My Drug


Fanfiction Naruto écrite par Kitty-Hyuga (Recueil de Kitty-Hyuga)
Publiée le 12/09/2006 sur The Way Of Naruto



J'ai écris ce one shot pour la saint valentin qui j'avais publié sur un site ( osef hein ^^ ) . Bref . Il y a pas mal de OOC ( out of character ) et il n'y a aucun ninjas .

Note 1 : italique => pov du personnage centrale
Note 2 : normal => narration



Chapitre 1: My Drug



« L’amour c’est comme une drogue … t’y goûtes une fois … tu peux plus t’en passer et tu finis par en crever »

My Drug

... Comme toujours tu riais à ses blagues et tu faisais l’idiot devant elle, comme à chaque fois tu passais devant moi, un salut et tu courais la rejoindre, encore une fois tu lui souriais de ce sourire que jamais tu ne m’as fais. Je retins comme toujours et encore mes larmes qui menacèrent de couler. Il me prit le bras et me serra la main, me rassurant et me disant qu’il ne savait pas ce qu’il perdait, que s’était un imbécile après tout. Il n'avait pas su voir ma vraie valeur, mais moi, n’avais-je jamais su voir aussi ma vraie valeur ? Avais-je même une valeur quelque part ? Ou n’étais ce que illusions que je me donnais en écoutant les paroles de mon ami... (Soupir)

Le brun lui tira la main, la forçant à le suivre dans l’établissement scolaire où ils étudient tous pour devenir quelqu’un. Quelqu’un… Songer même à devenir quelque chose lui était impossible, son seul souhait et désir… C’était qu’un jour il lui sourirait de ce sourire plein d’amour qu’il lui adressait à Elle.

Elle soupira une nouvelle fois avant de s’asseoir à la table du fond. Il était à sa droite, deux tables plus loin à coté d’Elle… Puis l’autre vit qu’elle les observait et murmura quelque chose à son oreille avant qu’il ne se retourne vers elle et rigole. Elle rougit et se renfrogna dans ses bras qui lui servait tant de fois de cache, les bras tendus vers l’avant, la tête entre ceux-ci, elle tentait inlassablement de reprendre le contrôle sur elle-même ; pensant qu’en fermant les yeux peut être la cruche disparaîtrait et qu’il la regarderait enfin différemment, elle, la fille aux yeux de nacre… Elle se disait que si on espérait vraiment, de toutes ses forces et de toute sa volonté, les choses pouvaient changer…

Il se moque encore de moi pour changer… j’ai beau espérer du fond de mon âme qu’il se passe quelque chose et que la situation évolue… mais rien ne se fait et je reste toujours là… bras ballants… le visage enfouit dans mon pull qui sent étrangement le parfum de naphtaline… de naphtaline ? Pour quoi je sens la naphtaline ? Je n’ai pas traîné dans le cimetière hier… ni même été dans le caveau familial alors pourquoi?

Relevant la tête lentement puis la baissant de nouveau vers la table, elle la sentit cette odeur de mort qui imprégnait les moindres rainures de sa table de bois. Laissant glisser le bout de ses doigts sur le bois usé elle tata une poudre blanche d’où se dégageait l’odeur. Son visage se déforma par la colère et elle rendit grâce à ces cheveux tombant sur son visage d’avoir cacher son état. Elle aurait été beaucoup trop heureuse de la voir décomposé par la haine ; et comme si de rien était et à contre cœur… elle s’affala de nouveau sur la table, toujours la tête entre ses bras sentant la naphtaline …

C’est… c’est vraiment une sale peste et lui… il s’en amuse… elle… il… me dégoûte… je… non il ne me dégoûte pas, j’en suis encore réduite à ce stade. Peu importe les moqueries et les rires perfides à mon égard je n’arrive pas à lui en vouloir, mais elle, elle ne s’en tirera pas. Certes à l’instant même je sens la naphtaline, mais c’est elle qui bientôt sentira le doux parfum de la vengeance lui lécher les sens... Et me voila encore à comploter avec moi-même sur la façon la plus sadique et perverse de me venger de cette garce, sachant pertinemment que jamais je ne chercherais à lui faire du mal, je suis trop lâche et c’est sans doute irrémédiable. Je ne me sortirais jamais de ce cercle, de cet amour que je lui porte et qui me consume… enfin…

La cloche sonne. L’autre glousse et ses copines aussi en regardant la jeune fille aux yeux de nacres se lever… les manches de son pull sont couvertes de cette poussière aux effluves de mort. Elles ricanent de plus belle quand elle passe à coté d’elles.

-Dites les filles, vous trouvez pas que sa sent le vieux cadavre en décomposition ; rigola t’elle.

-C’est sans doute parce que tu va bientôt crever ; railla la fille aux yeux de nacre.

Le visage de l’autre se déforma sous la colère tandis que la douce perle passa la porte tout en souriant en coin. Elle était fière d’avoir, pour une fois, oser lui répondre. D’habitude, elle se taisait, encaissant encore et encore les moqueries et railleries des autres, des « Oh grandes divines déesses ».

Elle longea les couloirs comme tout les jeudis à neuf heures. Ils n’avaient pas cours jusqu’à onze heures et comme tout les jeudis à neuf heures elle s’isola sur le toit, couchée dans les gravillons, regardant les nuages... Quand elle tourna la tête, elle aperçut celui que les autres désignaient comme étant « le petit intello » et les dindes ne se priaient pas pour aller se frotter à lui ou miauler comme des chattes affamées de l’aide pour un quelconque devoir. Il semblait tout aussi émerveillé par la course des nuages, elle reporta sons attention sur ceux-ci…

Onze heures sonnaient déjà dans les hauts parleurs du lycée. Elle se glissa hors de la plateforme pour rejoindre la porte qui menait aux escaliers, l’intello en faisait de même .A croire qu’il ne l’avait remarqué… de toute manière elle se disait souvent et se répétait sans cesse que personne ne pouvait la remarquer. Les seules fois où on prêta attention à elle, s’était pour en faire leur tête de turc morale…

Elle descendit les marches sans se presser et rejoignit sa salle de bio : c’était le seul cours où elle avait une proximité grandiose avec lui, ils étaient en binôme depuis le début de l’année. C’est comme ça d’ailleurs qu’elle s’est intéressée à lui. Quand elle s’assit à ses cotés et laissa tomber lourdement son sac sur la table, il la regarda et lui sourit.

Bien sur comme une naïve que je suis, il fallait que je lui sourie… comment pouvais-je être aussi stupide. L’amour me rendais vraiment léthargique devant lui et si à ce moment même il me disait de sauter par la fenêtre je crois que je le ferais ; pas que j’ai des tendances suicidaires... loin de la je l’espère, mais pour lui je ferais tout. Je l’aimais après tout, même si je savais qu’il se moquait de moi, même s’il rigolait aux moqueries de l’autre, même s’il était parfois méchant avec moi:je continuais à l’aimer …

Elle sortit de sa rêverie quand elle vit une feuille glisser devant son nez. Le professeur effleura son épaule et elle se sentit prise d’un dégoût, elle tourna les yeux vers lui et il la regardait attendant qu’elle ouvre la bouche…

-Disséquer le cerveau d’un poisson, reconnaître chaque partie du cerveau. Une heure; dit-elle distinctement comme si il ne savait pas lire.

Bien sur qu’il attendait qu’elle fasse tout et qu’il récolte une bonne note, bien sur qu’elle avait une âme généreuse et qu’elle était gentille à en faire crever le plus bon de tout les samaritains, bien sur qu’elle trouverait tout pour les deux, pour lui, qu’elle se salirait encore les mains en tripotant le cadavre mort de l’animal, qu’elle distinguerait les parties demandés, qu’elle expliquerait à l’autre et qu’il sourirait pour l’en remercier comme une récompense… comme si on demandait à un chien de ramener la balle et qu’on le gratifierait d’un « bon chien » tout en lui souriant alors qu’il flatterait la queue. Bien sur qu’elle était naïve… bien évidemment qu’elle l’aimait. Sans dire mot elle s’exécuta… et quand la sonnerie retentit ce fut elle qui rangea tandis qu’il s’éloignait avec elle… Quand elle tourna les yeux vers la salle elle se rendit compte que ceux qui restait était majoritairement tout ceux qu’on appelait les rebuts… les outils des dindes…

Moi aussi je suis un outil mais pas des dindes… plutôt du coq de basse cours ou du bon dindon reproducteur (elle sourit). Il a tout du bon reproducteur… ah je m’égare dans mes pensées obscènes, mais bon j’ai que ça pour me consoler d’un amour que je n’ai pas de lui dans le monde réel… (Elle tourne la tête vers la table d’à coté). Tiens tiens le larbin number one de la greluche. J’ai du mal à comprendre comment il peut être comme ça, à lui lécher les bottes… Quand même il est pas censé être le mec le plus populaire du bahut? Et il se retrouve là! Y’a eut un bug ou j’ai loupé quelque chose… hum. Il me fait pitié. Est ce que moi aussi je reflète cette image? Pitoyable à souhait… larbin du coq? (Elle grimace). Et voila fini!

Elle se lave les mains et prend son sac avant de sortir de la salle… Arrivée dehors elle s’assoit à l’abris d’un arbre avant que son ami ne vienne la rejoindre suivit d’un autre… Elle leur sourie. C'est bien les seuls qui la comprennent et la considèrent comme une personne. Certes ils sont populaires, ils fonts craquer les filles mais ils tiennent toujours leurs promesses d’enfants de ne jamais se laisser tomber les uns les autres… Elle rigole. C’est un des seuls moments de la journée où elle rigole d’un rire franc et vrai.

La journée se passe assez vite mais trop longue quand même à son goût. Arrivée chez elle, elle se laisse choir, comme une baleine en détresse, sur son lit. Les yeux rivés sur le plafond, ne pensant à rien, faisant le vide... avant d’être interrompu par le grincement de la porte qui s’ouvre, laissant entrevoir la silhouette d’un jeune homme. Elle tourne la tête et soupire. Il s’assoit à coté d’elle et lui parle de son interminable journée totalement passionnante à la fac. Sa respiration se fait régulière et ses paupières sont closes… Il sourit en la regardant.

-Dors bien cousine ; lui susurre t-il avant de lui poser un baiser sur le front.

Bien sur qu’il l’adore, qu’il voudrait vivre sa vie auprès d’elle, qu’il ne voudrait jamais la quitter, ne jamais la blesser, toujours la protéger… Mais il le sait, qu’il est impuissant, qu’il ne peut rien y faire, que le destin est tel qu’ils ne seront jamais ensemble, que le destin est tel qu’elle ne l’aimera jamais, qu’ils ne partagent qu’un nom et des yeux de nacre et rien d’autre… Simplement des traits de famille. Il sourit. Elle est si belle.

Je sens ses lèvres humides se posées sur mon front… simulant un profond sommeil afin qu’il me laisse seule. Sa compagnie m’est comme désagréable… je ressens comme quelque chose de malsain qui émane de lui quand il me regarde. Bien sur c’est mon cousin, je devrais lui remettre mon absolue confiance, que je devrais lui remettre mon corps et mon âme comme s’il était mon frère. Mais si je faisais cela, je ne sais ce qu’il adviendrait de moi. A cette pensée j’en frissonne et il pose sur moi une couverture avant de sortir de la pièce… Soulagée… hum. Je ne dois pas être normale pour me méfier de mon cousin qui toujours est près de moi… mais c’est plus fort que moi et l’impression que je ressens quand il est près de moi et qu’il m’effleure est très désagréable…

On dit que les jours passent mais ne se ressemblent pas, pourtant pour elle c’est toujours pareil… monotonie… train train quotidien… lui avec elle, le regard embué de larmes, les yeux qui picotent, son ami lui serrant la main, la rassurant, les cours, les moqueries et crasses des dindes, le coq fier qui se moque encore et encore.

Bien sur que chaque jour se ressemble. Ils sont pareils depuis le début de cette année, depuis six mois maintenant… bien sur qu’elle ne voit que ses yeux azurs, qu’elle ne voit que les traits de son visage quand elle ferme les yeux et bien sur que tout cela se répète sans cesse et sans cesse… Que le cours de bio est toujours pareil, qu'elles lui fassent toujours ce qu’elles appellent des « bonnes blagues »… A vrai dire la seule chose qui change chaque jour ça doit bien être « la blague »… enfin...

Comme toujours elle était absorbée par le visage de l’autre qui riait avec Elle… Elle le regardait et bien sur ses rougeurs la trahissaient. Tout le monde aurait pu dire qu’elle était amoureuse de lui. Toujours est il qu’elle n’entendit pas arriver son cousin qui lui encercla la taille et lui souffla un « c’est moi » dans la nuque. Un frisson de dégoût et d’horreur lui parcourut l’échine ; et elle reporta son attention sur l’autre. Son cousin dirigea son regard vers l’endroit qui retenait tant l’attention de la jeune fille et aperçut un jeune homme, son visage se crispa et l’on pu lire une haine traversée ses yeux de nacre…

« C’est donc lui qui occupe tes pensées ?

-Quoi ?

-Le blond aux yeux bleus.

-Ah... euh... ; balbutia t’elle. »

D’un sourire qui se voulait vrai mais qui couvrait seulement une jalousie sans fin, son cousin lui dit qu’elle avait pas choisit le plus moche et elle ria… Il le vit qu’elle était heureuse rien qu’à regarder le jeune homme. Mais non il ne lui la laisserait pas...

Le soir, comme tout les soirs, elle s’affaissa sur son lit mais se releva bien vite en voyant le visage de son cousin sortir de la pénombre de sa chambre. Elle le regarda et se laissa de nouveau tomber sur le lit…

« Tu m’as fait peur…

-Pardon … »

Il s’approcha du lit et s’assit comme à son habitude côté d’elle. Elle avait déjà fermé les yeux comme lui intimant qu’elle ne voulait pas entendre encore ses récits passionnants sur ses cours qui l’étaient tout autant… Et puis sans qu’elle n’eut compris, elle sentit un poids se presser contre elle et ses mains se faire prisonnière d’autres. Elle ouvrit les yeux en panique …

« Mais t’es malade ! Tu me fais mal !

-La ferme ! »

Et il approcha son visage du sien cherchant à attraper les lèvres de la jeune fille qui se débattait du mieux qu’elle le pouvait… Mais il finit par les capturer dans un baiser plein de violence. Elle vivait son premier baiser dans un cauchemar réel. I l commença à faire glisser sa main sous la chemise de la jeune fille cherchant à palper la poitrine généreuse de sa cousine… Il l’empêchait de crier avec ses baisers qui se faisaient d’une rare violence à la limite du bestiale. Elle tentait de bouger sous le corps de son cousin, voulant se libérer de ce qu’elle considéra sur le moment comme un maniaque sexuel… Ce qui n’était pas faux, et puis dans un geste qui se fit rapide et furtif il la déposséda de son pantalon et insinua sa main dans la culotte de la jeune fille à la recherche de la fleur rare et secrète qu’il désirait tant… Il alla même jusqu’à l’explorer de deux de ses doigts alors que les yeux de nacre de sa cousine s’agrandirent encore bien plus de peur…

« Dis moi... Est ce qu’il te touche et te caresse comme ça ton « aimé » ? Est-ce qu’il s’insinue en tout toi comme ça… qu’il t’explore de fonds... hin hin... en combles… Est-ce qu’il te fait ressentir ses sentiments… comme moi… »

Sur ces mots il commença à ouvrir sa braguette pour laisse échapper son sexe gonflé par le désir insatiable pour sa cousine… Et d’un geste vif et violent il la pénétra avec force alors qu’elle poussa un hurlement qu’il étouffa de sa bouche…

Elle en pleurait, recroquevillée sur elle-même se sentant sale, se sentant morte… Comment ? Elle savait… qu’autour de lui régnait une aura malsaine. Et alors qu’il se rhabillait il s’assit auprès d’elle et lui caressa les cheveux …

« Si j’ai fait ça c’est parce que je t’aime… tu comprends… je t’aime moi… »

Elle était pétrifiée… incapable d’hurler ou de lui sauter à la gorge pour tenter au moins de le blesser… non elle ne pouvait pas. Il sortit de la chambre et ses sanglots redoublèrent. Elle se tira quand même jusqu’à la salle de bain et se laissa choir dans son bain… qu’était elle à présent ? Un objet souillé par la semence de son cousin. A cette pensée elle se frotta encore plus le corps avec l’étoile éponge… L’eau lui brûlait la peau mais elle s’en fichait…

Et le lendemain comme tout les lendemains de n’importe quel jour, elle se rendit au lycée, la mine refrogné dans son pull à col roulé qui cachait les morsures d’amour que son cousin lui avaient infligé la veille au soir. Quand elle arriva devant la grille. Elle le vit… Il l’embrassait, Elle… la fille aux cheveux roses… Celle qu’elle haïssait autant qu’elle enviait. Elle baissa les yeux puis détourna son regard vers le larbin de la fille aux cheveux roses… la mine dépité il regardait la scène tenant toujours entre ses mains les livres de la jeune fille, toujours esclave…

Et à la pause du matin comme tout les matins, elle se rendit sur le toit et se coucha sur la plate forme de gravillons, regardant les nuages…

« C’est dingue… c’est dingue ce qu’on peu faire par amour… c’est dingue de devenir dingue par amour… »

Je me suis trop consumée dans l’amour que je portais à Naruto… Bien sur que je ne pourrais pas oublier ce que je ressens pour lui d’un seul coup mais j’y travaillerais. J'ai perdu trop de mois de ma vie… Peut-être même que je suis passée à coté du véritable amour… Peut-être que j’aurais pu éviter ce qu’il m’est arrivé hier soir, que j’aurais pu voir plus distinctement les émotions de Neji à mon égard, que j’aurais pu éviter cela… L’amour rend dingue, c’est un véritable poison qui vous fait tourner la tête à en devenir fou… Bien sur que je ne pardonne et pardonnerais jamais à Neji ce qu’il a fait… Mais je me dis que la Drogue qu’est l’amour nous rend dément et insensé… Il n’y qu’à voir Sasuke qui continuera encore et encore à être le larbin de Sakura qui pourtant s’épanchera dans les bras de Naruto… Je suis dingue et je suis lâche… Je n’arrive à en vouloir à personne malgré que je sois souillée de partout, de mon âme et de mon corps…

« Y’a beaucoup de nuages aujourd’hui... ; lança la voix de Shikamaru.

-Ouais … »

Et ils regardèrent la course folle qui s’engageait dans le ciel… C’est vrai que l’amour nous rend cinglé… Qu’il nous fait tourner la tête comme après avoir trop bu… Qu’on ne voit rien d’autre que l’autre… Bien sur que c’est une drogue… Mais malgré tout ce qui peu en couler de bon ou de mal… L’amour restera toujours notre drogue… Celle dont n’importe qui est dépendant… Celle avec qui n’importe quelle personne perdra la tête…

End



J'attends vos impressions