Team seven


Fanfiction Naruto écrite par Asphal (Recueil de Asphal)
Publiée le 17/12/2007 sur The Way Of Naruto



Bon, ok. C'est ma première fanfic sur Naruto. Toute les critiques sont accepté (les mauvaises permettent d'améliorer le style) et je ferais de mon mieux pour publier le plus régulièrement possible.
J'ai eu l'idée de cette fanfic en faisant de la cuisine (hé, moi les idées me viennent n’importe quand). D’ailleurs après j’étais tellement absorbée par mon idée que mon gâteau au chocolat était brûlé. Sniff, pauvre gâteau…


Merci pour les coms, je vais faire de mon mieux pour m'améliorer. Et pour le/les couple(s) final/Finaux, je garde le suspense.



Chapitre 5: Chapitre 4: The businessman (le businessman)



-Tu es sur que ça va Naruto ? Demanda pour la énième fois Sakura.

Deux jours après le meurtre de sa tutrice, Naruto avait voulut réunir tous les membres du groupe.

-Hum… Répondit le blond, à la manière du taciturne.

Tous (sauf Kakashi) révisaient pour leurs examens à leurs manières : Sakura relisait un livre de physique en se faisant les ongles, Sasuke accordait sa guitare tout en marmonnant des dates historiques, Naruto, un cahier de brouillon à la main, écrivait soit des formules mathématiques, soit quelques rimes ou des notes lui passant par la tête. Seul leur batteur était relativement calme, étudiant un grand livre de compte.

Côté relation, Sasuke et Sakura semblaient avoir abandonné l’idée de ‘‘chasser’’ Naruto, vu sa situation. Mais la partie était que remise et tous faisait comme si de rien n’était.

-Haaa ! S’écria Sakura en balançant son livre au bout de la salle, je n’en peux plus ! Kakashi-senseï, je vous en pris, donnez-moi les réponses. Je ne dirais pas que c’est vous, promis !

Le concerné leva distraitement les yeux de son cahier et soupira :

-Ce n’est pas moi qui fais vos sujets Sakura. Et pas la peine de faire les gros yeux ! Fit-il en la voyant se concentrer, je ne les ai pas, c’est tout.

Sakura fit une petite moue déçue mais pourtant adorable et alla chercher son livre qui avait atterrit sur un empli aux côtés de Naruto.

-Ne t’inquiète pas Sakura-chan, fit le blond tout entendant le livre à son amie, si tu rates cet examen, moi aussi !
-Oui toi c’est sûr.
-Ow ! Sakura-chan est méchante avec moi !
-La ferme, Usuratonkachi. Fit Sasuke en se joignant à la conversation.
-Toi-même, teme !
-Oula ! Fit Kakashi, si vous avez de l’énergie à dépenser, utilisez-là sur vos instruments.
-Jouons un peu, conclut l’Uchiwa en se levant, sa guitare accordé à la main.

Tous se levèrent et prirent leurs instruments. Enfin, après deux ou trois réglages, la chanson commença.

Dark, pink, yellow
Ready for the show.

Noir, rose, jaune
Prêt pour le show.

First, there is dark,
Pain and cry is his mark.
The one how make sad.
But everyone feel love for him,
And it’s not a crime
Well, it’s dark.

D’abord, il y a noir
Souffrance et pleur est sa marque.
Celui qui rend triste.
Mais tout ressent de l’amour pour lui,
Et ce n’est pas un crime.
Bref, c’est noir.

Dark, pink, yellow
Ready for the show.
The secret trio,
The Hime, the Baka and the Emo.

Noir, rose, jaune
Prêt pour le show.
Le trio secret,
L’Hime, le baka et l’Emo.

After, it’s pink,
The opposite of the punk.
She likes VIPs and stars
She lives in a dreamful nightmare.
But the truth is she’s a rockstar
As so far…
Well, it’s pink.

Après, c’est rose,
L’opposite du punk.
Elle aime les VIPs et les stars
Elle vie dans un beau rêve.
Mais en vrai c’est une rock star
Aussi loin…
Bref, c’est rose.

Dark, pink, yellow
Ready for the show.
The secret trio,
The Hime, the Baka and the Emo.

Noir, rose, jaune
Prêt pour le show.
Le trio secret,
L’Hime, le baka et l’Emo.


At the end, there is yellow
The graceful colour of light.
The one without pain and sorrow.
The ‘‘good’’ of the fight.
But, if you know him, with experience
He’s not stupid, he just hide his silence.
Well, it’s Yellow.

À la fin, il y a jaune
La gracieuse couleur de la vie.
Celle sans douleur et souffrance.
Le ‘‘bon’’ du combat.
Mais, si vous le connaissez, avec de l’expérience.
Il n’est pas stupide, il cache juste son silence.
Bref, c’est jaune.

La chanson se termina sous les dernières notes lancées par la guitare et Kakashi donna un dernier coup dans une des cymbales.

-Wow ! C’était génial ! S’écria Naruto (toujours aussi modeste, lol)

Sasuke allait répliquer par un ‘‘baka’’, quand on frappa à la porte délabrée de la pièce et une fine silhouette entra.

C’était homme qui devait avoir la vingtaine. Il avait de longs cheveux noirs drus mais raides, qui obstruaient complètement la vue de son œil gauche, invisible aux yeux de tous, recouvrait son front, ses oreilles et une partie de sa nuque. Grand, plutôt fin, le nouvel arrivant semblait plutôt intimidé, malgré son costard flambant neuf.

Costard qui jurait avec le reste de la pièce. Hormis les instruments et tous le matos qui allait avec, la pièce était vide. Le sol était couvert d’une moquette verte de basse qualité et les murs étaient de béton armé. Aussi, aucune fenêtres. La pièce était éclairée à l’aide d’une ampoule qui pendait du plafond, qui grésillait de temps en temps. Brrr, plutôt glauque.

-Oui ? Demanda Kakashi un peu méfiant.
-En fait, balbutia l’inconnu, je m’appelle Tobi Wakayama, et je ne sais pas comment vous expliquer… Je …

Bon on moins c’est son prénom.

-Et ? Demanda Sasuke.
-Heu… Je vous ai entendu jouer et j’ai de très bons contacts. En fait je suis manager et je…

Il fut coupé par les cris de joie de Naruto et Sakura.

-Vous avez des références ? Fit Kakashi, soupçonneux, des références ? Une boite particulière ? On gagnera combien ? Ca ne dérange pas un nouveau batteur ?...

Sasuke leva les yeux au ciel pendant que Naruto, enfin calmé, marmonnait :

-Le retour du batteur parano.

Le batteur parano était le surnom astucieux que Naruto avait trouvé à son sensei. En effet, quand on parlait de ‘‘contacts’’ ou de ‘‘manager’’, il se mettait en mode alerte, ce qui faisait fuir la plupart des manageurs potentiels. Mais apparemment pas Tobi.

Les deux hommes se mirent à avoir une discussion animée. Sasuke, Sakura et Naruto se sentirent de trop et allèrent fumer dehors (Asphal: rohh c’est pas bon pour la santé de fumer /Sasuke : oh la ferme !).

-Ils en mettent du temps… Marmonna Naruto qui en était à sa cinquième.
-Naruto ! S’exclama Sakura, un contrat met du temps à être fixé. Ce serait d’ailleurs étonnant qu’il soit fini aujourd’hui… Et arrête de fumer, cinq c’est beaucoup trop.
-Tu fumes aussi, je te rappelle, et Sasuke aussi.
-Mais on en fume cinq ou six par jours, pas quarante en une heure, fit Sasuke, adossé contre le mur du studio.
-Teme…

Naruto n’eut pas le temps de finir sa phrase car le téléphone de l’Uchiwa sonna. Celui-ci décrocha et écouta d’un air passablement agacé son interlocuteur.

Son agacement passa bien vite. Sans répondre à son correspondant, le taciturne raccrocha et se tourna vers le blond.

-Quoi ? Il se passe quoi ? Demanda l’Uzumaki
-La police te cherche, fit-il finalement, d’une voix qui trahissait son angoisse.

______________

Le commissaire Asuma Sarutobi était un des rares policiers compétant de Konoha. Il avait toujours été doué pour les énigmes et se fut donc sans surprise qu’on le chargea de l’affaire du meurtre de Kahoru.

Il avait tenu absolument à parler à la personne clé de l’affaire : Naruto Uzumaki. Car en plus d’être un proche de la victime, Naruto avait découvert le corps de la vieille.

Mais depuis deux jours, il était injoignable. Personne ne l’avait vu depuis ‘‘la’’ soirée, son portable était éteint et le personnel de son manoir était muet, même pour la police. Il avait même contacté plusieurs fils de riches qui lui avait soit répondus négativement, soit raccroché au nez (Sasuke… xD).

Quel ne fut donc pas sa surprise lorsque, pendant le déjeuner, le ‘‘disparu’’ alla lui-même frapper à la pour de son bureau, passant les autres policier sans sa faire remarquer.

Dés qu’il entra, Asuma le détailla du regard : Grand, finement musclé, il avait de longs cheveux blonds en bataille qui lui tombaient dans le cou. Son visage fin était accompagné de deux perles azurs et des six fines moustaches noires réparties le long de ses joues.

Il s’assit sur le siège face au bureau sans demander la permission et prit le café à peine entamé du gardien de la paix.

-Bon, fit finalement Naruto, sirotant le café, pourquoi vous vouliez me voir ?
-Où étiez vous ? Demanda le commissaire.
-Et Pourquoi ? Vous devriez être en train de cherchez le meurtrier de ma tutrice, non ? À moins que vous vouliez m’arrêter pour meurtre ?
-Vous ne pouvez pas être le meurtrier.
-Oh ! Fit Naruto, d’un ton faussement surpris, je ne le savais pas, vous me rassurez commissaire, continua-t-il en prenant un ton mielleux.

Asuma soupira.

-Sérieusement, fit-il, avez-vous remarquez quoique ce soit à cette soirée ?

Naruto secoua la tête.

-C’est probablement un riche qui était à la fête, pensa tout haut l’Uzumaki. Je peux déjà vous dire que le meurtre juste avant le discours d’Hisashi. Il en a profité pour retourner dans la salle alors que le discours se terminait. Sûrement quand on applaudissait Hinata et moi.

Le commissaire haussa un sourcil et Naruto haussa les épaules :

-J’ai un oncle qui travaille au FBI. Je ne l’ai jamais vu, mais j’ai sûrement les gènes…

Les deux hommes se jaugèrent du regard.

-Vous ne saurez rien de plus, continua l’Uzumaki.
-Mais … !!

Le plus vieux se ravisa sous le sourire sardonique du plus jeune.

-Tu veux quoi ? Dit soudainement Asuma.
-Toutes les données que vous avez sur l’affaire. Je veux tout. Les rapports d’autopsie, les déclarations… Enfin tout quoi.
-T’es taré pour un gosse !!

Après une demi-heure de discutions serrée, les deux hommes se mirent d’accord. Naruto, en tant que fils de riche, enquêterait dans ce milieu pointilleux et difficile d’accès sans un bon pactole, tandis que Asuma montrait tous les rapports sur l’affaire, mais le blond ne pouvait parler de leurs contenus qu’au commissaire.

Puis le reste de la journée fut passée dans le bureau administratif, à éplucher des rapports d’autopsie, des listes d’invités et quelques interrogatoires déjà menés.

Quand Naruto quitta finalement le commissariat, il était onze heures du soir.