Itachi mort, n'ira ni au paradis, ni en enfer. Mais il se retrouvera à travailler pour des nuages, avoir comme rare locuteur un autruche multicolore de 3 mètres de haut et à visiter (peut-être) les plus beaux endroits d'un monde inconnu. Itachi parfois OOC
PrincessBuki (Féminin), le 12/02/2010 J'aurais aimé ajouter que le genre de la fiction serait surement voyage.
Tout au long de la fiction, je vais peut être demander quels personnages (morts dans le manga) pourraient apparaître.
Chapitre 2: Le petit paradis
Le petit paradis
« Travailler pour vous ? »
Me voilà en route, j’y vais.
Où je vais ?
Je n’en sais rien mais j’y vais.
Le petit gros m’a expliqué qu’ils voulaient que je voyage sur leur fichue planète, que j'écrive un journal de bord, que je voyage quoi…
Pourquoi ?
Eh bah, je n’en sais franchement pas grand-chose.
Ils m’ont même filé un énorme truc, je n’ai retenu que la moitié du nom :
« Un tappal’œil fochto sholère waterplouf»
Bref, il m’a dit le petiot.
« Quand tu vois des jolis trucs, tu les regardes dans le machin et puis t’appuies sur le bouton, plusieurs fois, et sans bouger »
D’après ce que j’ai compris cette chose servirait à retranscrire des images quelque part.
Ingénieux, non ?
Pour ceux qui ne peuvent pas dessiner autre chose que des p’tites étoiles et des p’tits cœurs.
La raison pour laquelle j’ai accepté, elle se tiendrait en un nom.
Sasuke
Bon, déjà pour clarifier les choses, les deux énergumènes que j’ai rencontrés sont le prince des nuages, Remington, et sa mère… Joaaaannaaa… C’est comme ça qu’elle prononçait.
Alors eux, ils font la pluie, le beau temps, les orages, les nuages, et tout ce qui concerne la météo sur cette planète, à mon humble avis, complètement paumée… Ainsi que des tonnes de produits dérivés, des T-shirts, des tasses et des peluches… Breuf, ils font donc la météo, mais ils ne savent même pas ce qu’il y a en bas, si bien qu’ils ont cherché un pauv’ clampin pour leur ramener des « fochto » d’en bas, et écrire un journal de bord, qui se vendra surement comme un cadeau d’anniversaire de derniers recours, qui finira par la suite au feu et aura servi à réchauffer la famille de Crachenaya qui l’aura acheté.
Ouais, bon, mon petit con de frère. Remington a dit que si je lui fournissais de quoi faire son album, il avait un truc, genre porte inter-dimensionnelle, pour que je vois ce qui se passe d’où je viens, et en particulier pour faire l’arapède avec Sasuke pour le surveiller (Une arapède est une bestiole qui se colle aux rochers).
Il m’a également proposé pour… Gratis, un pagne ou un truc dans le genre pour que je ne promène pas à poil, bah je suis plutôt satisfait, m’a filé un caleçon et pis une salopette noire en tissu, j’ai l’air d’aller traire les Dahus mais il faut se contenter de ce qu’on a.
Bref, ni vu, ni cul nu.
Et puis, je suis descendu de mon petit nuage…
Nan y’avait pas d’ascenseur, nan, y’avait pas d’escaliers, pas non plus de télé-porteur.
Rem’ m’a donné un pédalo pis une grenouille dorée à rayures bleues.
Première question.
Pourquoi il m’a filé ces trucs là ?
Réponse : Vous allez voir bande de curieux
« Alors tiens un pédalo et pis un crapaud pour descendre
- T’as pas plutôt un oiseau, de préférence un qui vole, ou un parachute ? Ou un deltaplane ? »
Alors, il m’a mis mon pédalo sur une rivière blanche, il ne vaut mieux pas plonger, y’a pas de fond.
Je suis monté dessus pas bien rassuré.
Et puis j’ai commencé à avancer, la grenouille dans la main.
Rem’ marchait à côté, sur la rive, et pis là j’ai vu un énorme panneau, avec marqué « Merci de votre visite, et à bientôt chez AirCatastrophe »
Là, rassuré, j’l’étais encore plus…
« Attention gamin la chute est rude ! Au fait c’est quoi ton nom ? Cria Rem’.
- La chute ? Ah oui, je m’appelle Itachiiiiiiiiiiiiiii »
Trop tard.
Je crois bien que je tombe là les gars …
« iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »
Je commençais à apercevoir en bas, des montagnes, pas bon ça.
Les montagnes c’est bon, les montagnes c’est frais alors tous à la station de ski d’Geoffrey (gros délire)
Et puis tout à coup, la grenouille gonfla et enfla, gonfla, enfla (jusqu’à se faire plus grosse que le bœuf…)
La grenouille aussi rapide qu’un jaguar, aussi grosse qu’une baleine, s’agrippa au pédalo, tel un ballon et fit ralentir énormément la chute.
En résumé, un énorme crapaud et un pédalo me font office en ce jour pourri de montgolfière, la grosse nouille étant le ballon et le pédalo la nacelle.
« Hé c’est dingue, on vole bien, mais je crois qu’on fonce droit dans une falaise là ma grosse.
- Coaa
- Ne m’fait pas répéter, remonte viiiiite ! »
*PROUT*
CA, c’était pas moi, c’est la grosse nouille, mais c’est con, on remonte.
« Eh bah c’est charmant ça
- Coaa »
Quelle interlocutrice, j’vous jure, nan mais…
MAIS depuis quand je parle avec une grenouille moi,
Ma conscience me dit 3 minutes.
La raison me dit que je suis dorénavant complètement con.
Mon pénis me dit qu’il aimerait bien se gratter.
Hé bien gratte-toi.
En attendant on s’est posés, alors, il fait chaud, y’a des arbres partout, c’est pas des montagnes, c’est une jungle… Est-ce qu’avec leurs produits dérivés de nuages, ils vendraient des lunettes, mes débiles gardiens ?
Je m’aventurai alors, dans ce fatras de lianes et d’arbres exotiques.
Et puis là malgré tout, malgré le sarcasme, malgré l’excitation qui me liait d’enfin revoir mon frère sans qu’il se jette sur moi avec une matraque en me hurlant qu’il voulait me tuer, je pris le temps, tout mon temps, d’observer, de chérir, de profiter et d’apprécier la vue qui vint s’offrir à moi telle une femme en chaleur ( je sais, cette comparaison, bien que cohérente casse tout)
Caché entre les monts, un point d’eau s’exhibait tout en secret, quelques plants de terres exotiques y flottaient, sur celles-ci, de majestueux piliers de pierre semblaient affronter le temps, quelques traces de peinture subsistaient, des gravures aux reflets argents sous une lumière paresseuse ornaient les flancs de pierre. Certaines colonnes sortaient également de l’eau, laissant penser, qu’il y aurait eu une civilisation ici, mais qu’elle
aurait été engloutie, était-ce récent ? Antique ? Aucune idée.
Je m’approchais d’une des colonnes lorsque, une voix m’interpella :
« Hé toi !
La voix était grave mais féminine.
- Qui est là ?
Seule question que je pus poser.
- Là, ici, aide-moi
Je regardais dans la direction, d’où, on avait parlé…
Une carapace aux reflets chatoyants.
Des pattes sortaient de derrière, mais devant, nada.
- Eh oh, j’arrive plus à sortir ! File moi un coup de nageoire !
Je m’approchai, et mis les mains dans la carapace par curiosité, quelque chose m’attrapa les mains.
- Ouais, c’est mes mains ça, tire Marine ! »
Je tirai, tirai, tiraaaiiiiiiii, Grrrrr, c’est dans ces jours-là que l’on devrait avoir une plaquette de beurre sur soi.
Ah nous y voilà, j’avais tiré une fois pour toute, et la chose enfermée était sortie à une telle vitesse que j’étais parti avec elle, je m‘écrasai pourtant lamentablement à côté de mon amie grenouille alors que la chose tombait à l‘eau.
« Merci, je te dois ça !
Une jeune fille avec des cheveux roses attachées par l’opération du saint esprit en chignon sortit de l’eau et émergea devant moi.
- Elle est où la tortue ?
- Hein ?
- La tortue, je viens de sortir une tortue, nan ?
La jeune fille éclata d’un rire se perdant en de multiples échos dans le petit paradis.
Puis, elle attrapa furtivement la berge, et se hissa.
Elle n’avait pas de pieds, mais une carapace et des nageoires de tortues qui s’en échappaient.
Egalement, sa seule partie humaine était dénudée ( et non pas « oh une meuf à poil wesh wesh canne à pêche ), sa poitrine était visible, breuf, j’étais rouge pivoine.
Elle regarda mes jambes, et poussa un petit hennissement de surprise.
- Où sont tes nageoires ? Qu’est-ce que cette peau noire sur ton dos ?
- Nageoires ? Je n’ai pas de nageoires.
Je tirai sur une des bretelles de ma salopette.
- …
- Et ça c’est une salopette.
- Tu n’es pas d’ici ? Tu viens d’où ? Comment tu t’appelles jeune fille ?
- Jeune fille ? J’suis pas une femme !
Elle plaqua la main sur sa bouche , afin d’étouffer un cri.
- Tu es un… Un…
- Oui, je suis un
Elle me coupa.
- Un Extra-Diddlestre !
Je tirai ma super tronche qui veut dire, qu’Est-ce’qué ché qu’che truc ?
- Non je suis un garçon, inquiet je rajoutais, est-ce que tu sais ce que c’est ?
- Non… Mais je voudrais savoir ton nom… Garçon ? Dit-elle avec un ton hésitant
- Itachi, Itachi Uchiha, et toi ?
- Je m’appelle Jewelry, Jewelry Bonney
Elle me fit un grand sourire.
Le déclic ne se fit que peu de temps après, je sortis de la poche frontal de l’habit le tappal’œil fochto sholère et appuyai, face à son sourire sur le bouton, un énorme flash de lumière en sortit, en quelques secondes après Jewelry était sur image.
Et l’appareil photo fut !
- Ouah c’est trop super ton truc ! Ca met les gens sur images ! S’écria-t-elle, viens avec moi ! Je vais te montrer des trucs supers, et pis toutes mes copines : Hancock, Hallibel, Anja et toutes les autres.
Elle attrapa mes pieds et me traîna dans l’eau de force, m’entraînant dans les profondeurs de l’eau bleutée, avec ma grenouille que j‘avais attrapée.
Itachi va-t-il mourir noyé car une sirène voulait qu’il prenne des photos de ses copines ? Est-ce que Remington a un père ? Joanna connait-elle la chirurgie esthétique ? Et enfin quand sort le One piece 53 !?