Voici enfin une des grandes pages de l'histoire de WoN! Attention, les scènes que vous allez vivre dans les prochains chapitres seront très (ou pas) choquantes ! De plus, le récit va prendre une tournure inattendue ! Vous allez être transporté dans une histoire passionnante (Nelson, le fantôme crêpe cadavérique : ta gueule, abrège!) Euh...Déjà, je tiens à te féliciter, tu as retenu pour le "ta gueule" ! Ensuite, je ne me nomme point abrège !
En 1913, un site de l'Europe de l'est fut secoué par divers attentats, et la zizanie s'instaura, mais en réalité, tout le monde se foutait bien de ces attentats de pauvres bouseux qui parlent avec des "-ski" à la fin de chaque mot (Bouseux de l'Europe de l'est : je-ski ne-ski te-ski permets-ski pas-ski de-ski lancer-ski de-ski tels-ski stéréotypes-ski ! Auteur : désolé, je ne parle pas aux bouseux-ski...). En réalité, les conflits venaient de... Nintendo ! Et oui, chaque fois où l'histoire avait été perdue à cause de la sortie d'une de leurs consoles, un mouvement politique agrandissait ses rangs... Les historiens ! (Assistante : quand vas-tu arrêter ce suspens et ces conneries de trisomique ?) En effet, le monde s'était divisé en deux blocs ; d'un côté, les historiens, qui voulaient supprimer la Nintendo et cie., de l'autre, ceux qui se foutaient de l'histoire et qui voulaient juste trouver le moyen de tuer ces putains de boss ! WoN se rangea du côté des deuxièmes...
Petites parenthèse de la part de la rédaction : expliquez moi comment ça se fait que personne n'ait posté de commentaire sur le fait que le site de WoN existe depuis plus longtemps que Masashi Kishimoto ? (Assistante : si tu recommences les parenthèses, on pourra jamais boucler la première guerre webiale en un seul chapitre...)
Le site "www.Narüto.de" se rangea du côté des premiers, et décida de profiter des conflits pour tenter de gouverner le web... Comme promis plus haut, ce chapitre n'aura rien avoir avec les précédents, car au lieu de vous faire commenter la guerre par Nelson, on va vous passer un docu-fiction. (Cadavre fantomatique de la crêpe deNelson : Mais, I will be, je disais, je serais, à la retraite ! Auteur : exactement...) Lancez la cassette.
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Je me nomme Toshi140, pour vous servir. J'ai un certain âge, le même âge que certaines personnes, qui viennent de certains endroits, sur certaines planètes... Je sais que je viens de dire une phrase inutile, mais je vous emmerde, bande de lecteurs inutiles... Je suis né en 1897, alors sortez vos calculatrices si vous voulez connaître mon âge, sachant que nous sommes en 1914, qu'un train A part de la gare de Lyon à 14h 23mins 52s, qu'il va à une vitesse constante de 287km/heure, que son chemin fait 643 kilomètres, qu'il est constitué de quarante-six pentes à 10°, qu'il y a 15 233 virages, dont le premier fait 12,7°, le second 13,9° et le troisième 6,4°, trouvez les autres logiquement, que le train s'arrête pendant 5mins 27s après 206,57km pour que le conducteur urine, et que les analyses de celles-ci ont indiqué un taux d'alcoolémie de 4,27mL chez ledit conducteur, indiquez le nombre de neurones du train, considérant que les neurones du train sont tous ceux des passagers et du personnel présent dans le train...
J'ai été appelé au front, et je me suis retrouvé dans les tranchées... En fait, c'est pas très beaucoup des tranchées, c'est des trucs informatiques avec plein de zéros, mais c'est pas l'important ! L'important, c'est que la guerre va commencer, et que je ne veux pas mourir avant d'avoir atteint les trois-mille de chakra... (Oui, même il y a cent ans, il y avait des obsédés de ce nombre...) Nous nous sommes rendus au front à pied, nos virus à baïonnette sur le dos, nous étions déjà fatigués avant même d'avoir pu cliquer sur le lien hypertexte de la tranchée... La plupart de mes camarades étaient fiers de partir en guerre, ils pensaient que ça allait être comme un round du NFC, que ça finirait en quelques minutes, le temps de chiquer du cyber-tabac ( Ce qui n'est pas très bon, en passant... (Auteur: On s'en fout, raconte ton histoire et cesse les parenthèses ! (C'en n'est pas une, ça ? (Auteur : ta gueule... Je voulais dire, ta gueule, pensons aux 1500 mots!))))
Hum... Mais la guerre n'allait pas être comme ils l'imaginaient... Les Arthur martin électrolux(Nelson,l'homme crêpe décédé : c'est pas plutôt les boschs ? (Auteur : réfléchis un peu, les boschs, c'est en un seul mot, alors que "Arthur martin électrolux", c'est en trois, faut gagner de la place !)) étaient bien mieux organisés et armés que nous... Ils possédaient le virus dernière technologie : le Chen Bond 1915, aussi appelé le faiseur d'inactif... La tranchée était sale, boueuse, terreuse... Euh... Enfin, dégueulasse, quoi ! En chemin nous passâmes par une ville qui avait été décimée entièrement, il y avait plein de petits niveaux morts, des pauvres noobs qui n'avaient rien fait... À part peut-être voler des kills en attaquant à cinquante de force... En fait, c'était bien fait pour leurs gueules... Sales gosses !
Bon, je l'avoue, ils n'étaient pas tous morts, j'ai dû en "aider" quelques-uns... Ben quoi, ça vous énerve pas ces noobs qui vous volent des kills ? Hum... Passons. Heu... Chef ? Qu'est-ce que vous faites là ?
- Je viens reprendre le flambeau, bleusaille !
Sachez que je ne suis pas comme Linkesoncable, pas question que cette fic tourne au bordel avec moi, je sais pas si je vous l'ai dit, mais j'ai fait la guerre, moi, je sais ce que c'est que l'ordre ! Allez, en rang par deux, z'allez me faire trois-mille pompes sur le champ, sinon, pas de soupe ce soir ! Une, deux, une, deux !
(Auteur : Je tiens à dire que c'est à partir d'ici que ça va déraper, alors que ceux qui n'ont pas aimé le chapitre quatre sortent d'ici...)
- Alors soldat, tu ne veux pas faire tes pompes ?
- Mais, c'est fatiguant, ça, chef !
- C'est pas possible des lopettes pareilles ! Bordel, t'as fait quoi de tes couilles, soldat ?
- Je crois que je les ai laissées accrochées au barbelés de l'épreuve du combattant, chef !
- Ben si tu vas pas les chercher tout de suite, j'crois bien que c'est à l'acide que je vais te les coller !
- J'y vais, j'y vais, j'y vais ! (Auteur : tu veux pas en dire encore quelques-uns des "j'y vais" ? Ce serait même mieux si tu disais "je vais y aller tout de suite, chef !", faut bien atteindre les 1500 mots !)
- Toi, la ferme, le scribouillard, tu vas me faire des pompes aussi !
- M... mais... Pourquoi moi?
- Parce que j'l'ai dit, face de pet !
- Chef, oui, chef!
- Bien, plus que deux mille neuf-cents quatre-vingts dix-neuf pompes !
- Pfff Je peux compter mes pompes à haute voix, histoire de gagner des mots ? Pfff
- LA FERME, TARLOUSE ! Et c'est des lopettes pareilles qui vont protéger la France ? Euh, non ! La WoNie ? On est bon pour la perdre, c'te guerre!
- Mais j'y pense, comme c'est moi l'auteur, il me suffit de changer le script, et finies les pompes ! T'en dis quoi, le chauve, ça te la coupe, hein ?
- SI UN SEUL DE TES DOIGTS TOUCHE CE CLAVIER, JE T'ASSURE QUE CE DOIGT VA ALLER AU FOND TON C*L, BLEUSAILLE!
- Chef, oui, chef ! Bouhouhou !
- Je vais faire de vous des vrais Geeks, avec cinq mille de Chakra et trois-cents de force en début de round, bleusailles !
- Ça va être dur pour Zinc-senseï, monsieur, y fait rien qu'à glander sur mon dos pendant que je fais mes pompes !
- T'AS QUEQ'CHOSE À DIRE, BLEUSAILLE ?
- Chef, non chef !
- Pitié, n'y a-t-il personne pour nous sortir de là ? Je ne suis qu'un geek qui écrit des fics pourries, j'ai pas mérité ça ! Boum
Bon, comme je peux pas raconter avec uniquement des dialogues cette scène, je vais vous expliquer avec un petit arrêt sur image. Le mur de la caserne militaire a explosé suite à un coup de poing de Sakura, qui était en quête du faux-réalisateur depuis qu'elle avait appris qu'il s'était juste servi d'elle. Suivie par Naruto, qui lui disait sans cesse que ce n'était pas la peine de tout détruire, et se prenant des pains toutes les trois minutes, elle avançait les yeux fermés, espérant toucher l'homme qu'elle cherchait en tapant au hasard... Après avoir enfoncé le crâne du lieutenant dans son propre rectum, elle décida de faire une petite pause :
- J'y crois pas, mes prières ont été entendues !
- Si je retrouve ce mec...
- Hey, Sakura, c'est pas la peine de te mettre dans des états pareils...
Bam
- Aïïïeuh!
- Hum... Mademoiselle Haruno ?
- QUOI ?
- Ben, c'est pour vous signaler que vous n'avez pas couché pour rien, vu que depuis votre "aventure" avec lui, vous êtes passée deux fois dans la fic !
- ... C'est vrai... Je me rends maintenant compte à quel point mes efforts sont vains... Je vais retourner à Konoha... Tu viens, Baka-kun ?
- Oui, maîtresse!
- J'ai toujours été persuadé que Naruto était maso pour aimer une fille pareille...
Le chef taré étant mort étouffé dans son anus, l'histoire peut reprendre son cours. Enlevez ce docu-fiction, c'était une mauvaise idée....
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Après une longue guerre, WoN gagna et tout redevint pacifique, avec les p'tites fleurs, des oiseaux qui chantent, le soleil qui brille et tout le bordel. P'tin, me fait chier cette fic à pas vouloir atteindre les 1500 mots !
(Prékisu : tu m'as l'air énervé, tu sais que c'est pas bon d'écrire des fics en étant dans un mauvais état d'esprit?)
Va voir chez les grecs si j'y suis....
(Prékisu : J'ai la solution: La compagnie créole !)
C'est bon pour le moral, c'est bon pour le moral,
C'est bon bon !
C'est bon bon !
C'est bon bon !
C'est bon !
Oh, comme la vie est belle! Je me sens tellement heureux ! (Prékisu : efficace...) Je ne sais pas quoi dire, si ce n'est à la prochaine fois avec le chapitre six :
L'entre deux (pas jambes!) guerre!
Moins bordélique que le précédent! Le prochain s'annonce terrible ! XD N'oubliez pas de me demander pour l'apparition de vos pseudos dans la fic! Et merci encore à tout ceux qui l'ont déjà fait!^^