Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: un amour, une aide peux tous changer

Hinata crois que cette mission va lui être fatal, elle pense que sa vie est une erreur et que cette mission règlera la question mais se que elle ne sais pas s'est qu'un beau ténèbreux qui lui vie dans les ténèbres va la sauver. L'amour peux signifier la fin mais peux aussi signifier la vie, s'est deux là vont vous montrer que l'amour peux vaincre bien des problème
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okama (Féminin), le 22/12/2009
premiere ficton :3



Chapitre 1: Hinata



Une jeune fille était nue au milieu d'un lac, elle dansait, on aurait dit une ballerine dansant devant des millions de gens, elle avait une telle grâce, sans se soucier de ce qui l’entourait, elle ne se doutait pas que quelqu'un la regardait.

Je danse pour oublier, pour avoir un moment où je me sens bien, l'eau me donne une si belle apparence, l'image renvoyée me montre à quelle point je suis belle. Pour mon clan, je suis faible et sans importance, à la rigueur si je mourrais ça les arrangerait !
Je me suis entrainée tellement dur jusqu'à ne plus savoir bouger un seul de mes membres endoloris, Mais ce qui m'a aidé c'est l'amour secret que je portais à cet homme, malgré mes efforts, il est le seul à ne pas s'en apercevoir. Aujourd'hui, Sakura, cette traitresse, sort avec lui ! A croire qu'avec tout ce qui m'arrive je suis invisible... Et puis, personne ne me regrettera...


Elle s'arrêta, pleurant sous la lune, et se laissa immerger sous l'eau. Après un certain temps, elle se résolut à se rhabiller et à rentrer chez elle. En arrivant devant les grilles sombres du manoir, elle espéra de toutes ses forces de ne pas croiser son père, malheureusement la malchance la guettait sans arrêt, son père l'attendait impatient sur le porche de la maison, ses bras croisés sur son torse lui donnaient un air encore plus sévère (si ce n'était qu’une apparence sauf que c'était la triste vérité).

- Hinata ! Tu sais l'heure qu'il est !? Où étais-tu ?
- Cela ne vous regarde plus père ! Je suis majeure à présent !
Il fronça les sourcils et la regarda dédaigneusement :
- Peut-être mais tu es l'héritière du clan, donc j'exige connaître tout tes faits et gestes !
Aujourd'hui, elle se sentait prête à affronter son père, vidée de toute crainte ou de honte, elle émit un rire.
- C'est vous qui croyez ça ! Mais plus pour longtemps, qu'allez-vous faire père ? M'obliger à combattre ma sœur, sachez que je ne relèverai pas ce défi inutile ! Je ne me battrai jamais contre ma propre sœur, mon sang ! Pour un clan qui court à sa perte...
Elle ne vit la gifle la percuter, elle sentit son corps avoir un soubresaut puis une brûlure sur sa joue, elle atterrit un peu plus loin contre le mur. Dans sa bouche, elle sentit un goût de fer rouillé, elle cracha le sang sur le nouveau tapis de son père. Elle se releva, lança un sourire narquois à son père en reprenant la parole :
- Je pars dès aujourd'hui en mission et en revenant j'accepterai l'offre de Tsunade-Sama pour devenir Anbu (elle marqua un arrêt pour qu'il puisse assimiler ses paroles), vous n'avez plus à présent de pouvoir sur moi !
Elle partit avant que son paternel ne puisse répondre, de plus il était trop choqué et abasourdi pour exprimer le moindre sentiment. Le comportement de sa fille était inacceptable ! Quand il réalisa qu'elle lui avait tenu tête, un rictus se forma sur ses lèvres qui se voulait être un sourire. Elle était devenue une FEMME. Elle savait pertinemment qu'elle regretterait son geste puéril. Si seulement son père lui avait montré plus d'intérêt, plus de reconnaissance, s'il l'avait simplement considérée comme un être humain elle ne serait pas en train de descendre tout droit en enfer.
Une heure plus tard, son sac était prêt, elle savait qu'il faudrait encore patienter deux longues et interminables heures pour que son calvaire puisse enfin s'arrêter. L'envie de manger lui vint soudain, elle partit alors chez Ichikaru. C'était une habitude qu'elle avait prise en épiant et en devenant son ami. Le prénom tabou, celui qui la faisait souffrir et pleurer à cause de son ignorance.


Naruto n'a jamais remarqué que je l'aimais, ça m'a fait énormément de mal mais ce qui c'est passé ce jour là, jamais je ne pourrai l'oublier. Il faisait froid, j'avais oublié de prendre mes gants, mes doigts étaient gelés et comme à mon habitude j'étais venue rendre visite à Naruto. Je me précipitai dans les escaliers, malgré les bruits qui me parvenaient, je ne prêtai pas attention au signal d’alarme qu'émettait mon cœur. J'ouvris rapidement la porte, je vis Sakura l'embrasser. Quand elle me vit, un sourire désolé se dessina sur son visage, j'avais des envies de meurtre tant la rage me rongeait. Je l'aurai fait si je n'avais pas été paralysée par la peine de voir Naruto, il me regardait sans comprendre. Il restera toujours aussi crétin, pensai-je avec tristesse. Je ne fis pas attention aux larmes qui ruisselaient dans mes yeux, je me sermonnai, si j'avais écouté mon cœur, si seulement je l'avais écouté...Quand je fus plus où moins calmée, je me relevai et regardai la couple d'un air de dégout. Depuis ce jour, je ne lui ai plus jamais adressé la parole. Malgré les innombrables excuses, la douleur était toujours aussi présente laissant dans mon cœur un trou béant.
Hinata fut surprise quand elle arriva au restaurant. Elle s'était perdue dans ses songes, oubliant pourquoi elle était venue au restaurant. Elle entra et sans se préoccuper des personnes présentes elle alla s'asseoir au bar.
Naruto était avachi dans l'un des divans que contenait le bar, sur ses jambes était assise Sakura. Quand il croisa mon regard, il fit tomber Sakura à terre. Elle le réprimanda mais il semblait s'en fiche. Une personne comptait à ses yeux... moi
Je lui montrai que je n'en avais rien à faire. Je l’ignorai avec une telle froideur, que je crus que je l'avais congelé sur place. Après tout il le méritait. Trop tard pour lui, je le considérais comme un abruti plutôt qu'un admirateur. Je fis semblant de rien et commandai une soupe aux nouilles.

Je soupirai longuement, je ne savais pas vraiment ce que j'allais faire dans cette mission. J'avais opté pour la facilité et j'allais bientôt en payer les pots cassés (ou les conséquences) mais on m'avait poussée contre mon gré à (choisir ou) emprunter un autre chemin. Mes amis, ma sœur, ceux qui réchauffaient mon cœur meurtri allaient me manquer. Même si on me considérait comme inutile je savais que quelque part j'avais ma place. Il fallait simplement trouver le bon endroit, la bonne personne pour être enfin le joyau que j'aurai toujours du être.

Des larmes tombèrent dans ma soupe, mes souvenirs s'emmêlèrent et rouvrirent la blessure béante que m'avait laissée Naruto. Il avait toujours prétendu que j'avais un cœur de glace, s'il savait seulement ce qu'il ressentait il ne parlerait pas à tort et à travers à tout bout de champ. Pendant une époque, j'étais cette fille au visage triste qui errait dans les rues désertes du village, j'avais un cœur énorme mais ceux des autres n'étaient pas prêts à accepter ce volume imposant. J'ai du apprendre à enfouir mes émotions pour faire honneur à ma famille, surtout à mon père. J'étais alors devenue une fille au cœur de pierre, mais cette révolution est passée tout comme l'amour que j'avais eu pour lui. Ce qu'il restait était la haine que j'avais nourrie à son encontre.
Quand je vis l'heure, je me dépêchai d'engloutir le reste de mon repas. Je remis ma veste, payai l'addition et sortit. Derrière-moi, Naruto essayait de voir où j'allais, je crus un moment qu'il me suivrait. Je priai le ciel pour qu'il ne me suive pas, je n'avais pas la force à lui annoncer mon départ imminent. Pour une fois, j'eus de la chance, la bonne étoile était avec moi. J'espérais qu'elle resterait avec moi pour me protéger durant ma mission.

Elle alla prendre son sac, alla dire au revoir à sa petite sœur qu'elle plaignait car si jamais elle ne revenait pas de cette mission elle deviendrait l'héritière du clan. Elle pensait que personne ne la pleurerait si elle mourrait mais pour être honnête elle savait qu'il y aurait quelques personnes attristées par sont départ. Elle pensait à sa sœur, à ses anciens coéquipiers, à son professeur, tant de personnes qui avaient cru en elle. Mais bon la mission comptait plus que tout !! Avec un dernier regard sur son village natal elle partit. Si elle mourrait, elle mourrait avec l'esprit en paix..



la suite bientot si vous aimez =3



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