Fiction: Mission Impossible (terminée)

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- Je refuse de faire équipe avec eux ! Hurla Urayasu dans le bureau de Tsunade.
- Ecoute, Neiji et Hinata sont en mission et ils ont besoin d’un possesseur de byakugan, tu es la seule disponible... Rétorqua d’un ton las, la femme Hokage. Alors s’il te plait, évite de faire la pénible.
Urayasu sentait la moutarde monter au nez mais se calma rapidement en voyant les yeux de Tsunade se plisser sanguinairement.
- Je ne veux pas être désagréable et sauf votre respect, je vous demande d’emmener quelqu’un d’autre que moi pour leur mission d’escorte, supplia la jeune fille aux yeux blancs.
- Mais que leur reproches-tu, à Takaoka, Otaru et Suzuka ? interrogea l’Hokage.
- C’est une longue histoire… fit Urayasu en levant les yeux au ciel.
- Parfait ! tu vas me raconter tout ça, j’adore les grands récits ! Allons chez Ichiraku, je t’écouterai en route…
Urayasu commença donc à explique son souvenir d’une manière fatiguée. Ce n’était pas la première et ce ne sera sûrement pas la dernière fois qu’elle expliquait cette histoire que l’on pourrait qualifié de mémorable.
A l’époque, le 4ème Hokage était encore ici, c’était juste avant l’attaque sur Konoha. Elle se souvint qu’il avait demandé à voir Takaoka, Otaru, Urayasu et Suzuka pour une « mission urgente ». Et quelle mission urgente ! Il s’agissait d’escorter un paysan trop peureux pour faire la route pendant 2 jours tout seul. Sandaime leur avait raconté qu’ils avaient dû faire pareil pour aller le chercher chez lui. Ça avait été une catastrophe car les ninjas de Konoha n’avaient pas vu venir les voyous qui se cachaient dans les fourrées et résultat : 3 blessés et une crise cardiaque de la part du pauvre paysan. Heureusement que celui-ci pu juste à temps parvenir à l’hôpital pour être soigné.
Mais pour le retour, l’Hokage avait prévu le coup. Il fit appel à Urayasu Hyuga pour ses dons de voyance, Takaoka Nara pour sa capacité d’analyse, Otaru Yamanaka pour ses attaques et pour Suzuka Akimichi…. Ben simplement qu’elle faisait partie de l’équipe ! Lors de la présentation, avant le départ, Urayasu ne pu cacher son enthousiasme :
- Je… suis contente de…. De…. Faire équipe avec vous..., balbutia la pauvre Hyuga.
- Quelle galère... rétorqua Takaoka.
- C’est ça, salut la timide ! poursuivit Suzuka, mécontente.
- « crunch, crunch…. » se contenta de répondre Otaru.
En effet, les 4 jeunes de 14 ans étaient tous des cousins rapprochés: Hinata pour Urayasu, Shikamaru pour Takaoka, Ino pour Suzuka et Choji pour Otaru. Vu que l’équipe Ino-Shika-Cho, étaient ensemble comme leurs parents, Konoha décida de mettre aussi les cousins ensemble. Chacun s’entendait parfaitement avec son cousin -sa cousine- et malheureusement, lorsqu’ils étaient petits, ils avaient passés beaucoup de temps ensemble. Le groupe ainsi que Urayasu avaient donc hérité de leur propre caractère mais aussi d’une ressemblance frappante. Pour eux, leurs cousins et cousines étaient un modèle.
- Bon… Hum ! Votre mission c’est lui, fit le vieil homme en leur présentant le paysan. Il se prénomme Itsuo et il…
- ... Aurait besoin de nous pour le ramener dans son village… Finit Suzuka, toujours aussi énervée.
- C’est cela. Je compte sur vous. Il y a eu déjà pas mal de problèmes pour venir ici alors s’il y en a aussi pour le retour, on risque de perdre une précieuse réputation.
Itsuo les regarda sur le côté. N’avait-il jamais vu de ninjas de sa vie ? L’homme continua à les observer, ce qui agaça facilement Suzuka. Mais Urayasu la retint de taper le client. Itsuo avait les cheveux bruns, coupés court devant mais derrière, un chignon de samurai ornait son crâne. Ses yeux plissés et rieurs se contredisaient avec les mimiques nerveuses de sa bouche et de ses mains sales. Heureusement les habits semblaient propres, si l’on ne faisait pas attention aux tâches de transpiration sous les bras… Ses chaussures usées et vert foncé ne concordaient aucunement avec son pantalon de couleur orange pétant. Mais le pire restait à venir. Urayasu cria et se fut au tour de Suzuka de la calmer, lorsqu’elle remarqua enfin pourquoi cette dernière avait hurlé à la mort. En effet, le paysan se grattait là où il ne fallait pas et le pauvre dû par la suite courir assez longuement pour éviter les coups de deux jeunes filles en furie.
« Ça commence bien, pensa Takaoka. Dans quelle galère je me suis fourré…. »
Le lendemain, les 4 ninjas, pas très heureux de leur mission, se contenta d’un regard curieux de Itsuo. Otaru demanda ce qui n’alla pas mais lorsque le client demanda à Takaoka pourquoi il mangeait autant, celui-ci se contenta de répondre que c’était pour prendre des forces et pour son chakra.
- Hé bien ! pas étonnant qu’il soit gr….
Suzuka se rua sur le paysan et lui ferma le bec. Elle lui fit rappelé par une secouée très agitée, qu’il ne fallait en aucun cas dire ce mot devant Otaru –qui d’ailleurs n’avait plus l’air d’être dans son assiette – sous peine de mort. Itsuo se contenta d’être horrifié et continua son chemin avec les quatre ninjas, mais ne se rapprocha plus de Otaru.
Lorsqu’ils arrivèrent à l’entrée de la forêt, Takaoka expliqua son plan à chacun. Urayasu, qui se trouvait vers l’arrière, permettait d’avertir le danger devant et derrière. Pour Otaru qui était placé au premier rang, son rôle se résumait à charger en cas de pépin grâce à ses techniques de décuplement. Suzuka, qui prit la deuxième place, juste devant le paysan, devait pouvoir prendre possession rapidement au moindre problème. Et enfin, après la troisième place occupée par le paysan, Takaoka se trouva derrière lui et pouvait facilement berner les attaquants grâce à sa manipulation des ombres. Chacun avait hérité des pouvoirs de leurs clans respectifs et il ne pouvait qu’en être fier.
La journée se passa sans incidents. Itsuo semblait soulagé et commença à monter sa tente légèrement trop près de celle de Suzuka…
- Vas plus loin, l’client ! t’es sur mon territoire là !
- Calme toi, Suzuka… Gémit Urayasu en tripotant ses doigts. Je… je suis sur qu’il ne voulait pas t’ennuyer, il… Il n’a pas fait exprès… N’est-ce pas Itsuo sama ?
- Bien sur que s….. Non ! beugla-t-il en voyant la mine pas très réjouissante de Suzuka.
- Alors vous allez certainement vous enlever d’ici et aller vous mettre près des deux garçons…
- Ou…. Oui, oui ! Aucun problème ! d’ailleurs je ne voulais pas me mettre là… je … Je ne sais pas ce que je fabrique ici !
Il prit rapidement sa tente dans ses bras et parti en courant vers les garçons.
- Hep je peux me mettre avec vous ? La fille là… Suzuka… elle ne semble pas de bonne humeur.
- Normal, avec ta tête de hareng, grinça Suzuka après avoir entendu sa réplique.
Les deux garçons ne prirent même pas la peine de répondre et enfin, après un dîner peu copieux à base de fruits puérils et de légumes pourris à cause d’Otaru, les cinq gens s’endormirent enfin à la belle étoile.
Mais soudainement, un bruit retentit à quelque cent mètre de leur campement et le groupe réuni se réveilla en sursaut, sauf Itsuo qui dormait comme un loir.
- Vous avez entendu ? Murmura Urayasu en composant des signes. Byakugan !
Les jeunes se rapprochèrent de la tente du paysan et sortirent chacun un kunai pour faire face à une possible attaque. Puis tout alla très vite. Urayasu remarqua quelqu’un surgir d’un buisson derrière eux, grâce à l’œil blanc, et les 3 autres se ruèrent sur lui pour l’attraper.
- Attrape lui la jambe !
- Non, ça c’est le bras !
- Attention il se débat !
- Il est peut-être armé !
- Ça suffit !!! hurla une voix parmi eux.
Otaru suivit des 2 autres reculèrent vers Urayasu et remarquèrent qu’il était en train de ficeler leur propre client.
- Mais qu’est ce que vous faites dehors ? demanda Takaoka, perplexe.
- Besoin pressant… Marmonna le paysan
- Vous pouvez pas prévenir quelqu’un, non ? hurla la kunoichi, telle une Ino en furie.
- Pas pensé… Continua Itsuo sur le même ton et la tête baissée. Bon vous me détachez ? j’ai sommeil…
Takaoka le prit dans ses filets avec la manipulation des ombres et sourit dangereusement.
- désolé, avec moi ça marche pas ce tour de passe-passe…. Où est le vrai Itsuo ? Où est notre client ?
- Ça te prend souvent ce genre de chose, Takaoka ? demanda Otaru.
- Non… émit Urayasu dans un couinement de souris. Il a raison, on n’a pas été sur nos gardes.
- En effet…. Ricana le « faux » Itsuo avant de se métamorphoser.
- Qu’est ce qui se passe ici ? fit une voix fatigué derrière eux. Et qui c’est, cet homme?
Aucun ne prirent la peine de répondre. Chacun semblait prit dans un songe cauchemardesque. Leurs yeux pleuraient silencieusement puis d’un coup, les 4 jeunes plongèrent en arrière. Le paysan hurla à la mort et alla se cacher dans sa tente. A tour de rôle, Suzuka, Takaoka, Urayasu et enfin Otaru se relevèrent rapidement. Takaoka donna l’ordre de se mettre en position de combat.
- Vous voulez savoir qui je suis ? Je m’appelle Chiyoda, je fais parti des ANBUS déserteurs du pays de la pluie. Votre… paysan m’intéressent et si vous ne voulez pas me le donner calmement, il va falloir avoir recours à la force.
- Il s’y croit lui avec ses « donnez moi votre paysan gentiment… » ! non mais ho ! faut pas exagérer !
- Tais-toi, Suzuka… tu vas l’énerver… et je pourrais pas le contenir très longtemps avec mon kage bushin…
En effet, Takaoka avait pu à nouveau l’attraper avec son ombre juste après s’être relevé de l’attaque de Chiyoda.
- Je m’en fous royalement ! aller ! viens me chercher ! tu vas voir ce que c’est de se frotter à une femme ! vas-y Takaoka, lâche le !
- Mais…
- Fais le je te dit ! aie confiance…
Takaoka lâcha prise et Chiyoda fonça vers Suzuka, menaçant. Malheureusement pour celui-ci, ce n’était pas le bon jour. Suzuka lui envoya son point gauche en plein dans le ventre en concentrant tout son chakra dans la paume de sa main. L’ANBU déserteur s’enfonça dans un arbre et tomba à terre, son souffle coupé court. La kunoichi lança alors son attaque jutsu en plein fouet et prit possession de lui. Celle-ci n’était vraiment pas d’humeur à être attaquée, après avoir passé toute la journée avec un paysan perroquet alors qu’elle avait rendez-vous avec sa cousine Ino pour aller faire du shopping. Elle arriva rapidement dans le corps de Chiyoda, son corps inerte dans les bras de Takaoka.
- je suis un ANBU déserteur du pays de la pluie qui ne sait pas attaquer et ni se défendre… chantonna-t-elle à tue-tête dans l’enveloppe de chair de l’adversaire en prenant une voix grave. En fait je ne suis rien du tout et j’aime ennuyer les gens pendant la nuit ! continua-t-elle ironiquement.
- Calme toi Suzuka…. Bon il s’agit sûrement d’un simple voleur car un ANBU ne se serait pas laissé abusé comme ça… fit Otaru aux deux autres.
- Oui certainement…
- Houhou, je suis fou ! j’aime les mandarines, les oranges et les choux ! continua Suzuka encore plus fort.
- Su…. Suzuka… arrête de le torturer…C’est quand même un humain ! le pauvre ! reprocha timidement Urayasu.
Suzuka sorti du corps de Chiyoda qui se trouva inanimé et soupira. Pour une fois qu’elle pouvait s’amuser ! Takaoka décida de l’attacher à l’arbre et le ranima à coup de baffes. Quand l’homme se décida à enfin se réveiller, Takaoka lui posa les questions habituelles : « Qui est tu ? Qui c’est qui t’envoie ? D’où viens-tu ? Quel est ce jutsu que tu as utilisé avant ? … »
Le bipède répondit une par une, lentement pour être sur d’être bien compris et ainsi éviter de méchant coups dans le ventre de la part de Suzuka ou encore de Urayasu.
- Je m’appelle bien Chiyoda mais je suis un simple voleur et j’habite près d’ici… Personne ne m’envoie car je travaille seul. Je viens aussi du pays de la pluie mais je suis recherché là bas pour vols, coups et blessures à autrui…
- Mouais… tu es donc un voyou en somme… finit Suzuka.
- Non ! je suis un voleur, déclara-t-il fièrement.
- Bof c’est pareil.
- Non c’est pas pareil !
- Mais si.
- Mais non !
Urayasu tapa Chiyoda sur la tête et lui demanda de ne répondre qu’aux questions de Takaoka. Celui-ci finit son interview sur son attaque de type genjutsu et taijutsu. Elle consiste d’abord à paralyser les gens et de leur faire vivre un faux avenir rempli de tristesse –qui donne donc envie de pleurer- puis de les propulser à coup de pied rapide plus loin grâce au taijutsu.
- Elle est nul ton attaque ! Ricana encore et toujours Suzuka.
- Nan elle est va très bien pour le voleur que je suis !
- Elle est moisie et t’es pas un voleur t’es un voyou !
- Je ne suis pas…
Un coup dur sur la tête vint le calmer et Otaru demanda à Takaoka ce qu’il allait en faire. Urayasu répondit à sa place et proposa de le mettre en prison dans le prochain village et de prévenir le pays de la pluie qu’il pouvait venir le cueillir s’il le désirait, ce que les autres approuvèrent rapidement.
Après avoir bien ligoté et assommé le voleur, il fallait aller rassurer le pauvre Itsuo, toujours dans sa tente mort de peur. Alors que les jeunes pouvaient aller dormir, le soleil s’était levé, sans que le groupe n’ait pas pu dormir suffisamment. Le petit déjeuner risquait d’être endormant.
- Dit moi Itsuo, il reste combien de temps jusqu’au prochain village ? demanda lentement Urayasu.
- J’en sais rien… je ne sais pas où nous sommes…
- Ben ça promet… fit remarquer Suzuka, dans toute sa bonne humeur.
Le groupe se leva et prépara ses affaires, défit les tentes et se mirent en route. Cinq minutes plus tard, une sorte de trou béant coupa la route qui en fait descendait dans une vallée bien verte avec un village au milieu. Alors Itsuo devint blanc comme un linge et Urayasu le remarqua.
- Ne me dit pas que c’est ton… village ? Finit-elle par demander.
- Heu….. si….
- Pardon ? Je n’ai pas bien entendu ! brailla Suzuka en s’approchant dangereusement.
- Mais désolé ! je savais pas où on était et…
Mais il ne pu terminer son explication que la demoiselle lui courait après avec un kunai. Elle le poursuivit jusqu’au village pour terminer devant le chef de ce dernier. Suzuka se calma aussitôt et s’inclina en guise de bonjour. Ils attendirent que le groupe fût au complet pour être remercié péniblement par le paysan et mirent Chiyoda en prison puis envoyèrent un message au village caché de la pluie pour les prévenir de sa capture.
Takaoka, Otaru, Suzuka et Urayasu rentrèrent enfin à Konoha et allèrent donner leur rapport et récolter leur argent à la salle des missions. Sandaime leur offrit deux jours de repos bien mérité mais malheureusement, Urayasu n’avait pas pu en profiter. Aussitôt arriver à la maison, quelqu’un frappa à sa porte et trois jeunes entrèrent dans sa chambre.
- Otaru ? Suzuka ? Takaoka ? Que voulez vous ? demanda-t-elle en s’efforçant de sourire.
- On vient voir comment tu vas, cette question ! fit Suzuka légèrement sur les nerfs.
- Tu pourrais être plus sympathique avec Urayasu, réclama Takaoka.
- C’est vrai que tu es toujours de mauvaise humeur, continua Otaru.
- Non mais ho ! laissez moi tranquille ! je parle sèchement si j’en ai envie !
- Ecoutez je…
- Non pas sur tes amis !
- Ha parce que tu crois que je suis ton amie ?
- Bien sûr que tu l’es, cria Otaru.
- Je…
- Si tu ne veux pas être notre amie alors va chercher un autre groupe !
- Heu… TaKaoka, tu exagères là… gémit le pauvre Akimichi
- Oui bonne idée ! Je vais demandai à Gotanda sensei de me muter ailleurs !
- Ça suffit ! rugit Urayasu à en faire trembler l’Akatsuki. Sortez les trois de ma chambre ! tout de suite !
- Mais Urayasu… Commença Takaoka
- Sortez – je – vous – dis ! continua-t-elle de gueuler.
Les trois furent poussés jusque dans la rue et Urayasu alla dans sa chambre sans rien dire. Elle se promit de ne plus faire équipe avec eux.

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- Vous voyez donc, Tsunade sama, pourquoi je…. Mais arrêtez de rire bêtement ! demanda précipitamment Urayasu pour éviter la honte.
- Excuse moi, Urayasu mais vraiment, ça me rappelle quelques beaux souvenirs, les engueulades… Sourit l’Hokage en pensant à son enfance.
- Je ne sais pas si ça s’est calmé, maintenant qu’une année est passée depuis cette histoire mais je ne veux pas avoir à nouveau à devoir supporter la mauvaise humeur de Suzuka, les engueulades entre elle et Takaoka ou bien encore la gourmandise d’Otaru qui nous avait valus des fruits pas mûrs et des légumes moisis…
La princesse éclata de rire et lui promit de prendre quelqu’un d’autre avant de s’en aller. L’adolescente paya alors son bol et s’en alla chez elle. Elle traversa le jardin et alla apprendre le tourbillon divin ainsi que les 64 points du Hakke avec sa cousine Hinata. La semaine passa, et lors d’un vendredi ensoleillé, la cousine de Sakura, Magome, arriva chez Usayaru et frôlait la crise d’hystérie. Elle ne pu s’empêcher de rire en écoutant le récit de la pauvre kunoichi qui s’était enfuie de chez elle pour éviter les engueulades de Takaoka et de Suzuka suivis des demandes de silence et de calme d’Otaru.



j'espère que ça vous a plu !!!! =D

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