On vous souhaite tout le bonheur du monde.


Fanfiction Naruto écrite par nana13 (Recueil de nana13)
Publiée le 04/11/2008 sur The Way Of Naruto



Un peu court celui-là, j'ai horreur de ça.


Chapitre 9: Tout va bien...pour l'instant



Une chose que Shikaku Nara appréciait un matin après une fête : un thé fumant et les délicieux biscuits à l’anis de sa femme.
En homme sérieux il ne s’était pas couché trop tard et envisageait bien d’aller à son cabinet aujourd’hui.
Soudain il vit sa femme descendre et le rejoindre, l’air affolé :

« Shikaku...TON fils... »

Aie ! Quand elle se mettait à refuser la maternité de leur bambin c’est qu’il avait dû faire une bêtise assez monumentale. Mais Yoshino semblait plus choquée que furieuse.

« Qui y’a-t-il ma chérie ?
-Je suis aller le réveiller, ou plutôt tenter de le réveiller. Sa couette formait une boule assez épaisse je dois dire.
-Et...?
-Je me mets à secouer la couette lorsque je me rends compte que la personne à qui je parlais était blonde.
-Blonde ?
-C’était une fille ! Totalement nue ! Et assoupie aussi profondément que la belle au bois dormant. Ton fils était de l’autre coté du lit.
-Hé hé, sacré Shika.
-Lui il a levé la tête, mais complètement dans le cirage, avec son catogan qui ne devait tenir que par l’opération du Saint Esprit. Et pas plus vêtu qu’elle, tu peux me croire.
-Il t’a parlé ?
-Oui et avec un culot monstrueux, il m’a dit très sereinement : « fais moins de bruit tu vas réveiller Temari. » Ensuite il la prise contre lui et BLAM....il s’est rendormi, alors j’ai refermé la fenêtre (je ne comprends même pas pourquoi elle était ouverte en plein hiver) et je me suis éclipsée. »

L’homme pouffa, donc son fils avait finalement réussi à ramener cette fameuse Temari jusqu’ici...pas mal pour commencer la nouvelle année.

« Elle est comment ?
-Pardon ?
-La Temari dans le lit de nôtre fils, physiquement elle est comment ? »

Yoshino Nara leva les yeux au ciel en se disant que les hommes étaient décidément tous les mêmes. Elle avoua n’avoir pas vu son visage mais que, vu de dos, elle ne semblait pas mal.

« Sacré Shika. » Répéta son paternel.

******

La jeune fille, dont on discutait ferme en bas, ouvrit les yeux. Le lit était bien confortable, chaud et moelleux. Elle rassembla ses esprits et comprit plusieurs choses :
1) On était le 1er janvier.
2) Elle n’avait plus aucun vêtement sur elle.
3) La chambre où elle se trouvait n’était certainement pas la sienne.
4) Quelqu’un la tenait bien fermement dans ses bras.
5) Ce « quelqu’un » en question c’était Shikamaru Nara.
6) Le jeune homme ne semblait pas porter grand-chose non plus (voir carrément rien).

Conclusion : elle se trouvait dans le lit de Shikamaru Nara et leurs « tenues » laissaient peu d’alternatives sur ce qu’ils avaient fait cette nuit.
Elle tourna la tête et consulta le réveil : 9h20 déjà ? Gaara avait une visite pour un vaccin chez le médecin à 11h00 tapante.
Délicatement elle se glissa hors des bras de son partenaire et voulut descendre du lit mais une main la retint....et dire qu’elle le croyait parfaitement endormi.

« Gnemari, qu’est-ce que tu fais ?
-Il faut que je rentre Shika.
-Déjà ? Tu ne veux pas rester pour le petit déjeuner ? »

Elle secoua négativement la tête et se dégagea de son étreinte, commençant à rassembler nerveusement ses affaires, Shikamaru la regarda faire en fronçant les sourcils :

« Tu peux prendre une douche si tu veux, la salle de bain...
-Non, je ferai ça chez moi.
-Alors ne remets pas ta robe, sers toi dans ma commode.
-Merci. »

Il se passa un peignoir pendant qu’elle enfilait un jean et une chemise trop grande, ce qui eut pour effet de la faire ressembler à un portemanteau. Elle perçut soudain qu’il l’attrapait par derrière et l’attirait contre lui :

« Tu regrettes ?
-Pardon ?
-Ce qui s’est passé cette nuit...entre nous....tu regrettes ? »

Elle sourit tendrement et appuya sa tête contre son épaule :

« Je ne te reproche rien, absolument rien...et surtout pas ce qui s’est passé cette nuit. »

Il la sentait sincère et se détendit instantanément. Cette fois plus de doute : Itachi allait le découper en rondelles et éparpiller ses morceaux aux quatre coins du pays. Le plus drôle dans tout ça c’est qu’il s’en fichait considérablement.
Il lui donna un sac pour plier et ranger la robe, puis lui proposa de la ramener mais elle refusa en préférant prendre le tram.
Ils descendirent l’escalier et croisèrent les parents Naras :

« Papa, maman, voici Temari no Sabaku.
-Bonjour Monsieur, Bonjour Madame. »

Elle fit à chacun une révérence respectueuse et les deux jeunes continuèrent leur chemin sous l’œil pantois des deux géniteurs.
Sur le pas de la porte Shikamaru embrassa tendrement Temari :

« A demain en cours.
-Si tu ne te fais pas expulser pour devoirs non faits.
-Mais je suis un élève modèle moi.
-Vaux mieux entendre ça que d’être sourd. 200 points de QI ça ne fait pas tout dans la vie. »

Ils se quittèrent enfin. Temari sentait pourtant son regard sur elle qui ne la lâchait pas.
Elle descendit calmement deux rues, traversa un pâté de maisons et arriva devant l’arrêt du tram.

Alors seulement elle se mit à bondir comme une folle en poussant des cris de joie, au milieu des passants effrayés.

******

Mme Kashi reçut la robe avec une mine indifférente très bien jouée, en vérité l’allégresse de Temari était visible à des kilomètres et la vieille dame s’en réjouissait.
Malheureusement Gaara avait sa visite chez le médecin et la jeune fille n’eut pas le temps de donner à sa voisine les détails de la soirée.
Ni de lui dire comment s’appelait celui qui faisait pétiller ainsi ses yeux.

« T’es amoureuse Nee-nee ? »

Les enfants devaient certainement avoir un radar ou quelque chose comme ça. C’est la première question que posa Gaara une fois dehors.

« Oui petit frère, je suis amoureuse.
-Et il est gentil ?
-Bien sur.
-Tant mieux alors. »

Le petit garçon prit une mine sévère et parut plongé dans ses réflexions mais n’ajouta plus rien sur le sujet.

******

L’Akatsuki se retrouva dans un bar (une fois de plus) pour deviser sur le cas « Sabaku ».

« Laisses tomber grand frère, tentait de raisonner Sasuke, cette fois y’a plus de doute sur elle et Nara, pourquoi tu passes pas à autre chose ? »

Son grand frère lui jeta un regard de pitié :

« Nous ne sommes pas n’importe qui, nous sommes des Uchiwas. Temari doit ramper à mes pieds comme un bon petit chien et basta. Tant que je ne l’aurai pas je continuerai.
-Et qu’est-ce que tu compte faire ? Se moqua Deidera.
-On va étriper le Nara, s’exclama Kisame, je vais le saigner cet avorton qui a osé me frapper !
-Vous les hommes vous êtes tous pareils. »

Tayuya, qui n’avait pas prononcé une parole depuis une heure, redressa la tête. Elle avait retrouvé un air fier et arrogant, loin de l’hystérie habituelle qu’on lui connaissait.

« La violence physique ne fera rien, le seul risque c’est de vous retrouver tous en prison. Il faut frapper sur le point faible de Sabaku, découvrir la faille dans sa vie d’élève modèle. Et je parie qu’on le trouvera dans ses absences si fréquentes.
-Ça signifierait ne pas la lâcher d’une semelle. Remarqua Itachi.
-On ne peut pas forcer Shikamaru à rompre avec Temari mais on peut le dégoûter d’elle.
-Y’a plus simple, dit Kin, faire courir une affreuse rumeur sur elle.
-Non ! La stricte vérité, sinon ça ne durera pas. »

Tayuya avait l’air d’un général sûr de remporter une victoire, elle exposa même des horaires : elle et Kin suivraient Temari pendant les heures de classes et enverraient un texto à Kisame chaque fois que la blonde quitterait les cours.

« On va trouver l’épine dans le pied de cette petite peste, jubila la rousse en direction d’Itachi, dans deux semaines maximum elle se jettera dans tes bras, mon chou. »

Sasuke avait peur, la situation lui échappait de plus en plus. En devenant un membre de l’Akatsuki il avait juste pensé s’éclater, fréquenter les gros durs et sécher les cours.
Mais là s’était vraiment mal, des gens allaient souffrir par leur faute, pour le plaisir de son frère et d’une droguée.

Sasuke ne se sentait plus du tout à sa place dans l’Akatsuki.

******

À la sortie du bar Kin chuchota à sa copine :

« Tayuya à quoi tu joues ? Tu vas précipiter Temari dans les bras d’Itachi ?
-Exactement.
-Mais je ne comprends plus, je croyais que tu le voulais pour toi seule.
-Si Temari sort avec lui elle souffrira, comme toutes les autres avant lui. Je ne veux plus que ça désormais. Je m’en fiche de sortir avec Itachi. »

Elle contempla le ciel et sourit :

« Je veux juste que Temari souffre. »

Sasuke secoua la tête, qu’est ce que la blonde avait bien put faire à Tayuya pour que celle-ci la haïsse à ce point ?
Rien, mais Temari était l’image même de ce que Tayuya ne serait jamais : une fille belle, heureuse, saine de corps et d’esprit, et avec des amis.
C’était largement suffisant pour s’attirer la haine de Tayuya.

******

« Une glace en plein hiver à 13h, songea Temari, qui d’autre que Tenten pourrait me proposer ce genre de plaisir ? »

Les deux amies et Gaara étaient assis sur un banc et dévoraient de superbes glaces à la myrtille, chocolat, mangue etc. L’amour n’avait pas ôté son appétit au garçon manqué, bien au contraire :

« Et puis quand Neji m’a ramené il m’a dit qu’il m’aimait et il m’a encore embrassé, c’était si romantique. Il m’a invité au restaurant ce soir.
-Le petit ami parfait quoi.
-Rigoles « reine de la soirée », où t’étais passée ? On ne t’a pas revu de la nuit.
-Je suis allée chez Shikamaru. »

Tenten ouvrit une bouche si large qu’un Boeing 747 aurait pu y entrer.

« Et elle m’annonce cela comme ça !!! « Bof, je suis allée chez Shikamaru...» !!! Racontes, comment c’était ? Il t’a embrassé ?
-J’ai l’impression de parler à une Ino bis (d’ailleurs elle me demandera sûrement des détails elle aussi). Il a attendu minuit et puis il m’a embrassé en me souhaitant une bonne année.
-Kyaaa !!! Et ensuite ?
-Y’a mon frère à coté de nous je te signale. »

Effectivement Gaara avait délaissé sa glace et paraissait très intéressé par la conversation. Tenten sembla brusquement comprendre et murmura à son amie :

« Toi et lui, vous avez..... ?
-Ben....oui.
-Et moi qui me trouvais romantique avec Neji, je passe au second rang là.
-Arrêtes, l’asticota la blonde, je sais que tu as passé la soirée la plus merveilleuse de ta vie.
-ON a passé la soirée la plus merveilleuse de NOS vies.
-J’espère qu’il y’en aura d’autres, moi.
-Donc publiquement tu sors avec Nara ?
-Ça m’en a tout l’air.
-HOURRA !!! »

Malheureusement le geste de Tenten fut un peu trop vif, la glace s’envola pour aller s’écraser dans un mouvement peu gracieux sur le couvre-chef d’un agent de police.

« BANDE DE PETITES @**%µ#*+@¤¤ !!!
-LE MONSIEUR A DIT UN GROS MOT !!!
-GAARA N’ÉCOUTES PAS CE QUE DIT LE MONSIEUR !!!
-FUYONS !!! LE VILAIN-MONSIEUR-QUI-DIT-DES-GROS-MOTS APPROCHE !!! »

*****

Shikamaru pensait que Choji serait le seul ami au monde à ne pas avoir la gueule de bois le lendemain d’un nouvel an, c’est pourquoi c’est lui qu’il invita à regarder une vidéo policière en se bourrant de chips à la moutarde et au poulet grillé, tout en trempant du cheese-cake aux fruits rouges dans une sauce mexicaine et en buvant du jus d’orange.

« Kiba a récupéré son scooter ?
-M’en parle pas, j’ai presque dû négocier pour qu’il me rende ma voiture. Entre une Porsche et son vieux deux-roues on n’hésite pas longtemps.
-Ça t’aura permis de reconduire Temari jusqu’à chez toi en étant collé à elle. Qui se fait arnaquer maintenant ?
-C’est pas totalement faux.
-Alors tous les deux vous allez désormais vous comporter comme un couple ?
-Choji t’es chiant, on dirait que tu parles de deux petits vieux.
-Bof, toi au moins tu as eu ce que tu voulais, tandis que moi.... »

L’esprit du Nara fut d’abord trop concentré sur le film pour comprendre à demi-mot ce que disait son meilleur ami.
Puis soudain la lanterne s’alluma :

« INO ?!!
-Mouais.
-Kuso Choji, je croyais que ton séjour en Amérique t’aurait guéri.
-Je le pensais mais je n’y arrive pas, elle m’obsède cette fille. D’ailleurs je lui ai dit que j’avais envie de l’embrasser pendant la soirée, dans la langue de Shakespeare même.
-Et alors ? Elle t’a répondu quoi ?
-Rien, elle n’a pas fait de progrès en anglais. »

Shikamaru pouffa et reporta son attention sur la télévision avant de prononcer son verdict d’un ton ennuyé :

« Un classique ce film : c’est l’oncle le coupable mais il a payé le charpentier pour faire le sale boulot.
-L’oncle n’hérite pas de sa belle-sœur.
-Si mais anonymement parce qu’elle a placé la moitié de sa fortune chez les « veuves des hospices » dont il est directeur. »

Choji releva la tête, décidemment les 200 points du Nara l’épateraient toujours.

*****

«...Une lamentable erreur Kiba !!!
-Je suis d’accord.
-J’étais triste à cause de Naruto et Sakura alors je t’ai laissé m’embrasser, je suis vraiment désolée.
-Mais non c’est moi, j’en ai profité, je suis un incorrigible dragueur c’est bien connu.
-En tout cas c’était...
-...une lamentable erreur. » Termina t’il.

Akamaru secoua négativement la tête mais ni Hinata ni son maître ne lui prêtèrent attention.

« On reste amis ?
-Les meilleurs du monde Kiba. »

Le garçon commença par hocher la tête puis se ravisa, serra les poings et s’écria :

« NON ! J’EN AI MARRE DE ME COMPORTER COMME UN AMI !!!
-Kiba...
-DEPUIS DES ANNÉES TU ES RIVÉE SUR NARUTO ET MOI J’EN BAVE !!! ET HIER TU M’AS DONNÉ UNE CHANCE ET TU VOUDRAIS QU’ON SE COMPORTE COMME AVANT ?!!
-Kiba...
-IL NE TE PARLE PRESQUE PAS ET MOI SI !!! IL NE TE DÉFEND PAS ET MOI SI !!! IL NE T’AIME PAS... »

Il s’interrompit brusquement, sa meilleure amie avait viré au rouge écrevisse et des larmes perlaient dans ses yeux de nacre.
Le jeune homme empoigna son chien et prit la porte de la chambre d’Hinata qu’il claqua en sortant. La jeune fille en larmes l’entendit descendre les escaliers.

Une courte attente.

Quelqu’un frappa timidement à la porte.

Elle alla ouvrir, son ami se tenait sur le seuil, très gêné :

« J’ai...j’ai oublié....ma veste. »

Hinata se tortilla, rougit, toussa et finalement....explosa de rire !
Sans pouvoir s’arrêter, devant presque s’appuyer contre la porte en chêne pour ne pas tomber. Kiba aussi se mit à rire en la soutenant.
Puis brusquement ils s’arrêtèrent et se regardèrent.

Leurs lèvres se frôlèrent.

Hinata ne pensa plus une seconde à Naruto.

La porte de la chambre se referma sur eux.

« Heureusement, songea Kiba, qu’il n’y a personne d’autre dans la maison en ce moment. »

******

On avait beau traiter Kisame de thon à longueur de journée ça ne lui faisait pas aimer l’eau pour autant, là pour le coup il haïssait même profondément la pluie qui s’était mise à tomber.
Il s’alluma une cigarette pour se réchauffer, le plan de Tayuya lui paraissait tout simplement idiot, un bon coup de poing dans les gencives de Nara aurait fait parfaitement l’affaire.
Mais il se devait à Itachi, sans l’influence du fils du préfet de police Kisame serait encore derrière les barreaux pour délinquances diverses. Si Itachi voulait cette fille Kisame lui apporterait sur un plateau d’argent.
Donc demain il serait devant la fac Konoha, à l’affût pour suivre Temari, et bien décidé à ne pas la lâcher d’une semelle.
Au fond la droguée avait peut être raison : des absences si fréquentes cachaient sûrement quelque chose de mal.

*****

Temari et Gaara s’étaient installé sur la moquette de leur salon et jouait au jeu de société « Shukaku l’esprit du sable» pour terminer la soirée.
Yuki tournait en rond depuis une demi-heure sans s’arrêter, elle paraissait nerveuse et son poil se hérissait souvent. Temari l’attrapa et se mit à la caresser jusqu’à ce qu’elle se calme.

« Làààà ma belle, tout doux. »

Chaque fois que la belette se mettait dans cet état s’est qu’elle pressentait que quelque chose de mauvais allait se produire.

« Nee-nee, intervint Gaara, c’est à toi de jouer. »

La jeune fille sourit et déplaça son pion de quelques cases sur le jeu.

« Pourquoi t’es pas concentrée ?
-Je suis très concentrée Gaara.
-Nan, tu rêves je le vois. Tu penses encore à ton chevalier des ombres. »

Sa grande sœur réprima un rire en se disant que Gaara lisait peut être trop de contes. Mais celui-ci continuait sur sa lancée :

« Est-ce qu’il va te faire pleurer comme Baki ? Parce que Baki il te faisait tout le temps pleurer.
-Baki n’était pas mon amoureux, dit elle, c’était nôtre tuteur.
-Oui mais t’étais malheureuse, insista son frère, moi je veux plus que tu sois comme ça. Si ton Shikamaru il te fait pleurer, moi j’appelle Shukaku et je le tue. »

Elle sourit tendrement et attira son petit frère contre elle, le berça un peu et lui chuchota :

« C’est mon chevalier des ombres Shikamaru, tu l’as dit toi-même. Il ne me fera jamais pleurer. »



Qui vivra verra. ^^

Pour le menu de Shikamaru et Choji je me suis inspiré d'un livre anglais (Berk !!!).