Fiction: papillion blanc

Gaara, jeune garçon vivant à Suna s'apprête à se lançer dans une aventure remplie de créatures fantastiques sans s'en rendre compte. Il décide enfin à quitter sa prison à la recherche de son frère et de sa soeur ainés. en chemin, bien des choses peuvent arriver.
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flora-sama (Féminin), le 08/09/2009
c'est ma première fiction et je suis confiante. vue la montée d'inspiration que j'ai eue en l'écrivant, d'après moi ca devrait durer un bon moment.
dans ma fiction, j'ai changé l'âge des trois du sable. kankurô est devenu l'ainé. si vous aimez ma fiction je ferais la suite avec entrain. sinon, je crois que je vais quand même la continuer pour tomodachihana. elle aime mes fictions, pas vrai tomodachihana-san???
mais ça m'étonnerait que personne n'aime ca. au moins quelques-uns.
me conaissant bien, il va sûrement y avoir de l'humour. les premiers chapîtres sont là pour mettre l'histoire en place.




Chapitre 1: envie de s'enfuir...



Dans une maison de taille moyenne, tout près de la frontière du village.
C’est là que j’habite. J’ai toujours haï cette maison. De mauvais souvenirs reviennent à chaque fois que je rentre dans une pièce. Je me sens comme dans une cage. Je fais des cauchemars lorsque je dors, mais je sens la lumière. Comment l’atteindre? Comment m’enfuir? La tyrannie de mon père complètement cinglé m’empêche de fuir. Je me sens tellement seul depuis le départ des autres membres de ma famille. Départ assez prématuré. Ma mère est morte. Tuée par mon propre père. Mais la police n’a jamais découvert son corps. Ils n’ont donc aucune idée du coupable. Et moi? Je n’ai même pas pu leur parler. Enfermé dans ma chambre. J’avais 8 ans quand ça c’est passé. Et maintenant j’ai 14 ans. 6 années passées seul et dans la souffrance. Mon frère s’est enfui quelques jours avant la mort de maman. Il avait 14 ans. Maintenant, il doit en avoir 20. Ma sœur elle, est partit bien avant ça. Elle avait 10 ans quand maman l’a envoyé dans une institution à Konoha. Je m’ennuie d’elle. Ma sœur a deux ans de moins que mon frère.

Mais pour en revenir à la police… ils n’ont rien fait d’autre. L’enquête a été classée dans les affaires non résolues. Et pourtant… c’était assez évident! La police de Suna n’est qu’une équipe de lâche et de paresseux… la ville est en chaos en ce moment. Pas de chef pour assurer le bon fonctionnement du village. Mon père (cinglé) s’est présenté pour être Kazekage. Mais il s’est fait renvoyer par le conseil car son état mental était labouré par une maladie mentale. Je suis content de ne pas avoir hérité de cette maladie. C’est la rage mentale. Un peu comme la rage. Une chance sur 5 de la donner à sa progéniture. Mon frère était un peu colérique mais pas aussi violent… je ne crois pas qu’il l’ait eue. Ma sœur était aussi gentille que maman. Sauf avec certain garçons qu’elle envoyait 20 mètres plus loin s’Ils l’a courtisait. Elle était assez jeune, alors peut-être qu’elle s’est un peu calmée en grandissant…

Je m’ennuie tellement d’eux! Pourquoi je ne suis pas capable de me défendre, ou même de m’enfuir? Qu’est-ce que je n’ai pas? Du courage? De la force? Ou les deux?
Si un jour je m’enfuis, je vais retrouver ma sœur. Elle au moins, je sait ou elle se trouve. Après, on retrouvera notre frère. Mais avant, il faut que je m’évade…
Je m’appelle Gaara Sabaku, et je suis un prisonnier de la rage…

Personne ne comprend ce jeune garçon… enfin personne ne veut le comprendre. Il y a eu sûrement d’autres personnes dans ce petit trou perdu qui souffrent comme lui. Mais ici, c’est chacun pour soi. Les crimes s’accumulent, et le village est sur le point de tomber. D’autre village s’apprête sûrement à attaquer. Une simple pichenette ferait effondrer ce village déjà affaibli militairement. Comment ont en est arrivé là? Les sages se le demandent tous… avant, Suna était magnifique. De belles maisons éclairées par les rayons du soleil brûlant et des enfants qui s’amusaient dans les rues lorsque la chaleur était au plus bas dans la journée. Tout le monde se connaissait dans ce village déjà peu peuplé. Au milieu du désert, ils étaient comme seul au monde, entourés seulement de majestueuses dunes de sable qui faisait office de paysage lorsqu’on regardait au loin sur la muraille. Le vent montrait sa puissance lors des tempêtes de sable, mais personne ne s’en faisait. A la fin de cette démonstration de force, les gens balayait le sable devant leur porte et retournait vaquer à leurs occupations.

Mais cette belle histoire est finie depuis longtemps. La guerre a été déclarée par le village de Kumo qui ne voulait qu’étendre leur territoire. Leur Kazekage du moment a péri sur le champ de bataille pour protéger son village. Même avec tous ces sacrifices, Kumo à dévasté Suna. Konoha s’est allié à Suna pour les aider. Mais après la guerre, le nombre de mort était trop élevé. Le village na pas remonté. La population avait chutée. Même que le nombre d’enfants nés a diminué à un point critique. Déjà que les médecins se font plus rare. Le village de Suna ne tiendra pas longtemps, comme le dit les vieillards. Bien des gens s’enfuient pour aller vivre ailleurs. Beaucoup d’autres meurts d’une maladie, d’un meurtre ou d’un suicide. La dernière option avait déjà tenté le jeune rouquin mentionné plus haut. Mais l’envie de fuir et de prendre sa liberté était plus puissante. Le petit papillon céleste se débat dans son filet…

Gaara regarde par sa fenêtre qui est verrouillée de l’extérieur par une barre de fer. Combien de fois avait-il essayé d’ouvrir sa fenêtre avec tous les moyens possibles? Combien de fois l’idée de briser sa fenêtre a-t-elle passé dans sa tête? Plusieurs fois chaque idée. Mais pas assez de courage… le jeune homme regarde le ciel sans nuage. Il est bleu, d’un bleu très sombre. Il pourrait presque vous dire qu’il est noir. Plus loin, il voit la maison de l’un de ses rares voisins. Mais ce voisin en question n’est plus de ce monde. Enfin, c’est ce qu’il croit. Car Gaara na plus vue le voisin sortir de sa maison depuis un moment. 3 jours en fait. Quoique trois jours ce n’est pas beaucoup. Les autres maisons autour sont officiellement vides. Ou en ruine. Beaucoup de voleurs passent par ici. Et Gaara souhaite à tous les soirs qu’un voleur ouvre sa fenêtre. Là, il pourrait partir. Mais il a peur d’avoir à faire à un tueur, ou pire, un pédophile. Cette pensée lui lève le cœur.
Il se lève et se dirige vers la porte de sa chambre. La poignée est barrée… de l’extérieur. Dès que son père sera rentré, il pourra aller aux toilettes et manger. Mais il a 10 minutes. Pas une minute de plus. Sinon son père se met en colère. Et son père en colère est l’équivalent d’un troupeau de bœuf enragé à ses yeux. Cette simple pensée le fait rire intérieurement. Gaara a un drôle d’humour. Sa mère le lui disait souvent.

Après avoir vérifié s’il ne pouvait pas ouvrir sa porte d’un quelconque moyen, il pivota sur lui-même pour regarder sa petite chambre. Un matelas plein de vielle couverture dans un coin. Un tas de vêtement à coté du lit. Vers l’autre coin, vers la gauche, des papiers. Plein de papiers. Avec des dessins dessus. Des crayons à mine un peu partout et un tas de copeaux de bois trainait près de son aiguisoir. Pas de poubelle. Sa chambre est constituée de seulement ça.
Son regard se porte maintenant sur lui-même. Il est un peu amaigri, dans un sale état. Son père a beau le maltraiter, Gaara reste fort. Même que ses bleus et ses coupures se referment plus vite que la normal. Même si il ne s’en fait pas vraiment. Il ne porte pas attention à ça.
Quand le rouquin fait un rêve autre que ses cauchemars, il l’écrit dans un petit livre, qui est caché dans son matelas. Son matelas a des trous partout, autant en profiter! Justement, Gaara avait envie de lire l’un de ses rêves… celui qu’il a toujours préféré.

(lecture du rêve)
Je volais. Je me sentais si bien… je sentais de la lumière blanche autour de moi. Comme un ange gardien. J’avais de grandes ailes blanche-transparent de papillon. Elle avait une belle forme. Autant chaotique que doux. Je me sentais si fort que j’aurais pu détruire une armée. En haut de moi, le beau ciel. Bleu pur, avec quelques nuages blanc. Le soleil était doux, au contraire du soleil au désert. Sous moi, des arbres. Un village. Même un lac plus loin. C’est la que je veux me poser. Un atterrissage léger, parfait. Ma sœur était assise sur le bord de l’eau tout près. Elle tourne la tête et me souris. Au loin, une silhouette noire s’approche lentement du bord du lac.
(fin lecture...)

Gaara referme son livre. Il trouve se rêve aussi agréable qu’étrange. La silhouette noire lui fait poser des questions. Mais il ne s’attarde pas longtemps. Il entend la portière de la voiture de son père se fermer. Par la fenêtre, Gaara s’aperçoit que le soleil commence à ce coucher. Il cacha rapidement son livre dans son matelas avant de s’asseoir sagement sur celui-ci. Il écoute.
La porte de la maison se referme. Les pas lourd de son père qui fait ses trucs comme se déchausser, mettre les clés de la voiture sur le comptoir de la maison, se diriger aux toilettes, sortir de la toilette et aller se prendre quelque chose à manger dans le frigo. Gaara reconnait chaque bruit des portes. Chaque craquement de plancher. Il peut savoir exactement où se trouve son père et il peut se faire une idée de ce qu’il fait. Après avoir mangé, son père lui ouvrira la porte. Le laissera se doucher et manger… et si le comportement de Gaara ne lui plait pas, il lâchera sa colère. Gaara se raidit en entendant les pas de son père monter les marches qui mènent au premier étage. Des pas lents, plein de suspens. Est-il en colère aujourd’hui? Calme? Va-t-il lui faire du mal? Gaara a encore de la difficulté à prédire ceci par la démarche de son père.

La clé de sa porte de chambre débarre la serrure. La porte s’ouvre assez lentement, mais pas trop. Le visage impassible de son père apparaît. Gaara se force à rester soumis et impassible aussi. Un regard noir ou un sourire, et ce sera la catastrophe!
Son père s’écarte du cadre de porte et va s’assurer que toutes les autres portes et fenêtres soient bien verrouillées. Ensuite, il lui ouvre la porte de la salle de bain d’en haut après avoir déposé son cabaret de nourriture sur le comptoir de la salle de bain.
Il redescend les marches… Gaara sort et va faire ses affaires au plus vite sans avoir l’intention de descendre les marches.




voila. j'espère que vous avez aimer.
laisser moi des commentaire... :)... j'aimerait aussi des commentaires constructif: trop long, trop court...




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