Voici une fic que j'ai imaginé pendant un cours de math (comme quoi, ça aide XD ). J'espère que vous aimerez mon humble travail. N'hésitez pas à lâcher des comms
Coucou ! Ca faisait un bail ! Voilà, je vous annonce que j'ai fini ma fic pendant les vacances et que vous ne tarderez pas à découvrir la fin de ce long chef d'oeuvre (T-T je suis ému *snif*)
Bon, on commence ce chap avec deux British assez connu de tout le monde, j'ai nommé William Shakespeare et Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Pron
Il n’existe rien de bon ou de mauvais. Tout dépend de ce que l’on en pense…
William Shakespeare
Le Bien et le Mal n’existent pas. Il n’y a que le pouvoir et ceux qui sont trop faibles pour le posséder…
Lord Voldemort
Hinata cherchait toujours le moyen de quitter la chambre où elle était séquestrée avec sa fille et Neko. Impossible de sortit par la porte car deux sentinelles avaient été placés devant. Elle avait envisagé de s’enfuir par la fenêtre mais c’était hors de question, à cause du bébé.
-Il doit bien y avoir un moyen, dit-elle.
-Si seulement les sentinelles n’étaient pas là, murmura Neko en bordant la petite.
Hinata eut alors une idée. Certes, c’était risqué mais elle ne voyait pas d’autres solutions. Elle demanda à Neko de se cacher avec sa fille. Puis, Hinata appela les sentinelles, qui entrèrent dans la minute qui suivit.
-Qu’y a-t-il ? demanda l’un d’eux.
-Euh…J’ai fait tomber une boucle d’oreille assez petite et…j’aurai besoin d’aide pour la chercher…
-…Bon, d’accord…
Les deux gardes s’accroupirent sur le sol et se mirent à chercher la fameuse boucle d’oreille. Pendant ce temps, Neko sortit discrètement de sa cachette au signal d’Hinata puis les deux filles filèrent discrètement, en fermant la porte derrière elles et en la bloquant avec une lance que tenait une arme, juste à côté de la porte, dans le couloir.
-Quels idiots, ricana Neko en donnant Hikari à sa mère.
-Je n’aurai jamais cru qu’il tomberait dans ce piège, fit Hinata en souriant.
Elles traversèrent ensuite le couloir pour arriver peu après dans un grand hall où des dessins de Bouddhas étaient présents sur les murs. Sur le sol, on pouvait voir écrit les inscriptions suivantes :
Ceux qui cherchent le Satori (la Révélation) auront l’aide de Niorai, Bosatsu et Ten.
Mais ceux qui ne comprennent pas les enseignements de Niorai
Seront châtiés par le courroux du grand Myôhô.
Neko ne comprenait absolument pas ce que signifiaient ces phrases et elle pensait qu’elles n’avaient aucun sens.
-C’est aussi incompréhensible que les blagues de Naruto-san, lança-t-elle.
Hinata esquissa un sourire puis s’approcha des inscriptions.
-As-tu entendu parler des Bouddhas centrés autour du Satori ?
-Ben…pas vraiment.
-Le premier, Niorai, offre son enseignement aux hommes afin de les guider vers le Satori. Le second, Bosatsu, aide les personnes à comprendre les enseignements de Niorai. Ten, le troisièmee, ses divers pouvoirs pour protéger les disciples de Niorai…
-Et le quatrième ?
Hinata relut les inscriptions sur le sol puis continua :
-Myôhô…Myôhô punit ceux qui n’ont pas compris l’enseignment de Niorai.
-Co…Comment sais-tu tout cela ?
-Grâce aux livres que mon père me forçait à lire quand j’étais plus jeune.
-Ah…Et comment…Myôhô punit ceux qui ne comprennent pas l’enseignement de Niorai ?
-…J’ai oublié…
-Moi, je peux vous le dire…
Les deux filles sursautèrent en se demandant d’où provenait cette voix. Près d’un escalier menant à l’étage supérieur, elles virent deux personnes vêtues de la fameuse veste noire. L’un d’eux était un jeune homme séduisant brun aux yeux jaunes, l’autre était un vieillard qui s’appuyait à l’aide d’une canne. Le jeune homme s’avança puis dit :
-Myôhô torturait ceux qui ne comprenaient pas et tuait parfois.
-Qui êtes-vous ? demanda Hinata, inquiète.
-Oups ! Pardonnez-moi, jeune demoiselle. Watashi wa Kurohitsugi no San desu ! Kami ! Vous me semblez charmante. Puis-je connaître votre joli nom ?
Neko n’en revenait pas ! Ce type était en train de draguer Hinata ! Cette dernière rougissait, d’abord flattée et gênée mais peu après, elle recula et lui demanda :
-Qu’êtes-vous en train de faire ?
-Eh bien, je pensais qu’une jeune fille célibataire comme vous accepterez de dîner avec moi…
-Mais…je ne suis pas célibataire !
-Ah bon ?
-Oui. J’ai même un enfant.
Elle montra sa fille, Hikari, et le dénommé Kami sembla étonné en la voyant le bébé et se mit à déprimer dans son coin, alors que le vieil homme ricanait.
-Ah, ces jeunes ! Ils tombent tous amoureux pour un oui ou un non. Ce garçon est incapable de frapper de jeunes filles. Mais je ne suis pas aussi gentil…
Le vieil homme s’approcha d’Hinata puis une fois à un mètre d’elle, il lui dit :
-Watashi wa Kurohitsugi no Go desu ! Zhing Hong ! Et moi et Kami avons eut pour mission de stopper tous les intrus...
Dans les sous-sols du château, les autres filles étaient endormies dans un des cachots. Sakura se réveilla la première et vit devant son lit…un berceau. Elle s’approcha un peu puis regarda ce qu’il y avait dedans. Là, elle vit un petit bébé, une petite fille, qui avait les yeux de…Sasuke.
-Oh mon Dieu ! Ce…c’est…
Quelques secondes plus tard, les autres filles se réveillèrent, à cause du bruit que faisait Sakura.
-Qu’est-ce qui se passe ? demanda Tenten à moitié endormie.
-Vous n’allez pas me croire !
-Quoi ?
Ino et Tenten s’approchèrent et observèrent la fille de Sakura avec stupéfaction. Puis, elles remarquèrent que devant cxhaque lit se trouvait un berceau. Dans chacun d’eux se trouvait un petit bébé endormi. Ceux de Tenten et Ino étaient des garçons.
-Ils sont adorables ! fit Ino en prenant le sien dans ses bras.
-Alors c’était à ça que servait cette technique, fit Sakura en prenant sa fille. A nous faire accoucher plus vite.
-On fait quoi, maintenant ? demanda Tenten.
-On prend nos enfants et on se tire de cet endroit, proposa Ino.
-Pas avant d’avoir écrasé ce sale type ! fit Sakura, qui faisait visiblement référence à Kurokage.
Elles s’habillèrent, installèrent leurs bébés sur leur dos grâce aux draps qui leur servirait ainsi à les transporter et se dirigèrent vers la porte. Sakura la défonça d’un simple coup de poing puis elles débouchèrent dans un couloir mal éclairé par des torches. Elles traversèrent le couloir d’une traite avant d’arriver devant un escalier. Elles le montèrent puis arrivèrent devant une porte. Des bruits étranges semblaient venir de cette dernière. Curieuse, Ino plaqua son oreille et entendit des gens se battre. Lorsqu’elle en informa ses amies, Sakura défonça la porte. Là, elles virent un Naruto en train de se battre contre Zen Aku, un Lee mal en point au bord de la léthargie et un Neji inconscient et encastré dans un mur.
-LEE !!
Tenten se précipita vers son petit ami, les larmes aux yeux.
-Tenten…, fit Lee. J’aurai…aimé…te rendre heureuse…une dernière fois…
-Arrête de dire des âneries ! Surtout devant ton fils !
-QUOI ?!
Lee fut revitalisé et demanda des explications. Après un petit récapitulatif, Tenten montra son fils à son petit ami. Ce dernier souriait et pleurait à chaude larmes en voyant un si petit être. Mais cela n’empêcha pas Zen Aku de se jeter sur lui avec son arme en forme de croissant de lune. Lorsque Tenten le vit, elle poussa Lee qui tenait leur fils et lui lança des shurikens mais le loup cornu les bloqua mais avait compplètement oublié Lee, qui en profita pour lui lancer un Konoha Senpû en plein dans le thorax et l’envoyer s’encastré dans l’un des murs du hall. Sakura et Ino allèrent ensuite s’occuper respectivement de Naruto et Neji. Tenten reprit son fils et le réinstalla derrière son dos.
-Eh ben, fit Sakura, il vous a pas raté !
-Oui mais…il faut dire qu’il était assez rapide, expliqua Naruto. Où est Hinata ? ajouta-t-il en ne la voyant pas.
-Je crois qu’elle est retenue à l’étage du dessus.
-Ok ! J’y vais !
-Je viens avec toi, fit Neji alors qu’Ino lui procurait les soins nécessaires.
A ce moment, Zen Aku se libéra du mur et se jeta sur le groupe. Tenten lui envoya une volée de kunais mais son adversaire les esquiva et accéléra. Lee voulut le prendre par surprise et lui décocher une droite mais, sortit nulle part, Takeshi arriva et bloqua son coup.
-Tsss, fit-il. Je pensais que c’était Gaï qui revenait pour prendre sa revanche mais ce n’est qu’un gamin…
-Vous avez affronté Gai-senseï ?
-Alors, ce chauve est ton Senseï ? Remarque, je ne devrais pas être surpris si on regarde tes fringues…
-Gaï-senseï n’est pas chauve !
-Il l’était quand je l’ai connu !
Les autres se retinrent de rire en imaginant le senseï de Lee son ses cheveux. Lee se dégagea et recula, se plaçant ainsi à côté de Tenten.
-Naruto, Neji, Sakura, Tenten, continuez ! Je me charge d’eux ! lança Lee.
-ON se charge d’eux, corrigea Tenten. Il est hors de question que je te laisse les combattre seul.
-Tenten, ce n’est pas un endroit approprié pour notre fils !
-Mais je refuse que ton fils ne puisse pas connaître son père et puis…je ne veux pas te perdre…
-Tenten…
Les jeunes se regardèrent dans les yeux, comprenant que ni l’un ni l’autre ne changerait d’avis. Naruto souria en voyant cette scène puis dit :
-Compris ! On continue !
-Naruto, fit Sakura. Je vais rejoindre Sasuke et on viendra te rejoindre plus tard !
-Je t’accompagne, fit Ino à Sakura.
-D’accord mais soyez prudente !
-Allons-y ! fit Neji.
Ainsi, tandis que Sakura se dirigeait vers la sortie, les deux garçons sautèrent au-dessus des deux membres du Kurohitsugi et montèrent les escaliers devant eux.
-Vous croyez que je vais vous laisser filer ? cria Takeshi en se lançant à leur poursuite.
Mais Lee lui barra aussitôt la route et lui fit signe d’approcher. Takeshi, vert de rage, se jeta sur lui et le combat entre deux experts en Taïjutsu débuta tandis Zen Aku se préparait à attaquer Tenten. Cette dernière sortit un parchemin et fit apparaître deux épées droites traditionelles chinoise. Elle pensa ensuite à son bébé qu’elle transportait et se disait qu’il ne fallait absolument pas qu’il soit touché.
Dehors, Nakaoni enchaînait les attaques dévastatrices sans se soucier de savoir s’il touchait un allié ou un ennemi. Il lançait ses techniques pour certes toucher Shikamaru, Chôji ou Kiba mais ses attaques étaient si puissantes qu’elles touchaient également les ninjas de Yami no kuni.
-Il commence à me gonfler ! fit Kiba en donnant un pillule militaire à son chien. On met le paquet, Akamaru !
-Waouf !
-Inuzuka-ryû ! Jûjin Combi Henge !
Kiba sauta sur le dos de son chien puis un nuage de fumée s’éleva. Peu après, un énorme chien à deux têtes apparut, bavant.
-Sôtôrô !
-Et alors ! cria Nakaoni en lui donnant un coup de poing mais la fusion de Kiba et Akamaru l’esquiva facilement mais le rocher sur lequel ils se tenaient une seconde plutôt venait d‘être réduit en poussière par le punch de l’ennemi.
Le chien à deux têtes se mit à tournoyer sur lui-même puis fonça vers Nakaoni.
-Garôga !
Il alla percuter leur adversaire mais ce dernier esquiva en faisant un grand saut. Il se plaça alors sur le haut de la falaise et regarda ses ennemis.
-Qu’est-ce qu’il fait ? se demandèrent-ils tous.
Quelques secondes plus tard, Sakura et Ino arrivèrent dehors et virent un bien étrange spectacle : tout le monde, allié comme ennemi, semblait regarder le ciel. Lorsque Sakura vit Shikamaru, elle s’approcha de lui :
-Shikamaru !
-Sakura ? T’as réussi à t’évader ?
-Ouais, un truc comme ça ! Qu’est-ce qui se passe, ici ?
Shikamaru expliqua rapidement la situation à Sakura, qui comprenait mieucx ce qui se passait. A ce moment, Nakaoni, sur sa falaise perché, s’éloigna du bord puis posa sa main dessus et cria :
-Doton ! Retsudo Tenshô !
La falaise se fracassa alors, provoquant une gigantesque avalanche. Les rochers s’abbatirent sur ceux qui se trouvaient en bas mais Nakaoni ne s’arrêta pas là. Il sauta sur l’autre falaise en face et recommença l’opération. Dans un vent de panique, tout le monde se mit à courir à droite et à gauche pour tenter de s’abriter mais il n’y avait aucun endroit où se cacher. Avec autant de rocher qui leur tombait sur la tête, Shikamaru plus quoi faire et se disait que cette fois-ci, tout était perdu.
-Kuchiyose ! Kirikiri Mai !
Une belette armée d’un faucille géante sortit de nulle part et, accompagné d’un vent puissant, trancha en petits morceaux les rochers qui tombaient sur les ninjas de Konoha.
-Qu’est-ce que… ? demanda Kiba, qui n’avait rien compris.
-Alors, toujours aussi dépendant ?
Shikamaru vit alors, debout en perpandiculaire sur le flanc d’un des falaises, Temari et son éventail géant à la main.
-Qu’est-ce que tu fais ici ? lui demanda Shikamaru.
-C’est comme ça que tu remercies celle qui t’as sauvé ? Remarque, j’en attendais pas moins de toi…
-Kess t’as dit ?
-Eh, les tourteraux, vous avez finis ? demanda Ino.
-Qui traites-tu de « tourteraux » ?! hurlèrent les deux shinobis en chœur.
Tout le monde éclata de rire lorsqu’un rocher s’écrasa non loin d’eux. En effet, Temari n’avait détruit tous les rochers mais seulement une partie. Alors que tout semblait perdu, du sable sortit des entrailles de la terre et stoppèrent les rochers en les maintenants en suspension au-dessus de leur tête. Ils virent ensuite arriver Gaara, accompagné d’un homme portant un étrange costume noir ainsi que trois rouleau de parchemin dans son dos et d’une jeune fille vêtue de beige, d’une mini-jupe bleu et ayant les cheveux tombant jusqu’à ses épaules.
-Vous êtes lents, leur dit Temari.
-Oh, ça va ! fit le garçon au costume noir.
-Kankurô-san ! Gaara ! Matsuri ! fit Ino.
-Salut !
-Heureuse de vous revoir, fit Matsuri.
Gaara se contenta de garder le silence et de regarder à droite et à gauche. Matsuri se mit alors à crier en voyant les bébés que transportaient Sakura et Ino.
-Ils sont mignons ! fit-elle.
-Adorable ! fit Temari qui venait juste de les remarquer.
-Ce sont les gosses de qui ? demanda Shikamaru.
-Les notres, répondirent Ino et Sakura.
Un long silence s’installa avant que le groupe poussa un gros « HEIN ?! ». S’ensuivit alors quelques explications et de quelques rires.
-Imaginez la tête de Sasuke lorsqu’il verra sa fille ! fit Chôji.
-J’suis déjà mort de rire ! fit Kiba.
-Je crois plutôt que l’on va être mort, tout court…, fit Gaara en regardant le sable en suspension.
-Pourquoi ? demanda tout le monde.
Gaara avait lancé son Daisan no Me et avait créé un œil de sable pour voir ce que faisait Nakaoni. Visiblement, ce dernier était assez en colère du fait que sa tactique ait été contre-carré. Il sauta alors dans le vide puis cria :
-Ninpô ! Onigiri ! (litt. : « Entaille du démon ». Les Onigiris sont également des boulettes de riz, très apprécié des japonais)
Il donna comme un coup de griffe dans le vide lorsque des entailles géantes apparurent sur les rochers. Il recommença une nouvelle fois et fit une ouverture dans le nuage de sable de Gaara.
-Pas bon, pensa Shikamaru.
-Kankurô, fit Gaara. Rentre à l’intérieur et va aider Naruto.
-Compris, dit ce dernier en se dirigeant vers la porte.
-Attends ! lui fit Sakura. Ils se battent, dans le hall.
-Dans ce cas, j’essayerai de trouver une entrée après avoir escalader les murs.
Sur ces mots, il courut vers l’un des murs du château et monta à la verticale de celui-ci.
-Chôji, lui dit Shikamaru. Accompagne-le !
-Ok !
Et le jeune Akimichi suivit Kankurô.
-Regardez ! s’écria Matsuri en pointa son doigt.
Le groupe vit alors des ninjas de Yami no kuni immerger des rochers. Apparemment, il s’agissait de rares rescapés de l’avalanche causé par Nakaoni. Ce dernier était d’ailleurs sur l’un des rochers que le sable de Gaara maintenait en suspension et sembla quelque peu énervé que quelqu’un l’ait empeché de s’amuser. Il lança alors une nouveau Onigiri et créa de nouveau une ouverture dans le nuage de sable. Il s’y glissa et se retrouva face au Kazekage de Suna. Nakaoni se jeta alors sur lui mais soudainemet, un katana se planta entre lui et le Jinchûriki. Sasuke, debout sur le flanc d’une des falaises, lui dit alors ceci :
-Si tu t’attaques à mes camarades, tu devras aussi en répondre devant moi !
-Kyaaaa ! fit Sakura en voyant son petit ami. Quelle classe, Sasuke-kun ! Surtout avec ton nouveau manteau !
-Frimeur, pensèrent les autres.
-Je n’ai pas besoin d’aide, lui dit ensuite Gaara.
-Hé ! Tu vas pas te garder tout le plaisir pour toi !
-Tu auras bien assez à faire avec moi !
Sortit de nulle part, Raijin tenta de donner un coup de poing à Sasuke en traître mais celui-ci l’avait sentit venir et avait esquivé le coup avec aisance.
-T’es qui ?
-Watashi wa Kurohitsugi no Kyû desu ! Raijin !
-T’as pas l’air d’être une lumière, mon vieux…
-Je vais te faire ravaler ces paroles !!!
Raijin se transforma alors, comme lors du combat contre Kakashi. En voyant sa nouvelle forme, Sasuke ne pus s’empêcher de dire :
-En plus de ne pas être intelligent, tu es bien moche…
Raijin pensait que c’était la goutte d’eau qui faisait déborder le vase. Il laissa plusieurs éclairs sur Sasuke mais ce dernier disparut subitement avant de réapparaître devant son adversaire. Il lui flanqua un coup de pied qui fit tomber son adversaire de la falaise puis passa au stade 2 de sa marque puis sauta dans le vide en composant ses signes incantatoires.
-Kuroi Chirdori !
Du chakra se concentra dans sa main gauche puis celui-ci prit la forme d’éclairs noirs. Il fondit alors vers Raijin et lui transperça le ventre avant de le faire s’écraser au sol. Sasuke reprit sa forme initiale puis se dirigea vers son katana, le reprit et fit en regardant son adversaire, mort :
-C’était trop facile !
Nakaoni, voyant à quel point Sasuke était fort, voulut se mesurer à lui et courut dans sa direction mais Gaara avait d’autres projets. Il arrêta de suspendre le sable au-dessus de Nakaoni, ce qui fit tomber les rochers. Trop occupé à les éviter, Nakaoni le vit pas la seconde manœuvre de Gaara. Ce dernier se mit à faire des mouvements circulaires avec ses bras avant de plaquer ses mains l’une contre l’autre, en criant :
-Suna Arashi ! (tempête de sable)
A ce moment, le sable se mit à tournoyer et forma alors une gigantesque tempête de sable. Les ninjas de Yami no kuni prit à l’intérieur, ainsi que Nakaoni, ne voyaient plus rien. Gaara plaqua alors ses mains l’une contre l’autre, de nouveau, puis hurla :
-Ryûsa Bakuryû !
Des tonnes de sables s’extrairent ainsi de la roche et s’abbatirent dans la zone où se trouvait l’ennemi. Nakaoni était maintenant piégé par une tonne de sable, sans être capable de bouger. Mais il ne semblait pas appeuré. Il semblait plutôt heureux. Il venait de rencontrer une personne bien plus forte que lui et il pensait pourvoir mourir sans regrets. Gaara plaqua ses mains sur le sable puis hurla :
-Sabaku Taisô !
Toute forme de vie fut alors écraser dans ce sable et les chances qu’une personnes y survivent étaient nulles.
-Il ne nous en a même pas laissé un, pensa Sasuke un peu déçu.
Cependant, l’instant d’après, plusieurs ninjas de Yami no kuni, qui avaient miraculeusement survécu, sortirent du sable.
-Ils sont à moi, fit Shikamaru en fouillant dans ses poches.
Il sortit alors une bombe fumigène et la lança sur eux. Il s’accroupi ensuite puis composa un signe incantatoire :
-Ninpô !...
Son ombre s’allongea puis s’enroula autour du nuage de fumée.
-…Kage Enmaku no jutsu ! (technique de la bombe fumigène de l’ombre)
L’ombre ressera alors le nuage de fumée, étouffant tout ceux qui se trouvaient à l’intérieur avant de disparaître et de libérer beaucoup plus de fumée que tout à l’heure.
-Facile, fit Shikamaru.
-Frimeur, pensèrent les autres.
De leur côté, Chôji et Kankurô continuaient à escalader les murs du château pour trouver une autre entrée. Au bout d’un moment, ils arrivèrent sur un grand balcon. Sur ce dernier, Ai, un des membres du Kurohitsugi, les attendaient.
-Qui es-tu ? demanda Kankurô.
-Je m’appelle Hiromu Ai. Et j’étais le Kurohitsugi no San…
-Etais ? répéta Chôji.
-Depuis que Kurokage-sama a réveiller Kami, j’ai perdu ma place parmis les membres dirigeants…
-Je ne comprends pas ce qui se passe, fit Kankurô, mais…laisse-nous passer !
-Je ne peux pas…Il va falloir vous battre si vous tenez à passer.
Elle sortit ensuite un parchemin et appella sa fameuse marionnette Gilgamesh.
-Une marionettiste, hein ? fit Kankurô interressé. OK ! Dans ce cas…
Il prit les trois parchemins dans son dos et le déroula à ses pieds.
-Karasu ! Kuroari ! Sanshuô’ô !
Une marionette portant un long manteau débraillé et aux cheveux noirs apparut, suivit d’une autre avec de longues cornes rouges et au long museau et d’un salamandre géante.
-C’est parti !
Kankurô créa des fils de chakra et envoya Karasu et Kuroari contre Gilgamesh. Ai fit bouger son pantin et ce dernier fit apparaître un trou dans la paume de sa main et lança une bombe fumigène. Ainsi, Kankurô ne pouvait voir où se trouvaient ses marionnettes. Gilgamesh sortit alors du nuage de fumée et fonça sur Kankurô, une lame sortant de sa main mais Chôji le sauva en le plaquant au sol. Il se releva ensuite puis fit un signe incantatoire :
-Bubun Baïka no jutsu !
Son bras se mit à grandir et il écrasa facilement l’un des bras de Gilgamesh. La marionnette tenta de lui flanquer un coup mais Chôji esquiva et la jeta à terre. Kankurô trouvait cela étrange. L’attaque de Chôji aurait pu être évité avec une grande facilité mais Ai n’avait rien fait. Lorsque la fumée se dissipa enfin, il vit la jeune fille…en train de pleurer ! Des larmes de tristesse coulaient le long de son visage et ses mains bougeaient à peine pour déplacer sa marionnette.
-Eh ! Qu’est-ce que tu fiches ! Pourquoi tu pleures comme ça !
En plus de l’expression de tristesse, la rage s’empara d’Ai et elle hurla :
-Et pourquoi je ne pleurerais pas ?! Kurokage-sama…Kurokage-sama a jugé que je ne lui étais plus indispensable…Que j’étais à présent un poids mort ! Comment est-ce qu’une personne normale réagirais, selon toi !?
-Tu n’es pas un poids !
Ce fut Chôji qui lui hurla ces mots. Les yeux remplis de détermination, il continua :
-On n’est qu’un poids mort que lorsque l’on est convaincus d’en être un ! Tu n’es pas cela !
-La ferme !
Ai venait d’ordonner à Gilgamesh de frapper violemment Chôji, qui fut projeté aux pieds d’Ai. Kankurô s’apprêta à lancer Karasu et Kuroari pour aller l’aider mais Ai déclencha un des mécanismes de Gilgamesh, qui lui fit envoyer une fusée. Kankurô rappella ses marionnettes et il se réfugia derrière un bouclier créer à partir du dos métallique de Sanshuô’ô.
-Je sais ce que c’est, de penser qu’on est un poids mort, fit Chôji en se relevant. Mais si on continue à penser cela, on n’avance pas…
-Tais-toi !
Gilgamesh frappa de nouveau Chôji, sur les ordres d’Ai.
-Tu ne sais pas comment j’ai souffert, lui cracha Ai. Depuis qu’il ma recueillit, je suis tombé amoureuse de lui. Mais lui, il ne voyait que cette Mikazuki ! Je me suis dit que c’était peut-être parce que je n’étais pas forte…mais j’ai compris que c’était parce que je n’étais pas belle…
-Ce n’est pas par la beauté que les gens t’apprécient !
-Bien sûr que si ! Toi, par exemple, tu es moche et aucune fille ne s’intéresse !
-C’est vrai…mais…
Chôji sortit alors une pillule rouge de sa poche puis l’ingurgita. Alors que Gilgamesh s’apprêtait à lui donner un nouveau, il disparut avant de réapparaître plus, en étant bien plus maigre qu’avant.
-…Je continue à garder espoir !
A une vitesse ahurissante, Chôji se plaça au-dessus de Gilgamesh et lui assénna un puissant coup de poing.
-Chôdan Bakugeki !
La moitié de la marionnette d’Ai fut alors détruite. Ai n’en revenait pas de la subite métamorphose de Chôji. Lui qui était gros et pas très attirant, il était devenu mince et beau. Ce dernier, à bout de force et aussi affaiblis à cause de cette pillule, s’écroula par terre mais Ai le rattrappa et posa sa tête sur ses genoux. Elle pleura alors de nouveau mais cette fois-ci de joie, car une personne tel que Chôji a su lui redonner espoir. Elle regarda ensuite en direction de Gilgamesh puis demanda à Kankurô de le détruire. Ce dernier accepta et envoya Karasu qui déploiya des lames autour de ses bras lorsqu’il les tendis. La marionette fit alors tourner ses bras tel une hélice et frappa Gilgamesh violemment et le fit décoller du sol. Lorsqu’il réatterit sur le sol, Kuroari se plaça au-dessus de lui et lâcha plusieurs bombes, qui explosèrent et détruire Gilgamesh. A présent, Ai venait de tirer un trait sur son passé et se concentrée sur son avenir, qui se trouvait peut-être sur ses genoux…
Tenten était à terre, complètement épuisée. Zen Aku était beaucoup trop fort pour elle et il esquivait tous les kunais et shurikens qu’elle envoyait. De leur côté, Lee et Takeshi étaient à égalité et avaient du mal à se départager. Même en ouvrant leurs verrous psychiques, ils n’arrivaient pas à se départager. Le bébé de Tenten était allongé à un mètre de sa mère et s’amusait avec un kunai. Zen Aku s’apporcha alors de Tenten pour lui donner le coup de grâce. Alors qu’elle pensait que tout était fini, elle sentit un liquide chaud sur son visage. Il vit du sang. Mais pas le sien. Celui de son adversaire. Un kunai planté dans la gorge, Zen Aku eut du mal à respirer et s’écroula, raide mort. Tenten ne comprenait rien. Qui avais lancé ce kunai ? Lee ? Mais il était occupé à combattre Takeshi. Elle s’approcha de Zen Aku puis regarda attentivement le kunai et reconnut celui avec lequel son fils jouait. Ce dernier réclamait d’ailleurs sa mère. Tenten le prit dans ses bras et se demandait si son fils avait lâché le kunai en faisant bouger dans tous les sens ou s’il l’avait lancé. Dans tous les cas, elle avait une sacrée chance. Une détonation retentit alors. Tenten vit alors son petit ami se faire projeter contre un mur. Takeshi semblait à bout de souffle et à cours de chakra, tout comme Lee. Dans leur esprit résonnait la même chose : la prochaine attaque sera la dernière ! Lee se releva et se mit en position de combat, tout comme son adversaire. Ils s’observèrent afin de voir qui allait bouger en premier, afin de voir quel mouvement l’autre allait faire. La respiration de chacun d’eux accélérait chaque seconde. Soudain, ils s’élancèrent. Takeshi donna ses dernières forces pour un puissant coup de poing dans le ventre de Lee. Ce dernier cracha du sang à cause de l’impact mais il ne s’avoua pas vaincu. Il attrapa le bras de son adversaire et le jeta par terre. Celui-ci se releva mais Lee lui envoya un puissant Konoha Senpû en pleine tête, ce qui eut pour effet de briser sa nuque. Takeshi s’écroula alors tandis que Lee tomba de fatigue. Tenten se précipita vers lui.
-Tu n’as rien ? demanda-t-elle.
-Pas grand-chose, répondit Lee. Et toi ?
-Je vais bien…
Sans raison apparente, Tenten se jeta dans les bras de Lee, soulagée que ce dernier s’en soit sortit.
Hinata était dans une situation critique. Presque à court de chakra, elle n’avait pas réussi à toucher une seul fois Zhing Hong et il restait encore Kami à combattre. Le vieil homme riait en voyant que son adversaire n’était pas à la hauteur.
-J’attendais beaucoup plus de la Tigresse Blanche de Konoha, fit-il. Bon, assez joué !
Il tendit ses bras sur les côtés puis il s’éleva légèrement du sol et se mit à tournoyer sur lui-même. Quelques secondes après, des gouttes d’eau apparurent et commencèrent à former une sphère. Cette dernière se mit à tourbillonner autour de Zhing Hong puis ce dernier cria :
-Suiton Hijutsu ! Genbu no Yoroi ! (la carapace de Genbu)
La sphère d’eau tourbillonante se mit alors à prendre du volume puis elle percuta Hinata, tel une vague déferlante. Cette dernière fut projeté vers un mur, sous le regard inquiet
-Hinata-san !
Cette dernière se releva et se souvint alors de quelque chose. Elle se souvint des paroles d’un vieux maître qu’elle avait eut, lorsqu’elle avait 16 an…
//FLASHBACK//
Dans de hautes montagnes, coupées de tout, Hinata s’entraînait au pied d’une chute d’eau. Tout se passait bien lorsque quelqu’un lui lança un petit caillou sur la tête. Elle s’agenouilla et se frotta la tête pour tenter de dissiper la douleur. Une vieille petite femme vêtue d’un kimono blanc marchant à l’aide d’une canne, arriva alors.
-C’était donc là que tu étais, paresseuse !
-Xiaoyu-sensei, ça fait mal !
-C’est fait exprès, dit la vieille femme en donnant un coup de canne sur la tête de sa disciple.
-AIEUUUUH !!!
-Allons, du nerf ! Tu es arrivé à la dernière étape de ton entraînement…
-Hein ? Mais cela ne fait qu’un mois que je m’entraîne avec vous et…
-JE N’AI PAS FINI ! hurla-t-elle en lui donnant un nouveau coup. Je t’ai enseigné ce qui t’était nécessaire. Le reste, tu devras l’apprendre seule…
-Mais qu’allez-vous m’apprendre ? demanda Hinata en se massant le sommet du crâne.
-Connais-tu les Quatre Dieux de la Terre et du Ciel ?
-Oui. Ils symbolisent à la fois les quatre points cardinaux et les quatres éléments. Il y a Suzaku, le phénix, Seiryû, le dragon, Genbu, la tortue, et Byakkô, le tigre.
-Mais sais-tu quel élément est associé à chacun d’eux ?
-Heu…Non…
-Et bien, vois-tu, Suzaku représente le feu, Seiryû représente le vent, Genbu, l’eau, et Byakkô, la terre…
-Quel rapport avec la technique que vous voulez m’enseigner ?
-Je n’ai pas fini ! dit la vieille femme en donnant une pichenette sur le front d’Hinata.
-AIE !
-Dans le monde des shinobis, il existe des techniques sécrètes. Ca, tu le sais. Mais parmis elles, on trouve quatre puissante technique issus de ces Dieux. A savoir une technique secrète Katon, Fûton, Suiton et Doton…
-Et vous allez me l’apprendre ?
-Je n’ai pas fini !!! cria-t-elle en lui donnant une nouvelle pichenette.
-AIEUUUUH !
-Il existe quatre grands sages qui se doivent, lorsqu’ils arrivent à un certain âge, transmettre ces techniques à des personnes dignes de confiance. Et c’est pour cela, jeune fille, que je t’ai choisis.
-Moi ?
-Oui, toi ! D’ailleurs, si je ne m’abuse, mes autres confrères ont choisis des ninjas de Konoha afin de transmettre cette technique…
-Qui sont-ils ?
-Hmmm…Il y a un certain Uchiha Sasuke et un Uzumaki Naruto…
Le cœur d’Hinata s’emballa lorsqu’elle entendit le nom de Naruto mais elle redescendit vite sur terre grâce à la voix si mélodieuse de son professeur.
-Redescends sur terre, ma fille !
-Hein ? Heu…Je…
-Bon ! Te sens-tu prête à apprendre ma technique, issus…
-Je suis prête !
-JE N’AI PAS FINI ! Et puis zut, je continue ! Retiens bien le nom de cette technique ! Elle se nomme…
//FIN DU FLASHBACK//
Hinata concentra ce qui lui restait de chakra dans ses mains et se concentra. Les deux membres du Kurohitsugi se demandaient ce qu’elle fabriquait. Juste après, Naruto et Neji arrivèrent et assistèrent à cet étrange spectacle.
-Hinata ! cria Naruto.
Mais elle semblait ne pas l’avoir entendu. Par contre, ce ne fut pas le cas de Kami, qui se précipita sur lui, en manque d’action. Neji s’interposa alors et tenta de le frapper avec la paume de la main mais au moment de l’impact, il fut que le chakra qu’il avait injecté dans le corps de son adversaire n’avait aucun effet.
-Dommage, fit Kami en souriant.
Ce dernier ramena son bras en arrière et cria :
-Myôhô Rendan !
Il frappa alors Neji violement avec la paume de sa main et le jeune Hyûga s’encastra dans un mur. Il fit la même chose à Naruto puis se mit à prier.
-Namu Amida Butsu…(litt. : « Gloire au Bouddha Amida ». Cette prière est prononcé pour que les morts puissent rejoindre les cieux en paix)
-Minute, mon vieux ! On est pas encore mort !
Naruto, hors du mur, lui flanqua une droite et Kami vola non loin de Zhing Hong. Ce dernier, n’ayant aucune idée de ce que préparait Hinata, décida de prendre les devant et s’apprêta à lancer une nouvelle fois son attaque. Mais la jeune Hyûga avait finit de concentrer son chakra et s’apprêtait à lancer son attaque. Elle disparut l’espace d’un instant puis plusieurs entailles apparurent le long des murs, sur le sol puis sur les corps des deux membres du Kurohitsugi…
//FLASHBACK//
-Senseï, fit Hinata, vous allez m’enseigner la technique de quel Dieu ?
-JE N’AI PAS FINI ! J’ALLAIS TE LE DIRE !!! répondit la vieille Xiaoyu.
-Pardon…
-Je vais t’enseigner la technique de Byakkô.
-Mais…Senseï…
-Quoi encore ?!
-Je croyais que la technique de Byakkô était de type Doton…
-Et alors ?!
-Mais…mon affinité est de type Suiton…
-Je le sais puisque j’ai vu ton Shugo Hakke Roku Jû Yon Shô !
-Alors…il ne serait pas plus logique que j’apprenne la technique de Genbu ?
-Je ne la connais pas et en plus, sache que les Jounins doivent se spécialiser dans leur affinité de départ avant de se lancer dans l’apprentissage de leur affinité secondaire. C’était d’ailleurs le but de cet entraînement : dévellopper une affinité Doton…
-Ah…
-Bon, où en étais-je ? Ah oui ! Le nom de cette technique ! Elle se nomme…
//FIN DU FLASHBACK//
-Doton Hijutsu ! Byakkô Gari ! (l’entaille de Byakkô)
Des lors qu’Hinata eut prononcé ces paroles, les zones où les entailles étaient présentes éclatèrent et les deux membres du Kurohitsugi s’écroulèrent, baigant ainsi dans leur sang. Hinata s’écroula alors de fatigue tandis que Naruto accourait. Il la releva doucement tandis que Neji et Neko, portant Hikari dans ses bras, s’approchaient.
-Ca ira, fit Neji après l’avoir examiné. Elle est juste épuisée…
-Dieu merci, fit Naruto.
-Uzumaki Naruto ?
Ce dernier et vit, debout au pied des escaliers que gardaient Zhing Hong et Kami, Mikazuki.
-Qui es-tu ?
-Watashi wa Kurohitsugi no Ni desu ! Shirokage Mikazuki ! Kurokage-sama m’a envoyer vous chercher. Il aimerait s’entretenir avec vous…
Naruto n’en revenait pas. L’ennemi l’invitait carrément à venir le trouver dans sa tanière. Sans réfléchir davantage, il accepta et confia Hinata à son cousin et lui demanda qu’il sortes les filles d’ici. Il suivit ensuite Mikazuki et grimpèrent les escaliers. Ils marchèrent durant de longues minutes dans des couloirs sombres avant d’arriver au sixième étage. Ce dernier menait à un couloir suspendu, qui menait à une tour, isolée du reste de la structure. Naruto commença à marcher le long de ce couloir mais Mikazuki ne le suivait pas.
-Vous ne venez pas ?
-Mon rôle s’achève ici…
Naruto alla donc seul en direction de la tour lorsque Mikazuki l’interpella. Naruto se retourna et elle lui demanda :
-Ne le tuez pas, s’il vous plaît…
-…Je ne vous promet rien, fit Naruto en se retenant d’exploser en entendant cela.
Il courut alors vers la tour puis se retrouva face à une porte. Il l’enfonça et vit Kurokage, assis dans un grand fauteuil, au milieur d’une salle vide.
-Bienvenue, Uzumaki Naruto…
I’ve labored long and hard for bread,
For honour and for riches,
But on my corns too long you’ve tred,
You fine-haired sons of bitches
Black Bart the Po-8
Longtemps j’ai peiné pour du pain,
L’honneur et la richesse,
Mais vous n’avez trop marché sur les pieds,
Jolis fils de…
Black Bart, le poète
Et on fini par le célèbre Black Bart, le cambrioleur-détrousseur-poète (je crois que c'est ça), personnage mythique du Far West qui signait ses braquages de diligences par des poèmes de son cru. Y'a pas à dire, il fort !