Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: la destruction d'Oto (terminée)

Fic en plusieurs chapitres (pour une fois). histoires d'amour atypiques, mais pas par leur contexte, par les personnages qu'elles regroupent. Pas pour le concours, mais pour le fric.
Classé: -12D | Spoil | Action/Aventure / Humour / Romance | Mots: 28234 | Comments: 81 | Favs: 56
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Garok (Masculin), le 01/01/2007
j'ai absolument rien à dire. Mais à un point rarement atteint.



Chapitre 5: les capitaines



Trois jours plus tard arrivèrent le reste des Mercenaires de l’Ouest. Trois des quatre capitaines furent présentés aux membres du commando.

Il y avait tout d’abord Onimaru, vêtu de rouge, portant toujours le même masque de diable. Il apparut qu’il était commandant en second de la troupe et qu’il dirigeait 45 hommes.

Venait ensuite Koshiro Komagata, habillé d’un long manteau noir, avec un chapeau à larges bords de cette même couleur sur la tête, un foulard tout aussi noir noué en boucles pendantes autour de son cou (enfin bref, Pour ceux qui connaissent Hellsing, vous prenez Alucard, vous remplacez le rouge par du noir, et vous obtenez mon personnage) et une longue écharpe aux extrémités déchirées de la même teinte qui lui cachait les yeux. Il portait une longue arme qui présentait d’un côté une lame de faux et de l’autre un fer de lance.

Enfin, il y avait une jeune fille de l’âge de Sasuke qui répondait au nom de Hakuharu Kanzaki. Elle était la sœur adoptive de Yuna. Une arbalète était accrochée à son bras et un carquois pendait à sa ceinture. Elle portait en outre un grand manteau bleu.

-Bien, pas entraînement aujourd’hui, annonça Ryugan, on va tous au Yakiniku. Bien entendu, Tsunade sera ravie de nous inviter au frais du contribuable, et même si elle est pas d’accord, c’est pareil.


C’est donc 19 (le trio ino-shika-chô n’ayant pu venir pour des raison indépendantes de leurs volontés (n’aurait tenu qu’à eux, ils auraient volontiers été se pochetronner au frais de l’état, mais leurs femmes veillaient)) personnes qui débarquèrent au restaurant pour le plus grand plaisir du patron qui se fichait éperdument de gagner sa vie au dépend du contribuable du moment qu’il était payé. Naruto fut très surpris de voir que malgré le bandeau sur ses yeux, Koshiro mangeait parfaitement normalement.

-Comme tous les membres de mon clan, je suis aveugle de naissance, lui expliqua le second capitaine, j’ai donc dû développé mes quatre autres sens au maximum pour pallier ce défaut. En fait, je « vois » en les combinant. Par exemple, Vu la chaleur qui émane de ta tête, je peux dire que tes cheveux, qui renvoient beaucoup les rayons du soleil, sont clairs, probablement blond, vu la quantité d’infrarouges et d’ultraviolets que tu réfléchis.

-Ouah, vous « voyez » tous ça ?

-Exactement, et pour faire plus d’effet à mes adversaires, je leur fait croire que je les perçois grâce à mon esprit.

Pendant ce temps, Hakuharu expliquait sa manière de combattre à Sakura.

-En fait, je tire d’abord une flèche dirigée vers le ciel, et ensuite je la clone. Je n’ai pratiquement pas de limite.

-Mais… c’est uniquement une technique de combat à distance, au mieux, tu peux faire de la mi-distance. Comment combats tu en corps à corps ?

-Les capitaines de divisions fonctionnent par paires. C’est Onimaru qui me couvre pour le corps à corps.

-Ah bon. Et Koshiro, lui, avec qui est il ?

-Avec le quatrième capitaine. Il n’est pas là pour le moment car c’est lui notre espion chez Orochimaru. C’est grâce à lui si cette expédition a pu être faite.

Arrivés à 13h, les membres du commando ne consentirent à partir qu’à l’heure de la fermeture (« ben quoi, on a consommé, avait dit Ryugan au patron, donc on a le droit de rester jusqu’à la fermeture »), passablement bourrés, surtout Ryugan et Yuna qui avaient, à eux deux, bu plus de saké que le reste de la troupe. Onimaru n’avait pas voulu toucher un verre d’alcool, Hakuharu, qui était visiblement habituée à ce genre de boisson, était aussi ivre que ses senseïs, de même pour Koshiro. Naruto et Kiba ne s’étaient, une fois de plus, pas rationnés, et, peu entraînés aux alcools qu’ils étaient, finirent la soirée en chantant à tue tête des chansons paillardes. Temari marchait un peu en retrait avec Ino, et remarquait que celle-ci se retenait à grand peine de rire en regardant Kiba.


Bizarrement, Kiba avait insisté pour raccompagner la jeune Yamanaka chez elle, qui, étant kunoichi, était parfaitement capable de se défendre contre les dangers qu’offrait la nuit. Tout aussi bizarrement, la jeune Yamanaka ne le fit pas remarquer bruyamment en frappant le sus nommé et en l’accusant de velléités perverses (surtout après les chansons cochonnes qu’il avait chantées, notamment « la b*** à Dudulle »). Pour rester dans la bizarrerie, Kiba ne choisit pas le chemin le plus rapide pour rentrer chez la jeune (et magnifique, à son avis) fille, mais au contraire un qui leur faisait faire un détour et les forçait à prendre moult petites ruelles désertes à cette heure de la soirée. Etrangement, Akamaru n’était pas là, car Kiba lui avait demandé de rentrer chez les Inuzuka.

Mais qu’avait-t-il donc derrière la tête qui nécessitait l’absence de son inséparable compagnon canin ? (Je gratte, je gratte pour faire les 1500 mots) Et bien, je vais vous le dire, bien que votre perspicacité aie sans doute percer le secret du jeune garçon (vous avez vu à quel point j’abuse pour faire ces 1500 mots) : Kiba était amoureux. Oui, mais de qui ? (Alors là, je vous prend vraiment pour des c***) Mais d’Ino, bande d’abruti ! Oui, effectivement, la blonde était aimée du brun.

L’inverse est vrai, d’ailleurs. Ino était d’ailleurs suffisamment cruche pour ne pas s’en être aperçue. Toute occupée qu’elle était à la contemplation de son beau loup (comme ELLE aimait à le surnommer), elle ne voyait pas les multiples détours que celui-ci faisait.

Enfin, quand il ne fut plus possible pour Kiba de contourner la maison d’Ino qui se trouvait à une centaine de mètres, Kiba se tourna vers son égérie, et lui dit :

-Bon, écoute Ino… Je… J’ai quelque chose à te dire… (Même beurré comme un petit Lu, il restait un grand timide avec les filles)

Comme il ne disait rien, Ino lui répondit :

-J’écoute.

-C’est difficile à dire… Je n’arrive pas à le formuler… Oh, et puis zut !

Il la prit dans ses bras et l’embrassa avec violence. Contrairement à ce à quoi il s’attendait, elle répondit à son baiser de manière très naturelle. Et là, dans la ruelle sombre, généralement mal famée, systématiquement encombrée de poubelles, sur un tas d’ordures, ils firent…


Une fois de plus, l’auteur (pervers) a le regret de vous signaler que cette scène a été censurée par le comité de répression des histoires à caractère choquant de won en raison des relations extrêmement poussée entre les personnages.


Ino avait l’impression de n’avoir dormi que deux heures quand sa mère la sortit (de force) de son lit (qui semblait l’appeler, le pauvre était désespéré d’être laisser tout seul) pour aller à l’entraînement (particulièrement humiliant) qu’elle subissait tous les matins depuis quatre jours. Quelque part, elle était contente, ça lui permettrait de retrouver son Kiba adoré.


Lorsque Ino et Kiba (qui se trouvait miraculeusement sur son chemin), ils virent qu’ils étaient les premiers arrivés, et que Yuna essayait de calmer Ryugan qui semblait extraordinairement agacé.

-Je te dis que ça sert à rien, il faut leur dire comment s’y prendre, sinon, ils y arriveront jamais !

-Ryugan, voyons, je veux bien qu’ils soient stupides, mais quand même, au bout de trois semaines, ils auront compris.

-Quand bien même ils comprendraient à la troisième semaine, on aurait perdu du temps au lieu de les entraîner à de nouvelles techniques !

-Bon, d’accord, on va leur dire comment faire, mais de grâce, ne t’énerves pas, sinon moi aussi je vais péter une durite.

-De quoi vous parlez, demanda Kiba.

-De quelque chose que je vous dirais quand vous serez tous arrivés. Mais dis moi, tu as passé une bonne soirée avec Ino ?

-Je ne vois pas ce que vous voulez dire, répondit le garçon chien en rougissant violemment.

-Quand même, sur un tas d’ordure, c’est pas super romantique…

-Comment vous savez tous ça, vous ? fit Ino.

-Ben, je me demanderais quand les ninjas sous mon commandement daignerait arriver, aussi ai-je sondé les environs avec les yeux de Bouddha, et je suis par hasard tombé sur les souvenirs que Kiba avait de ce petit moment d’intimité. Bien entendu, cette histoire peut rester entre nous, mais… le silence, et surtout le mien, est d’or, aussi, préparez vous à payer cash.

-QUOI ?!! S’écrièrent les deux amants, c’est n’importe quoi, Godaime sama sera mise au courant que vous essayez de monnayer la vie privée des autres.

-Et Godaime sama ne fera rien du tout, car sinon, je pourrais me souvenir qu’elle me doit pas loin de 5 millions de ryôs et son portefeuille n’apprécierait sûrement pas. Donc, hum, disons, que vous payez le prochain Yakiniku qu’on prendra.

Voulant garder secrètes les conditions dans lesquelles ils avaient fait… ce qu’ils avaient fait (écrit l’auteur fusillé du regard par le sadique censeur du comité de répression des histoires à caractère choquant de won), ils se résignèrent à donner un grand coup de couteau dans les économies durement faites grâce au sacrifice de nombreuses heures de shopping et de nombreux repas.


Sans savoir les conditions dans lesquelles il s’était… reconnus, diront nous (« p***** de s*****, même plus libre d’écrire ce qu’on veut » ose marmonner l’auteur pendant que le regard du censeur est attiré par une jolie jeune fille de l’autre côté de la rue), les membres du commando comprirent, à la complicité visible entre Ino et Kiba, qu’ils s’étaient rapprochés de manière très intime (le censeur est parti faire son numéro de lover de 80 piges à cette fraîche jeune fille de 20 ans de l’autre côté de la rue, aussi l’auteur en profite pour faire des allusions plus poussées).

-Bon, fit Ryugan, si la vie sentimentale de mister Inuzuka et de miss Yamanaka a fini d’exciter les commères, je vais maintenant vous expliquer comment réussir l’épreuve.

-Mais on sait comment réussir l’épreuve, hurla un certain ahuri dont le nom doit rester secret afin qu’il ait un jour une réputation à peu près convenable, on doit vous prendre une clochette !

-Ah ouais, bonhomme ? Et comment tu me la prends, la clochette ? Bien, poursuivit-il après avoir museler de sa verve la voix de l’idiotie absolue, alors, pour nous prendre la clochette, il faut…




J'ai trouvé quelque chose à dire : Dormir, c'est bien. Voilà, voilà... Ah, aussi, lâchez des comms.



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