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Fanfiction Naruto écrite par Xédö56 (Recueil de Xédö56)
Publiée le 03/10/2007 sur The Way Of Naruto



je change de style par rpaport à ma première fic, je détend un peu l'atmosphère, je vais mettre plus d'action car fic prévu beaucoup plus longue et quelques petites surprises.


Chapitre 1: Bienvenue



Une rue sombre, éclairée par quelques lampadaires défectueux, des magasins fermés d’où se dégage quelques lumières des fenêtres aux étages… Un paysage habituel de la nuit dans une ville, mais aussi un endroit qui dégage une sorte de peur, de mal aise, car ici tout peut arriver.

C’est à la fin de cette vision que Takeru se réveilla… dans un endroit qu’il ne connaissait pas du tout. Il se frotta les yeux pour essayer de se réveiller, et tenta de se rappeler où il était et comment il y était arrivé. Takeru était un adolescent de 17 ans, faisant 1m80, avec des cheveux bruns dans le style ébouriffé, avait des yeux bruns avec des petites paupières tombantes. Il se releva après avoir dormit entre plusieurs piles de cartons dans une ruelle et décida de rejoindre une grande rue, là il se reconnaîtrait peut être dans quelle ville il était. Il traversa la ruelle, dérangea quelques chats qui dormait, et se retrouva dans une rue marchande bien agitée, cependant il ne la reconnaissait pas non plus, il changea de rue sans plus de succès.
Toute la journée il observa les rues et les gens, et ne reconnut rien ni personne… il n’était décidément pas dans sa ville. Une fois la nuit tombée, la ville perdit de l’animation, quelques fenêtres étaient allumées. Cette vision semblait familière à Takeru car la nuit toutes les villes se ressemblent, cependant elle ressemblait beaucoup à celle de son rêve, avait il rêvé de son arrivé dans cette ville en pleine nuit ? Dans cette rue tout e son attention fut attirée par un vendeur de ramens. Tout d’un coup il se rendit compte qu’il avait sauté plusieurs repas, il avança jusqu’au stand et vit un homme de dos en train d’essuyer des bols et des verres, le stand dégageait une délicieuse odeur de nourriture. Soudain l’estomac de Takeru se mit à gronder, il faillit s’effondrer de honte à cet instant. L’homme se retournit d’un air surpris et découvrit la source du bruit et découvrit Takeru se cachant le visage par honte.

L’homme s’appuya alors au comptoir et s’adressa à Takeru « Alors mon p’tit gars son dirait que tu as faim non ?
-Il semblerait, répondit Takeru un peu géné.
-Ca te dirait pas de goûter aux meilleures ramens de la ville ?
-Ouai ça serait une bonne idée, et sur ce il mit sa main dans sa poche mais n’y trouva rien. Il n’avait pas son portefeuille. Je viens de me rendre compte que j’ai pas mon portefeuille…
-C’est pas grave ça gamin ! Il suffira que tu fasses une petite course pour moi. Allez vas-y installe-toi et choisis ce que tu veux.
-Bon d’accord, alors j’aimerais bien des nouilles au bœuf dit Takeru en se posant sur un tabouret. »
Quelques petites minutes plus tard le vendeur lui offrit les nouilles et Takeru les dégusta tout en discutant avec le vendeur, entre autres il apprit qu’il était dans une ville du pays de Ame no Kuni, cependant il ne savait toujours pas comment il était arrivé là. Enfin il finit son bol et l’homme en vint à discuter d’un point important : sa petite requête servant à payer le repas.
« Tu vois gamin je travail seul dans ce p’tit resto et je peux rarement me déplacer, alors demain je vais te demander d’aller me chercher quelques trucs. C’est d’accord ?
-Euh ouai ça devrait aller.
-Repasses ici demain matin, je te donnerais la liste, et sur ce bonne nuit.
-Bah ! Et où je dors moi ? Vous m’offrez pas un endroit ?
-Ben non ! C’est un resto ici pas un hospice. »
Sur ce il descendit d’un coups le volet métallique, qui heurta le comptoir, Takeru faillit se faire broyer les doigts mais retira ses doigts in extremis. Il se leva et erra dans les rues à la recherche d’une petite ruelle cachée pour passer la nuit.
Le lendemain il se réveilla avec difficulté, comme d’habitude, alla faire un brin de toilette dans une fontaine et se dirigea vers le resto où il vit qu’il n’y avait pas un seul client, ce qui ne semblait pas déranger le patron qui lisait tranquillement son journal. Il le remarqua et l’interpella. « Alors gamin ? Bien dormit ?
-Ben non pas du tout. En plus je me réveille mal.
-Faut se lever tôt ! Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt !
-Ben ouai mais moi je suis pas un conquérant !
-Va falloir apprendre ! Oh tiens voilà ta liste, prends pas trop ton tôt pour remplir ta course. »
Takeru se remit à déambuler en ville en cherchant les adresses indiquées sur la feuille, accomplissant les petites courses associées. Il fit ça toute la matinée jusqu’à ce qu’il s’arrête à la dernière adresse, c’était une maison dont les volets étaient fermés, étonnant vu qu’il était midi. Takeru toqua à la porte et attendit. Une petite minute plus tard il recommença, en insistant un peu plus, et la porte s’écroula sur l’instant. Il en fût surpris et regarda si quelqu’un l’avait vu, personne, quelle chance ! Il s’avança un peu et pencha pour regarder la porte, elle semblait avoir subit quelques gros chocs et les gonds avec sacrément morflés avant de se détacher, puis semblaient avoir été recoller contre le mur. Bizarre tout ça. Il se dit que la porte devait être vieille et avait dû subir pas mal de trucs.

Lorsqu’il leva les yeux il remarqua que dans l’obscurité dû aux volets fermés on pouvait voir que la maison avait été dévastée. De plus en plus bizarre. Takeru se releva rapidement et se plaqua contre un mur, il avança sans faire de bruit jusque la prochaine porte et jeta un coup d’œil, il aperçu ce qui devait être un petit salon, il s’y faufila et cru entendre des bruits étouffés venant de la pièce voisine, il prit la décision de s’y diriger et avança doucement à travers la salle dévastée. Il se plaqua contre le mur et avança doucement, il lança un regard à l’endroit où aurait normalement dû être une porte et découvrit une cuisine sombre, aussi ravagée que le reste de la maison. Cependant, dans un coin, il semblait apercevoir une vieille femme tremblante, mais pour quelle raison ? Il ne tarda pas à en découvrir la raison, un homme était debout, habillé de noir tel un cambrioleur, un objets brillant dans la main, fouillant dans les tiroirs.
Takeru s’infiltra furtivement dans la cuisine et se rapprocha du cambrioleur. Il le saisit à la gorge avec son bras droit et commença à l’étrangler tout en lui mettant la main gauche sur la bouche, mais l’homme réussit quand même à hurler et se débattait. Takeru le lâcha et lui asséna un coup de coude dans la nuque, assez fort pour le mettre k.o, il n’avait aucune envie de le tuer. Il se dirigea vers la vieille dame quand soudain il entendit quelqu’un courir pour descendre l’escalier. Merde ! Il y en avait plusieurs. Il se dissimula dans l’ombre d’un coin et attendit que le cambrioleur descende, il entra dans la cuisine et Takeru remarqua qu’il était beaucoup plus massif que le précédent, ça allait pas être facile. Il bougea légèrement, prêt à passer à l’attaque, mais le cambrioleur le remarqua et l’attaqua immédiatement, la femme en profita pour s’enfuir à toute jambes, au moins elle était hors de dangers maintenant. Takeru se fit plaquer contre le mur puis soulevé par la gorge d’une seule main, s’il ne régissait pas il allait y passer, il se mit alors à se débattre et plaça un coup de pied dans le visage de l’homme qui lâcha son emprise et Takeru se retrouva par terre. Il se releva rapidement et fit une roulade pour sortir du coin de la cuisine, puis rebondit sur ses pieds pour frapper l’homme en plein visage, il broncha à peine, cependant Takeru sentit ses doigts craquer. L’homme frappa Takeru d’un revers droit qui l’envoya contre le mur et qui lui fit cracher un peu de sang, puis le cambrioleur sortit quelques kunais et les lança sur Takeru à peine conscient.
Takeru complètement sonné réussit à se jeter au sol à sa droite et n’eut qu’une coupure sur la joue droite d’où du sang commença à couler lentement. Il se releva avec peine et vit que le cambrioleur avançait vers lui, il vit aussi qu’un grand couteau de cuisine traînait pas loin, il s’avança pour le prendre mais l’homme lui fonça dessus et lui enfonça son poing dans l’estomac, Takeru cracha encore du sang et s’effondra à terre, cherchant son souffle, cependant il ne quittait pas le couteau des yeux. Il rampa faiblement pour l’attraper et l’homme en profitait pour écraser sa botte sur son dos, la douleur devenait insupportable, ses os allaient bientôt craquer, il devait atteindre le couteau et s’en servir. Enfin ses doigts l’atteignirent et Takeru sentit comme de l’énergie affluer dans son corps, assez pour faire une roulade et se relever pour faire face au cambrioleur qui lui lançait un regard impassible sous sa cagoule. Takeru se mit en position d’attaque et fonça sur l’homme qui élança son poing pour frapper, mais il esquiva de justesse et enfonça le couteau dans les muscles et le retira. L’homme hurla de douleur et de surprise et se saisit le bras, Takeru en profita pour planter le couteau à près des côtes de l’homme et s’apprêta à le retirer mais l’homme l’en empêcha et l’envoya valser à travers la pièce d’un coup de poing de son bras valide. Au choc du mur Takeru perdit connaissance quelques instant, puis se releva les yeux remplis de colère, essuya avec deux doigts le sang qui coulait sur sa joue et le lécha, puis il se mit à hurler de rage et sentit de l’énergie inonder son corps. Un grand flash se propagea dans la salle et des bruits de fracas en tout genre se firent entendre. Puis plus rien.

Takeru se réveilla plus d’une heure après, les cambrioleurs avaient disparu, la vielle femme aussi, et lui était encore vivant. Que c’était il passé ? Il n’en avait aucune idée. Il se leva avec peine et sortit de la maison et se rendit difficilement jusqu’au restaurant de ramen où il s’effondra sur le sol, le dos posé contre le comptoir, et gémit de douleur. Le patron s’empressa de venir le voir et constata l’ampleur des blessures. « Ben petit qu’est ce qui t’es arrivé ?
-La… dernière adresse… maison… cambriolée, me suis… battu… j’ai dérouillé… les cambrioleurs… pris la fuite…
-Ben ça pour sûr t’as dérouillé. Mais t’inquiète pas, avec quelques jours de repos tu seras comme neuf. Tiens, le patron lui tendit un verre d’eau, que Takeru bu d’un coup. »
Le lendemain Takeru se réveilla dans un lit, mais il ne savait pas où, il reposa sa tête sur l’oreiller et remarqua qu’il avait des bandages aux côtes. Au bout d’un moment il se leva, bu un peu d’eau, se nettoya le visage, remit son t-shirt et sortit dans la rue. Il erra un peu avant de trouver le resto et s’assit sur un tabouret, le patron se retourna vers lui et lui tendit un verre d’eau, Takeru le bu d’un coup et posa le verre sur le comptoir. « Alors bien reposé ? Tu te sens mieux ?
-J’ai connu de meilleurs jours dit il en se touchant les côtes.
-Tu verras dans quelques jours tu sentiras plus rien.
-Merci de vous occuper de moi.
-Bof tu sais c’est rien ça, je suis un être humain avec un cœur. Pis tu me rembourseras en travaillant un peu pour moi.
-Mouais… Au fait, cette affiche… vous savez qui il faut contacter pour avoir le boulot ?
-Le travail en tout genre ? Tu sais que ça pourrait être dangereux ? Même plus que hier ?
-Je m’y habituerais, j’étais pas assez fort, c’est tout.
-mais au fait petit gars, on s’est même pas présenté. Moi c’est Aruchû, et toi ?
-Takeru…
-Très bien mon petit Takeru, ce travail consiste à diverses tâches qui peuvent être dangereuses voire illégal, ça t’intéresse toujours ?
-Pourquoi pas… de toute façon faut que je vous rembourse et que je trouve un moyen de rentrer chez moi donc… ouai je veux me faire embaucher.
-Dans ce cas là… Bienvenue dans l’organisation ! »


Bon voilà fin de mon premier chapitre... je trouve les dialogue sun peu cucul mais bon là c'ets vraiment nécéssaire pour faire avancer l'histoire.