Gaara, jeune garçon vivant à Suna s'apprête à se lançer dans une aventure remplie de créatures fantastiques sans s'en rendre compte. Il décide enfin à quitter sa prison à la recherche de son frère et de sa soeur ainés. en chemin, bien des choses peuvent arriver.
flora-sama (Féminin), le 02/01/2010 c'est ma première fiction et je suis confiante. vue la montée d'inspiration que j'ai eue en l'écrivant, d'après moi ca devrait durer un bon moment.
dans ma fiction, j'ai changé l'âge des trois du sable. kankurô est devenu l'ainé. si vous aimez ma fiction je ferais la suite avec entrain. :]
me conaissant bien, il va sûrement y avoir de l'humour. les premiers chapîtres sont là pour mettre l'histoire en place.
prenez compte que l'histoire se passe un peu dans le même temps que nous. alors, voiture, télévision, ordinateur et etc... mais plus pour longtemps. :]
Chapitre 2: fuite
Ca fait trop longtemps que je suis enfermé ici. Il est temps que ça change. J’ai tellement envie de liberté que je ferais n’importe quoi pour m’enfuir. Même le tuer. Tuer ce salop qui a pourri ma vie. Ce traître qui a osé lever la main sur moi à plusieurs reprises.
Mais je n’ai pas le courage. Je vais juste m’enfuir sous son nez pour qu’il bouille de rage en constatant ma disparition. Mais il faut penser à un plan, au bon moment pour m’enfuir.
Je trouverai un plan et je m’enfuirai. Je retrouverai Temari et Kankurô. J’ai besoin de ton aide et de ta lumière, Omega-sama*!
Gaara est un jeune garçon qui est souvent dans sa bulle. Il pense. A son frère, à sa sœur... Que faisaient-ils en ce moment ? Pourquoi aucun des deux ne revenait ?
Tout en réfléchissant, Gaara dessinait. Il aimait dessiner n’importe quoi. Des paysages, des animaux, des personnes... De tout. De rares fois il dessinait des dieux animaux, comme Omega, Galiana ou Alpha. Gaara était de la même religion que sa mère; le Fiodari. Ce mot étrange est le nom de leur religion, qui n’est pas très connue. Certaines personnes disent que cette religion est en fait une secte. Quoique Gaara n’est pas du tout sûr. Mais il connait chaque dieu et leurs rôles dans son univers. À la fin de son livre, une liste d’animaux mythiques est représentée. Gaara adore ce livre. Il le cache aussi dans son matelas pour que son père ne le revende pas comme tous ses pauvres autres meubles.
Eh oui. Gaara avait un bureau et une commode avant. Mais son père voulait se faire de l’argent et a revendu tous les meubles et objets qui restaient dans la chambre de sa sœur et de son frère. Heureusement, chacun était parti avec la majorité de ses affaires. Dieu seul sait comment Kankurô a réussi à s’enfuir avec tous ces trucs aussi rapidement.
Gaara prit une pause et regarda par la fenêtre. Puis, son regard se reporta sur son dessin. Il constata avec surprise que son dessin n’était pas ce qu’il avait pensé dessiner au début. L’animal qu’il avait dessiné était tout blanc. Les ombres dessus étaient très pâles. Des grandes ailes de papillon qui semblaient transparentes au contour sauvage le faisait flotter au dessus du sol rocailleux du dessin. Il avait deux grandes crêtes sur chaque côté de sa tête qui lui donnaient un air majestueux. Il ressemblait à une souris assez grasse. Son ventre bien gonflé et ses petites pattes avant posées sur celui-ci lui donnaient aussi un air mignon avec ses yeux noir. Il ne semblait pas avoir de bouche et sa longue queue avaient trois perles grisâtres au bout. Il avait des pattes arrière comme un lapin. Une autre perle était plantée dans son front.
Cet animal, Gaara l’avait vue dans son livre. Un cher mae*.
Il cligna finalement des yeux et se reprit en se disant que c’était rien de si spécial de dessiner un cher mae, qu’il avait sûrement voulu dessiner un animal semblable et qu’il aura fini avec ça.
Tout en fixant son dessin qu’il trouvait plutôt bien réussi, un plan germa dans sa tête.
- Ça devrait marcher !
Gaara attendit au lendemain soir pour sa sortie habituelle. Il était assit en tailleur sur son lit, attendant que son père arrive...
10 minutes.
Puis le bruit du moteur de sa voiture arrive. La porte de la voiture, celle de la maison, les pas lourds de son père qui se promène un peu partout...
5 minutes environ...
Les pas lourds montent les marches. Alors que son père approche lentement, Gaara ne cesse de se répéter :
- Rester impassible... Rester impassible... Mais relax, bon sang !
La porte s’ouvrit sur le visage du paternel aussi impassible que celui de Gaara. Sauf que le visage de Gaara tremblait un peu, pensant à ce qu’il va faire dans quelques minutes. Comme d’habitude, son père s’écarte du cadre de porte pour repartir vers les marches.
L’inquiétude prit Gaara lorsque son père lui lança un regard suspicieux. Gaara ne le quitta pas du regard. Un fois les bruits de pas présents dans la cuisine, Gaara se leva et se dirigea vers la salle de bain tout près pour manger. Il partit à la douche et se lava rapidement. Une fois propre et rhabillé, Gaara chercha rapidement une arme.
Les secondes passent et le jeune sunien commence à douter de son plan. Son regard alla sur chaque détail, chaque objet dans la pièce. Il finit par voir un objet parfait pour assommer son père : le gros couvercle des toilettes.
- C’est mieux que rien...
Après un regard dégouté à l’intérieur des toilettes, Gaara se plaça derrière la porte et attendit. Il se bourra le crâne de chaque chose que son père a fait de mal pour se donner du courage.
Son père se met à monter les escaliers pour aller fermer la porte de Gaara. Voyant que son fils n’était pas dans sa chambre, il rentra précipitamment dans la salle de bain. C’est à ce moment que Gaara eut un blocage. Incapable de bouger, paralysé par la peur, le doute... Son père ferma la porte pour regarder derrière... Dès que Gaara croisa son regard mauvais, il débloqua enfin. Comme si ses bras avaient décidé de bouger par eux-même, le coup partit facilement malgré le poids du couvercle en céramique.
PLUNK !!!
Gaara regarda son père tomber lourdement par terre. Une petite flaque de sang s’écoulait de sa tête.
- Est-ce que je l’ai tué ?!
Le jeune sunien paniqua un moment. Puis, il lâcha son arme improvisée et partit en courant en bas fouiller la garde-robe à l’entrée, cherchant désespérément un sac. Trouvant l’objet, il remonta l’escalier si vite qu’il faillit débouler deux-trois fois. Son sac se remplit rapidement de ses feuilles de papiers, de crayons, vêtements ainsi que ses deux précieux livres. Il descendit aussi rapidement les marches que tout à l’heure, craignant que son père se réveille. Il s’arrêta en bas des marches, regardant le garde-manger. Il décida finalement de finir de remplir son sac avec des bouteilles d’eau et de la nourriture.
- Il ne faut pas prendre de chance dans un désert... Seulement si je parviens à retrouver mon chemin vers la ville où Temari reste...
Gaara ouvrit la porte d’entrée d’un coup après avoir hésité. Le soleil était presque couché. Prenant son courage à deux mains, avec son lourd sac sur les épaules, Gaara descendit les trois marches qui menaient au sol. Il n’avait pas oublié aussi le gros canif qu’il avait prit à son père quelques instants plus tôt. Son regard bleu pâle se baladait partout. Depuis si longtemps il regardait dehors sans pouvoir y être... Maintenant qu’il était dehors, il avait peur. Peur de ce qu’il allait lui arriver. Maintenant qu’il s’était enfuit de chez lui, son père le tuerait s’il revenait. Il n’avait pas d’argent et plus il réfléchissait plus il se disait qu’il avait agit sur un coup de tête. Il n’avait pas appris à se débrouiller seul, toujours enfermé dans sa chambre, ou couvé par sa mère autrefois. Il doit trouver un moyen de se rendre à cette ville dont il a oublié le nom.
- C’était quoi déjà ? Konoha ? Oui. C’est bien ca. Konoha. Je devrais peut-être demander à une vieille personne. Ceux-là en savent beaucoup.
Gaara utilisait ses souvenirs pour se guider à travers les rues de Suna. S’il ne se dépêchait pas, son père se mettrait à écumer les rues à sa recherche. Celui-ci a un tempérament rancunier. Mieux vaut ne pas tomber sur lui.
Alors que Gaara réfléchissait, l’un de ses souvenirs lui donna une idée. Même si elle n’était pas parfaite, il avait une chance.
- L’ami de ma mère... Il était très gentil. Si je me rappelle bien, il travaillait dans un magasin d’armes. Il adorait ce travail. Il y a une chance qu’il y soit encore.
Gaara marchait sur le trottoir en direction du magasin d’armes dont le nom lui échappait. Cet homme venait souvent chez eux. D’ailleurs, Gaara trouvait que son père semblait en être jaloux parce que sa mère s’entendait si bien avec lui. Ses souvenirs sont flous à propos de cet homme. Il ne sait pas si le nom qu’il a en tête est correct.
- Bon sang... J’aurais l’air de quoi moi en arrivant là et à demander à voir un homme dont je ne sais pas le nom et son apparence ? Autant demander pour voir Galactica*!
Une voiture venant en sens inverse qui klaxonnait le tira de sa torpeur dans une grosse frayeur. Heureusement pour lui, ce n’était qu’une bande de jeunes qui passait par là.
Gaara resta sur place pendant un bon moment à regarder le coin de rue ou la voiture avait tournée. Il secoua la tête et reprit sa marche, cette fois-ci moins concentré. Il marchait maintenant depuis une bonne heure et le soleil s’était couché.
- Saleté ! Je tourne en rond maintenant !
Gaara s’arrêta, frustré de s’être perdu comme ca. Il reporta son regard sur le petit boulevard. Sale, plein de déchets. Il ne serait même pas surpris d’y voir des rats d’égout s’y promener. Les voitures roulaient à des vitesses ahurissantes pour un si petit boulevard et en plus les panneaux d’arrêt étaient imaginaires à leurs yeux. Gaara commençait à être dans la lune. Encore.
Une faible lumière blanche attira son regard vers une ruelle plus loin. Une lumière spéciale... Elle clignotait un peu, comme les lumières clignotantes d’une voiture de police.
Gaara, trop curieux, s’engouffra dans la ruelle. La source de la lumière était petite et se déplaçait, l’attirant plus loin dans la ruelle.
C’est une fois disparu dans la ruelle qu’une voiture passa lentement devant... Celle de son père qui cherchait son petit prisonnier évadé.
les étoile a côté des mots tel que "galactica" et "omega-sama" montre les animaux que j'ai inventer. ils sont dessiner dans mon cartable.
j'ai failli faire une crise cardiaque en voyant que mon premier chapitre était sortit. j'atendait depuis un bon moment deja. votre avis est la bienvenu, je veut progresser dans ce domaine, même si je ne suis pas très bonne en hortographe.(j'i travaille) heureusement, mes chapitres sont bien corriger. prener pas garde au fautes dans mes commentaires...:)
je suis rendu a écrire mon chapitre 6, mais je l'ai bientôt fini. je vais les poster tranquillement, surtout que la correction est longue. on arrive dans le principal de l'histoire au chapitre...3 ou 4. la flemme d'allez verifier.