Et si ... Dépossédé.


Fanfiction Naruto écrite par Sir Kamikaze (Recueil de Sir Kamikaze)
Publiée le 12/05/2008 sur The Way Of Naruto



Après Et si ... bad Naruto (ou un mauvais Naruto) une autre fiction, pour ceux qui me demandait une suite pour celle qui viens de se terminer, je ne compte pas en faire ou alors pas avant très longtemps, mais j'espère que vous apprécierez quand même celle-ci ^^.


Chapitre 4: Prison



Naruto se réveilla à l’hôpital, il ouvrit les yeux et le manque total de luminosité le ramena à sa sinistre réalité.



- Pourquoi avoir fait une telle chose … entendit-il à côté de lui.



Naruto se tourna vers la voix qu’il identifia comme appartenant à Jiraiya.



- ça me regarde, répliqua le blond.



Il voulut se relever mais sentit des sangles qui le retenaient aux bras et aux jambes.



- Qu’est-ce que ça signifie, s’énerva Naruto.

- C’est pour te protéger de toi-même, expliqua le sannin aux grenouilles.

- C’est ma vie, qui êtes-vous pour m’empêcher d’y mettre un terme ?

- Ton sensei, cria le sennin.

- Je ne suis plus votre disciple, répliqua Naruto sur le même ton, Faites-vous une raison et foutez moi la paix.



Jiraiya inspira et expira profondément, l’état psychologique de Naruto le chagrinait beaucoup.



- Qui est avec nous ? Je ne reconnais pas son chakra …

- Je suis Hiashi Hyuga, s’identifia l’homme.

- Il voudrait savoir …

- Pourquoi, le coupa Naruto, j’ai tué Hinata ? Elle ne voulait pas me laissé en finir tranquillement.

- Gamin, sache que ma fille est en vie, tu as raté le cœur d’à peine deux centimètres, lui apprit Hiashi avec soulagement.

- Quand il a vu qu’elle ne suivait pas le groupe, poursuivit Jiraiya, Neji est retourné à ton appartement et l’a retrouvé, l’événement à dû être très rapide puisque tu n’étais déjà plus sur place.

- Même plus capable de tuer quelqu’un, je suis pathétique, s’apitoya le blond.

- Je ne pense pas que tu ais intentionnellement attaqué ma fille, reprit Hiashi.



Naruto ne répondit rien à l’affirmation du patriarche Hyuga, il n’en montrait rien mais il était heureux que la petite brune soit encore en vie mais regrettait d’avoir raté sa propre mort.



- Qu’est-ce que vous allez faire de moi ?

- Tu resteras ici jusqu’à ta guérison, ensuite … le conseil, malgré le fait que Hiashi te pardonne, veut que tu sois jugé.

- J’imagine que je peux oublier la peine de mort ?

- Rien que pour ce que tu viens de dire, je te condamne à vivre, conclu l’Hokage avant de sortir de la pièce suivit de Hiashi.



Naruto attendait devant le bureau de l’Hokage entouré de deux gardes, que celui-ci et les conseillés se mettent d’accord sur une peine suffisante, lors d’un précédent entretient, le blond avait prétexté à Homura et Koharu d’avoir volontairement tenté de tuer Hinata en espérant la peine capitale, les deux conseillés n’étant pas aussi stupide qu’il le pensait, y virent le mensonge, ils firent sortir Naruto et débattirent avec Jiraiya pendant une demi heure, lorsqu’ils eurent finit, Naruto rentra dans le bureau.



- Uzumaki Naruto, commença Homura, nous nous sommes penchés sur ton cas et …

- Hé le vieux, le coupa le blond avec son flegme habituel, pas le peine de tergiverser, viens-en au fait.

- Hum … bref, il a été décidé que tu serais emprisonné deux mois au centre correctionnel de Konoha, tu seras ensuite diriger à l’hôpital où un psychologue te suivras et …

- Un psy ? Vous … oh et puis merde, je m’en fiche, emmenez moi en prison.

- Nous n’en avons pas finit.

- Ah …

- Il nous reste à parler de ta réhabilitation en tant que shinobi.

- …

- …

- Vous rigolez ?

- Non, je suis bien sérieux.

- Mon bandeau est rangé dans un placard et ne servira plus qu’à ramasser la poussière.

- Où est le sale garnement qui criait à qui voulait l’entendre qu’il voulait devenir Hokage ?

- C’est drôle que vous dite ça, il n’y a pas si longtemps, c’était le monstre ou le démon, le terme qui me désignait …



Il ne les voyait pas mais le blond leur jeta un lourd regard de reproche, chaque personnes présentes devant lui soutinrent le regard mais ne dirent rien, Jiraiya fit signe aux gardiens de Naruto qui l’emmenèrent vers sa demeure pour deux mois.



- Comment avons-nous pût en arrivé là, se plaignit Jiraiya.

- Ce garçon à perdu sa flamme, lui répondit Koharu, il faudrait un évènement particulier pour lui refaire prendre goût à la vie.

- Une idée ?

- Non mais ça peut attendre sa sortie de prison.

- Ce qui m’inquiète, survint Homura, c’est de savoir qui lui a dérobé Kyubi et pour quelle raison …

- Lorsque j’étais sur la piste d’Orochimaru, dit Jiraiya, il est rentré dans une organisation de criminel de classe S.

- L’Akatsuki, précisa Koharu.

- Comment ?

- Kakashi nous a répété ce que tu lui as dit à propos de l’Akatsuki après qu’il se soit remit, la femme que tu nous as ramené n’est pas encore aussi expérimentée que Tsunade mais elle est très forte dans son domaine.

- Shizune hein ? Enfin, nous savons qui mais nous ignorons leurs ambitions, maintenant que je suis Hokage, je ne peux plus sortir du village pour enquêter.

- Effectivement, nous pouvons toujours envoyer quelqu’un d’autre ?

- Inutile, qui que ce soit, il se ferait tuer.

- Restons en là pour le moment, nous aviserons quand il y aura du mouvement, conclu le conseillé.





Naruto et ses « guides » avaient dépassé les limites des habitations du village et marchaient à présent sur un pont qui reliait la terre ferme à un petit îlot au milieu d’un lac, ils entrèrent dans le bâtiment, dans ce qui pouvait être un hall d’accueil, le directeur des lieux les attendaient, il était la seule personne à pouvoir imposer ou retirer un sceau inhibiteur de chakra, il s’approcha du garçon et s’apprêta à lui poser le sceau, le directeur remarqua le vide dans les yeux du blond, il passa sa main devant ses yeux et n’obtint aucune réaction, de loin, il avait pensé que c’était un de ces prestigieux ninjas aux yeux blanc : les Hyugas, un Hyuga non-brun aurait été inédit mais qui sais ? Mais ce n’était qu’un pauvre garçon aveugle.

Le directeur congédia les gardiens de Naruto et appela ses propres gardes, il n’apposa pas de sceau de restriction au garçon pensant qu’un aveugle n’apporterait pas de problème même s’il avait accès à son chakra.

Les seules demandes de l’Hokage avaient été que le jeune détenu soit placé dans une cellule à l’écart des autres et de le surveiller car il était instable de manière autodestructrice.

Les gardes l’emmenèrent dans une cellule au milieu d’un couloir qui ce finissait par une statue du quatrième Hokage, sur le socle était inscrit : La lumière vous guide vers le chemin de la justice et de la liberté.

Bien sûr, Naruto ne pouvait pas voir l’endroit mais étrangement, il s’y sentait bien, la première description de cet endroit qu’il se faisait était un sanctuaire, un endroit familier où il pouvait se reposer en paix sans qu’un rassemblement de proche ne vienne culpabiliser sur son sort, finalement, il sentait que se suicider n’était pas une si bonne solution, il avait seulement besoin de recule … de solitude pour faire le point.



En face de la porte de la cellule se trouvait le lit, ni confortable ni insupportable, juste au-dessus une fenêtre, à la place d’une vitre, trois barreaux la scellait, des bruits de métal heurtant la pierre se faisait entendre.



- Qu’est ce que c’est ? demanda Naruto à la présence qu’il sentait.

- Les prisonniers, de 14 à 18h30, ils piochent à l’extérieur, comme tu ne vois pas, je pense que tu recevras un traitement de faveur.

- Et vous êtes ?

- Nawashi ton gardien, le directeur de la prison m’a chargé de ta surveillance.

- Ils ont peur que j’essai encore de me suicider ?

- Possible … on nous a dit que tu étais suicidaire en effet.

- C’est quoi, l’emploi du temps ici ?

- Réveil à 6h00, douche à 6h15, petit déjeuner à 6h45, de 7h00 à midi, détente : chacun fait ce qu’il veut mais sous surveillance, de 12h00 à 13h00 déjeuner, jusqu’à 14h00 digestion ensuite comme je te l’ai dit plus tôt, travail forcer jusqu’à 18h30, repos jusqu’à 19h00, 19h00 dîner, 19h45 à 21h45 : détente, couvre feu à 22h00.

- Sympa, un vrai centre de vacances.

- Penses ce que tu veux …

- Y’a quoi au menu ce soir ?

- …

- Et demain midi ?

- …

- ça va être cool la discussion avec vous ...





Une certaine monotonie s’installa pour Naruto, bien qu’il partageait ses repas avec les autres détenus, il était mit à l’écart tout de suite après, il faisait une promenade sur le lieu de travail des prisonniers le matin pendant que le « chantier » était désert, l’après-midi, il restait dans sa cellule, méditant en silence.

Jamais il n’avait causé de problème, au bout de la troisième semaine, avec l’accord de l’Hokage et du directeur de la prison, le garde chargé de sa surveillance lui fut retiré.

Naruto, avec l’aide d’un garde volontaire s’entraîna à intensifier ses réflexes sensoriels : quand on est touché à la main par exemple, le mal, le froid ou le chaud transmet une information au cerveau et celui-ci réagit directement en créant une réaction du membre, un retrait.

Le blond s’entraîna donc à raccourcir son temps de réaction entre une tape et son esquive, il s’y aida en créant une zone de chakra d’un mètre autour de son corps et commençait à anticiper certains coups, il en avait eut l’idée en repensant à son combat contre Neji lors du tournois des chuunins, le chakra qu’il projetait n’était pas consistant comme le tourbillon divin mais ça lui suffisait pour sentir quelqu’un où quelque chose entrer dans son périmètre, le seul problème était que projeter continuellement du chakra autour de lui était fatiguant, à réserver donc s’il se battait.

A la fin du premier mois, il obtint la permission de rester au chantier l’après midi, il ne minait pas mais sentir la vie autour de lui l’habitua à différencier les sons plus ou moins loin, la distance, un enseignement dont il profita les avantages mais s’il avait su que sa demande à côtoyer les autres prisonniers de plus près allait lui apporter autant de problème, il n’en aurait pas fait la demande …



Naruto était assit sur un rocher dos au mur d’enceinte de la prison, les pelles et les pioches dégageait leur poids de pierre, comme d’habitude pour Naruto, mais cette habitude fut rompu par un prisonnier qui s’acharnait avec hargne contre le sol, l’homme levait sa pelle pour l’enfoncer chaque fois plus profondément puis il la jeta par terre, les poings serrés il se tourna vers Naruto, le blond sentant une envie de meurtre tournée vers lui, leva son périmètre de chakra, pour ceux qui ne pouvait plus sentir de chakra, il ne faisait que regarder dans la direction du taulard qui avait l’air de vouloir le tuer.



- Pourquoi es-tu là ? s’écria le prisonnier, est-ce pour te foutre de moi ?

- Cette voix … Mizuki-sensei … non, Mizuki … non, si je suis là, c’est pour prendre mes vacances, lâcha le blond en retour.

- Ecoutez-moi, cria Mizuki à l’adresse de ses co-détenus, ce gosse est le démon renard, c’est en voulant l’éliminer que j’ai fini ici.



Naruto sentit d’autres ondes hostiles se tourner vers lui.



- Bizarre, répliqua calmement Naruto, selon mes souvenirs, c’est en essayant de voler un rouleau de techniques interdites et t’être fait rétamer par un genin que tu as fini ici.



Naruto entendit un rire au milieu de la clairière, c’était un jeune homme d’un peu plus vieux de huit-neuf ans qui se moquait de Mizuki, il avait la peau noir les yeux d’un jaune étincellent tel ceux d’un fauve, les cheveux brun tombant sur ses épaules en dreadlocks, les surveillants s’apprêtaient à intervenir au moindre signe de bagarre. Un cercle se forma vite autour de l’ancien jinchuuriki, pelle en main et menaçant, Naruto se leva, promenant son regard aveugle autour de lui, il avala difficilement sa salive, lors de l’entraînement avec un garde, il « voyait » la présence comme une forme blanche dans les ténèbres, devant lui, c’était un mur blanchâtre sans détails qui ce dressait, prêt à lui tomber dessus.



Le premier coup partit le tranchant d’une pelle battit l’air verticalement au-dessus de lui sur sa tête, le blond croisa les bras au-dessus de sa tête pour bloquer le coup mais celui-ci n’arriva pas, le garçon noir avait sauté et cassé le manche de la pelle d’un coup de pied, toujours en suspension dans l’air, il exécuta une rotation sur lui même et envoya son autre pied dans la figure de l’attaquant qui tomba par terre le nez en sang.

Cette fois-ci préparé, l’aveugle identifia l’intervenant comme un allié et se concentra sur tous les autres, les jets de pierre fusaient et pendant que les gardiens s’attardaient à maitriser les dernières lignes des prisonniers, Naruto évitait les cailloux, certain passait sa garde et lui éraflait la peau du visage ou des bras mais quand il était jeune il avait déjà reçut ce traitement, il y était habitué et ne s’en formalisait pas trop, les projectiles arrivaient bien souvent trop vite pour qu’il puisse les éviter, en ce qui concernait les coups au corps à corps, il les repoussait certes pas facilement mais se débrouillait pour être à l’abris de la majorité, l’autre garçon usait d’un style de taïjutsu, pas aussi fort que s’il pouvait utiliser son chakra mais il repoussait malgré son jeune âge, des hommes bien battit, il n’utilisait ses mains que pour parer les coups et y répondaient avec ses genoux et pieds.



Mizuki voyait que cela tardait, franchit la première ligne et s’attaqua au blond, Naruto sentit la menace et sauta sur le mur en hauteur et s’y colla grâce à son chakra, les prisonniers qui le voyaient à l’abri pestait face à ce détenu qui pouvait utiliser son chakra, Mizuki leva sa pelle comme une lance et la lança vers le blond, Naruto sentit l’arme improvisé entrer dans son périmètre et kunai ricocha sur le fer et la fit s’incliner, Naruto pencha aussi la tête sur le côté, le tranchant de la pelle lui déchira la joue gauche, si le kunai venu d’il ne sait où n’avait pas dévié la pelle, il serait mort à l’heure qu’il est.



Un homme sur le toit du bâtiment, observait la bataille, c’était le directeur de la prison, il leva une main et le sceau des détenu les paralysa sur place.

Un détachement de ninjas envahit la cours et ils emmenèrent les prisonniers de force jusqu’à leurs cellules.

Naruto se laissa tomber par terre, il marcha vers la porte puis à quelques mètres de l’ouverture, il tendit une main et chercha le mur, à peine eut-il franchit l’entrée qu’une main se posa sur son épaule, il sursauta et s’écarta rapidement.



- Du calme, je ne te veux aucun mal, je t’ai même sauvé la peau tout à l’heure.

- Ah … merci.

- Alors tu es vraiment aveugle ?

- …

- Je croyais que tu étais un Hyuga.

- Tu as déjà vu un Hyuga blond toi ?

- De nos jours, tout peut arriver mais je n’en ai jamais vu tout court.

- Et tu es ?

- Fiito Yamino.

- Ok, Naruto Uzumaki.

- Je sais, j’ai déjà entendu ton nom de la bouche des gardes …



Un garde s’approcha des deux garçons, les interrompant dans leur conversation.



- Vous deux, le directeur veut vous voir.



Fiito alla directement au bureau sans attendre Naruto qui y rendit tranquillement, guidé par le garde, le directeur fit s’asseoir les deux jeunes gens puis entra dans le vif du sujet.



- Matricule 019512 …, lu le directeur sur une fiche.

- Naruto, répliqua celui-ci.

- Oui enfin bref, tu dois comprendre que je ne peux plus te laissé côtoyer les autres prisonniers.

- Je comprends …

- Et … Matricule ….

- Fiito.

- Fiito, maintenant, toi non plus tu ne peux plus te …

- Super, plus de minage l’aprem, j’vais pouvoir me la couler douce.



Naruto sourit alors que le brun criait sa joie, le directeur soupira de consternation.



- Tu as choisis ton camp, maintenant même dans les couloirs tu ne seras plus à l’abri, je vais vous faire changer de cellule, tous les deux, vous prendrez votre repas à des horaires alternés par rapport aux autres.

- Et les promenades, voulut savoir Fiito.

- Trop dangereux maintenant.

- Ça craint …

- Pas autant que de se prendre un coup de tournevis dans la gorge … lui fit remarquer Naruto.

- Mais je vais m’emmerder moi.

- Tu n’avais qu’à me laissé me débrouiller.

- Et tu serais mort à l’heure qu’il est.

- Je ne suis plus à ça près.



Le directeur de prison leva un sourcil perplexe vers Naruto, le blond sentit la méfiance et leva une main apaisante.



- Rassurez-vous, je ne suis plus suicidaire.

- Vu comment tu le dis …

- Hé le vieux, l’interrompit Fiito, tout le monde doit mourir un jour, moi je trouve normal qu’un homme choisisse le lieu et l’heure de sa mort.

- C’est bon, dit Naruto en ce levant, je vous assure que je ne ferais plus rien pour en finir.

- Très bien, je pense pouvoir te faire confiance, garde ?

- Oui, monsieur ?

- Raccompagnez-les au premier sous-sol, il est vide, rajouta t-il au deux jeunes, faites ce que vous voulez, mais rien qui pourrait nuire à la sécurité du bâtiment.

- Entendu, acquiesça Naruto.

- Comme tu veux, vieux, allons-y, s’exclama Fiito.



Naruto et son « partenaire de combat » furent amenés au second étage du centre de détention, là-bas, ils firent connaissances de manière rapide, Fiito était un fou de combat, âgé de vingt et un ans, il a été mit en prison pour avoir provoqué de multiples bagarres que ce soit pendant ou hors de sa garde, il était chuunin et avait seize ans au moment des faits, Naruto ne lui faisait pas vraiment confiance car c’était un type du genre égoïste et à fuir si ça devenait trop dangereux pour sa peau, Fiito lui avait révélé qu’il avait prit son parti lors de l’altercation juste parce qu’il y avait plus d’adversaires à tabasser de l’autre côté, il avait même été dégoûté en voyant Naruto se servir de son chakra.

Les garçons s’entendaient bien, bien mais sans plus, ce n’était pas une vrai amitié comme il ressentait pour Sasuke ou Sakura, en faite, seuls, à leur étage à part de brève rencontre comme à l’heure de manger où un garde venait les chercher, ils ne se parlaient quasiment jamais.



Les jours et les semaines passaient rapidement pour Naruto, puis arriva sa dernière semaine d’enfermement, la première journée fut ardente, même le courant d’air frais qui passait entre les barreaux de sa fenêtre qui arrivait au niveau du sol, n’arrivait à rafraîchir le blond, le soir après manger, Fiito choisit la première cellule en entrant dans le couloir, il en changeait tous les jours, Naruto trouvait ça stupide car pour lui, elles étaient toutes pareils, trois mètres carré avec un lit dur et des barreaux.



La nuit tomba vite et Naruto n’arrêtait pas de se retourner sans cesse sur sa couchette, il avait une mauvaise impression ce soir là, le son de la serrure au bout du couloir l’avertit de l’entrée d’un garde à l’étage, quelques chuchotements puis le silence complet.



Voilà le chapitre 4, je posterai le suivant dans pas longtemps