L'Empire du Feu...


Fanfiction Naruto écrite par Juubi-sama (Recueil de Juubi-sama)
Publiée le 03/05/2011 sur The Way Of Naruto



Bon...

J'ai craqué... J'en ai eu assez d'attendre un commentaire sur mon chapitre 10...

Donc, je poste le 11...

J'espère que quelqu'un se donnera la peine de le commenter... Sinon, je crois que je vais craquer... (encore)



Chapitre 11: Double jeu...



Chapitre 11: Double jeu.

Konoha, capitale impériale, cité des lumières, siège du pouvoir des Hokoutei. C'est le milieu de la nuit, alors que la lune est plus ou moins au centre de son parcours, et que la vie nocturne commence pour la cité des lumières.

Les assassins, les voleurs, les prostituées ainsi que le reste de la lie citadine sortent dans les ruelles sombres et peu fréquentées, alors que la tièdeur de la nuit estivale remplace la pesante chaleur de la journée. C'est réellement à ces heures sombres que les Cinq Capitales de Kiri, Suna, Iwa et Konoha, montrent leur véritable visage. Malgré des patrouilles renforcées, une ville de la taille de Konoha (vous n'avez qu'a voir un plan du "village", c'est pas vraiment petit) ne peut pas être systématiquement sous surveillance, les quartiers du sud en étant les exemples les plus flagrants.

Lorsque la nuit est complète, chaque petite ruelle peut devenir un piège mortel, des personnages drapés de noir circulent partout, les actions criminelles s'organisent, de jeunes femmes font le trottoir afin de trouver des "clients" qui représentent à leur tour des cibles, le sang coule, en petites quantités c'est vrai, mais il coule quand même.

Ainsi, il n'était pas étonnant de voir circuler une ombre... Elle progressait, passant par les toits de la ville, tout droit vers une demeure crainte par tous, pour sa réputation ainsi que pour la réputation de son propriétaire: la résidence personelle du Daimyo de la province de Ta, un personnage a la réputation aussi terrifiante que ses fonctions politiques, malgré l'importance un peu moindre de sa province, sont considérables.

L'ombre progressait néanmoins, se déplaçant de toit en toit avec une agilité stupéfiante. Une fois sur le dernier toit proche de sa cible, elle prit son élan avant de sauter, sans émettre le moindre bruit, puis elle atterit enfin avec souplesse et grâce en plein milieu du bassin qui se trouvait dans le jardin arrière, mais étonnament l'étrange personnage n'agita pas l'eau... Il semblait plutôt en train de marcher sur l'eau, un aura bleuté émanant des sandales qu'il avait au pied.

Le personnage s'empressa, après avoir regardé autour de lui, de quitter le bassin et de pénétrer à l'intérieur de la riche demeure. Il finit par atteindre un salle faiblement éclairée. De forme carrée, le sol était recouvert de parquet alors que les murs, en papiers épais, étaient agrémentés de dessins de serpent, terrestres ou marins, dont le plus grand se tenait derrière l'un des résidents de la pièce: ils étaient deux, le Daimyo de Ta en personne, assis sur ses genoux sur une petite estrade de bois et surtout sur un cousin noir, à sa droite se tenait son fameux assistant, Kabuto Yakushi, assis comme son maître et à sa droite, mais juste devant l'estrade. Derrière le Daimyo se trouvait donc dessiné un serpent, énorme, cornu et de couleur violette. En parlant de serpent, il s'en trouvait justement un, petit aux écailles vertes parcourues de taches noires, qui semblait dormir sur les genoux du Daimyo en sifflant comme un chat qui ronronnerait.

L'inconnu, qui venait d'entrer dans la pièce, mit immédiatement un genou à terre devant l'estrade, puis attendit que le noble au teint de mort s'adresse enfin a elle, car ont pouvait alors distinguer des formes féminines sous son armure de cuir sombre, mais elle portait une cape sombre dont la capuche, couplée à son masque de tissu noir, empêchait la moindre indentification.

Le seigneur de la province de Ta ne tarda pas a enfin adresser la parole a la nouvelle venue, alors que le serpent sur ses genoux était réveillé et glissait dans la direction de la femme.

-Quel est ton rapport? demanda le seigneur tout en fixant de ses yeux jaunes et fendus la femme en noir.

Le serpent, quant à lui, rampa silencieusement tout en sifflant jusqu'à l'espionne, avant de s'enrouler lentement autour de sa jambe tout en sifflant. Si la créature n'avait pas été un reptile, ont aurait dit un chat en train de ronronner en se frottant contre son propriétaire. L'espionne parla alors:

-Le Daimyo Tsugumochi Tashimo a accepté d'envoyer une cinquantaine de Bushi, accompagnés par trente Ansatsushas et dix Mahoutsukai, à Oto. Ses hommes se déguiseront en marchands itinérants et arriveraient du fief de Tashigu dans la semaine, l'armée du fief a égalemment été mobilisée au frontière avec la province de Hyugan.

Elle fouilla dans sa cape avant de lancer à Kabuto un morceau de papier roulé, ce dernier le déplia et le tendit a son maître qui pût y apercevoir les écrits suivants:

"De Tsugumochi Tashimo, Chef du clan Tsugumochi, Gouverneur de la province de Tashigu de la frontière Oriental"

Le tout s'étalait horizontalement, d'une seule traite, sur la feuille de papier. En bas à gauche du message se tenait la signature du Daimyo, alors qu'à droite figurait la reproduction miniature de son môn. Cette vue fit naître un mince et sinistre sourire de satisfaction sur les lèvres du seigneur de Ta, qui jeta le feuillet, à sa gauche, le laissant rejoindre une petite pile d'autres papiers du même genre, pas très haute mais néanmoins importante.

-Voila qui nous en fait treize, n'est-ce pas Kabuto? dit le Daimyo en regardant son "bras droit".

-Oui, Orochimaru-sama, répondit l'intéressé.

-Et en ce qui concerne les Hyûga, Anko? dit Orochimaru en s'adressant à la jeune espionne.

-Je n'ai perçut aucun changement de leur part, répondit cette dernière en gardant les yeux rivés vers le sol mais en caressant également le petit serpent qui se lovait maintenant au niveau de sa poitrine. Ils poursuivent leurs activités sans aucun chagement...

Le Daimyo, se désintéressant de l'espionne, se retourna vers son bras droit qui répondit, après avoir réajusté ses lunettes rondes qui étaient légèrement tombées en avant:

-Le seigneur Hiashi n'a pas encore donné de nouvelles, mais le plan se déroule comme prévu malgré... l'intervention de Genyûmaru... Les rapports de nos agents sont formels: l'escorte des Hyûgas a repris sa route après avoir été retenue deux jour au même endroit par un certain "incident", que nous cherchons a identifier...

Le Daimyo claqua des doigts, un des murs en papier et en bois de la pièce coulissa et un serviteur, chauve et portant une tenue de coton noir arborant le môn du serpent blanc, entra dans la pièce avec tout un service de thé, il en servit d'ailleurs une coupe qu'il tendit, prudemment, au Daimyo, avant de reculer rapidement, les yeux rivés ver le sol. La dénomée Anko avait relevé les yeux et était désormais assise en tailleur, le serpent vert toujours lové contre sa poitrine, elle fixa de ses yeux, deux yeux violets, son maître, qui répondit après avoir fixé le serviteur, tout en buvant sa tasse de thé.

-Ne t'inquiètes pas, ma chère, ce manant ne pourra rien répéter de ce qu'il entendrait ici. Et pour cause: il est muet, on lui a fait arracher les cordes vocales...

-Dites plutôt que "vous" lui avez arrachez les cordes vocales, maître, répondit froidement la jeune femme.

Orochimaru ne répondit pas et se contenta de fixer Kabuto, qui s'était entretemps fait servir une tasse de thé par le chauve muet. Le Yakushi répondit a la question silencieuse de son maître, après avoir pris une gorgée du breuvage encore chaud:

-Kimimaro a reçu notre message, l'alliance entre les Seigneurs Barbares est faite et notre très estimé général est en route... Il devrait arriver avant le début du Tournoi, mais il a dût s'attarder un peu à Oto pour achever les préparatifs initiaux...

-Je pense qu'il appréciera la surprise que je lui réserve à son arrivée, reprit le Daimyo après une seconde gorgée de thé.

-N'importe lequel de vos serviteurs apprécierait cette surprise, Orochimaru-sama, reprit le jeune homme au cheveux gris.

Les deux hommes rirent, d'un rire commun dont le ton faisait froid dans le dos et ne présageait rien de bon, alors que la seule femme présente se relevait, s'inclinait une dernière fois devant son seigneur avant de dire, une fois au seuil de la porte:

-Je repars a mes activités, je vous préviendrais au cas ou les choses se compliqueraient, maître Orochimaru.

Et sur ce, elle s'engouffra dans l'obscurité.


Plus haut (ils étaient dans une pièce souterraine précédemment) et surtout plus loin, dans une chambre secrète du palais impérial quatre personnages étaient rassemblés. La pièce était ronde, située dans les derniers étages du bâtiment avant la grande terrasse servant de toit, et éclairée par des laternes de papier blanches frappée du môn de la feuille impériale. Les quatres personnes étaient, tout d'abord, le capitaine Asuma, ensuite venait la jeune Ino Yamanaka et ses deux partenaires, le brun dont la coiffure évoquait bizarrement un ananas qui s'appellait Shikamaru, et l'autre brun au long cheveux clair, un Bushi.

Le dénomé Shikamaru venait de finir d'énoncer les adresses qu'il avait retenu lors de leur "visite" des bas-fonds du quartier sud. Son supérieur, une fois l'énoncé achevé, laissa échapper une nouvelle bouffée de fumée depuis ses lèvres entrouvertes, car il tenait toujours sa pipe, tout en soupirant. Shikamaru se tenait devant lui, alors qu'Ino se trouvait assise contre un mur, et à côté d'elle Choji avalait des dango.

-Vous pensez que ces hommes travaillaient pour un des membres du conseil? demanda l'officier, après avoir laissé une nouvelle boufée s'échapper d'entre ses lèvres.

-Je n'en sais rien, répondit Shikamaru après avoir retenu un baîllement, après son interrogatoire nous avons préféré quitter les lieux... Surtout qu'il n'était plus très communicatif après ce que lui a fait Ino...

-J'ai déja dit que ce n'était pas ma faute, l'interrompit la blonde, en plus ce type était un crétin...

L'officier et l'assassin brun se contentèrent d'ignorer la dernière remarque de la blonde, tout en poursuivant leur discussion.

-Vous savez ce qui est arrivé à cet homme? demanda l'officier en question.

-Non... On a envoyé quelqu'un pour suivre ces mercenaires, mais il n'a retrouvé que le corps de celui qu'on avait interrogé en arrivant...

-Et vous n'avez pas pensé a faire suivre ces hommes? Où a les suivre vous même?

-Si, l'espion envoyé pour récupérer d'autres informations est sur leurs traces...

-Et vous n'avez pas songer qu'il serait plus utile de les suivre personnellement?

-Non, répondit l'assassin. Je pensais que nous serions plus utile pour ce qui concerne le Tournoi, sans compter que ce genre de mission n'est pas vraiment approprié pour une équipe comme la nôtre...

Il y eut un moment de silence avant que l'officier ne réponde enfin:

-Très bien... Vous pouvez disposez tous les trois...

Les trois jeunes gens ne se firent pas prier pour quitter la pièce, laissant leur supérieur seul. Ce dernier se tourna vers un côté sombre de la salle ronde, où venait d'apparaître un homme portant un kimono noir bleuté, les cheveux gris coiffés en désordre et avec un seul oeil noir découvert, l'autre étant caché par un bandeau arborant une plaquette de métal sur laquelle était gravé le symbole de la feuille de Hi no Tensei. La personne portait en plus un drôle de masque, égalemment de couleur noir bleuté, qui dissimulait tout son visage: nez, bouche, menton et tout le bas de sa tête...

Finalement, vu que l'autre gardait le silence, ce fût Asuma qui parla en premier, tout en continuant a tirer sur sa pipe:

-Vous avez tout entendu, capitaine?

-Oui, répondit l'homme aux cheveux gris, et ça ne me rassure pas vraiment... Ces mercenaires recrutent, mais je me demande bien avec quel or ils peuvent payer leurs recrues en question...

-C'est certes préoccupant, cette histoire de recrutement... Sans compter ce qui est arrivé à ce mercenaire... D'après le rapport d'Ino, sa mémoire se serait "vidée" alors qu'elle avait pénétré son esprit, comme si...

-Comme si elle avait été "scellé"?

-Oui... Mais qui pourrait faire une chose pareil? Je connais la plupart des comploteurs et autres lèches-bottes qui servent mon père, et je sais que plusieurs d'entre eux attendent avec un peu d'impatience qu'il quitte ses fonctions, mais je n'en vois pas qui ferait appel a d'autres personnes que des Ansatsushas ou, éventuellement, des Rônins ou Bushis... Faire appel à un Illusioniste, ce n'est pas vraiment leur genre...

-Mais ce genre de "protection", ça ne vous rappellerait pas un certain Daimyo?

Asuma relâcha une bouffée de fumée avant de répondre.

-Si, ce serait dans son style ce genre de manigances... Mais pourquoi recruterait-il des mercenaires?

-Je n'en ai aucune idée, répondit l'homme en kimono bleu, mais ce n'est pas la seule chose préoccupante en ce moment... Nous n'avons pas reçu de rapport de la part des sentinelles de Oto depuis quelques semaines, et les espions envoyés aux frontières Nord n'ont pas envoyés de messages...

-C'est assez troublant... Si je ne me fiais pas au jugement de sa Majesté le Sandaime par rapport a Ta, je penserais presque que quelque chose se trame entre le serpent et les barbares...

-C'est aussi ce que je penserais, répondit l'homme aux cheveux gris, mais je n'y verrais toujours pas plus clair... Après tout, pourquoi l'un des plus "fidèles" Daimyo de l'empire irait s'acoquiner avec les barbares de la péninsule? S'il préparait quelque chose, je doute qu'il les employerait, ne serait-ce que comme diversion...

-Ce n'est pas faux... Ils sont trop peu fiables, rongés par leurs envies et ne veulent qu'une chose: l'annéantissement de Hi no Tensei...

-Mais, malgré tout, nous devrions songer a renforcer les postes de garde...

-Sur la frontière avec la péninsule?

-Non... Je pensais plutôt à la frontière que notre province a avec les provinces frontalières de Ta...

-Ce serait sans doute une précaution de rigueur... Mais en ce qui concerne nos petites enquêtes dans la capitale? Je remets mon équipe sur l'affaire?

-Non... Ils devraient plutôt s'occuper de leur autre "mission"... L'organisation du Tournoi du Feu... Pour les enquêtes, je vais mettre des hommes plus "spécialisés" à leur place...

-Donc, je ne suis plus concerné?

-Au contraire, capitaine Sarutobi... Vous êtes particulièrement concerné, vu qu'avec cette affaire je ne pourrais plus assumer pleinement mes fonctions... Vous aurez donc pour responsabilité le commandement de la garnison, afin d'assurer la sécurité de Konoha lors du Tournoi du Feu... Vous assumerez bien ce poste, non?

-Bien sûr, capitaine Hatake.

Le général, paraissant satisfait, tourna les talons et se dirigea vers la seule sortie de la pièce mais, alors qu'il la franchissait, il se retourna pour dire:

-Au fait, Asuma, savais-tu que Hiashi Hyûga a fait appelé ses filles, ainsi que son neveu?

-Les "enfants" Hyûga revienne donc à la capitale? fit le brun, légèrement étonné et tout en relâchant une nouvelle bouffée de fumée. Je pensais que Hiashi préférait les laisser dans leur fief... S'il les fais venir tous les trois, ses deux héritières et son "génie" de neveu, c'est qu'il se passe quelque chose chez les Hyûga...

-C'est aussi ce que je pense, répondit l'officier, j'enverrais quelqu'un pour les surveiller à leur arrivée...

Sur ce, Kakashi Hatake, capitaine de la Garde Impériale et ancien commandant de l'armée de l'Empire du Feu, franchit le seuil de la porte, laissant son interlocuteur, Asuma Sarutobi, seul avec ses pensées...


De l'autre côté de la mer, sur le territoire de Mizu no Tensei, capitale impériale de Kiri. La grande cité, nichée au coeur de l'archipel que formait l'Empire de l'Eau, commençait a s'endormir alors que les ombres s'épaississaient et que le silence de la nuit envahissait ses rues.(ça me paraît logique que, étant situé plus à l'Est que Konoha, la nuit tombe plus tard à Kiri qu'à Konoha)

Dans le palais impérial, plus précisément dans une petite chambre donnant, grâce à un balcon, sur la grande place qui faisait face à l'édifice, un homme venait de quitter son fûton. Il était assez grand, d'une carrure imposante assez peu visible dans la pâle clarté du coucher de soleil qui traversait la "fenêtre" fermant le balcon, avec une musculature qui paraissait très developpée et un corps uniquement couvert en dessous de la ceinture par une sorte de pantalon brun foncé. Se mettant dos à la lumière mourante du couché de soleil, l'inconnu entreprit de se revêtir d'une tenue de kimono brune, de la même couleur que son pantalon, après avoir glissé une légère et fine cotte de maille sur son torse. Une fois plus habillée, l'inconnu, dont les cheveux bruns avaient été remis dans leur coupe initiale par quelques coups de mains, ajouta à son corps toute une série de bandage, visiblement serrés vu la couleur que sa peau à l'air libre affichait. Il en plaça trois, un sur chacun de ses avants-bras et un autre sur tout le bas de son visage, alors qu'il ajoutait enfin un bandeau à son front.

Le bandeau, une simple pièce de tissu noire, était orné par une petite plaque de métal rectangulaire, frappée du môn impérial: le symbole de quatre vagues disposées en rectangle. Une fois complètement paré, et après avoir pris une énorme lame qui traînait "dans" le fûton, juste à côté de son propriétaire, la face tranchante tournée vers l'extérieur pour ne pas prendre de risque, il mit cette même lame dans son dos, alors qu'elle était retenue par un semblant de fourreau. Une fois sa tenue et son épée en place, l'homme aux cheveux bruns parla, comme si quelqu'un était dans la pièce.

-Vous comptez me surveillez comme ça tous les jours?

Une silhouette, drapée dans une cape noire et portant un masque blanc et rond doté de symboles de vagues pourpres, caractéristiques des agents de Mizu no Tensei, apparût alors, sortant directement de l'ombre qui règnait dans la pièce, le soleil ayant complètement disparu. Elle répondit, sur un ton parfaitement neutre:

-J'ai suis a vos ordres, mais sa Majesté impériale m'a donné quelques directives auparavant, comme par exemple...

-Me surveiller alors que je dors tranquillement? fit le brun sans se retourner et en interrompant son interlocuteur. Je suppose aussi que sa "petite" Majesté vous aura conseillé de ne pas me tourner le dos, de ne jamais me laisser assumer un tour de garde, de ne jamais me laisser approcher votre nourriture, votre lit, même vos vêtements...

L'Ansatsusha ne répondit pas, car c'était justement et exactement ce que le Yondaime Mizukoutei lui avait prescrit: ne jamais laisser sans surveillance Zabuza Momochi. Ce dernier s'avança vers la porte en ajoutant, froidement:

-Suivez moi... Nous devrions commencer notre "chasse" dans les plus bref délais...

Sur ce, l'épéiste passa la porte, bientôt accompagné par l'assassin...


J'espère que vous avez appréciez.

Laissez vos commentaires.

Pour la suite... J'ai bien des idées en tête, mais vu que j'attendais un commentaire sur le chapitre 10 je n'ai plus vraiment pensé a la fiction...

Mais elle n'est pas abandonnée.

Il me faut juste du temps pour coordonner mes idées.

Pour ceux qui se poserait une question sur le titre "Double jeu"... Eh bien je ne répondrais rien... Mais je tiens à le signaler...

Bonne lecture.