Fiction: Trois tarées

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«Éli…. », grinça la jeune femme blonde sur le bord de la crise.

« Oui? » firent Éli et Élie.

« Je te déteste »

Le cannibale qui se trouvait à sa droite la poussa à la façon d’une balançoire, ce qui lui arracha un juron. Les mains et les pieds de Maude étaient attachés à un long morceau de bambou. L’adolescente y pendait comme un vulgaire animal. La même chose était arrivée à ses amies. À chaque bambou, deux cannibales tenaient l’extrémité. ( Chouette comme moyen de transport). Cinq autres montres les entouraient. Ils semblaient les mener à leur chef.

‘’ On dirait des Pygmées, en Afrique ‘’, remarqua la chinoise en regardant ses ravisseurs, simplement vêtus d’une sorte de culotte en branche, à la peau foncée. En effet, il est de notoriété publique que la tribus autochtones des Pygmées est cannibales.

Soudain, ils arrêtèrent de marcher. Un homme beaucoup plus gros que ses congénères s’approcha d’elles, les toucha sur le bras,. la jambe ou le ventre et adressa quelque grognement à un maigrichon à la longue barbe blanche, qu’Éliane devina que c’était sûrement le Shaman, et ordonna à deux femmes d’allumer un feu d’un seul geste de la main. Le maigrichon arriva avec deux longs couteaux.

« Gloup! », firent les trois tarées.

XxxX

Les trois filles étaient sur le point de se faire décapiter par des cannibales, mais les membres de l’Akatsuki s’en fichaient. L’acool coulait à flot, le pop-corn était au rendez-vous et certain nez étaient de plus en plus rouges.

Tous étaient à la fête, du chef qui regardait fiévreusement Moé, la huitième membre du groupe, à Tobi qui ronflait dans un coin, une bouteille de Saké à la main. Itachi aussi était de la partie, mais il préférait lire du Victor Hugo dans un coin avec unecoupe de l’un des meilleurs vins du pays de l’Herbe.

Mais si certains étaient tranquilles, ce n’était pas le cas pour tout le monde. Kisame, Kakuzu, Zetsu, Hidan, Deidara et Sasori fêtaient en bonne due et forme.

« Hidan, passe-moi une autre bière », lui demanda Kakuzu qui était déjà rendu à sa cinquième.

Hidan riait bêtement. Il la passa à Kisame pour qu’il la passe à Kakuzu.

« Eh! Kaku…. Tu sais qui à découvert l’alcool? »

« Je m’en fiche…. », répondit-il, le regard fixé sur la télé.

Maude engueulait Élizabeth.

« Ce sont les moines qui on découvert l’alcool, tu saura. » , fit fièrement Hidan.

« Les moines? », s’étonna Sasori

« Oui, les moines! », lui confirma-t-il en leva sa bière avant d’en prendre une longue gorgée.

Mais Sasori avec reporté son attention sur les filles qui tournaient sur le feu comme on cuit un cochon.

Kisame trouvait qu’il manquait quelque chose à la soirée. Comme si c’étais pas assez bruyant à son goût.

« Où est Deidara? », demanda-t-il au marionnettiste qui, trop concentré sur ce qu’il se passait à la télé, se contenta de hausser les épaules.

Un peu plus loin, Hidan senti deux mains se poser sur ses épaules et descendre sur son torse. Cela le surpris et il se tendit. Deux bras musclés l’entouraient à présent et une tête blonde se posa sur son épaule.

« Dei… Deidara?!?!?! », paniqua le croyant, « Mais qu’est-ce que tu fous là?! »

Le blanchet n’avait pas l’air d’apprécier ce qu’il se passait. Pourtant, le blond le trouvais toujours aussi désirable. Ses yeux rouges, sa chevelure à l’allure si douce, sa peau si tendre…

Hidan avait secrètement été son fantasme depuis quelques années maintenant. Et ce soir, il allait être sien.

Deidara contourna le sofa et, sous le regard étonner et même offusqué de certains, se mit à califourchon sur les genoux de l’homme à la fourche. C’est à se moment que certains remarquèrent sa jolie tenue, qui n’était qu’une tenue de Pompom girl trop serrée pour lui. ( Mort par asphyxie! )

« Deidara, fous le camp! », insista Hidan

« Quoi, tu n’aimes pas ça? »

« Non! Il est contre ma religion de faire ce genre de pratique et de plus, j’aime les femmes! », cria-t-il au blond qui s’en trouva d’abord surpris, mais dont l’attention se détourna bien vite.

« Sasori, rends-moi ça! », pesta Zetsu contre le rouquin.

Sasori s’était emparé de la Zapette.

« Non, c’est plus aussi amusant maintenant. Elles vont se faire bouffer, et alors? Il doit sûrement y avoir des choses plus intéressantes à voir… »

Il zappa, ignorant les protestations des autres membres, et trouva quelque chose d’autrement plus intéressant.

Tv : Hey kids, let’s sing all together!

Kids: Yeah!

The big puppet: Okay, for that one, let’s sing something about…

The little puppet: Birds!

B: Why birds?

L: Because it’s spring tomorrow and I know birds are gonna be happy about it! Just like us!

B: But you forget about the flower too! Shame on you.

Kakuzu frappa Sasori et en profita pour reprendre la zapette.
« Premièrement, on s’en fous de tes marionnette et deuxièmement, c’est en anglais et c’est pas tout le monde qui le comprends ici. », ragea-t-il contre le pauvre petit marionnettiste tout penaud en changeant de poste.

Ha, une chaîne anglophone aussi : La bourse.

« Nani?! ?!?! », s’étonna-t-il en voyant les chiffres de la bourse étrangement bas.

« Ben voilà! Les marionnettes étaient autrement plus intéressantes que tes chiffres! », pleurnicha Sasori.

« Mais… mais…. », balbutia l’homme masqué, étrangement plus blanc qu’à l’habitude. « C’est pas vrai …. »

« Quoi! », s’exclamèrent les membres saoul de l’Akatuki ( pas Itachi évidemment) en voyant les larmes lui monter aux yeux. Kakuzu….pleurer?

« La…. * Snif* LA BOURSE VIENT DE CRASHER À NOUVEAU!!!! J’AVAIS TOUT PLACÉ DANS LE NASPAQ ET REGARDEZ-MOI ÇAAAAAAAAAAAA! OUINNN!!!!!!!!!!!!!! », brailla-t-il en se précipitant vers la fenêtre la plus proche. « Je n’ai plus aucune raison de vivre, vraiment! Même dans mes pires cauchemars, je ne me suis jamais imaginé en train de vivre un jeudi noir * Snif*. Je compatis avec tout ceux qui se sont tirés du haut de la bourse à Wallstreet le 24 octobre 1929 et maintenant, adieu monde cruel…. », dit-il en passant une jambe parla fenêtre.

Étrangement, Zetsu se leva et cria :

« Non ! Attends…. » et tous tendirent l’oreille, même le suicidaire.

Tv : Voici un aperçu de ce qu’on vécu les gens en 1929 lors de la crise économique. Ce fut dans l’histoire…

Kakuzu sécha précipitamment ses larmes et, refermant la fenêtre, il alla se rassoire parmi les autres membres.

Sasori se rempara encore de la zapette et remit l’émission de marionnettes.

B : We spring, spring, spring! Like the birds on the branches! We sing, sing, sing, sing! Like the flowers in the ……

Kisame frappa encore Sasori et s’empara une autre fois de la zapette.

« Oublies ça, je veux les résultats du dernier match de foot américain. », dit l’homme bleu, et il tomba sur une partie de football : La Saskatchewan vs les alouette de Montréal.

Zetsu prit possession de la zapette à son tour.
Tv : Ensuite, je vous conseille d’y mettre un peu d’engrais biologique car nos plate bandes aiment…

Sasori était découragé.

« Ouais…. La semaine verte. C’est pas un peu pathétique? », demanda-t-il à son ami végétal.

« Beaucoup moins que ton émission de marionnette qui célèbrent l’arrivée du printemps! », rugit la plante.

Une bataille pour la zapette possédée éclata. Une bataille pendant laquelle Deidara en profita et, se retournant pour enfuire son visage dans le cou d’Hidan, il se mit à penser à la nuit qui l’attendait à présent.

« Mmm… Hidan… », murmura-t-il en embrassant le cou de l’homme. Son doigt descendit le long du torse à moitié dénudé du ninja à la faux. «Blow job? »

Il eut comme seule réponse un immense ronflement sinistre à la Tobi. Vexée, Deidara se leva, soupirant, et il tituba jusqu’à la chaise à côté de l’homme requin.

« C’est de la merde tout ça. J’en est marre. À chaque fois que je drague, ça tourne mal!… », se plaignit le blond prenant la bouteille de bière des mains de Kisame. Ce dernier la lui laissa sans trop se plaindre et préféra reprendre le contrôle de la zapette.

Il en revint au trois filles.

Tout l’Akatsuki était sous le choc. Elle s’étaient évadées! Et en plus cordes avaient été grossièrement coupées. ( Comme si ça avait été fait à la scie… ) quelques touffes d’herbes étaient en feu et un bébé serpent grignotait un insecte qu’il venait de trouver par terre. Et les cannibales, eux?

Ils étaient tous à terre et hurlaient en se tenant la tête en les mains : Leur repas avait disparu.

« Mais… mais elles sont où? », demanda Zetsu, presque paniqué.

Kisame, lui, ne savait pas où elles étaient rendues, mais avec qui elles étaient rendues…. IL avait disparu…

XxxX

« …Comment t’as fais? Comment t’as fais? Comment t’as fais? Comment t’as fais?….. », demanda Élizabeth envers sa copine au cheveux brun.

« Coupe cet arbre là. », ordonna Maude en pointant un arbre qui leur barrait la route. Elle retint une grimace de douleur. Il fallait dire que le feu pouvait être très chaud quand il le voulait. Ses mains et ses jambes étaient couverts de brûlure. « Aie! »

« Besoin d’un coup de main », proposa une voix derrière elles.

Zafara se retourna vivement, la scie levée, près à combattre, mais elle tomba de douleur. Maude, qui avait reconnu la voix de son sauveur, sourit. Elle se tourna lentement. Pas besoin d’avoir bobo. Itachi s’approcha doucement d’elles. Il prit Éli par les épaules et la souleva sans plus de façon. L’Uchiha sortit un pot de sa poche et la tendit à sa douce moitié.

« C’est un baume contre les brûlures », expliqua-t-il en voyant le regard interrogatif d’El. « Mettez en sur vos brûlures. »

Il eut droit à un bisou sur la joue de la blonde, ce qui lui rougit les oreilles et ce qui fit sourire ses amies. Les trois tarées s’enduirent de baume et remarquèrent avec soulagement que la douleur disparaissait rapidement.

« Bon », s’impatienta El. « On sort comment de ce trou perdu. »

« Comme ceci », déclara Itachi d’une voix neutre en sortant une deuxième zapette de son manteau noir. Pas de chance, la chinoise s’en empara dès qu’elle le vit.

« Yeahhhhh!! Une Zapette! »

Maude soupira et tendit la mains pour la ravoir. Élizabeth fronça les sourcils, mais posa délicatement la zapette dans la mains de son ‘’maître’’. ( Bon chien chien) Malheureusement, elle accrocha le bouton : INPUT. Bref… ils se retrouvèrent tous dans un jeu vidéo. Sympa.

Link sauta d’un bloc à l’autre et sortit son épée pour aller frapper Pikachu qui ne lui restait qu’une vie. Mais Mario lui fit son attaque spécial et Link perdit des points. Ce fut Kirby qui élimina le pauvre Pikachu en lui lançant une boule de feu qu’il avait hériter en absorbant Mario quelque minutes plus tôt.

« …. Super Mario Bros. Melee. On pouvait pas tomber mieux! », s’exclama joyeusement Zafara en regardant le match avec intérêt. Link venait de lancer un boomerang à Kirby.

« Éli!!!!! », éclata Maude. Elle venait de péter une coche. Link avait été éliminé par Mario.

La zapette tomba, mais Itachi la rattrapa à tant. Malheureusement, son pouce toucha le 3 à deux reprise… le poste des sports…

Tv : C’est Koivu qui fait une passe à l’aveuglette à Kovalev et…. Quatre personne apparaisse au milieu de la glace! Dites moi, Marty, est-ce une blague. Nos fan de RDS ( Radio des Sports) ne sont pas content.

El s’empara de la zapette et accrocha le 1 et le 9. RDI. ( Radio des informations)

Tv : Un Tsunami à frapper la côte d’une île perdu en Australie. Il y a eu 63 morts et 145 blessés….

BADABOM.

La table cassa car il y avait un surpoids. Quatre personnes étaient apparus.

Maude s’écrasa contre la zapette. Un tourbillon les envelopèrent et ils se trouvèrent au milieu de l’océan. Itachi prit Maude par la taille pour la maintenir sur l’eau pendant que ses copines profitaient d’un beau bain froid.

Tv : L’accouplement des méduses durent longtemps…

Un requin qui passa justement par là ouvrit la gueule pour attraper la zapette de malheur. Une de ses dents toucha le Tvvidéo.

« Woé! », s’exclama Éliane. « C’est tout bleu! »

Sur leur tête trônait un No Disc tout blanc.

« Elle est où, la zapette?!?!? », s’énerva Maude en lançant un regard noir à sa meilleure amie aux long cheveux noir.

Sploush, sploush.

Un requin sans eau, ça ne survit pas non? Bref… le gentil requin blanc qui avait croquer la zapette mourut devant une jolie blonde blême de terreur. Éliane eut un sourire en voyant qu’Itachi prenait Maude par la taille et la serrait contre lui, comme pour la rassurer. Ce fut Élizabeth qui trouva la zapette et elle eut la brillante idée de la passée au bel Uchiha. Le brun soupira ferma la Tv.

XxxX


« Mais c’est pas possible qu’elles se soient évadées! Comment auraient-t-elles fait? », s’étonna Deidara.

Un gros bras bleu et musclé se posa autour de ses épaules et le ramena vers lui.

« Réfléchie un peu, blondie. Tu ne trouves pas ça étrange que ça ressemble au techniques d’Itachi-san? », lui dit calmement Kisame.
« Mouais, maintenant que j’y pense, c’est possible. Sinon, un petit détail : ne m’appelle plus jamais Blondie, compris? »

« Tout ce que tu voudras », répondit Kisame avec un regard qui effraya presque le blond tant il était bourré de sous-entendus. Cependant, il ne fit rien quand Kisame posa une main sur sa cuisse.

Mais soudainement, un scie géante cloua tous les membres de l’Akatsuki au sofa.

« Désolé les mecs – mademoiselle- mais la place est à nous! », s’exclama Élizabeth en mettant un peu plus de pression sur sa scie.

« Ouais, Xmen 2 commence dans trente minutes, alors bas les pattes! » , dit calmement El qui leva la scie de la chinoise de sur les assassins pour s’assoire à côté d’Hidan ( qui s’était réveillé) qui fut soudainement pris de saignement de nez en voyant la cuisse de la jeune femme contre la sienne.

« Et toi, tu me donnes ça…. », ajouta Maude en prenant la zapette maléfique des mains du marionnettiste.

La blonde senti deux bras se passer de chaque côté d’elle et saisir la télécommande. Itachi la plaqua contre lui et colla la tête de Maude contre la sienne.

« Regarde bien ça…. », murmura Itachi à Maude qui avait de la misère à ne pas frémir sous ce toucher. Et son souffle dans son cou….

Il approcha la zapette de Kisame qui faisait distraitement la conversation à Deidara.

« Kisame. Punch! »

L’homme requin se tourna et d’un coup de dent, puncha la zapette comme s’il s’agissait d’une feuille de temps comme dans les usines. Maude en resta surprise et se mit à rire.

Itachi, quant à lui, fit une chose à laquelle il n’était plus habitué : ses muscles faciaux bien qu’ankylosés s’étirèrent et un sourire apparu sur son visage. Maude avait un si beau rire! Quoiqu’il n’y avait pas que son rire. Il la trouvait si belle,. De ses yeux de saphir à son sourire, à sa peau si douce et blanche comme de la neige, ses manières si délicates… Il embrassa doucement sa nuque et sourit de nouveau en la sentant frémir de plaisir.

Il s’assit sur le sofa le plus près, la pris par la taille pour qu’elle s’assoie à côté de lui et lui versa un peu du meilleure vin du pays de l’Herbe qu’elle pris avec un sourire. Elle se blottit contre lui, la coupe à la main, pendant qu’il lui caressait ses cheveux soyeux. Quel homme parfait! Il était si doux, si attentionné. Jamais elle n’aurait pu trouver mieux. Charles, le gars le plus populaire de l’école, ne lui arrivait même pas à la cheville. La blonde songea à sa famille qu’elle n’avait pas vu plusieurs jours. Fille d’un homme riche, d’une mère perfectionniste où l’argent passait avant tout, elle avait un petit frère toujours sur des jeux vidéo et une nanny surexploitée… Elle y était malheureuse. Elle n’aimait pas ni magasiner ni l’argent ni les jeux vidéo et ni qu’une autre personne s’occupe de ses affaires. Ici, c’était la perfection. Son rêve le plus cher venait de se réaliser : être heureuse avec Uchiha Itachi et ses deux seules amies.

« Mais qu’est-ce que… »

Kisame venait de poser ses lèvres sur celles de Deidara. Tous s’étaient retournés et un malaise envahissait les lieux. Ce malaise s’accentua quand Deidara embarqua dans le baiser et que Kisame se hissa sur lui.

« Vous inquiétez pas, ils sont saouls », soupira Itachi, ce qui détendit l’atmosphère. En fait, une pensée lui traversa l’esprit : il aimerait faire la même chose avec Maude.

« Ouais, eh bien, j’ai bien hâte qu’ils se réveillent demain matin, ça va être beau », remarqua la chinoise.

Les main de Deidara se mirent à parcourir le dos musclé de Kisame, tandis que celui-ci passait de ses hanches à ses fesses, à ses cuisses, à…

« Eh, dîtes, où est votre chef et la fille aux cheveux bleus? Ils me saouls ces deux là. », soupira El en croisant les jambes.

Hidan dû se prendre un cinquième mouchoir….

« Ils ont filés à l’anglaise », affirma le ninja à la faux.

Un regard dédaigneux plus tard, El repris le contrôle de la zapette et tomba sur la fin ‘’ Harry Potter et la coupe de feu ‘’. Voldemort venait de renaître. Queudver était là et les autre Mangemort commençaient à apparaître. La jeune femme se remit à penser à son maître à elle.

Orochimaru…

Cependant, son attention se reporta vite sur les deux autres au bout du sofa. Kisame avait enlevé son chandail et faisait maintenant un suçon dans le cou de Deidare qui semblait apprécier vu ses gémissements.

« Non mais vous avez fini?! Je suis peut-être fan du Yaoi mais… je sais pas trop… pas vous! »

« Et pourquoi pas nous? », répliqua le requin, offusqué.

« Ben, parce que t’es Kisame et lui c’est Deidara et… il est un beau blond aux yeux bleus mais toi, je veux dire… T’ES TOUS BLEU! »

« Et alors? Il est tout bleu, je te l’accorde, mais il est si… », fit ledit blond en regardant d’un air embrumer le sujet en question.

« N’en dit pas plus », murmura-t-il en sachant qu’il n’en pouvait plus d’attendre et il reprit fougueusement ses lèvres.

Leur petit manège repris mais les mains de l’artiste étaient encore plus aventureuses. Ce fut Hidan qui sauta un plomb cette fois là. Il pris appuie sur la cuisse d’El et se leva par dessus elle, énervés.

« J’ai rien contre vous, mais allez faire ça ailleurs, je vous en pries! »

Kisame releva la tête une seconde fois, mais cette fois-ci, sans broncher, il se releva et repris son chandail. Tout le monde soupira de soulagement. En fin, il avait fini!

Cependant, le requin se pencha vers Deidara.

« M…Mais qu’est-ce que tu… ouah! », fit le blond, surpris, quand Kisame le pris dans ses bras pour l’emmener avec lui dans un endroit où…

« On sera plus tranquille dans ma chambre, ok? »

Le regard du Nukenin d’Iwa no Kuni en disait très long sur son accord à la chose.

Ils partirent définitivement.

Le silence s’installa pendant un moment, mais il fut rapidement brisé.

« Et si on retournait à Xmen? », proposa la fille au chaperon rouge.

« Xmen commence dans vingt minutes… » déclara Éliane à voix basse.

« Harry Potter et la coupe de feu… »

Voldemort….

Orochimaru…

Elle ne voulait pas se l’avouer, mais depuis qu’elle était arrivée, le serpent avait occupé une place particulière dans sa vie. Certes, Orochimaru était son ‘’maître’’ et il était un pervers hors-pair, mais il lui manquait beaucoup du fond de sa froide caverne.

Le temps passa, Hidan partit se coucher, de même que Sasori. Il ne restait plus que Zetsu, Tobi, Itachi, Kakuzu et les trois filles.

Élizabeth regarda tout le monde l’un après l’autre. Kakuzu s’excitait du moment qu’on parlait d’argent, Zetsu suivait le film, Tobi dormait toujours, Maude dormait également dans les bras d’Itachi qui regardait étonnamment le film et Éliane…

Éliane était perdue dans ses pensées.

« Il te manque? », comprit Élizabeth.

« Unh? »

« Orochimaru te manque? », reprit-elle.

La brunette semblait embarrassée.

« Oro?!? Euh… N…. No! Non! Orochimaru-sama ne me manqué pas! Voyons… »

« Tu es incapable de mentir, ma pauvre… »

« T’as gagné. Mais c’est quand même pas ce que tu crois, Ok », soupira El en posant un regard découragé vers son amie.

Zafara rit.

« Je sais. J’ai la même sensation aussi envers Gaara. Je ne sais pas ce que c’est mais j’ai envie de le revoir. Quelque chose me retiens à Suna » ( Une coffee crisp oublier par hasard?)

« Moi aussi quelque chose me retiens à Oto. »

Dans l’esprit de la chinoise apparu le visage de Gaara à côté du logo de Coffee Crip.

« Quelque chose de VITAL me retient à Suna »

Élie revit la chevelure soyeuse et les yeux perçant de son maître puis se donna une gifle mental.

« Tu crois que Maude nous en voudrait si on irait les rejoindre? »

Les deux filles se retournèrent vers leur amie. Après tout, s’elle avait trouvé le bonheur, pourquoi pas elles aussi? D’un signe de tête, elles décidèrent que s’en était assez. Élizabeth et Éliane se levèrent, partirent et prirent le premier papier et le premier crayon qu’elles virent..

« Tu écris », déclara Éli en songeant à ses pattes de mouche qui lui servait d’écriture.

« Non, tu écris », répliqua la jeune femme en songeant à son écriture religieuse.

« Elle te lis. Moi, elle n’y arrive pas. »

« C’est bon, t’as gagné », ronchonna El en prenant le papier des main de la chinoise.

Ce fut un message court, mais qui disait le nécessaire. Et puis, de toute façon, Maude avait leur numéro de cellulaire.

« Et voilà! », sourit l’esclave en posant le bout de papier sur une petite table. Impossible qu’elle ne le manque.

« Et si on y allait, Élie? »

Les deux filles sortirent du repère mais, aussitôt dehors, elles s’aperçurent de leur bêtise : Il faisait noir, les hiboux hululaient, il faisait froid et…

« J’appelle Orochimaru! »

« Bonne idée. Tu me passera ton cell après. Il n’est pas question que je parte seule là dedans. »

Avant même que la meilleure amie de Maude ait terminé sa phrase, El avait composé le numéro de son maître.

Driiiing…. Driiiiiiiing…. Driiiiing…..Driiiiiiiig….

« Ça répond? »

« Non… »

Driiiiiiing…. Click.


« Allô », fit la voix du serpent endormi.

El jubilait

« MAÎTRE! »

« El! Où es-tu? »

« Au repère de l’Akatsuki. Je viens de me pousser mais là, j’ai peuuuuuuuuuuuuur! Il fait noir, y’a tout plein de bête sauvage et j’ai pas ça…Mais c’est toujours mieux que d’être avec ses soûlard, alors c’est pour ça que je suis sortie. Ils sont barbare. », lui miaula-t-elle.

« Je comprends El… J’envoie Tayuya te chercher. Ok? Maintenant au revoir, j’ai du sommeil à rattraper. »

« Maîîîître, vous ne pouvez pas me faire ça! J’ai peur, trop peur, et Tayuya ne sera pas là assez vite! C’est… c’est vous que je veux. »

« Moi? Mais regardes l’heure, et puis je suis crevé. Attends un peu, je viens d’arriver près de sa chambre. TAYUYA! DEBOUT!, TU PARS EN MISSION! »

Éliane se mit à pleurnicher

« Maître… »

Le cœur du Nukenin se fendit en deux. La vie était si cruelle avec lui, pourquoi était-il incapable de lui refuser quoi que ce soit? Il l’imaginait loin, seule près du repère de l’Akatsuki, tout apeurée. Et dire qu’elle n’invoquait encore que des bébés serpents et ne savait pas encore se servir de la marque maudite…

Tayuya sortit de sa chambre. Elle avait encore la trace de son oreiller imprimée dans le visage, mais était tout de même prête à suive les quatre volontés du serpent. Cependant, en voyant ledit serpent avec presque la larme à l’œil, elle se dit que sa mission venait de prendre le bord.

« Tayuya, retourne te coucher. El, t’es toujours là? »

« Ne panique pas, j’arrive. Mais est-ce que tu vois une coulée devant toi? »

« Oui »

« Tu vois l’étoile polaire? »

« Alors suis la coulée au Nord. Je te rencontrerai près de la rivière. »

« Merci maître. J’ai tellement hâte de vous revoir! », continua de pleurnicher la jeune fille.

Orochimaru s’en étonna, mais sourit également. Un sourire sincère. Il ferma les yeux.

« Tu me manques aussi. Allez, je pars tout de suite. », dit-il, puis il raccrocha.

Éliane resta sans vois. Son expression ressemblait à une carpe allemande. Élizabeth commença à s’énerver en voyant son expression.

« Il t’as dit quoi? Il t’as dit quoi? Il t’as dit quoi? Il t’as dit quoi? Il t’as dit… »

Élie sortit finalement de sa bulle.

« Appelle Gaara »

« Il t’as dit quoi? Il t’as… »

« Non mais arrête! »

« Il… »

« Il m’a dit que je lui manquait! Contente?!? »

La chinoise passa également au mode carpe allemande.

« Allez, appelle Gaara », grogna la brunette.

La jeune fille au chaperon rouge se calma et pris le téléphone. Aussitôt le numéro composé, on lui répondit.

« Bonjour, vous êtes.. »

Un message enregistrer.

« GAARA! », s’enragea-t-elle.

Aussitôt, le message s’arrêta et ce fut la voix véritable du fils du Kazekage.

« Zafara! Tu as tardé, dit donc! »

Une idée machiavélique passa entre les oreilles de l’asiatique et excita ses deux neurones. Elle allait s’amuser.

« Temari-chan, dieu merci, tu es là… tu veux bien me passer Gaara? »

Au bout du fil, Gaara se redressa du canapé, sentant la rage monter en lui. Non mais pour qui elle se prenait cette…

« Garce »

« Comment m’as-tu appelé? »

« Garce. G-A-R-C-E . »

« Tu va me le payer… », siffla Élizabeth.

« Oh que non! Et que me vaut ton appel à cette heure de la nuit? »

« Ramène-moi à Suna », pleurnicha-t-elle en essayant d’imiter son amie. « Il fait noir, j’ai peur et… »

« Et tu as une grande scie, tu es une grande fille, alors tu va te débrouiller toute seule »

« Mais je suis un petit chaperon rouge et j’ai peur du grand méchant loouuuuuuup! »

« Eh bien ça t’apprendra à me confondre avec ma sœur. Tu l’as cherché tu saurasé T’avait qu’à être plus gentille avec moi »

« Pleurnichard! Trouillard! Je te hais! »

« Sache que c’est réciproque. »

« Sache que je te retrouverai et que quand ça arrivera, tu y goûtera à ma scie, fils de Kazekage ou pas! »

« Parle toujours. Allez, j’ai du ‘’sommeil’’ à rattraper. Tcho »

Gaara raccrocha la ligne. Il poussa un profond soupire tout en gardant dans sa main le téléphone.

« Reviens vite, Zafara », murmura-t-il pour lui même dans l’obscurité du salon.

Zafara, quant à elle, fulminait.

« Il ne viendra pas te chercher », devina Éliane.

« Non. Ce ******* me fait la gueule. Il n’a vraiment pas le sens de l’humour. Allez, je sais que la nuit fait peur, mais je crois qu’il va nous falloir l’affronter. Suna est au Sud-Ouest et ta rivière est au Nord-Est. C’est ici qu’on se sépare, j’en ai bien peur. », annonça la fille au chaperon. Son sens de l’orientation était finalement la seule chose qui tournait rond, chez elle. El sourit et après un court bonne chance et une longue étreinte pour l’au revoir, elles prirent chacune des routes différentes.

Élizabeth s’enfonça dans la noirceur de la forêt, son radar à Coffee crisp en marche. Quand à Éliane, elle pris le bord du ruisseau, et prenant une dernière fois ses arques dans le ciel aussi noir que les cheveux de son maître, elle se mite en marche.

XxxX


Éli avait chaud. Devant elle, que du sable. Cependant, elle salivait plus que jamais. Son radar à Coffee crisp signala quelque chose…

Au nord..

« JACKPOT! », cria-t-elle à s’en époumoner.

Un montagne brune se dressait au milieu des dunes de sable. Elle était petite, mais visible. Dans quelques heures, elle y serait…

XxxX

À droite : Des arbres

À gauche : Des arbres

En avant : Des arbres

En arrière : Des arbres

« Bah, au moins je sais que je suis sans doute au pays du feu, y’a que des arbres. », s’encouragea Éliane. De toute façon, de là où elle était, personne ne pouvait l’entendre.

La brunette se remit à penser à ce que son maître lui avait dit quelque heures plus tôt.
‘’Suis la rivière et reste là où tu en rencontrera une autre et je viendrais te chercher.’’ Quelque chose comme ça. Le problème? Elle se terminait en marécage, sa rivière! Alors, elle avait essayé de prendre un autre chemin, et voilà le résultat…

« Merde, J’SUIS PAUMÉE!!!! », hurla-t-elle à tue-tête. De toute façon, personne ne l’entendrait. Elle était paumée. De plus, son cellulaire était mort, elle devrait attendre d’être arriver à la demeure de son maître pour le recharger.

Son maître…

XxxX

Kabuto et Orochimaru attendaient toujours près du dit’’ Marécage’’ qui n’était qu’une rivière boueuse.

« Kabuto »

« Oui, maître. »

« Ça fais combien de temps qu’on l’attends? »

« Environs trente-six heures, maître. »

« S’en est assez. Quelque chose ne tourne pas rond »

« C’est qu’on est près de Konoha… »

« … »

« … »

« On y va. Si elle y est, on le saura. »

Le maître et le serviteur plièrent bagages et tous deux se mirent en marche vers le village de la feuille.




Ouf! 17 pages words, c’est long!

Review?

P-S : Ma fic sur Gaara sera la plus longue. ( Une trentaine de chapitre minimum.) et celle d’Une femme, trois hommes sera la plus courte.( Une dizaine, sinon plus.) Après la fic la plus courte, j’ai pensé faire une autre fic ( avec mon personnage Jenifael), mais j’aurai besoins d’aide pour le nom : Éclipse, Zénith, Sun—Moon?
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