’est pas si difficile que ça. On dirait que prononcer mon prénom exige un effort surhumain de ta part.
-Après avoir fait la vaisselle, partez chercher de la mousse et des petits fagots d’herbes pour mettre sous les sacs de couchage. Ca fait mal au dos et, pour ne rien arranger, le sol n’est pas régulier, fit remarquer Tenten.
-Oui, c’est vrai, » admit Izumo.

Sur ce, le repas prit fin. Anko entraîna Kakashi et Shizune dans un endroit éloigné pour leur parler du sujet qu’elle seule savait. A la cascade, les garçons émirent des hypothèses.

«- Peut-être qu’Anko va démissionner de son poste de secrétaire et elle pense que Shizune est mieux placée qu’elle pour ce poste, suggéra Neji.
-Ou alors, elle est en train de proposer un plan pour tuer les deux asperges rabougries qui leur servent de conseillers. Ce qui, si vous voulez mon avis est une excellente idée. Ce sera dû au côté sadique de l’esprit d’Anko qui refait surface, proposa Yamato, soudain enthousiaste à cette idée.
-Moi, je sais. C’est pour une toute autre raison. Kakashi n’est pas amoureux d’Anko : il aime Shizune ! Anko s’en est aperçue et veut rompre avec lui ! A moi la belle et douce Anko ! Affirma Gaï.
-Ou alors, elle veut se suicider.
-Ou elle veut les trucider tous les deux pour une raison x ou y en faisant passer leur meurtre pour un accident !
-Ou elle veut prendre possession de leurs corps, comme Orochimaru avec Sasuke. N’oublions pas qu’elle a été disciple de ce Sanin ! Accusa Naruto.
-Je ne dis pas que ce que tu dis est faux, Naruto, mais Kakashi-sempaï m’a dit qu’Anko avait quitté Orochimaru de son plein gré, précisa Yamato.
-Peut-être qu’Anko est amoureuse de Shizune et va dire à Kakashi qu’elle ne l’aime plus.
-Anko, lesbienne ? Je refuse de le croire ! Rétorqua Gaï.
-C’est pas impossible, après tout. Elle a le droit d’avoir son jardin secret, dit Shikamaru en train de laver une coquille de noix de coco. Si j’étais vous, je me dépêcherais de laver la vaisselle pour pouvoir aller chercher leurs maudits fagots et leur maudite mousse, sinon on va se faire tuer.
-Mais après on aura le confort. Surtout si on met des fourrures dessus. Pas vrai, Akamaru ?
-BWOUF !
-C’est vrai, avoua Shikamaru. Mais ce serait encore mieux si c’étaient des matelas.
-Bah, si tu te montres gentil avec elles, tu obtiendras peut-être un matelas qu’elles ont fabriqué.
-Bon plan, Kiba ! Je vais essayer. »

Après avoir lavé la vaisselle, ils ramenèrent les fagots et la mousse de merde (dixit Shino, qui doit connaître un bon nombre de choses pas très catholiques).

« -Merci de nous avoir ramené les fagots et la mousse, dit Hana lorsqu’ils revinrent au campement. Maintenant, vous pouvez faire ce que bon vous vous semble, à condition d’être là au déjeuner, sauf si vous ne voulez rien manger.
-N’est-ce pas, Shikamaru ? Fit Temari, avant de partir dans une crise de fou rire, imitée par les autres Kunoichi.
-Je ne sais pas pour vous, mais moi, j’ai toujours trouvé que les filles étaient fêlées, confia Shikamaru, une fois dans la grotte qui leur servait de chambre. N’est-ce pas, Shikamaru ? Hihihihi ! continua le Nara en prenant une voix de fausset et en imitant si bien le gloussement que tous les ninjas éclatèrent de rire.
-C’est pas toi, qui disait tout à l’heure que si l’on faisait trop de bruit, les filles allaient nous tuer ?
-Pourquoi tu dis ça, Naruto ?
-Parce que là, si elles savent pourquoi on rit, on est dans la merde jusqu’au cou !
-Je suis de retour ! Clama Kakashi.
-Allez, bonne nuit, tout le monde, dit Shikamaru avant de s’endormir.
-J’ai l’impression d’avoir raté un épisode, là. Je me trompe ?
-Non, non, » dit Yamato.

Il lui raconta ce qu’il s’était passé pendant son absence. A la fin, le ninja copieur ne put réprimer un éclat de rire.

«S’il vous plaît, un peu de respect pour ceux qui essayent de dormir » grommela le Nara.

Dehors, les Kunoichi se préparaient pour une petite balade. Après avoir mis les chiens d’Hana en guise de gardiens devant la cuisine, les Kunoichi partirent prévenir les garçons de leur projet de faire une petite excursion dans les bois. Kurenai, voyant que Shikamaru dormait comme un loir, confia son fils à Kiba. Enfin, les Kunoichi désertèrent les lieux, et les garçons poussèrent un soupir de satisfaction.

Chacun vaquait à des occupations diverses et variées. Shikamaru pionçait ; Kankurô travaillait sur son châle en fredonnant un air de Suna ; Yamato travaillait sur du mobilier non sans faire comme le marionnettiste (à savoir fredonner) ; Kiba, Neji, Naruto et Chôji jouaient au Kent-coupé ; Genma, Kotetsu et Izumo entamèrent un nouveau sujet de discussion ; Kakashi semblait perdu dans ses pensées ; Rock Lee et son maître partirent faire un petit jogging et Saï. Tandis que Shino paraissait bizarre. Il ne cessait de se tortiller.

«-Shino ? Demanda Kiba.
-Quoi ? Répondit l’intéressé.
-Tu as des vers ou quoi ?
-Non, non, ce n’est pas ça.
-Tu as des insectes dans le slip ?
-Nan.
-Dans le caleçon, alors ?
-Non plus.
-Sous les aisselles ?
-Négatif.
-Je sais, je sais ! C’est un lézard qui se promène entre tes omoplates ! Cria Naruto.
-Naruto, il y en a qui ESSAIENT DE DORMIR. Montre-leur un peu de respect !
-La réponse est non, Naruto. Kakashi-sama, je voudrais faire quelque chose mais je ne peux pas.
-Ecoute, Shino, tu peux faire la chose que tu veux, sauf si c’est une envie de suicide ou de meurtre collectif, sous quelques formes qu’ils soient.
-Je peux aller dehors, quand même ?
-Si l’action que tu veux faire le nécessite, oui, tu peux. »

Tout content, l’Aburame sortit dehors. Il chanta :

«-AH, JE RIS DE ME VOIR SI BEAU EN CE MIROIR !
-Malédiction ! Jura le Nara en se réveillant brusquement. J’avais complètement oublié que ma mère était avec nous. Où est-elle ?
-Ce n’est pas ta mère, c’est Shino avec ses foutues vocalises !
-Faites-le taire, j’ai l’ouïe super-sensible ! Se plaignit Kiba.
-Et moi, le sommeil léger ! Je ne dors que dix heures par jours alors que j’ai besoin d’au moins quatorze heures de sommeil !
-Tiens, il pleut, remarqua Izumo. Vu les circonstances, je pense que ce sont les vocalises de Shino qui ont provoqué la pluie. Etant d’élément Suiton et ayant déjà tenté l’expérience, je peux te dire que c’est extrêmement difficile de faire ça. Je ne peux que t’adresser mes félicitations !
-Je me rendors. S’il vous plaît, veuillez ne pas faire de bruit. »

Tout le monde continua ses activités. Lorsque Gaï arriva, il se précipita sur Kakashi :

«-Kakashi, mon éternel rival ! Es-tu toujours amoureux d’Anko ?
-Bien sûr que oui ! Pourquoi ne le serai-je pas ? Anko, c’est l’amour de ma vie, mon soleil d’été, mon chou à la crème, mon oreiller en plumes, mon yacht de croisière, mon hamac en soie, le bleu de mon ciel, la brise de mon été, le cadeau de mon anniversaire quotidien, la cerise sur mon gâteau, la lune de mes nuits...
-Cette dernière expression en dit long, releva Kotetsu, l’air de rien.
-Oh, toi ! A quoi penses-tu ? Gronda le sixième Hokage, dont le visage s’empourprait de plus en plus.
-Vu ta tête, il doit s’en passer des choses dans votre lit, la nuit..., continua l’examinateur.
-KOTETSUUUUU !!! Hurla le ninja copieur, visiblement hors de lui et prêt à tuer le Chuunin.
-Reprenez-vous, Sempaï ! Dit Yamato.
-Pour la énième fois, baissez le volume, ça empêche les gens de dormir. Et puis les affaires de l’Hokage ne regardent que l’Hokage.
-Il y a des jours où j’adore la sagesse de Shikamaru. C’est quelqu’un de très raisonnable.
-Ceci dit, j’aimerais savoir jusqu’où vous êtes allés, vous deux.
-C’est pas vrai ! Personne n’est de mon côté ! Se lamenta l’épouvantail.
-Allez, Kakashi, on n’est rien qu’entre que gars, tu peux très bien nous le dire. On ne dira rien aux filles, promis, juré, craché !
-Dis, Kiba, dit Izumo, selon toi, quelle serait la réaction de ta mère si je me mariais avec ta sœur ?
-Kent-coupé ! Fit l’Inuzuka en étalant sur le sol les quatre cinq qu’il avait en main.
-Hein ?
-Je parlais avec les autres, pas avec toi, Izumo. Maintenant, je te suis toute ouïe. Quelle est ta question ?
-Comment réagirait ta mère si je sors avec ta sœur ?
-Si tu es travailleur, intelligent, pas paresseux, sympa, sympa, pas alcolo, mignon, si tu ne bats pas les femmes, tu as toutes tes chances.
-Moi, battre ta sœur, T’es tombé sur la tête ou quoi ? Jamais je ne frapperais Hana, de quelque manière qu’il soit ! Je vais abîmer son joli corps !
-Pour ce qui est de tomber sur la tête, j’ai fait une chute quand j’avais un mois. Heureusement que c’était sur un futon, sinon, à l’heure qu’il est, je ne serai probablement pas là en train de vous parler.
-Bah, il y a d’autres garçons plus mignons qu’Izumo. Par exemple, Simon Hijiri, dit Kotetsu.
-Et combien de fois il venu dans ton lit, celui-là ? se vengea Kakashi.
-Non, non et non ! Je ne suis pas gay ! protesta Kotetsu.
-Ce qu’il dit est vrai. Kotetsu n’a jamais manifesté le moindre signe d’homosexualité.
-Merci, t’es un super pote !
-Toi aussi, vieux !

Du côté des filles...

Un cri retentit, suivi d’une averse.

«-Merde, il pleut ! Grommela Ino. Pourtant le ciel était bleu quand nous avons quitté les grottes qui nous servent de base !
-Allez, on retourne sur nos pas ! Décida Shizune.
-On y va en courant ou en marchant ?
-En marchant, évidemment !
-Chic ! il va y avoir un évènement heureux ! Se réjouit Temari.
-Pourquoi tu dis ça ?
-A Suna, contrairement à Konoha, les pluies annoncent le bonheur. Par contre si le fleuve Dabab (qui veut dire brume, en Sunien) se trait, c’est un très mauvais présage. Le jour où Gaara est mort, plus une seule goutte coulait dans le lit du fleuve.»

Les Kunoichi repartirent en sens inverse.

«-Dites, les filles, vous pensez que c’est une bonne idée si avec Izumo, on fête notre mariage sur cette île ?
-Attends un peu. Il ne faut pas précipiter les choses. D’abord, il faut que vous sortiez ensemble, puis il faut que ça dure. Sinon, ce n’est pas la peine.
-Tu as oublié trois choses : il faut trouver de quoi nous faire de beaux habits, de quoi faire un repas qui sort du commun et que personne ne meure d’ici là.
-Ce qui est peu probable, sauf si Nara continue de discuter les ordres qu’on lui donne !
- Temari, en tant qu’Ambassadrice de Suna à Konoha tu ne peux pas te permettre de tuer un ninja de Konoha.
-Mais pourquoi m’a-t-on choisie pour ce poste ?
-Que tu sois ambassadrice ou pas n’y change rien. Tu n’as pas le droit de tuer Shikamaru, sauf en cas de légitime défense. »

Quelques minutes plus tard, elles arrivèrent près de la source.

«-Mais s’il est suicidaire, j’en ai le droit, non ? Je peux le tuer ? Demanda Temari avec une lueur d’espoir dans les yeux.
-Qui doit être tué ? Intervint Naruto. Si c’est moi, je préférerais que vous me le disiez en face !
-N-non, ce...ce n’est p-pas t-toi, Na...naruto-kun ! Dit Hinata en baissant les yeux et en rougissant telle une pivoine.
-Tu me rassures ! Pourquoi tu rougis, Hinata-chan ?
-Pour r-rien, Na...naruto-kun !
-Est-ce qu’on t’a déjà dit que tu es super belle quand tu rougis ?
-KYAAA ! Cria la Hyûga avant de s’évanouir.

Le Kitsune la rattrapa juste avant que sa tête ne touche le sol.

«Franchement, je ne comprends pas pourquoi elle s’évanouit toujours quand je lui fais un compliment, » fit Naruto, perplexe.

Il envoya un clone chercher une outre pleine d’eau bien fraîche, puis la versa sur le visage d’Hinata. Cette dernière se réveilla presque aussitôt. Elle faillit se révanouir, mais le Jinchuuriki de Kyûbi la rassura :

« -Tu sais, Hinata-chan, je ne vois pas pourquoi tu rougis ou que tu t’évanouis à chaque fois que je te fais un compliment. J’aimerai que tu me répondes, s’il te plaît. Ca te déplaît tant que ça si je te fais un compliment ? Tu penses qu’il est indigne de toi ?
-La deuxième solution.
-Je ne vois pas pourquoi, selon toi, tu ne mérites pas un compliment. Tu es belle, jeune et intelligente. A partir d’aujourd’hui, tu ne t’évanouiras plus quand quelqu’un te dit quelque chose de bien ou de mal. Tu me le promets ?
-C’est pro...promis, Naruto-kun !
-Tope là ! »

Se rappelant qu’elle avait une promesse à tenir, Hinata s’efforça de ne pas s’évanouir.

« -Souris, la vie est belle ! » Dit Naruto.

Et Hinata le gratifia du plus beau sourire qu’elle avait.




Mais qu'a donc Anko?
Vous pouvez m'envoyez plein de mp, j'y répondrais pas!
pour savopir ce qu'Anko a, suivez ma fic !!




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