Cet Ananas Et Moi


Fanfiction Naruto écrite par Saya-chan (Recueil de Saya-chan)
Publiée le 18/10/2008 sur The Way Of Naruto



Yo !
Salut à tous ! Vous allez bien ?
Je m'essaye à un tout autre genre de fic. Cette fois ci, c'est un peu genre, "journal" mais écrit au présent, dans le vif de l'action et tout. En fait, on est carrément dans la conscience (sacrément tordue !) de Mademoiselle Temari.
Et je vous avertis tout de suite ça déménage !!
Pour tous les tristounets, qui ont envie de se changer un peu les idées, ou pour ceux qui veulent rire... Je vous souhaite la bienvenue.
Au passage je vous prie d'excuser le vocabulaire et les manières parfois peu avenantes de notre protagoniste principale. Elle est quelque peu... Remuante.
Bonne lecture !



Chapitre 1: Ils veulent vraiment que je m'énerve !



Ma parole, mais il M’IGNORE !!
J’avoue, je m’attendais à tout sauf à ça. C’est quand même un peu fort ! Comment peut-il faire comme si rien ne s’était passé ? Enfin... peut être aurais je dû m’y attendre avec ce crétin invétéré.

A peine furax, je fais les cent pas dans ma chambre de location.
Eh oui, je ne suis pas dans mon village, mais bel et bien à Konoha en tant qu’ambassadrice.
Mon frère aurait dû choisir quelqu’un d’autre si vous voulez mon avis. La diplomatie n’est pas vraiment mon fort, en vérité. Mais ça, il n’y a QUE MOI qui ai le droit de le dire, VU ?

Reprenons. Non en fait je n’ai rien à ajouter. Ce mec me soûle grave ! En plus il n’a aucune excuse ! Il n’avait pas bu, il ne peut donc pas prétendre à une quelconque amnésie. Mais alors pourquoi ne me parle t’il pas ??
Enfin, j’exagère, comme toujours… Il me dit quand même bonjour… UNE FOIS PAR SEMAINE !!
Et moi je suis sensée faire quoi ? Tout le monde sait que je ne suis pas franchement conciliante. Alors quoi ? Je lui file un coup d’éventail sur la figure ? Pas sûr que ça l’aide… Malheureusement, je crois bien que je ne sais faire que ça avec les cas désespérés comme lui.
Et oui, c’est malheureux à dire mais je suis amoureuse d’un attardé mental.

PARDON ???
Qu’est ce que je viens de dire là ? Faites-moi le plaisir d’oublier cette phrase immédiatement ! Non vraiment ce garçon me rend dingue… Enfin ! Pas dans le sens auquel vous l’entendez !
Bon OK je m’enfonce là.
« Temari ? »
« Quoi ? »
« Chut. »
C’est rien je me sèche toute seule.

Bon, mais vous devez quand même vous demander ce qui me met dans un état pareil non ? Préparez vous à compatir, c’est odieux !
Alors voilà :

Les fêtes à la base j’aime bien. Sans rire, c’est pas l’extase, mais généralement on réussit quand même à s’éclater. Mais évidemment il y a une exception. (Notez, c’est pour ça que j’ai dit « à la base » lecteurs bouchés !!) Une exception masculine j’entends. Et, tenez vous bien, celle ci à un nom : Shikamaru Nara.
Sans rire, ce mec à un DON pour rendre tout chiant autour de lui.
Et ce soir là n’a pas fait exception à la règle. J’avais pourtant dit à Ino de pas l’inviter ! Mais bon, c’était son coéquipier quand même. Et puis elle savait que ça l’embêtait vraiment de venir, elle pouvait pas résister au plaisir de l’inviter rien que pour l’énerver. N’empêche il aurait pu sécher.
Mais bon, ce mec doit être le Dieu de la politesse réincarné, parce qu’il a ramené sa tête d’ananas chez Ino. Ou alors c’est juste qu’il avait peur qu’elle ne le trucide ensuite. Faut voir.
Enfin bref, il était là.

Chacun avait sa place, si vous voulez savoir.
Chôji était collé au buffet. (Ca étonne quelqu’un ?)
Naruto en train de faire le fou sur la piste de danse, un bol de ramen dans une main, Sakura dans l’autre.
Kiba faisait danser son chien.
Lee exécutait le tour de la salle sur les mains.
Neji résistait aux assauts de Tenten qui voulait l’inviter à danser
Et Saï essayait de saisir les lumières changeantes de la salle avec son pinceau.
Et lui ? Je vous le donne en mille, il ne fichait rien ! Bêtement assis, les yeux dans le vague avec un air passablement abruti et toujours aussi mal coiffé, voilà le tableau. Réjouissant pas vrai ?
Waouh !
Alors qu’ais je fait ? (Ben quoi, j’allais quand même pas le laisser dans une posture aussi paumée… J’avais pitié comprenez vous ?) Ni une ni deux, je suis allée me camper devant lui.
- Cherche pas. Tu trouveras pas de nuages au plafond.
(La classe, non ?)
Croyez-le ou non, ça n’a pas eu l’air d’être son avis.
- Sans blague… T’as rien d’autre à faire que de venir m’embêter fille galère ?
Ce mec à le don de m’énerver. Mais je l’ai peut être déjà dit.
- Hey ! Je te rends service en cachant aux yeux du monde ton air abruti, tu pourrais me remercier !!
- Mon air abruti ? Tu t’es vue ?
Hé hé ! Jackpot ! J’avais réussi à le harponner. Le reste suivrait comme sur des roulettes.
- Parfaitement je me suis vue, pleurnichard. Peut être aurais tu besoin de lunettes ? Quoique… généralement ça ne va pas aux ananas…
- Tu crois vraiment que j’ai que ça à faire de parler avec une fille aussi galère que toi ?
- Oh que oui… Vu la tronche que tu tirais à l’instant.
- Je ne voulais pas y aller à cette fête.
- Nooooon !! Sans blague ?? Alors là tu m’étonnes pleurnichard.

Et ça a continué assez longtemps comme ça. Croyez moi ou non, j’aime bien discuter avec lui.
Y’a pas plus pénible comme mec, je vous l’accorde, mais quand on a envie de se défouler, ou d’emmerder quelqu’un, faites moi confiance, c’est le meilleur ! (Cf : mon classement perso.)
Enfin voilà, on a papoté pas mal tous les deux, c’était sympa et tout, mais bon, on cassait un peu l’ambiance. C’est vrai quoi, tout le monde dansait sauf nous. Alors on est allé dehors. (Parce que Monsieur trouvait galère de danser.)
Et là…
C’est devenu un peu bizarre. Je sais pas si c’est parce que je voyais pas sa tête d’ananas, mais tout d’un coup je le trouvais sacrément attirant. (Peut être aussi parce que j’avais appris des tas de trucs à son sujet en bavardant. Sans blague il m’avais surpris. Avant je le prenais VRAIMENT pour un gros nul... Maintenant un peu moins.)
Après me demandez pas qui c’est qui a commencé, parce que franchement j’en ai aucune idée, (enfin, si, mais j’ai pas envie de vous le dire ! ) enfin toujours est il qu’on a commencé à s’embrasser.
OK je dois avoir l’air super débile là, vu tout ce que je vous ai dit précédemment sur lui. Mais quand même. Mine de rien, c’était super agréable. Même pas galère en fait. Hé hé…

Bref, quand on a eu fini, on savait tellement pas quoi se dire qu’on est retourné à l’intérieur. Je vous l’accorde, c’est minable. On a dansé deux ou trois fois ensemble comme ça, mais je vous assure, j’ai pas pu articuler un mot. (Et lui non plus.) C’était assez horrible.
Et le pire, c’est qu’on en est resté là.
Même pour se dire au revoir, on s’est fait la bise, normal. Sans aucune ambiguïté ni rien. Trop mortifiée j’étais.
Nan… En fait vous savez pas le pire.
Je repars demain.

[Le jour suivant]

J’hallucine. Il n’est pas venu. Regardez à ma place, il n’y a personne !! Enfin, si on occulte Ino et Chôji, Sakura et Naruto, Saï, Lee et Neji et… tous les autres.
Enfin vous voyez de qui je parle quand même ?
Il n’est pas là.
Croyez-le ou non, je suis furax. OUI, POUR CHANGER !!
Enfin je n’ai pas rêvé quand même ! Il s’est bien passé des trucs ce soir là ! Ca ne comptait donc pas pour lui ? Ou peut être trouvait il ça chiant ?
Eh bien très bien. Moi aussi, d’abord. C’était même affreux.
Bye bye, je pars sans aucun regret. Il n’y a que les bouffons qui ne sont pas là aujourd’hui. J’agite une dernière fois la main, et me retourne. Fermement décidée à ne pas penser à… à… à vous savez quoi.
Et je m’en vais.
Eh oui ! Ne me dites pas que vous vous attendiez à une entrée fracassante du prince charmant qui a eu un empêchement mais qui arrive néanmoins à temps pour partir avec sa belle…
QUE DALLE !
Bande de romantiques !
Enfin quant à moi, je ne peux pas dire que je ne l’ai pas espéré. Un peu. Quelques secondes.
Mais ça n’a plus d’importance. Je me moque des bouffons pleurnichards à tête d’ananas.

Evidemment je pars seule. J’entends par là que je n’ai pas besoin d’escorte. Je vous avoue que je préfère ça. Comme ça, je peux aller pleurer toutes les larmes de mon corps, au fin fond de la forêt, à l’abri des regards.

Nan… sérieux…VOUS Y AVEZ CRU ???
Ce mec ne mérite pas que je pleure pour lui. C’est ce qu’on dit toujours dans ces cas là. Je vous jure que ça réconforte un max. Enfin un peu.

Je suis arrivée à Suna sans encombre majeures, enfin aucune qui ne vaille la peine d’être citées ici. Complètement crevée, je ne désirais que deux choses à ce moment là :
Prendre une douche, et taper sur quelqu’un.
Malheureusement, pour la deuxième volonté, je n’ai pas trouvé de volontaires. La seule personne avec laquelle je risque de passer du temps cet après midi, c’est mon Kazekage de frère. (Franchement ? Vous me voyez taper sur Gaara ? Je suis démolie, soit, mais pas suicidaire.)
C’est donc avec un entrain plus que discutable que je me dirige vers le Palais de Sable, où mon cher frère préside je ne sais quelle réunion barbante. Et bien sûr, je poireaute trois ans dans une salle d’attente merdique.
(Pardonnez le vocabulaire, je suis assez énervée, vu ?)
Et tout ça pour lui filer le compte rendu de cette mission inutile. J’en ai maaaaarre !!

Quand mon bien aimé Kazekage daigne m’ouvrir la porte de son somptueux bureau, j’ai achevé ma transformation en harpie.
- Ah ben c’est pas trop tôt !!
Comble du comble, il semble de bonne humeur. Et ça c’est pire que tout.
- Sérieux, tu ferais bien d’aménager ta salle d’attente, comme ça je pourrais y vivre !
Oui, je sais, mon humour est très appréciable quand je suis en colère.

Et là, ET LA !!!!!! L’affront final. Vous ne devinerez jamais.
Il OSE me SOURIRE.
J’hallucine. Il est malade ou quoi ?!
- J’ai une surprise pour toi Temari, m’annonce t’il très sereinement.
Strictement rien à foutre. Tel que je le connais, ça doit encore être un ordre de mission merdique.
Je tape sur le sol avec mon éventail.
- En quel honneur ? Ce n’est pas mon anniversaire que je sache ! Sérieux Gaara, je suis en train de surmonter un grave traumatisme là… Ce serait classe si tu me laissais un peu tranquille.
- Un traumatisme ? Voyez vous ça… se moque mon frangin.
Oh… J’ai vraiment pas la tête à maintenir une conversation avec lui. Mais je n’ai rien à perdre, je veux juste que ça se termine plus vite.
- Oui un traumatisme… A cause d’un imbécile atteint d’Alzheimer, si tu veux savoir.
- Ah oui ? Tu m’intéresses là…
- Gaara…
- Oui, bon d’accord. Je te présenterai ma surprise plus tard, tu peux disposer.
J’ai un peu du mal à y croire, voilà pourquoi je me précipite sur la porte. Au cas où il changerai d’avis.
UNE DOOUUCHE !!!! Je dévale les trois étages et traverse le hall en courant comme une tarée. C’est en passant la porte d’entrée que je me souviens d’un truc.
J’ai oublié de lui donner le compte rendu de cette mission débile. (!!!) Pas question d’avoir à y retourner demain. Sinon, il va me tenir la jambe tout l’après midi.
Arg. N’ai pas le choix, faut que j’y retourne.
J’ai comme l’impression qu’on s’acharne sur moi là… Je me plante ou je me plante ?
Passons. Je rebrousse chemin.

C’est devant la porte du bureau du Kazekage que, saisie d’une brusque intuition féminine, je m’arrête et tend l’oreille. Je distingue la voix de mon frère.
- … furie ! Elle n’a même pas écouté ce que j’avais à lui dire. Je la reconnais bien là quand elle est en colère. Ou malheureuse. Tu lui as fait quoi au juste ?
(Une autre voix.)
- Je préfère ne pas en parler, ce n’est pas très glorieux…
Mon frère gronde.
- Arrête moi si je me trompe tu n’as pas…
L’autre panique sérieux. Ce doit être un nerveux.
- Non, non !! Hey… C’est pas ça du tout !
Bon sang je connais cette voix !!!
- Soit. Tempère Gaara. De toute façon, ce n’est pas le sujet… Hé ! Mais alors c’est de toi dont il s’agissait quand elle parlait d’un imbécile atteint d’Alzheimer !!
Mon frère est irrécupérable.
Qui que soit son interlocuteur, ce n’est évidemment pas lui dont je causais à l’instant…
Mais b***** je connais cette voix !!!!!

- Et galère… Elle aurait pu se passer de l’expression !
Quoi ?
QUOI ?????
La syncope me guette.
- Quelle fille galère…
MAIS QU’EST CE QU’IL FAIT LA LUI ????
- En tout cas, rigole mon con de frangin, elle devait être bien fatiguée, vu qu’elle ne t’a même pas vu, alors que tu étais à deux mètres d’elle.
L’autre dont je connais maintenant le nom soupire.
Je meurs d’envie de faire irruption dans la pièce, coupant net la discussion de ces deux traîtres, et ensuite de leur en mettre plein la vue (ou la figure, au choix !) mais pour l’instant je suis bien assez occupée à reprendre ma respiration. En gros je suis en train de m’asphyxier.
Pendant ce temps, ils continuent leur sympathique discussion sur mon compte. Enfin jusqu’à ce que je reprenne mon souffle et que j’ouvre théâtralement la porte du bureau. (Dans un fracas parfaitement contrôlé. Trop-la-classe.)
Sauf que je ne sais absolument pas quoi dire.
Quelle idiote ! J’ai pas préparé ma réplique ! (Je prépare toujours mes répliques.)
Et les deux gus qui me regardent, yeux ronds et bouche ouverte, me donnent une folle envie de rigoler. Ce n’est pourtant pas le moment !
- Je…
Ah que c’est malin !
Malheureusement pour moi, mon frère a un sang froid à toute épreuve.
- Oui Temari ? Je suppose que tu as oublié de me donner le compte rendu de la mission ? Bon, tu peux le poser sur mon bureau.
Mon dieu, que je HAIS ce ton là.
- Fais pas semblant de rien, Gaara ! Je vous ai entendu…
- Ah… Tu veux dire que tu as écouté aux portes ?
Vous voyez ? Il arrête pas !! C’est le meilleur à ce jeu là. C’est d’un casse pieds !!!
- C’est pas la question, vous parliez de moi !!
- Et alors ?
- Quoi et alors ? Ca se fait pas ! Et qu’est ce qu’il fait là lui d’abord ??
Je désigne du pouce Shikamaru qui n’a pas décoché un mot depuis mon interruption. Je n’ose pas le regarder, parce que sinon, c’est sûr que je vais perdre le peu de moyens qu’il me reste.
- Lui c’est la surprise que je voulais te présenter.
- Lui, une surprise ? Tu plaisante ou quoi ? Dis plutôt une mauvaise nouvelle !
Ah ! Enfin une réplique correcte. Je sens que ça vient !
- Dis donc fille galère… a quand même protesté l’ananas.
Je lui ai lancé un regard tout ce qu’il y a de plus convaincant dans le genre : Tais toi. (Pour être polie.)
Chose curieuse il a obéit. Peut être se sentait il coupable après tout ? Grand bien lui fasse, je n’en ai strictement rien à faire.
N’est ce pas ?
- Peu importe ce qu’il est, trancha mon frère toujours aussi autoritaire. Il est ici en tant qu’ambassadeur de Konoha. Et Temari, je te nomme officiellement sa guide personnelle.
- PARDON ???
C’est pas possible combien de fois en une journée vais je manquer de m’étouffer ?
- C’est une blague c’est ça ?
Mon Kazekage secoue négativement la tête avec un sourire parfaitement indéchiffrable et par le fait, tout à fait insupportable.
- Pas du tout, c’est normal. Il a joué ce rôle chez lui, il est tout à fait logique que tu fasses de même ici.
Ah oui, j’avais oublié de vous dire, qu’avant cette fichue fête, il m’avait aussi collé aux basques pendant toute la semaine précédente.

Evidemment je n’ai pas mon mot à dire. Shikamaru hausse les épaules en guise d’excuse, je me permet de l’ignorer.
- Voilà, affaire réglée. Déclare Gaara en se frottant les mains. Vous pouvez disposer.
Je le hais. JE LE HAIS !!!
Tout de même, avant de claquer la porte de toutes mes forces, j’ose une toute petite remarque.
- Tu sais, Gaara, la prochaine fois, tes surprises, tu peux te les garder.
Et encore je suis restée polie.
C’est vrai quoi à la fin !

D’un pas largement furieux, je prends le chemin de la sortie. Evidemment, l’idiot derrière m’emboîte le pas.
- Tu comptes me suivre jusqu’à chez moi ?
- Galère… Je te rappelle que je ne connais pas l’endroit.
- Heeein ? Ca veut dire quoi ça ? Tu n’as pas d’endroit où dormir ?
Ne vous méprenez pas, je m’en fiche qu’il couche à la belle étoile, le gonze. A contrario, je pressens le squattage de ma propriété propre.
- Désolé.
Et bien évidemment, à cette heure là, plus la moindre chance de trouver un hôtel. Au printemps, tout est bondé à Suna.
Qu’est ce que je vous disais… ?
- J’ai compris… suis moi.
Passablement résigné, il enfonce ses mains dans ses poches et obtempère.
- A ce propos, qu’est ce que tu fais là, pleurnichard ?
Je savais bien qu’il avait une bonne raison de pas m’avoir dit au revoir !
Enfin…
- T’aurais pu me prévenir !
- Ordre de l’Hokage… marmonne t’il dans sa barbe inexistante.
Et allez ça commence… Va y avoir un meurtre avant la fin de cette fic je vous le dit tout de suite !
Nous arrivons à mon appartement sans avoir échangé un mot de plus. C’est mieux comme ça.
Je l’aurai étripé sinon.

Il est tard, et je suis plus que furieuse. En plus je suis crade. Je désigne à mon indésirable colocataire un matelas vieux comme le monde qui traîne dans un de mes placards, et je lui jette une couverture à la tête. Ca suffira bien ! J’ai pas l’esprit à me montrer attentionnée, surtout avec lui.
D’ailleurs il s’en moque.
Moi je tourne les talons, et file vers la salle de bain. Je n’oublie pas de fermer la porte à clé. On ne sait jamais avec les pleurnichards.
Une demi-heure plus tard, je me couche enfin. Et je sombre aussitôt.



C'est très long.
C'est la première fois que je fais un chapitre aussi long. O__o
Alors ça vous a plu ??
C'est... dynamique, non ? Et assez délire, par le fait.
Pas du tout mon genre à la base. (Croyez le ou non, je ne suis pas du tout comme ça. A moins que ce ne soit mon moi caché ???? *__* Allez savoir.)
Pour la petite histoire, les pensées de Temari au début de cette fic, étaient exactement les miennes. J'entend qu'il m'est arrivé sensiblement la même chose. Enfin, j'ai quand même brodé. Et même beaucoup ! ^^ Pour en arriver là...
Flippant, ce que mon imagination est capable de faire.
Allez, je vous laisse !
Dites moi ce que vous en pensez !

Prochain chapitre : Et vas y que j'arrive et que je repars...