Fiction: Mon chien (terminée)

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Chapitre 1 : Mon chien.

Aujourd’hui c’est le jour de mes dix ans, normalement comme la tradition l’exige, je dois recevoir un chien par ma sœur. En sachant cela je me réveille tôt, je saute de mon lit et pars dans la cuisine prendre mon petit déjeuner. Je prends un fruit, une orange plus précisément et me mets à la manger.

J’entends derrière moi, des bruits de pas, peut-être ceux de ma sœur, rien qu’en pensant à cela je suis heureux, des frisons me parcourent le dos. Si c’est elle, je lui demanderais directement de m’emmener vers mon chien. Les pas se rapprochent, je me retourne avec le sourire et je vois la personne entrer.

Je suis soudain déçu en voyant que la personne n’est autre que mon père. Mon sourire disparait, je me remets à manger mon orange. Mon père s’installe devant moi et me sourit, Kolu son chien se couche à mes pieds comme à son habitude. Je regarde mon père et lui demande s’il sait quel chiot je vais avoir.

Il me regarde et me répond qu’il n'en a aucune idée. Je me remets à manger mon orange, quand je l’ai terminée, mon père me propose d’aller faire de l’entraînement avec Kolu. Je me doute, que ma sœur ne va pas bientôt se lever et j’accepte l’offre.

Nous sortons de la maison, Kolu s’approche de moi et se couche à côté. Je sais qu’il attend à ce que je grimpe sur son dos, je caresse sa tête et entreprends de me mettre sur son dos. Comme je suis trop petit papa m’aide à monter ! Une fois, sur son dos, Kolu se met à courir en direction d’un champ de tournesol.

Arrivé dans le champ je vois ma sœur qui s’approche de moi. C’est bizarre, j’aurai parié qu’elle était en train de dormir. Elle me fait signe de venir, je cours donc à sa rencontre. Celle-ci tient dans ses bras, un petit chiot blanc comme la neige. Elle me dit de le prendre ce que je fais avec enthousiasme.

Une fois qu’il est dans mes bras, le chiot se met à trembler, pour le rassurer, je lui fais un sourire et veux lui caresser la tête. Quand ma main est proche de son crâne. Le chien me mord, surpris-je dis ouille, mais je ne peux pas en vouloir à ce petit être, il croyait que j’allais lui faire du mal.

Je continue de le porter, celui-ci se met à me renifler et comme pour se faire pardonner de la morsure se met à me lécher la main blessé. Heureux qu’un contact ainsi se forme entre lui et moi je le caresse.

Lorsque les câlins se terminent, le petit chien saute au sol. Et se met à courir, dans le chemin. Le chien de ma sœur, pour veiller dessus se met à lui courir après. Je le regarde se défouler et rigoe quand mon petit animal saute par-dessus son compagnon.

-Il va falloir lui trouver un prénom. Me dit ma sœur.

Oui, en effet, mais je veux lui trouver un prénom qu’il aime lui aussi. Je me mets à courir après mon compagnon à quatre pattes. Quand je le trouve enfin celui-ci et sous un tournesol en train de bailler. Je m’allonge à côté de lui et me mets à lui énumérer des dizaines de prénoms, mais aucun ne lui plaid.

Je me mets à le caresser sur le dos et il se met sur le dos, me laissant ainsi lui gratter le ventre, tout d’un coup, lorsqu’il bailla, il fait un bruit qui sonne comme sa « aka ». En entendant cela j’arrête de le chatouiller et lui propose le nom d’Akamaru.

Akamaru me regarde, se redresse et me saute au visage avec sa langue en avant, quand il est sur moi il se met à me lécher le visage affectueusement. Content d’avoir trouvé son prénom je le prends dans mes bras et cours vers ma famille qui m’attend.

Maman aussi se trouve là, elle apporte un pique-nique offert par la famille Akimichi pour mon anniversaire. Tout content, j’annonce la nouvelle qui est celle que j’ai trouvé son prénom.
Ma famille avide de savoir comment le nouveau membre de la famille se nomme me presse de le faire dire.

Quand je leur dis qu’il se nomme Akamaru, mes parents le prennent de mes bras et le posent par terre. Ma mère sort un collier ou pend une petite gourmette, mon père le prend et grâce à son chakra marque le nom « AKAMARU » dessus. Puis il me tend le collier.

Je le prends et m’abaisse, le passe autour de son coup la chaîne, en sentant le froid du métal sur son corps Akamaru a les poils qui s’hérisse et il éternue. Ce qui fit rire tout le monde.

Pour le dresser un petit peu, je lui demande de rester assis où il est pendant que moi je m’éloigne, mais comme on peu s’y attendre, Akamaru se met à me suivre. Je me retourne et me mets à sa hauteur, je le regarde dans les yeux et lui reformule l’ordre de ne pas bouger.

Akamaru me regarde puis se met à pencher la tête, pensant qu’il avait compris, je me relève mais celui-ci se met sur ces deux pattes arrière et avance vers moi. Ce qui refait rire toute la famille.

Ma mère sort la nourriture puis m’appelle pour que je vienne me mettre à table. Ce que je fais. Mon père m’envoie un sandwich que je réceptionne, Akamaru à côté de moi regarde avec convoitise le sandwich, mais le chien de ma sœur a vite fait de le remettre à sa place. Akamaru arrête alors de regarder le sandwich et s’approche de ma mère qui lui sort une gamelle avec de la pâté à l’intérieur.

Akamaru tout content, n’en fait qu’une bouchée et revient vers moi avec un bâton dans sa bouche. Il pose le bâton à côté de ma main et se met à fouetter l’air de sa queue, ce qui ne fait que relever de la poussière du sol.

Nous jouons tout le reste du temps, tard le soir Akamaru que je pensais increvable vient vers moi et se couche à mes pieds. Je le prends dans mes bras et je retourne vers ma famille. Ma sœur s’approche de moi et me demande :

-Alors, tu l’aimes bien ce petit chiot ?

Je pose Akamaru par terre, je regarde ma sœur puis saute dans les bras de celle-ci. Les larmes lui viennent au yeux et pour en rajouter un peu plus Akamaru s’approche de ses jambes et se met à les lui lécher.

Attaquer au niveau des jambes par la langue de mon ami toutou, ma sœur recule et Kolu se met derrière ses jambes. Ma sœur ne voyant pas la menace recule encore, puis perd l’équilibre et tombe en arrière en me tenant toujours dans ses bras, pendant ce temps Akamaru rejoint par tous les autres chiens se mettent à lui lécher le visage.

Nous continuons de jouer pendant encore deux heures quand soudain je me mets à bailler et je m’endors par terre, je sens que quelqu’un me soulève, j’ouvre les yeux et vois que ma sœur et en train de me porter. Tout bas je lui dis :

-Merci pour ce cadeau.

Et je retombe inconscient dans le pays des rêves.




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