Fiction: Le cadeau de l'ange

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Epilogue 2: La promesse


Je la regardais à travers la pénombre de la nuit, comme elle est devenue belle... Elle sort son visage de sous sa couverture et me regarde, de ces prunelles de lune. Mon dieu, mon cœur se met à battre, merde ca m'est plus arrivé depuis... depuis longtemps, si longtemps que j'ai oublié. Silencieusement je descends de la fenêtre et m'approche doucement d'elle. Elle me regarde avec de gros yeux brillants. Brillants? Merde elle se met à pleurer, qu'est-ce ce que je fais moi ? Pour des retrouvailles ça craint !

Elle baisse sa tête et essuie ses larmes naissantes. Tiens elle s'est figée, elle semble regarder sa nuisette avec une insistance particulière.

- Hinata ? Murmurais-je doucement.

Elle lève rapidement son visage vers moi, la bouche ouverte. On dirais qu'elle essaie de bredouiller quelque chose. Ah tiens, son visage semble rouge.... rahh maudite pénombre je ne suis sur de rien. Je tends mon bras doucement vers son visage dans l'espoir de le caresser, mais un bruit dans le couloir m'arrête.

Mince, quelqu'un viens. Pas le temps de réfléchir je lui fait une bise rapide et m'échappe par la fenêtre en lui souhaitant une bonne nuit. En atterrissant, j'entends la porte de sa chambre s'ouvrir et son père parler. Zut faut pas qu'il me voit ici !

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Je suis enfin rentré a la maison ! Ouf j'ai cru que le père d'Hinata allait me voir, heureusement que je suis rapide et discret. Je rentre doucement pour ne pas me faire remarquer. Je regarde l'horloge et je sens mon sang se glacer.

Et merde, maman va me tuer demain, c'est sur ! J'ai plus d'une heure de retard ! Je file a la cuisine que je trouve déserte. Il y a un plateau repas avec un mot.
'' Comme tu n'es pas pas venu a l'heure, tu n'auras droit qu'a des nouilles pour repas '' Je détourne le regard du papier et enlève la cloche en aluminium et en effet un paquet de nouilles au milieu d'une assiette se dresse sous mes yeux.

Bah c'est pas comme si sa me dérangeais. Je chauffe de l'eau et me prépare mes nouilles. Je me met a regarder cette maison qui sera désormais la notre avec papa et maman. Les pièces sont nombreuses mais pas très grandes, hormis la cuisine. Le son strident de la bouilloire me sors de ma contemplation. Je prends mon bol de nouilles et me diriges vers le salon pour allumer la télévision. Je remarque que mon père n'est plus affalé dans son fauteuil. Il a du partir dormir vu son état.
Une fois mes nouilles finies, je lave mon bol et me dirige vers la chambre qui est censée être la mienne. Je monte tranquillement les marches et passe devant la porte de la chambre de mes parents. Des bruits étranges semblent en sortir, des soupirs d'extases et des gémissements étouffes. Fatigué tu parles. Pour un câlin il dirait jamais non, pervers de père. Je me demande d'ailleurs si il est pas pire que mon parrain...

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Le soleil vient me titiller les yeux et me sors de ma torpeur. Il est quelle heure...
9 heures ? La vache, comment sa se fait ? Je me tourne vers ma fenêtre ou l'ont peut voir au loin au travers le soleil bien présent et trop lumineux a mon goût. Je remarque que je n'ai pas encore de rideaux a ma fenêtre. Super je vais me taper des réveils super tôt pendant quelques temps. Ça va être drôle tiens.

Je me lève tant bien que mal tandis que la sonnette résonne en bas. Sans vraiment m'en soucier, je m'habille rapidement d'un tee-shirt noir et d'un pantacourt marron, puis je descends a la cuisine la tête dans le cul. Ben tiens, ca m'aurais étonné, ma mère se trouve dans la cuisine. Je lui fait une bise en guise de bonjour et m'assoit a table. En face de moi un journal a peine entamé.

- Papa a eu une urgence ? Demandais-je a ma mère en pointant le bout de papier.
- Non il est partit ouvrir a notre visiteur. D'ailleurs il est bien long le bougre. MINATO !!

Un éclair jaune apparu rapidement devant ma mère tandis que je m'esclaffais devant mon petit déjeuner.
- Oui mon ange rouge ?
- Mais que faisais-tu bon sang ? C'est si long que ca d'ouvrir la porte a quelqu'un ?
- Non mais c'est une connaissance de longue date que je n'ai qu'aperçue hier. D'ailleurs bougre d'imbécile de fils, c'est pour toi.

J'aime pas quand il m'appelle comme cela, même si c'est taquin et gentil ca m'énerve. Je me relève et me dirige vers l'entrée en trainant les pieds, une cuiller dans la bouche et me grattant allègrement le torse sous mon haut.

- C'est pour quoi ?

Je me fige de surprise. Devant moi une nymphe aux cheveux noirs, portant une robe blanche avec une ombrelle m'observe de son regard laiteux tandis que la cuiller s'échappe de ma bouche et tombe bruyamment sur le sol me sortant de ma contemplation. La surprise m'avait complètement rendu aphone. Je ne pouvais plus parler tandis que la jeune femme se mit doucement a rire tandis que ses joues se rosirent d'un ton légèrement pourpré. Une beauté traditionnelle japonaise se tenait devant moi et je ne pouvait dire mot.

- Bonjour Naruto-kun.

Sa voix fluette et douce fit écho dans mon cerveau déconnecté se répétant indéfiniment. Je recouvris rapidement mes esprits. Merde c'est vrai quoi, hier il faisait certes sombre mais je la trouvais belle, mais la j'étais scotché.

- Salut Hinata, ca fait un bail...

Elle se remit a rire doucement en cachant sa bouche avec sa main libre. Ce geste apparemment anodin était d'une grâce rare. Assurément, elle avait eu une bonne éducation, comme tout les Hyuuga d'ailleurs.

- Si tu considères qu'hier soir c'était un bail...

Pas un bégaiement, la vache le changement. Mais ou est passée la petite Hinata toute timide qui bégayait pour un rien et qui rougissait a longueur de journée ? Elle a pas pu changée en cette femme élégante et qui semblait sure d'elle ! Dans un ricanement léger je me frottais l'arrière du crane, signe que j'étais gêné. Elle le remarqua et ria a nouveau doucement.

- Tu n'a pas changé Naruto-kun...
- Toi par contre tu as changée, toi qui était tout chétive et timide, tu es devenue une beauté rare.

A mes mots elle rougit violemment et se mit a triturer ses doigts tout en baissant le regard. La gène avait semble t-il prit possession de son corps et de son esprit. Finalement je retire ce que j'ai dit, elle n'a pas tant changée que ca. Soudain je remarque enfin la cuiller sur le sol, dans un mouvement souple je le ramassa et invita la jeune femme a entrer ce qu'elle accepta non sans quelques bégaiements revenus. Cette journée s'annonce sous les meilleures auspices.
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Cela fait trois mois que je suis revenu a Konoha, la vie s'écoule paisiblement, mon père est enfermée dans son bureau 10 heures par jour a remplir des papiers administratifs. Moi dans tout ca ? J'aide mon père de temps en temps quand celui-ci est surchargé de travail, sinon je passe mes journées avec ma nymphe quand j'ai pas de boulot. Vous vous demandez pourquoi je l'appelle comme cela n'est-ce pas... Pour tout dire officiellement c'est mon amie d'enfance, officieusement c'est ma petite amie.

Depuis quand ? J'aimerais vous dire depuis que je lui ait offert la bague a l'hôpital, mais sa serait un peu exagéré. Une bague... Ah oui c'est vrai que quand je lui ai offert ce bijou j'ai cru naïvement que c'était un pendentif mais en fait c'est un anneau. La tête que j'ai tiré quand je l'ai sut. Dire que je croyais encore que c'était un pendentif aussi j'étais surpris quand j'ai vu l'anneau sur son majeur.

Ainsi pendant des journées entières je flânais accompagné de la jeune femme, discutant, riant pendant que l'on se baladait dans le bois environnant au village. Le village était plutôt petit mais de nombreuses maisons et domaines se trouvaient en dehors du village. C'est la cas par exemple de la maison d' Hinata qui se trouve dans un quartier résidentiel en bordure de foret.

Nous étions plutôt discret dans le genre couple. Hinata venait me chercher peu après neuf heures et rentrait peu avant la fin des cours de l'école. Ainsi nous pouvions en toute discrétion et tranquillité nous balader dans la foret main dans la main. Mais bien sur en dehors de nos petits rendez vous nous agissions comme de très bons amis, car d'après ce que j'ai entendu Hiashi Hyuga ne laissait personne s'approcher de sa fille. En même temps je ne peux le blâmer de vouloir protéger une telle fleur. Cependant un jour la chose qui pouvait arriver arriva... on s'est fait griller.

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Je me tenais droit le regard fier et déterminé devant mes futurs bourreaux. Des sueurs froides glissaient le long de mon dos tandis que je gardais cette apparence imperturbable. D'ailleurs il le fallait bien devant ces deux hommes, ou bien ma vie s'arrêterait dans les minutes qui suivraient. Oui devant se trouve mon paternel et le père d' Hinata qui m'observent d'un regard lourd. Mon père me fixe de son regard pénétrant tandis que celui d' Hiashi est plein de reproches.

- Dis moi mon fils, cette relation avec Hinata est-elle vraie ?
- Oui père.
- Pourquoi ne pas nous l'avoir dit... me demanda Hiashi
- Je ne voulais pas la mettre mal a l'aise avec vous. Elle éprouve un grand respect pour vous et souhaite faire de son mieux pour que vous soyez fier d'elle.

Il soupira et ferma les yeux entrant dans une profonde réflexion, permettant ainsi a mon père de me bombarder de questions.

- Pendant combien de temps ?
- Un peu plus de deux mois.
- Mmmh... et jusqu'où vous êtes allés ?

Sans le vouloir je me mis a rougir a cette question embarrassante. Mon père et sa franchise je vous jure. Il n'a donc aucun remords a poser ce genre de questions quand le père de la seconde concernée est présent... d'ailleurs ou est Hinata ?

- Elle est a la maison, elle m'attend pour que l'ont ait une discussion.
- Ah...

Je me tus par la suite. Je ne savais quoi dire , je ne voulais pas répondre a la question embarrassante de mon paternel, mais je ne voulais pas parler d'Hinata avec son père. J'avais peur de faire une gaffe. Ainsi pendant plusieurs minutes je fixait le sol perdu dans mes pensées en attendant comme un coupable la sentence. Puis au bout d'un moment je sentis un léger courant d'air...

Mon père se tenait la, assit sur le rebord de la fenêtre, tourné vers nous. Le vent balayait sa longue veste blanche tandis que ses yeux me regardaient.

- Naruto, tu sais je ne t'en veux pas, ni te jugerais de quoi que ce soit sur ce qu'il se passe. Mais sache qu'il faut nous mettre au courant de ce genre de choses. N'oublie pas que Hinata est la future chef de la famille Hyuuga.
- Qui plus est le conseil voit d'un mauvais œil le fait que ma fille veuille se mettre en couple avec un étranger à la famille.
- Alors vous nous demandez de nous séparer c'est ca ?

Un silence pesant s'abattit dans la pièce. Mon père fronça un peu les sourcils tandis que Hiashi eut un mince sourire.

- Normalement oui, Naruto-kun mais je crois connaître un moyen de changer cela.
- Est quel est-il ?

Le chef Hyuuga souffla et me fixa de son regard pénétrant. A travers ce regard il cherchait a me communiquer ce qu'il voulait. Un frisson me parcouru l'échine tandis que mon père s'enflammait.

- Il n'en est pas question Hiashi !
- Hokage-sama,
- Nous sommes un village secret d'assassins, certes la majorité de nos habitants sont des ninja reconnus dans tout le japon. Mais Naruto n'a que 17 ans, il est trop jeune et inexpérimenté pour avoir des mission d'assassinat !
- Si nous voulons que le conseil accepte cette relation, Naruto-kun doit devenir un jounin, sinon ils refuseront et trouveront un prétendant a ma fille.
- Hein ?! Fis-je étonné

Cette phrase m'avait mis sur le cul. Comment ces vieux séniles pouvait oser donner un prétendant a Hinata. Alors que j'allais m'élancer, Hiashi me stoppa d'un geste ferme.

- Attends je n'ai pas fini.

Je me calma aussitôt quand il me lança un regard dur, détermine, fort. Cet homme avait une incroyable prestance, un charisme effrayant qui inspirait le respect.

- Aucun prétendant ne peut-être accepté sans mon aval. C'est ainsi écrit dans les lois familiales régissant les Hyuuga. Cependant le conseil aussi a un droit de veto, donc si tu veux être avec ma fille, il te faudra les convaincre, leur prouver ta force.
- Hiashi, tu veux qu'un gamin pas encore majeur fasse un contrat ? Veut-tu ruiner son avenir ? L'envoyer a la mort ? Le...
- J'accepte. Je ferais cette mission.

Mon père se tourne vers moi le visage blême. Ses yeux exorbités et sa bouche légèrement ouverte laissait transparaitre sa surprise, son choc.

- Réfléchis bien mon fils, ce genre de contrat n'est pas le genre de missions que tu fait habituellement.
- Je sais. Mais mes capacités à collecter des informations, à me dissimuler, à infiltrer n'importe quel bâtiment pour espionner et m'échapper par la voie des airs me seront utiles. Seul l'objectif change.

J'avais dis mes derniers mots avec une voix froide, une voix qui n'était pas habituellement la mienne. Devant le mutisme des deux hommes je poursuivis.

- Si pour avoir son amour, je dois tuer, si pour avoir son amour je dois me salir les mains du sang d'un homme, si pour avoir son amour je dois devenir un assassin, alors je le ferais sans hésitation, car elle est pour moi la plus importante personne a mes yeux.
- Et si elle te rejette en apprenant la chose ?

Un sourire apparut sur les lèvres. Doucement je tournais mon regard vers celui de mon père, puis vers celui de Hiashi.

- Elle ne le fera pas.

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Quelques minutes après cette discussion, Hiashi me proposa un contrat d'assassinat. Un certain Sasuke Uchiha veut éliminer son grand père Madara Uchiha qui est a la tête d'un clan de yakusa afin de le reprendre en main. Je dois partir ce soir sans fautes pour accomplir cette mission. Sans un mot je sortis du bureau de mon père et me dirigeât vers ma maison.

Sans une seule parole a ma mère je me dirigeais vers ma chambre afin de me préparer. Puis avant de sortir je la préviens que j'avais une mission d'espionnage en ville et que je serais de retour dans une semaine. Elle acquiesce sans un mot, bien que son visage reflétait l' étonnement. Après une bise affectueuse a ma génitrice, je sortis du foyer douillet ou ma famille venait de s'installer pour accomplir la mission qui changera ma vie.

Mais je ne pensais pas que je la croiserais en ville. En l'apercevant, j'essayai de me dissimuler... en vain. Elle m'avait déjà aperçu, et se dirigeait vers moi.

- Naruto-kun...

Je sortis de ma planque de fortune, vaincu tandis que je gardais le visage abaissé. Je ne voulais pas la revoir avant mon retour, je ne voulais pas croiser son regard si tendre. Il fallait que je l'évite jusqu'à ce soir, pour pourvoir me préparer mentalement a ce qui allait arriver. Mais dieu en a voulu autrement.

- Naruto-kun... c'est vrai que tu pars pour une mission d'assassinat.

J'acquiesce de la tête, je n'osais relever ma tête.

- Pourquoi ?
- Pour pouvoir t'aimer...
- M'aimer ? Ne m'aimes-tu pas déjà ? Tous ces mots si doux a mon oreille, était-ce des mensonges ?
- Non... ce n'était pas des mensonges.
- Alors pourquoi ? Dis moi je t'en prie.

Pendant qu'elle disait ces mots elle prit mon visage dans ses mains et m'obligea a plonger mon regard dans le sien. J'y trouvât le doute, l'appréhension, la peur. Tout ce que je craignais ce trouvaient dans ces yeux de nacre. Mes forces commençaient a m'abandonner. Je n'était plus sur de rien.

- Dis moi pourquoi.

Quand elle répéta ces mots mon cœur fit un bond sans que je sache pourquoi. Une grande chaleur envahissait ma poitrine et se rependait dans mon corps. Doucement je posais ma main sur la sienne qui était toujours sur ma joue. Je commençait a la caresser lentement dans une infinie délicatesse. Puis je sentit un métal froid. Avec douceur je pris sa main et l'observa.

Une pâleur presque lunaire, une douceur supérieure a la soie et une finesse digne des plus belles déesses. Sur cette main si délicate, d'apparence si fragile je vis une bague mise sur le majeur. Cette bague. Je fut étonné de la manière dont elle avait mise mon cadeau.... je me mit a rire intérieurement. Décidément j'étais vraiment innocent a cette époque quand j'y repense.

Doucement je retira la bague sous l'œil intrigué de ma nymphe. Puis sans plus grande cérémonie je la déplace et la lui met sur l'auriculaire. Ce geste la paralysa immédiatement. J'étais contant, c'était la réaction que j'attendais sur le moment. Profitant de cette paralysie temporaire, je déposât un baiser sur l'anneau argenté puis un autre plus tendre sur le front.

- C'est pour pouvoir faire ce geste que je vais braver la mort et souiller mes mains.
- Je...
- Écoutes moi... De part ce geste je te promet de te rendre heureuse quoi qu'il arrive. C'est une promesse a vie, et je la tiendrais pour toi.

Alors que je lui caressait la joue, je sentis une larme couler sur mon pouce. Je l'essuya sans ménagement. Je comprenais ce qu'elle ressentait. Elle avait peur de perdre l'être aimé, de le voir disparaître a tout jamais. Ce genre de situation ou tout fous le camp provoque une si profonde douleur... Un bruit attira mon attention et je détournait mon regard d'Hinata. Au loin deux hommes me faisaient des signes, m'invitant à les rejoindre.

- Je dois partir...

Dans la plus infinie délicatesse je pris possession de ses lèvres, scellant a jamais dans notre cœur cette promesse. Je la sentit lever ses bras et caresser amoureusement mon torse. Je lui attrapa la main et m'abaissa près de son oreille...

- Je reviendrais je te le promet.



La suite très vite :)

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